Archive pour le Tag 'UFC'

Pesticides : des perturbateurs endocriniens dans l’eau ? (UFC)

Pesticides : des perturbateurs endocriniens dans l’eau ? (UFC)

 

l’UFC  révèle que près de 450.000 Français, notamment en zone rurale, peuvent retrouver des molécules « particulièrement nocives » dans leurs verres. Un article de la tribune en rend compte.

« On ne dit pas qu’il est dangereux de boire au robinet. 98% des consommateurs ont accès à une eau respectant la totalité des critères sanitaires, et le chiffre est en hausse, comme on peut le voir dans notre carte interactive sur le sujet. Mais, alors que l’on progresse dans la baisse de la toxicité « traditionnelle » des pesticides, la réglementation n’a pas pris en compte cet autre type de problème, assez nouveau, que sont les perturbateurs endocriniens », s’inquiète Olivier Andrault, chargé de mission agriculture-alimentation à l’UFC-Que Choisir.

Quand, pour évaluer la toxicité d’un produit, la question de la dose est déterminante – ce qui permet de protéger le consommateur en-dessous d’un certain seuil -, ce n’est pas le cas pour les perturbateurs endocriniens. « Il suffit en fait de très peu de cette substance capable d’interférer avec notre système hormonal, pour potentiellement générer des conséquences sur l’organisme », explique Olivier Andrault.

Lire aussi : Les dérogations pour réduire les distances d’épandage de pesticides jugées anticonstitutionnelles

Des modalités d’action connues, des effets encore difficiles à appréhender

Mais les données scientifiques manquent sur le sujet, regrette le chargé de mission. Ce qui « empêche leur véritable prise en compte par les pouvoirs publics ». Les modalités d’action des perturbateurs endocriniens sont pourtant connues, et font l’objet d’un large consensus : en altérant les fonctions du système endocrinien, ils peuvent imiter l’action d’une hormone, la bloquer ou perturber sa production naturelle, par exemple – en se fixant sur des récepteurs dans notre corps. Mais les effets sur la santé sont encore difficiles à appréhender, allant de certains cancers à une augmentation du risque d’obésité, de troubles thyroïdiens ou de diabète, jusqu’à une altération possible de la capacité reproductive.

« Aujourd’hui, on ne peut pas faire d’arbitrage, tout simplement parce qu’on ne sait pas. Il est urgent de savoir si ces pesticides identifiés sont bel et bien des perturbateurs endocriniens, et ce que ça implique », avance Olivier Andrault.

Parmi ceux visés par l’étude, on peut retrouver l’atrazine, le terbuthylazine ou encore le métolachlore, des herbicides utilisés en défense des cultures. « De plus en plus d’éléments laissent à penser qu’ils pourraient être classés comme perturbateurs endocriniens », souligne-t-il. Alors, « sans méthodologie éclairée » en la matière, l’UFC-Que Choisir et Générations Futures demandent l’application du principe de précaution – c’est-à-dire leur interdiction pure et simple.

Stratégie européenne

Des propos « incompréhensibles », estime Eugénia Pommaret, la directrice de l’UIPP (l’Union des industries de la protection des plantes (UIPP). . « Ce n’est pas juste de dire qu’il n’y a pas d’encadrement scientifique. La problématique des perturbateurs endocriniens est transversale, et fait l’objet d’une stratégie spécifique. Ce n’est pas parce que cette étude dresse une liste de produits potentiellement perturbateurs endocriniens qu’il est avéré qu’ils le sont », souligne-t-elle.

Et la directrice l’assure : les pesticides subissent un contrôle plus strict encore que les autres produits chimiques suspectés d’agir sur nos hormones. « Tous les dix ans en moyenne, les produits phyto-pharmaceutiques doivent être réévalués. S’il s’avère qu’ils ont été classés comme perturbateur endocrinien, ils ne seront pas homologués à nouveau », explique-t-elle.

Mais comment savoir lesquels sont concernés ? Pour mieux les identifier, un règlement européen définissant ces substances pour les produits phyto-sanitaires et les biocides avait été adopté en 2017. Dans la foulée, l’Agence Nationale Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale (Anses) avait conduit une évaluation de l’époxiconazole, un fongicide, et confirmé son caractère perturbateur endocrinien. Depuis, la substance a été retirée du marché. Et l’Anses ne compte pas s’arrêter là : « Les États-membres dont la France évalueront les propriétés perturbatrices endocriniens d’environ 300 substances phyto-pharmaceutiques d’ici à 2025, dont des dizaines par l’Anses », assure-t-elle sur son site.

« On dispose d’un des systèmes les plus encadrés au monde en la matière. Le nier peut conduire à des comportements irrationnels des consommateurs, alors que des milliers de prélèvements sont réalisés chaque année pour évaluer l’eau potable », insiste la directrice de l’UIPP.

Distorsion des données selon les départements

Pourtant, en France, le manque de certaines données interrogent. Même si 750 molécules de pesticides et leurs dérivés sont susceptibles d’être trouvées dans l’environnement, seulement 206 en moyenne sont recherchées dans l’eau que l’on boit, pointent l’UFC que Choisir et Générations Futures. Et le chiffre recouvre d’immenses disparités locales, selon la méthodologie appliquée par les différentes Agences Régionales de Santé (ARS). « Alors qu’en région parisienne on recherche entre 400 et 500 molécules, dans l’Aisne, seulement douze sont étudiées, malgré la présence d’une agriculture intensive dans la zone ! », s’étonne Olivier Andrault.

Une distorsion que le chargé de mission ne s’explique pas. « Dans près de vingt départements, le spectre des analyses est clairement insuffisant pour garantir aux consommateurs l’absence de pesticides au-delà des teneurs autorisées », considèrent les auteurs de l’étude. Pour y remédier, ils demandent au ministère de la santé d’intervenir, de manière à définir un nombre de molécules à étudier plus exigeant dans l’eau potable, en fonction du type de cultures environnantes.

 

Plainte contre Google pour non respect des données (UFC que Choisir)

Plainte contre Google pour non respect des données (UFC que Choisir)

Une action en justice pour non respect de la protection des données définis dans un RGPD déjà incompréhensibles et non lu dans 95% des cas. Une Plainte de  l’UFC-Que Choisir contre  Google  qui reproche d’exploiter les données personnelles des utilisateurs sans leur consentement, notamment ceux propriétaires d’un appareil Android, son système d’exploitation mobile. Ce dernier équipe plus de 80% des smartphones dans le monde.

Un compte Google est en effet nécessaire sur un smartphone ou une tablette Android pour utiliser les services de l’entreprise américaine (Google Maps, Gmail, etc…) et des applications. Et lorsque l’utilisateur en crée un, il doit accepter des conditions d’utilisation. L’UFC-Que Choisir dénonce le fait que cette acceptation conduit à approuver par défaut les finalités poursuivies par Google dans le cadre du traitement de ses données. Cela concerne le ciblage publicitaire ou encore la géolocalisation. L’association de consommateurs affirme d’ailleurs qu’un smartphone, même immobile, va transmettre sa géolocalisation près de 340 fois par jour.

L’UFC-Que Choisir veut que Google «obtienne un réel consentement de ses utilisateurs pour la collecte et le traitement de leurs données personnelles par ses services et applications». Elle réclame également une indemnisation de 1000 euros pour chaque consommateur lésé pour violation de la vie privée. Elle assure d’ailleurs qu’environ 200 consommateurs sont prêts à s’engager dans cette action de groupe. Toute personne intéressée peut s’y joindre. Cette procédure fait suite à la sanction de la CNIL contre Google en janvier dernier. L’autorité de protection des données a en effet condamné le géant américain à une amende record de 50 millions d’euros pour manquement à ses obligations dans le cadre du RGPD. Elle lui reprochait notamment de forcer le consentement de ses utilisateurs. Google a fait appel de cette sanction.

Les smartphones : OnePlus le plus fiable l’UFC Que Choisir)

 Les smartphones : OnePlus le plus fiable l’UFC Que Choisir)

Selon l’UFC-Que choisir. les smartphones vendus par les marques leaders des ventes AppleSamsung ou encore Huawei ne sont pas jugés comme les plus fiables du marché. Dans l’ensemble, les fabricants de smartphones écopent d’un indice de fiabilité plutôt rassurant pour les consommateurs, puisque quatorze marques sur dix-huit obtiennent un score supérieur à 90 points sur 100. Les marques chinoises One Plus, Lenovo, Motorola ou encore Xiaomi occupent avec Microsoft, qui ne commercialise désormais plus de smartphone, la tête du classement des marques les plus fiables. La firme One Plus créée en 2013 vient concurrencer les géants Samsung et Apple avec des appareils haut de gamme vendus à des prix plus abordables. Mais tous les modèles chinois ne sont pas, selon l’UFC-que choisir, toujours gage de qualité, puisque ZTE, Alcatel et Wiko sont jugés comme les smartphones les moins fiables.

Selon l’enquête de l’UFC-Que choisir, les pannes les plus souvent relevées par les consommateurs concernent la batterie de leur smartphone, avec d’une part des problèmes liés au chargeur du téléphone et d’autre part une charge de batterie qui décroît de façon fulgurante. S’en suivent alors les déconvenues liées aux pannes d’écran, aux difficultés liées aux boutons et aux haut-parleurs ainsi qu’à l’appareil photo du smartphone. Huawei est «plus touchée que la moyenne par les problèmes de chargeur de batterie, de GPS, de lecteur de carte mémoire et de Bluetooth» souligne l’UFC-Que choisir au sujet de le marque qui vend, en France, plus de téléphones qu’Apple.

Grand débat : 12 mesures pour augmenter le pouvoir d’achat de 12 milliards (UFC-Que Choisir)

Grand débat : 12 mesures pour augmenter le pouvoir d’achat de 12 milliards  (UFC-Que Choisir)

 

 

Les 12 mesures :

  • 1. Répercuter les baisses des cours des matières premières agricoles sur les prix en rayon
  • 2. Annuler le relèvement du seuil de revente à perte, qui gonfle les marges de la grande distribution
  • 3. Supprimer les commissions d’intervention en cas d’incident bancaire
  • 4. Simplifier le changement de banque avec la portabilité du numéro de compte bancaire
  • 5. Faire varier les aides à la rénovation énergétique en fonction du niveau de performance et non des équipements
  • 6. Appliquer strictement le principe « préleveur-pollueur-payeur » pour l’eau potable
  • 7. Allonger la durée de garantie légale en fonction de la durée de vie des produits
  • 8. Encadrer les loyers dans toutes les zones tendues
  • 9. Faciliter la comparaison et le changement d’assurance santé
  • 10. Limiter les dépassements d’honoraires médicaux
  • 11. Réformer l’apprentissage de la conduite pour baisser le prix du permis
  • 12. Libéraliser la vente de pièces de carrosserie automobiles

L‘association UFC-Que Choisir  propose 12 l mesures, et cela « sans surcoût pour les finances publiques« . Mais des propositions dont certaines seront difficiles à mettre en œuvre content tenu de la complexité mais aussi du poids des lobbies. La première mesure propose d’intégrer la baisse des cours sur les prix en rayon. Le problème est  technique et économique. On ne peut immédiatement intégrer la baisse des cours compte tenu de leur impact différé sur le processus de production qui peut demander plusieurs mois. Par contre, on peut empêcher la hausse immédiate des prix quand les cours remontent pour les mêmes raisons. Annuler le relèvement du seuil de revente remettrait en cause la loi alimentation et la question du revenu des agriculteurs (même si des interrogations demeurent sur cette meilleure rémunération). Les mesures concernant les banques vont évidemment s’opposer au lobby bancaire. Une mesure intéressante est celle concernant les assurances santé souvent complètement illisibles et dont les prix s’envolent depuis notamment que les complémentaires sont obligatoires dans les entreprises. Les l remises en cause des dépassements médicaux se justifient dans la mesure où dans le même établissement hospitalier certain pratiquent ces dépassements et d’autres non. La libéralisation de la vente des pièces de carrosserie automobile s’attaque évidemment aux monopoles des marques dont on sait qu’elle réalise des bénéfices substantiels sur les pièces détachées. Au total des propositions intéressantes mais qui vont trouver l’opposition des lobbys, voire du gouvernement. Des dizaines des dizaines d’autres propositions pourraient aussi  permettre d’augmenter le pouvoir d’achat.

Offre groupée d’électricité par UFC-Que Choisir

Offre groupée d’électricité par UFC-Que Choisir

 

Quatrième campagne d’offres groupées d’abonnements pour la fourniture de gaz et d’électricité par l’association de consommateurs UFC. L’UFC-Que Choisir retiendra ensuite l’offre la moins chère pour en faire bénéficier les consommateurs intéressés. L’année dernière, c’étaient deux offres (gaz et électricité) de l’opérateur Lampiris (racheté par le groupe Totalqui avaient été retenues par l’organisme. Près de 150 000 foyers avaient alors profité d’une ou des deux offres groupées d’énergie.  L’association lance deux appels d’offres (gaz et électricité) auprès des opérateurs qui proposeront aux consommateurs un prix fixe sur deux ans, contre un an les précédentes. L’UFC-Que Choisir insiste sur le fait que malgré cette uniformité temporelle de tarif, le client peut changer d’offre à tout moment quand il le souhaite, comme l’exige la loi. Autre nouveauté, le lancement d’un troisième lot pour une offre à prix fixe sur un an d’électricité verte. Cette dernière proviendra essentiellement de sites français de production d’énergie renouvelable. Mais seulement les 25.000 premières personnes inscrites pourront profiter de cette offre à électricité verte. Les consommateurs intéressés ont jusqu’au 25 septembre prochain inclus pour se rendre sur le site www.choisirensemble.fr. Le 26 septembre, les trois offres des opérateurs lauréats seront divulguées. Libres ensuite aux consommateurs inscrits de souscrire ou non à partir du 16 octobre aux trois offres proposées par l’opération groupée de l’UFC-Que Choisir. Une participation de 10 euros sera demandée aux souscripteurs à une seule offre, 14 euros pour deux offres (soit respectivement 5 et 8 euros pour les abonnés et adhérents à l’association).

 

 

L’eau du robinet polluée selon l’UFC-Que Choisir

L’eau du robinet polluée selon l’UFC-Que Choisir

Une étude de l’UFC Elle montre que si près de 96% des consommateurs peuvent boire l’eau du robinet en toute confiance, 2,8 millions ont en revanche une eau polluée, notamment par les pesticides, les nitrates ou le plomb de l’agriculture industrielle.  L’UFC-Que Choisir a passé au peigne fin les réseaux de distribution des 36 600 communes de France, pour la totalité des 50 critères réglementaires sur la base des résultats officiels du ministère de la Santé. Même si le résultat global reste satisfaisant, l’eau reste de mauvaise qualité pour 2,8 millions de Français. L’agriculture est la première cause de pollution. On retrouve des pesticides dans les régions d’agriculture intensive mais aussi dans les réseaux de distribution de certaines villes comme Tremblay en France, Sens, Lens, Tarbes et Auch. Les nitrates contaminent aussi l’eau de près de 200 000 consommateurs, notamment dans le Loiret, la Seine-et-Marne, l’Yonne, l’Aube, la Marne, le Pas-de-Calais et la Somme. Les contaminations bactériennes dues aux défauts de surveillance ou à la vétusté des installations, constituent la troisième pollution la plus fréquente et concernent de l’ordre de 200 000 consommateurs. Les petites communes rurales de montagne, dans les Pyrénées, le Massif Central et les Alpes, sont particulièrement concernées par cette pollution. Enfin, sur l’ensemble de la France, 3% des analyses réalisées dans les logements font apparaître la présence de plomb, de cuivre, de nickel ou de chlorure de vinyle, du fait de canalisations vétustes ou corrodées. L’association l’UFC-Que Choisir demande aux pouvoirs publics « une réforme en profondeur de la politique agricole de l’eau, par une véritable mise en œuvre du principe pollueur-payeur dans le calcul des redevances de l’eau, au moyen d’une augmentation de la taxation des pesticides et des engrais azotés et par un soutien financier aux agricultures biologiques et intégrées« . Elle réclame aussi « un audit national des composants toxiques des canalisations pour estimer le niveau d’exposition des consommateurs et, dans le cas du plomb, une aide aux particuliers pour le remplacement de leurs canalisations. »

Electricité: l’UFC va proposer des prix jusqu’à 15% moins chers

Electricité: l’UFC va proposer des prix jusqu’à 15% moins chers

Peut-être une réaction aux augmentations rétroactives d’EDF validé par ailleurs par le Conseil d’État, en tout cas l’organisation de consommateurs va organiser une action groupée auprès des fournisseurs d’électricité pour obtenir auprès des producteurs des prix notoirement plus attractifs.  Paradoxe apparent ce sont les producteurs privés concurrents de DF qui ont introduit une action auprès du conseil d’État pour faire augmenter les tarifs d’EDF ! L’UFC-Que Choisir a dit, mardi 21 juin, espérer pouvoir proposer aux consommateurs une offre d’électricité jusqu’à 15% moins chère que les tarifs réglementés pratiqués par EDF, dans le cadre d’une opération d’abonnement groupé à laquelle les groupes Engie et Lampiris comptent participer. L’association de consommateurs, qui avait déjà mené deux campagnes d’achat groupé pour le gaz naturel uniquement, a donné mardi le coup d’envoi d’une nouvelle opération pour stimuler la concurrence dans le secteur de l’énergie et proposer aux particuliers des offres plus avantageuses que celles actuellement disponibles sur le marché, en gaz mais aussi en électricité. « Les prix vont baisser en proportion du nombre de consommateurs qui auront manifesté leur intérêt », a expliqué le président de l’UFC-Que Choisir, Alain Bazot, lors d’une conférence téléphonique. « Si on atteignait 300.000 (participants), qui serait vraiment un très beau score (…), on pourrait espérer des offres à -14%, peut-être -15% par rapport aux tarifs réglementés » de l’électricité appliqués par EDF à 88% des ménages français. « L’enjeu pour nous, c’est que les consommateurs comprennent que ce n’est pas une fatalité d’être aux tarifs réglementés d’EDF, qu’on peut changer à tout moment, que c’est facile, que c’est gratuit », a souligné M. Bazot. Dans le gaz, où l’ouverture à la concurrence est un peu plus poussée, l’UFC-Que Choisir espère un gain d’environ 10% par rapport aux tarifs réglementés appliqués cette fois par Engie (ex-GDF Suez) à 57% des 10,6 millions d’abonnés au gaz. Les fournisseurs ont jusqu’à fin juin pour dire s’ils participent à cette campagne, qui fonctionne selon le principe d’une enchère inversée – l’offre la moins chère l’emportera. Les offres lauréates seront dévoilées le 22 septembre. »On se prépare à répondre pour l’électricité », a indiqué une porte-parole d’Engie à l’AFP. Le belge Lampiris, en cours de rachat par Total et lauréat des précédentes opérations de l’UFC-Que Choisir dans le gaz, a aussi dit envisager de se porter candidat, dans le gaz et l’électricité.EDF a lui indiqué qu’il ne participerait pas car l’électricien « souhaite garder le contact direct avec ses clients ». Les consommateurs peuvent eux s’inscrire gratuitement du 21 juin au 21 septembre, notamment sur internet (www.choisirensemble.fr) ou par téléphone. Chacun d’entre eux recevra ensuite, à partir du 10 octobre, une offre personnalisée à laquelle il sera libre de souscrire ou pas jusqu’au 30 novembre.

(Avec AFP)




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