Archive pour le Tag 'UberPOP'

UberPop en correctionnelle

UberPop en correctionnelle

Thibaud Simphal et Pierre-Dimitri Gore-Coty, respectivement directeur-général d’Uber France et directeur de la compagnie pour l’Europe du Nord, ont été placés en garde à vue lundi dans le cadre d’une enquête préliminaire sur l’application UberPop. Vendredi soir, Thibaud Simphal a défendu son entreprise sur France Info. Le parquet de Paris rappelle aussi qu’une enquête préliminaire a été ouverte en novembre dernier pour « exercice illégal de la profession de taxi». Thibaud Simphal et Pierre-Dimitri Gore-Coty, étaient en garde à vue depuis lundi. Les deux dirigeants de la société Uber en France sont convoqués devant la justice le 30 septembre.  Les deux dirigeants de la société Uber France sont convoqués devant la justice le 30 septembre. Ils seront notamment jugés pour « pratique commerciale trompeuse et fourniture de moyens d’exercice illégal de l’activité d’exploitant de taxi ».

UberPop : garde à vue des dirigeants

UberPop : garde à vue des dirigeants

 

 

Deux raisons sans doute qui ont motivé cette garde à vue, d’abord et surtout la banalisation dut travail au noir que voulait promouvoir cette société dans le secteur des taxis. Ensuite aussi le mépris affiché vis-à-vis des lois nationales et l’arrogance de dirigeants pétris de culture américaine  et de business modèle de voyous. L’organisation des taxis mérite certes d’être sérieusement revue mais pas à la manière sauvage de UberPop. N’oublions pas que c’est la puissance publique qui a organisé la rareté avec le contingentement des licences qui de ce fait ont pris des valeurs démentielles. C’est donc à l’Etat de réguler et progressivement de supprimer la valeur de ces licences ( comme cela a été faiat dans le transport de marchandises avec les licences précédemment payantes également).  La police judiciaire parisienne a placé ce lundi les deux dirigeants d’Uber France en garde à vue, dans le cadre d’une enquête sur l’application UberPop, interdite en France.  Après les chauffeurs de taxi la semaine dernière, la police s’attaque à UberPop. La police judiciaire parisienne a placé les deux dirigeants d’Uber France en garde à vue ce lundi, dans le cadre d’une enquête ouvert en novembre 2014.Le directeur général Thibaud Simphal et le directeur pour l’Europe de l’Ouest Pierre-Dimitri Gore Coty sont entendus par la police ce lundi. Au mois de mars, le siège d’Uber France à Paris, avait été perquisitionné. Des ordinateurs et des téléphones, ainsi que des documents avaient été saisis.  Le service UberPop est illégal en France et la loi Thévenoud du 1er octobre 2014 a même renforcé les sanctions possibles contre l’application. L’enquête de la police judiciaire parisienne vise également des faits présumés de « conservation illégale de données à caractère personnel au-delà de la durée prévue« .  Uber conteste depuis plusieurs mois cette loi, qui encadre l’activité des voitures de transport avec chauffeur (VTC). La maison-mère américaine a déposé deux plaintes contre la France auprès de la Commission européenne, pour faire annuler cette loi.

 

« Taxis : UberPop doit être déclaré illégal et dissous » (Hollande)

« Taxis : UberPop doit être déclaré illégal et dissous » (Hollande)

Il était temps que l’Etat afFirme enfin son autorité. mais il aura fallu des jours et des jours pour que le gouvernement prenne enfin la mesure de l’enjeu. Pour parler clair , Uber pop c’est evidemment intéressant pour l’usager mais comme n’importe quel autre travail au noir : cest moins cher ! . En fait la méthode américaine qui s’appuît sur la »modernité digitale » du service pour déréguler totalement un secteur. On voit mal où est vraiment la modernité dans la possibilité de réserver un taxi par téléphone !! Très tôt ce matin Hollande a enfin tranché «  Uberpop doit être dissous ». Pour une  fois, il a raison ne serait-ce  aussi que pour s’opposer aux veileités d’UBERpop de nier tout droit national. a cet égard la morgue du patron d’Uberpop France est insoutenable, un vrai coktail de mensonges, d’hypocrisie et de déni du droit. Au lendemain d’une journée de grève nationale, marquée par des violences et des débordements, certains taxis ont donc décidé de poursuivre le mouvement. François Hollande demande la dissolution d’UberPop et le gouvernement demande aux préfets des contrôles renforcés. Revivez le jeudi noir sur les routes.  Jeudi, les taxis se sont mobilisés dans toute la France. Des rassemblements marqués par des débordements, des dégradations et 10 interpellations. Les artisans taxis dénoncent les pratiques des chauffeurs de l’application UberPop. Une colère entendue par le gouvernement et François Hollande qui a demandé très tôt ce vendredi la dissolution de l’application. Le mouvement continue en partie ce vendredi.

 

UberPop : le travail au noir banalisé

UberPop : le travail au noir banalisé

 

 

Inutile de tourner autour du pot, UberPop c’est la légalisation du travail au noir dans le transport de personnes. Certes on peut comprendre l’intérêt rechercher la rationalisation dans  l’utilisation de moyens de transport mais là c’est le grand bazar avec d’énormes risques juridiques pour les personnes transportées) D’ailleurs une  société américaine Amazon prévoit aussi de faire transporter des colis par des particulier. On pourrait ainsi décliner  Uber dans toues les profession :, si vous avez du temps, des compétences, des moyens matériels éventuellement  vous pouvez vous faire un revenu complémentaire au noir !  Basé en Californie, Uber s’est étendu à une vitesse fulgurante partout dans le monde, grâce à son application permettant d’obtenir rapidement une voiture de transport avec chauffeur (VTC), à des prix très compétitifs. La société ne salarie pas les conducteurs (auto-entrepreneurs ou en entreprise unipersonnelle) et provoque souvent la colère des taxis traditionnels, qui crient à la concurrence déloyale. L’entreprise américaine est à l’heure actuelle interdite d’exercer en Allemagne et fait l’objet de procédures judiciaires en France, aux Pays-Bas et en Espagne. Ce qui ne l’empêche pas de poursuivre son expansion : Uber s’est récemment lancé dans les métropoles françaises de Marseille, Strasbourg et Nantes. Une arrivée accueillie là encore par l’ire des taxis locaux. En réponse, Uber a déposé des plaintes auprès de l’Union européenne contre la France, l’Allemagne et l’Espagne. La compagnie fait valoir que de telles initiatives enfreignent la législation de l’UE sur la concurrence et le marché unique. En attendant, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a mené une nouvelle charge mardi contre le service UberPop – ce service met en relation des particuliers avec des conducteurs non professionnels qui se déplacent avec leur propre véhicule -, affirmant qu’il est « en situation illégale absolue ». Pour lutter contre ce service, le gouvernement va « multiplier les réunions de Codaf (Comités opérationnels départementaux anti-fraude, ndlr) pour qu’il y ait des poursuites à l’égard de ceux qui n’acquittent aucune charge sociale et aucune charge fiscale », a annoncé le ministre

UberPOP : interdit par le gouvernement au 1er janvier

UberPOP : interdit par le gouvernement  au 1er janvier

le porte-parole du ministère de l’Intérieur a annoncé que cette offre payante de transport entre particuliers du groupe américain sera interdite en France dès le 1er janvier, avec l’entrée en vigueur de la loi Thévenoud sur la régulation de la concurrence avec les taxis. « La loi qui a été votée et portée par le gouvernement de réglementation de la profession de taxi, des VTC (voitures de tourisme avec chauffeur), qui entrera en vigueur le 1er janvier prochain, est encore plus contraignante pour ce genre de sociétés », a notamment déclaré lundi matin Pierre-Henry Brandet sur iTélé. La mise en relation de particuliers du type UberPOP sera alors passible de deux ans de prison et de 300.000 euros d’amende, a-t-il précisé. « Non seulement c’est illégal de se prêter à ce service mais en plus pour le consommateur il y a un véritable danger », a poursuivi le porte-parole, soulignant que les conducteurs n’avaient pas d’assurance adéquate.

UberPOP : covoiturage ou business ?

UberPOP : covoiturage ou business ?

 

Le tribunal de commerce de Paris à autorisé UberPOP a continué son activité en se fondant non sur le fond mais sur la forme en argumentant que les décrets de la loi Thévenoud (qui va réglementer le secteur) ne sont pas encore sortis. La question est donc en suspens, la question est de savoir si la société américaine fait du business ou du covoiturage. Il y a en effet du faiat du caractère marchand de l’activité d’UberPOP inégalités de concurrence avec les taxis déclarés.   Un chauffeur de VTC doit recevoir 250 heures de formation, ce qui n’est pas le cas d’un particulier arrondissant ses fins de mois en conduisant pour UberPOP. Mais le tribunal a aussi remarqué que ces articles « entrent en vigueur à une date fixée par voie réglementaire ». Or, « à la date où nous nous prononçons, cette date d’entrée en vigueur n’a pas été fixée », rendant impossible de se prononcer sur le « trouble manifestement illicite » invoqué par les requérants. Le tribunal estime cependant  sur un autre volet que la société communique en « termes ambigus » sur la possibilité pour ses chauffeurs de se positionner sur la voie publique, la pratique connue sous le nom de « maraude » et réservée aux taxis. Le juge demande donc aux responsables d’Uber « de retirer de leur support de communication toute mention qui présenterait comme licite le fait de s’arrêter, stationner ou circuler sur la voie publique en attente de client », l’assortissant d’une astreinte quotidienne de 20 000 euros. Le directeur général d’Uber France, Thibaud Simphal, s’est dit satisfait. « Sur UberPOP qui avait attiré beaucoup d’attention, les parties adverses sont déboutées, ce qui est extrêmement positif », a-t-il affirmé à l’AFP. « C’est un point très important pour nous, ça veut dire qu’UberPOP peut continuer. » Le président de l’association française des taxis, Roméo Pestana, a de son côté fait part de son mécontentement. Pour lui, « M. Thévenoud a mal fait son travail » avec sa loi. Même si rien n’est perdu, « on va être sur six mois, un an minimum » avant une décision de fond, a-t-il regretté. Les défenseurs des requérants avaient affirmé qu’Uber tentait d’asseoir sa domination sur un secteur du VTC en plein essor en étouffant la concurrence, y compris par des moyens illégaux. Leur argumentation et leurs demandes avaient reçu le soutien du parquet aux audiences. La décision de vendredi permet en tout cas à UberPOP de mieux terminer la semaine qu’il ne l’avait commencée en Europe : le service a ainsi été interdit mardi par un juge en Espagne, au lendemain d’une décision identique aux Pays-Bas. Uber vient de lever 1,2 milliard de dollars d’argent frais, lui permettant d’être désormais valorisé à 40 milliards de dollars. En conclusion, sil faut effectivement favoriser le covoiturage, il faut auusi fixer les limites de la marchandisation de la voiture particulière utilisée  en commun.




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