Archive pour le Tag 'ultra'

Ultra gauche : de la violence verbale à l’action criminelle

Ultra gauche : de la violence verbale à l’action criminelle

Les services de police étudient évidemment avec beaucoup d’attention les conditions du sabotage SNCF. Le mode opératoire, le verbiage gauchiste est la nature même du sabotage autorise la définition de profils. De toute évidence il ne s’agirait pas d’extrémistes religieux ( de France ou d’Iran par exemple) qui n’hésitent pas à faire des morts. On pourrait par contre faire l’hypothèse de liens avec la Russie qui a l’habitude de pratiquer des opérations de déstabilisation de ce type à l’extérieur de ses frontières.

Un attentat qui aurait pu recevoir le soutien de français non seulement pour l’exécution du crime mais aussi pour le repérage des lieux d’attaques. Indiscutablement, les criminels ont bénéficié de connaissances approfondies des lieux stratégiques de régulation électrique, électronique et informatique.

Les revendications sur les réseaux sociaux mêlent pêle-mêle la contestation des JO, l’absence de gouvernement, la critique du capitalisme et de l’impérialisme. Des thèmes bien connus de l’ultra gauche politique dans l’objectif et surtout de favoriser la chienlit dans le pays. D’une certaine manière la violence verbale rejoindre la violence contre les biens et les personnes quand par exemple on accroche une pancarte dans le dos des athlètes israéliens.

Ultra gauche : de la violence verbale à l’action criminelle

Ultra gauche : de la violence verbale à l’action criminelle

Les services de police étudient évidemment avec beaucoup d’attention les conditions du sabotage SNCF. Le mode opératoire, le verbiage gauchiste est la nature même du sabotage autorise la définition de profils. De toute évidence il ne s’agirait pas d’extrémistes religieux ( de France ou d’Iran par exemple) qui n’hésitent pas à faire des morts. On pourrait par contre faire l’hypothèse de liens avec la Russie qui a l’habitude de pratiquer des opérations de déstabilisation de ce type à l’extérieur de ses frontières.

Un attentat qui aurait pu recevoir le soutien de français non seulement pour l’exécution du crime mais aussi pour le repérage des lieux d’attaques. Indiscutablement, les criminels ont bénéficié de connaissances approfondies des lieux stratégiques de régulation électrique, électronique et informatique.

Les revendications sur les réseaux sociaux mêlent pêle-mêle la contestation des JO, l’absence de gouvernement, la critique du capitalisme et de l’impérialisme. Des thèmes bien connus de l’ultra gauche politique dans l’objectif et surtout de favoriser la chienlit dans le pays. D’une certaine manière la violence verbale rejoindre la violence contre les biens et les personnes quand par exemple on accroche une pancarte dans le dos des athlètes israéliens.

Politique-Sabotage SNCF et ultra gauche : de la violence verbale à l’action criminelle

Politique-Sabotage SNCF et ultra gauche : de la violence verbale à l’action criminelle

Les services de police étudient évidemment avec beaucoup d’attention les conditions du sabotage SNCF. Le mode opératoire, le verbiage gauchiste est la nature même du sabotage autorise la définition de profils. De toute évidence il ne s’agirait pas d’extrémistes religieux ( de France ou d’Iran par exemple) qui n’hésitent pas à faire des morts. On pourrait par contre faire l’hypothèse de liens avec la Russie qui a l’habitude de pratiquer des opérations de déstabilisation de ce type à l’extérieur de ses frontières.

Un attentat qui aurait pu recevoir le soutien de français non seulement pour l’exécution du crime mais aussi pour le repérage des lieux d’attaques. Indiscutablement, les criminels ont bénéficié de connaissances approfondies des lieux stratégiques de régulation électrique, électronique et informatique.

Les revendications sur les réseaux sociaux mêlent pêle-mêle la contestation des JO, l’absence de gouvernement, la critique du capitalisme et de l’impérialisme. Des thèmes bien connus de l’ultra gauche politique dans l’objectif et surtout de favoriser la chienlit dans le pays. D’une certaine manière la violence verbale rejoindre la violence contre les biens et les personnes quand par exemple on accroche une pancarte dans le dos des athlètes israéliens.

Inégalités- Fiscalité : les ultra riches moins imposés que les autres

Inégalités- Fiscalité : les ultra riches moins imposés que les autres


Pour faire simple, la technique la plus utilisée consiste à faire passer les revenus de personnes physiques dans une société au lieu de payer l’impôt classique davantage imposé. Ainsi France, plus on est riche, plus on paye d’impôt, sauf quand on est milliardaire ? C’est ce qui ressort de la dernière étude de l’Institut des politiques publiques (IPP) un organisme public analysant des politiques publiques en s’appuyant sur les méthodes les plus récentes de la recherche en économie. Et pourtant Macron comme le ministre de l’économie s’oppose au retour de l’ISF !

Ainsi, ces 37.800 foyers aisés, qui touchent plus de 627.000 euros annuels, ont un taux d’imposition global de 46%. Mais ce taux diminue au fur et à mesure que les revenus de ces ultra-riches progressent, jusqu’à atteindre 26% pour les 75 foyers fiscaux les plus fortunés. Néanmoins, « il ne faut pas conclure que la France est plus un paradis fiscal pour milliardaires que nos voisins », met en garde Laurent Bach, coauteur de la note. « C’est désormais prouvé, les milliardaires ne paient presque pas d’impôt », s’est toutefois empressé de réagir Eric Coquerel, président LFI de la commission des Finances de l’Assemblée nationale.

« La note confirme la forte progressivité de l’impôt en France », rétorque de son côté, l’entourage du ministre de l’Economie, Bruno Le Maire qui ferme de nouveau la porte à tout retour d’un impôt sur la fortune (ISF).

La technique la plus utilisée consiste à déposer les actions d’entreprises Détenues dans une holding, c’est à dire une société dont le but est d’héberger les actions d’entreprises à la place d’un particulier. Cette technique qui consiste à ne pas recevoir les revenus tirés de ses actions sur son compte bancaire mais sur le compte d’une entreprise dédiée permet de faire passer l’imposition sur celui de la société et non celui des revenus personnels.
Par ce biais, le taux des impositions assises sur le revenu et le patrimoine personnels (cotisations incluses) est remplacé par le taux bien plus bas de l’impôt sur les sociétés, de 33,33 % en 2016. De plus, en cas de succession, le taux d’imposition effectif sur les donations de parts de sociétés se limite à 5,625 % du montant transmis et, en cas de plus-value, un actionnaire peut tout simplement faire annuler la fiscalité sur cette dernière lors du transfert de ses actions à ses héritiers.

Grâce à cela les 378 ménages les plus aisés ne redonnent à l’administration fiscale que 2% de leur revenu économique global, selon l’étude.

Et ce réarbitrage fiscal pourrait être en partie réalisé avec l’augmentation du « poids de l’imposition sur la fortune (ISF) » d’après ces derniers. Mais c’est sans compter sur la décision 2012-662 du Conseil constitutionnel qui a contraint l’ISF à être plafonné à un certain pourcentage du revenu personnel, sans que ce dernier concept puisse s’élargir aux actions détenues dans une holding. Un oubli qui empêche l’ISF de rétablir la progressivité de la fiscalité.

Une solution est cependant envisagée par l’Institut des études politiques. Il est aussi envisageable de taxer davantage les holdings ou de dissuader les milliardaires de passer par ces dernières pour baisser leurs taxes sur leurs bénéfices de sociétés. Aux Etats-Unis par exemple, depuis 1934, ce type de holdings est soumis à une taxe spécifique sur les revenus non distribués de 20 dans un but dissuasif. Pour les auteurs de l’étude, « il serait envisageable de taxer les revenus non distribués des holdings à l’impôt personnel sur le revenu [et non à l'impôt sur les sociétés, NDLR]. Cela permettrait de taxer certaines holdings, y compris étrangères ». En revanche, aucune réforme n’étant parfaite, cette dernière entraînerait une forte migration des titres vers la détention directe et inciterait les entreprises à ne plus distribuer de dividendes, étant donné que la détention de titres en nom propre permet de ne pas payer d’impôt tant que l’on ne reçoit ni dividendes, ni plus-value à la vente.

À noter aussi, cette étude ne prend pas en compte les effets des réformes survenues depuis 2016, comme le remplacement de l’ISF par un impôt sur la fortune immobilière ou l’introduction d’un prélèvement forfaitaire de 30% sur les revenus du capital.

Méthode de calcul
L’Institut définit le « revenu économique dont disposent les ménages » comme étant l’ensemble des revenus réalisés et contrôlés effectivement par le foyer fiscal. Il s’agit d’une mesure plus large du revenu que le revenu soumis à l’IR, mais qui n’inclut ni les variations de patrimoine, ni les revenus latents non encore réalisés. Cette définition exclut également les revenus rattachables à un ménage, mais sur lesquels il ne dispose pas d’un contrôle effectif. Ce « revenu économique » est construit en ajoutant au revenu fiscal deux types de revenus non imposés à l’IR : les cotisations sociales non contributives d’une part, et les bénéfices des sociétés contrôlées par les foyers fiscaux d’autre part.

Fiscalité : les ultra riches moins imposés que les autres

Fiscalité : les ultra riches moins imposés que les autres


Pour faire simple, la technique la plus utilisée consiste à faire passer les revenus de personnes physiques dans une société au lieu de payer l’impôt classique davantage imposé. Ainsi France, plus on est riche, plus on paye d’impôt, sauf quand on est milliardaire ? C’est ce qui ressort de la dernière étude de l’Institut des politiques publiques (IPP) un organisme public analysant des politiques publiques en s’appuyant sur les méthodes les plus récentes de la recherche en économie. Et pourtant Macron comme le ministre de l’économie s’oppose au retour de l’ISF !

Ainsi, ces 37.800 foyers aisés, qui touchent plus de 627.000 euros annuels, ont un taux d’imposition global de 46%. Mais ce taux diminue au fur et à mesure que les revenus de ces ultra-riches progressent, jusqu’à atteindre 26% pour les 75 foyers fiscaux les plus fortunés. Néanmoins, « il ne faut pas conclure que la France est plus un paradis fiscal pour milliardaires que nos voisins », met en garde Laurent Bach, coauteur de la note. « C’est désormais prouvé, les milliardaires ne paient presque pas d’impôt », s’est toutefois empressé de réagir Eric Coquerel, président LFI de la commission des Finances de l’Assemblée nationale.

« La note confirme la forte progressivité de l’impôt en France », rétorque de son côté, l’entourage du ministre de l’Economie, Bruno Le Maire qui ferme de nouveau la porte à tout retour d’un impôt sur la fortune (ISF).

La technique la plus utilisée consiste à déposer les actions d’entreprises Détenues dans une holding, c’est à dire une société dont le but est d’héberger les actions d’entreprises à la place d’un particulier. Cette technique qui consiste à ne pas recevoir les revenus tirés de ses actions sur son compte bancaire mais sur le compte d’une entreprise dédiée permet de faire passer l’imposition sur celui de la société et non celui des revenus personnels.
Par ce biais, le taux des impositions assises sur le revenu et le patrimoine personnels (cotisations incluses) est remplacé par le taux bien plus bas de l’impôt sur les sociétés, de 33,33 % en 2016. De plus, en cas de succession, le taux d’imposition effectif sur les donations de parts de sociétés se limite à 5,625 % du montant transmis et, en cas de plus-value, un actionnaire peut tout simplement faire annuler la fiscalité sur cette dernière lors du transfert de ses actions à ses héritiers.

Grâce à cela les 378 ménages les plus aisés ne redonnent à l’administration fiscale que 2% de leur revenu économique global, selon l’étude.

Et ce réarbitrage fiscal pourrait être en partie réalisé avec l’augmentation du « poids de l’imposition sur la fortune (ISF) » d’après ces derniers. Mais c’est sans compter sur la décision 2012-662 du Conseil constitutionnel qui a contraint l’ISF à être plafonné à un certain pourcentage du revenu personnel, sans que ce dernier concept puisse s’élargir aux actions détenues dans une holding. Un oubli qui empêche l’ISF de rétablir la progressivité de la fiscalité.

Une solution est cependant envisagée par l’Institut des études politiques. Il est aussi envisageable de taxer davantage les holdings ou de dissuader les milliardaires de passer par ces dernières pour baisser leurs taxes sur leurs bénéfices de sociétés. Aux Etats-Unis par exemple, depuis 1934, ce type de holdings est soumis à une taxe spécifique sur les revenus non distribués de 20 dans un but dissuasif. Pour les auteurs de l’étude, « il serait envisageable de taxer les revenus non distribués des holdings à l’impôt personnel sur le revenu [et non à l'impôt sur les sociétés, NDLR]. Cela permettrait de taxer certaines holdings, y compris étrangères ». En revanche, aucune réforme n’étant parfaite, cette dernière entraînerait une forte migration des titres vers la détention directe et inciterait les entreprises à ne plus distribuer de dividendes, étant donné que la détention de titres en nom propre permet de ne pas payer d’impôt tant que l’on ne reçoit ni dividendes, ni plus-value à la vente.

À noter aussi, cette étude ne prend pas en compte les effets des réformes survenues depuis 2016, comme le remplacement de l’ISF par un impôt sur la fortune immobilière ou l’introduction d’un prélèvement forfaitaire de 30% sur les revenus du capital.

Méthode de calcul
L’Institut définit le « revenu économique dont disposent les ménages » comme étant l’ensemble des revenus réalisés et contrôlés effectivement par le foyer fiscal. Il s’agit d’une mesure plus large du revenu que le revenu soumis à l’IR, mais qui n’inclut ni les variations de patrimoine, ni les revenus latents non encore réalisés. Cette définition exclut également les revenus rattachables à un ménage, mais sur lesquels il ne dispose pas d’un contrôle effectif. Ce « revenu économique » est construit en ajoutant au revenu fiscal deux types de revenus non imposés à l’IR : les cotisations sociales non contributives d’une part, et les bénéfices des sociétés contrôlées par les foyers fiscaux d’autre part.

Voile islamique : un accessoire de mode pour les ultra gauchiste

Voile islamique : « un accessoire de mode » pour les ultra gauchiste ?

Il est évidemment particulièrement scandaleux que les ultra gauchistes notamment les écolo Dingos considèrent que la crise du voile islamique aussi bien en Iran qu’en Afghanistan ne constitue pas un symbole politique mais plutôt un accessoire de mode. C’est un particulier ce qu’a déclaré l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau.

Comme le rappelle le Figaro depuis plus de trois semaines, le régime clérical iranien réprime avec une brutalité inouïe des manifestations déclenchées dans tout le pays par la mort d’une jeune fille de 22 ans, Masha Amini, aux mains de la police religieuse. Plus de 150 personnes auraient été tuées par balle, battues et jetées des toits, des centaines d’autres blessées et des milliers arrêtées. Cette folie meurtrière, face à la plus longue vague de protestations qu’ait connue la théocratie islamiste en quarante-trois ans, révèle sa nature profonde – un pouvoir sclérosé, violent, corrompu et irréformable. C’est à cette aune qu’il faut apprécier sa haine d’Israël, sa diabolisation de l’Occident et sa quête de l’arme nucléaire.

Masha avait été arrêtée pour port «incorrect» du foulard islamique. Mais en France certaines féministe considère le port du voile comme un droit de la femme comme si en fait le voile islamique n’était pas devenu le véritable enjeu pour la représentation d’une liberté revendiquée.

Il y a sans doute longtemps que ceux qui soutiennent le droit du voile islamique n’ont pas vécu dans des pays totalitaire où la religion s’impose au politiques et à la démocratie. D’une certaine manière, ils soutiennent la domination, la terreur et les crimes au nom d’une pseudo liberté de révolutionnaires bobos de salon. Pas étonnant ce sont aussi eux qui pendant très longtemps ont soutenu Poutine.

L’arriviste ultra gauchiste Sandrine Rousseau risque de faire éclater EELV

L’arriviste ultra gauchiste Sandrine Rousseau risque de faire éclater EELV

Ce qu’il se passe chez EELV recouvre une évolution plus générale à gauche. La conquête du pouvoir ne se conçoit plus au centre mais aux extrêmes. A ce compte, toutes les surenchères sont bonnes à prendre Un papier du monde.

Le problème de l’extrémisme et de l’ultra gauchisme, c’est qu’il risque de faire éclater un parti écolo livré aussi aux ambitions personnelles ; cela d’autant plus que ce parti n’a pas de véritable colonne vertébrale idéologique véritable, ce qui autorise tous les excès . NDLR

Qui se souvient encore du score de Yannick Jadot aux élections européennes de 2019 ? Des espoirs que l’ancien militant de Greenpeace avait alors suscités dans la famille écologiste ? Le 26 mai de cette année-là, la tête de liste d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) avait remporté 13,48 % des suffrages exprimés, laissant loin derrière ses concurrents de gauche. La liste conduite par Raphaël Glucksmann n’avait enregistré que 6,19 % des suffrages exprimés, celle de La France insoumise (LFI), menée par Manon Aubry 6,31 %, réduisant à néant l’espoir de Jean-Luc Mélenchon de s’imposer comme l’opposant numéro un à Emmanuel Macron.

Pour les écologistes, une occasion historique se présentait de chambouler la hiérarchie de la gauche plurielle en supplantant le Parti socialiste, dynamité par la récente défaite de François Hollande.

La montée continue des préoccupations liées au réchauffement climatique donnait quelque crédit au pari. La stratégie était empreinte de bon sens. Elle consistait à renforcer l’assise locale du mouvement avant de revendiquer la conquête et l’exercice du pouvoir national dans le cadre d’un large rassemblement allant de la gauche au centre.

La première partie du contrat a été remportée haut la main. En témoigne la vague verte de 2020, qui a vu plusieurs métropoles, Lyon, Bordeaux, Strasbourg, basculer aux mains des écologistes. La seconde partie, beaucoup plus aléatoire au regard de l’histoire du mouvement, a en revanche débouché sur un fiasco. Yannick Jadot a terminé la présidentielle avec moins de 5 % des suffrages exprimés au terme d’une campagne qui n’a jamais décollé.

EELV, qui revendique 11 000 adhérents, est de nouveau en proie à de graves déchirements internes autour d’une réforme des statuts maladroitement conduite par sa direction. Seule l’élection de vingt-trois députés Verts en juin sauve un peu la mise, à ceci près que la plupart des élus écolos doivent leur victoire au bon vouloir de Jean-Luc Mélenchon.

En outre, le groupe est, en pleine rentrée parlementaire, déstabilisé par les accusations publiques portées par l’une de ses membres, Sandrine Rousseau, contre son coprésident, Julien Bayou. Désigné à la vindicte pour violence psychologique à l’égard de son ex-compagne, fait qu’il conteste, l’élu a dû se mettre en retrait de cette fonction avant de démissionner, quelques jours plus tard, de la présidence du parti. Selon le quotidien Libération, il vivait depuis trois ans sous la pression d’un collectif féministe informel qui lui reprochait sa conduite et enquêtait sur ses relations avec les femmes.

Boris Johnson en soins intensifs, remplacé par un autre ultra libéral

Boris Johnson en soins intensifs, remplacé par un autre ultra libéral

Boris Johnson, en soins intensifs a demandé au ministre des Affaires étrangères Dominic Raab, 46 ans, d’assurer l’intérim à la tête de l’exécutif.

Le chef de la diplomatie britannique remplace donc Boris Johnson. Dominic Raab, ministre des Affaires étrangères, a été nommé par Downing Street pour remplacer le Premier ministre, ou tout du moins là où c’est « nécessaire », après que Boris Johnson a été placé en soins intensifs après avoir contracté le coronavirus.

Ancien avocat spécialisé en droit international, 3e dan de karaté marié et papa de deux garçons, l’ultra-libéral Dominic Raab, 46 ans, représente cette nouvelle génération de conservateurs au sein du Parlement britannique.

 

Boris Johnson a été testé positif au coronavirus le 26 mars dernier, ce qu’il a confirmé le lendemain, devenant ainsi le premier dirigeant d’une puissance majeure à annoncer qu’il est porteur du SARS-CoV-2.

« Le Premier ministre a demandé au ministre des Affaires étrangères Dominic Raab, qui est le Premier secrétaire d’Etat, d’assurer l’intérim », ajoute le texte, précisant que Boris Johnson est « toujours conscient ».

Selon Downing Street, le transfert de Boris Johnson en soins intensifs est « une précaution dans la mesure où le Premier ministre aurait besoin de ventilation respiratoire ».

Les économistes ultra libéraux deviennent fous

Les économistes ultra libéraux deviennent fous  

 

Hier nous rendions compte d’une interview du très libéral économiste Jean-Marc Daniel qui prévoyait la suppression progressive du salariat et sa substitution par des autos entrepreneurs avec comme conséquence la suppression d’une grande partie de la protection sociale. Extrait de l’interview «  Il est vrai que pour l’instant, plus de 90% des travailleurs français sont des salariés. Mais d’ici à 50 ans, nous allons nous retrouver avec 50% de travailleurs indépendants. Le temps où des armées d’ouvriers se lèvent tôt pour aller pointer dans une usine est révolu. Aujourd’hui, le capitalisme 2, 3 puis  point zéro se caractérise par la multi-activité où la figure de l’autoentrepreneur est centrale. Il faut réfléchir à ce qu’est la relation salariale à l’aune de cette société. Il est devenu nécessaire d’assouplir le contrat de travail né pendant l’ère industrielle » et d’ajouter que ce serait en même temps la fin de la sécurité sociale : « La fin programmée d’une société régie uniquement par le salariat et le contrat de travail va engendrer la mort de la sécurité sociale telle qu’elle est aujourd’hui. En effet, comment financer une protection sociale basée sur les cotisations sociales des salariés ». En fait une sorte d’Uberisation  économique et social généralisée. Ce matin sur France Info, Jean-Marc Daniel rajoute une couche en souhaitant que les licenciements se libèrent de toutes contraintes et puissent être réalisé par une « simple notification » de l’employeur. D’une certaine manière on peut se demander si certains économistes très libéraux ne sont pas devenus fous. Certes l’échec total de la politique économique et sociale de François Hollande et plus généralement des socialistes depuis Mitterrand semblent libérer la parole de ces experts en même temps que les pulsions visant à régler leurs comptes aux salariés. On objectera cependant que la droite n’a pas fait mieux lorsqu’elle était au pouvoir ou si peu. Les experts ultra libéraux se déchaînent d’autant plus facilement que la défaite des socialistes en 2017 est déjà inscrite dans l’histoire. Il faut aussi convenir que dans le camp d’en face les experts de l’ultra gauche en sont encore à défendre les conceptions marxistes d’il y a un siècle. Finalement les propositions de ces derniers influencés par les dogmes de l’anticapitalisme et de l’anti-impérialisme les conduisent à proposer des orientations très proches de celles du Front National. Du coup les économistes ultra libéraux se régalent de cette obsolescence de la pensée. D’une manière générale il faut sans doute se méfier des analyses des économistes de droite comme de gauche car la plupart sont des fonctionnaires qui n’ont qu’une idée assez approximative des réalités économiques et sociales. Théoriser sur l’économie c’est bien mais c’est mieux quand on condition quand on connaît un peu les conditions de la production. Une voix moyenne existe entre ces visions d’ultras, celle qui consiste à articuler le marché st une régulation prenant en compte les dimensions économiques bien sûres mais aussi sociales, environnementales et sociétales à la fois pour rendre les conditions de concurrence plus équitable mais aussi pour préserver l’environnement et la paix. La misère sociale ne pouvant conduire qu’à des situations conflictuelles voire à la guerre. Mais cette approche plus équilibrée que celle des des ultras apparaît moins sexy ;  surtout son absence de radicalité la rende moins « vendeur » dans les grands médias et dans les partis politiques.




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