Archive pour le Tag 'UBS'

Cryptomonnaies, la monnaie des criminels, (UBS)

Cryptomonnaies, la monnaie des criminels, (UBS)

Ce n’est pas un gauchiste qu’il affirme mais le puissant patron de la banque suisse UBS : Les cryptomonnaies sont surtout utilisées par des criminels, a déclaré mardi Sergio Ermotti, directeur général d’UBS. . Le patron de la banque suisse répondait à une interrogation concernant les perspectives de la cryptomonnaie que  veut développer Facebook avec d’autres partenaires commerciaux et financiers. Une perspective particulièrement dangereuse si elle n’est pas régulée. En effet compte tenu de la puissance commerciale de Facebook et de ses partenaires, le poids de Libra risque d’être rapidement supérieur à celui d’une banque classique mais aussi d’une banque centrale. Libra  pourrait rapidement passer du statut de moyen de paiement à celui de moyen d’échange et de réserve monétaire, bref une banque centrale avec les mêmes pouvoirs d’émission par exemple ou de fixation des taux. Une manière de s’attribuer une souveraineté que détiennent les banques centrales et les Etats. La Suisse devrait faire un bon accueil aux innovations en matière de cryptomonnaies tout en restant sur ses gardes étant donné que ces dernières sont surtout utilisées par des criminels, a déclaré mardi Sergio Ermotti, directeur général d’UBS.

UBS : le procès de l’industrie du détournement fiscal

UBS : le procès  de l’industrie du détournement fiscal

D’une certaine  manière,  UBS,  a raison de se plaindre d’être la seule banque punie judiciairement pour des infractions fiscales. En effet, le préjudice serait d’un milliard, six pour l’État français alors que la totalité de la faute fiscale se situerait entre 60 et 80 milliards. Une fraude souvent pudiquement appelée optimisation fiscale quand il s’agit de grandes entreprises ou de grandes fortunes qui font appel à des méthodes d’ingénierie de détournement très sophistiquées. La vérité c’est que la fraude fiscale et devenue une véritable industrie servie par la plupart des établissements financiers français ou étrangers. En France la fraude porterait sur  de 60 à 80 milliards. La commission européenne dit 1000 milliards pour les 28 Etats de l’UE, et l’OCDE de 100 à 240 milliards au niveau mondial. Des chiffres impressionnants qui résultent du savoir faire des institutions financière en matière d’optimisation fiscale. La Banque UBS, elle, est surtout accusé d’avoir démarché des milliers de contribuables français entre 2004 et 2012 afin de les aider à échapper au fisc. Mais la banque UBS ne veut pas porter seul le chapeau et elle contre-attaque. Les avocats d’UBS ont engagé lundi une bataille juridique et procédurale pour faire obstacle, dès la première audience, à la poursuite du procès de la plus grande banque suisse devant le tribunal correctionnel de Paris.UBS, sa filiale française et six de leurs dirigeants ou ex-cadres sont accusés d’avoir aidé des milliers de contribuables français à échapper au fisc entre 2004 et 2012.Leurs avocats ont accusé le parquet national financier (PNF) d’avoir contourné le « verrou de Bercy » moribond en poursuivant UBS pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale » plutôt que pour complicité de fraude fiscale, moins sévèrement sanctionnée. Le projet de loi sur la lutte contre la fraude, en cours d’examen à l’Assemblée nationale, met fin à ce monopole très controversé de l’administration sur les décisions de poursuite judiciaire pour les infractions fiscales. Mais pour Me Jean Veil, avocat d’UBS, « le fait que le verrou de Bercy soit en train d’être partiellement aboli ne change rien à l’atteinte à la séparation des pouvoirs » que constitue, selon lui, le choix par le PNF de l’incrimination la plus pénalisante. »Toute autre poursuite à l’encontre d’UBS, par exemple pour complicité de fraude fiscale, se serait normalement heurtée à l’obstacle du verrou de Bercy », a-t-il dit au tribunal. Les avocats de la banque voient également dans le choix du PNF une « rupture d’égalité » sans « justification objective ». »La qualification de blanchiment aggravé (…) expose UBS à une amende vingt fois supérieure au montant de l’amende encourue pour complicité de fraude fiscale », a soutenu Me Denis Chemla. Ils ont soulevé sur ces sujets deux questions préalables de constitutionnalité (QPC). La présidente du tribunal s’est donnée jusqu’à jeudi pour décider de les transmettre ou non à la Cour de Cassation. D’ici là, le procès est suspendu.

Bitcoin : une monnaie spéculative pour Axel Weber (UBS)

Bitcoin : une monnaie spéculative pour Axel Weber (UBS)

Le président du conseil d’administration de la banque suisse UBS Axel Weber, ancien patron de la Deutsche Bank estime que le  principal problème est qu’en l’absence de banque centrale et d’un émetteur contrôlant la fourniture de bitcoins, la valeur est uniquement déterminée par la demande ce qui conduit à d’ »énormes fluctuations de prix dans les deux sens ». Aussi, la banque UBS a décidé de conseiller de manière explicite à ses clients de ne pas investir dans la monnaie virtuelle, a dit M. Weber, soulignant que la banque ne la considérait pas comme « valable et durable ». Pour protéger les investisseurs qui ne tiennent pas compte de l’avis de la banque, « les  régulateurs sont nécessaires », a conclu le président de l’UBS. Quelques centimes en 2009 mais environ 19000 dollars aujourd’hui ! Voila l’évolution du dollar qui monte plus haut que les cieux. Une crypto monnaie qui ne représente cependant qu’environ 270 milliards à comparer aux 80 000 milliards de la monnaie fiduciaire. En dépit des avantages évidents du taux monnaie concernant la réduction des coûts de transaction financière l’évolution du cours du bitcoin est évidemment surréaliste et la correction sera sévère Car l’achat/vente et l’investissement en bitcoins s’effectuent à ce jour en dehors de tout marché réglementé. « Les investisseurs s’exposent par conséquent à des risques de perte très élevés en cas de correction”, ont aussi déclaré  l‘Autorité des marchés financiers (AMF) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), le superviseur des établissements financiers.   Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, avait de même mis en garde contre tout investissement dans le bitcoin, qualifié d’“actif spéculatif”.Notons que le bitcoin valait seulement quelques centimes en 2009 ! Le bitcoin constitue sans doute une crypto monnaie moderne qui permet de faire des économies de gestion sur les transactions financières  mais de tels rendements sont évidemment surréalistes. la devise numérique atteint  pour une capitalisation autour de 300  milliards de dollars. Ces chiffres impressionnent. Pourtant, le bitcoin et les crypto-monnaies en général, restent des actifs « marginaux » quand on les compare aux autres classes d’actifs. En effet, alors que beaucoup d’investisseurs espèrent voir le bitcoin remplacer pièces et billets dans les années à venir, on voit mal la crypto-monnaie se substituer à la monnaie fiduciaire. En effet, la capitalisation du bitcoin ne représente aujourd’hui que 3,4% de la valeur de tous les billets et pièces en circulation dans le monde. Et même si l’on englobe le reste des crypto-monnaies, soit 400 milliards de dollars en tout, elles ne représentent encore « que » 5,3% de la masse monétaire fiduciaire totale.

UBS France mise en examen pour subornation de témoin

UBS France mise en examen pour subornation de témoin

De nombreux reportages ont mis en évidence les méthodes utilisées par certaines banques  banquent pour organiser la fraude fiscale chez certains français aisés C’était aussi le cas pour la banque UBS en outre mise en examen pour subornation de témoin. La filiale française de la banque suisse UBS a été mise en examen pour subornation de témoin à la suite d’une plainte déposée par un ancien salarié, a-t-on appris mercredi auprès d’un porte-parole d’UBS France. Ce litige s’inscrit en marge des procédures concernant le système présumé de fraude fiscale pour lequel la banque suisse et sa filiale française ont été mises en examen. « La banque, qui conteste vivement les accusations de cet ancien salarié et qui entend faire valoir ses droits et sa position, attend avec sérénité l’issue de cette affaire », a indiqué le porte-parole dans un courrier électronique adressé à Reuters. La branche française de l’établissement suisse souligne dans ce document que le juge d’instruction ne l’a pas mise en examen « pour le motif de harcèlement, également allégué par ce salarié. » En juin 2013, le groupe suisse a été mis en examen en tant que personne morale pour démarchage illicite et sa division française pour complicité de démarchage illicite. Le groupe a ensuite, en juillet 2014, été mis en examen pour blanchiment aggravé de fraude fiscale et UBS France l’a été en mars 2015 pour complicité de blanchiment de fraude fiscale.

Banque : UBS mise en examen en France pour exil fiscal

Banque : UBS mise en examen en France pour exil fiscal

La banque suisse UBS a été mise en examen jeudi soir pour « démarchage illicite » dans l’enquête sur des soupçons de système destiné à convaincre de riches Français d’ouvrir des comptes non déclarés en Suisse au début des années 2000.

 

UBS : 353 clients français démarchés pour des placements en Suisse

UBS : 353 clients français démarchés pour des placements en Suisse

 

 La justice a identifié 353 clients français qui auraient été démarchés par la banque pour placer des avoirs en Suisse. Bercy a adressé 4 demandes d’entraide pour savoir si ces clients avaient fraudé. Voilà des années que la justice enquête sur cette affaire mais la procédure est en train de s’accélérer. Dans cette affaire, la filiale française d’UBS est accusée d’avoir servie de rabatteuse pour sa maison-mère. Il faut remonter aux années 2000 pour comprendre ce qui s’est passé. UBS France organisait à l’époque des événements, concerts, tournois de golf… De riches clients, sportifs, personnalités du show business étaient conviés. Ils auraient alors été démarchés par des commerciaux puis incités à placer leurs avoirs en Suisse.  Dès 2009, l’Autorité de contrôle prudentiel des banques s’est saisie de l’affaire. Deux ans plus tard, une enquête préliminaire a été ouverte. Des noms de clients ont pu être identifiés et Bercy cherche aujourd’hui à savoir si ces clients ont effectivement des avoirs en Suisse et s’ils sont ou non déclarés.  Pour le patron français d’UBS, tout cela relève de la théorie du complot. Reste qu’en 2007, la filiale américaine d’UBS a été accusée des mêmes pratiques. UBS avait mis fin à l’affaire en payant 700 millions de dollars d’amende et en livrant les noms de 1450 clients au fisc américain.

Manipulation des taux du Libor : 1 milliard d’amende pour UBS

Manipulation des taux du Libor : 1 milliard d’amende pour UBS

Amende considérable pour la manipulation des taux sur le Libor ; qui pourrait aussi avoir des conséquences sur les mêmes manipulations de l’Euribor. Une semaine après HSBC, c’est au tour d’UBS de régler la note pour son implication du scandale du Libor. Et elle est salée. La facture atteint 1,4 milliard de francs suisses pour la banque helvétique, soit un peu plus d’un milliard d’euros. Le géant britannique, lui, avait écopé d’une amende record de 1,9 milliard de dollars (1,4 milliard d’euros). A l’ouverture de la Bourse de Zurich, le titre UBS a reculé de 0,6% mais a rapidement réduit sa perte à 0,26% à 15,21 francs suisses dans un marché en hausse de 0,22%. Ces deux importantes sanctions marquent un tournant dans cette affaire. Jusque-là, le régulateur était réticent à sanctionner durement les banques, de peur que leur activité ne soit trop pénalisée. Ainsi, en juin, la banque britannique Barclays n’avait écopé «que» de 450 millions de dollars (360 millions d’euros) d’amende pour la même affaire. Dans le détail, UBS versera 1,2 milliard de dollars au département de la Justice et à la Commodity Futures Trading Commission (CTFC) des Etats-Unis, 160 millions de livres à la Financial Services Authority (FSA) britannique et 59 millions de francs suisses, à partir de son bénéfice estimé, au régulateur suisse Finma. En conséquence, UBS a fait savoir qu’elle enregistrera une perte nette record au quatrième trimestre comprise entre «deux et 2,5 milliards de francs suisses» (environ deux milliards d’euros). Mais le groupe bancaire table pour l’exercice annuel sur un bénéfice imposable de 2,5 à 3 milliards de francs.  Le scandale du Libor implique des banques françaises et étrangères qui se sont entendues sur des taux définissant les conditions dans lesquelles les banques se prêtent de l’argent entre elles mais qui sert également de référence à de nombreux produits financiers. Les variations infimes de ces taux, calculés à partir des informations quotidiennes données par les banquiers, impliquent pour certains établissements des millions de bénéfices mais aussi, en contrepartie, des millions de pertes pour d’autres. Toute manipulation de ces taux, lorsqu’elle est révélée, peut ainsi être synonyme de procès multiples au civil.  Dans un communiqué, les dirigeants ont admis une fraude de la part de «certains de leurs collaborateurs» dont ils jugé le comportement «inacceptable». «Aucun bénéfice financier ne saurait primer sur la réputation de notre groupe, et nous sommes fermement décidés à mener nos activités en toute intégrité», affirme Sergio Ermotti, CEO d’UBS. Et le PDG du groupe, Axel Weber d’ajouter: «Notre crédibilité auprès des clients, des investisseurs et des collaborateurs est primordiale. Nous devons donc continuer à renforcer les activités de la banque, sa culture d’entreprise et sa sensibilisation au risque».

 




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