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Un défenseur des homosexuels, ex-UMP passe au FN

Un défenseur des homosexuels, ex-UMP passe au FN  

 

Une mutation susceptible de contribuer à la dédiabolisation du FN mais qui va créer des remous au sein de cette dernière organisation.  - Sébastien Chenu, défenseur des droits des homosexuels et ancien cadre de l’UMP, a adhéré au Rassemblement Bleu Marine (RBM), parti rattaché au Front national, a annoncé jeudi la formation de Marine Le Pen. Ce consultant en communication, qui est l’un des fondateurs du mouvement Gaylib, doit diriger le Collectif culture que veut prochainement lancer la présidente du FN. Marine Le Pen présentera Sébastien Chenu à la presse vendredi à Paris, précise le service de presse du FN.   »Je rejoins Marine Le Pen pour la cohérence de son propos sur l’Europe comme sur les questions de société », explique Sébastien Chenu au Monde.fr. Longtemps maire-adjoint UMP de Beauvais (2001-2014), il estime que la principale formation politique de droite a « accepté une soumission totale à l’Europe technocratique » et juge sa position sur le mariage homosexuel, « consternante ».   »L’UMP est devenue le Tea Party français, un parti conservateur », dit cet ancien secrétaire national de l’UMP.  Sébastien Chenu précise ne pas avoir envie de suivre Nicolas Sarkozy qui s’est prononcé pour l’abrogation du mariage homosexuel devant les militants de Sens commun mais « aurait pu dire l’inverse devant une association gay ». Le vice-président du Front national, Florian Philippot, se félicite, également dans Le Monde.fr, du ralliement de Sébastien Chenu : « Il nous rejoint par patriotisme, par souci de la France, par souci de la République ». Le ralliement de Sébastien Chenu « est la preuve de l’ouverture du Rassemblement Bleu Marine », dit au Point.fr le député RBM Gilbert Collard.  En revanche, Gaylib dit apprendre « avec consternation » la démarche de son co-fondateur, qui n’occupe plus aucune fonction exécutive au sein du mouvement depuis 2012 et a agi à ses yeux par « opportunisme à visée électorale ». « Sébastien Chenu rejoint une plateforme politique qui a exprimé publiquement son refus du mariage pour les couples de même sexe et de l’adoption, dont des personnalités éminentes ont manifesté en tête de cortège lors du mouvement La Manif pour tous », déplore l’association dans un communiqué. Sébastien Chenu, 41 ans, qui a été à plusieurs reprises conseiller ministériel, avait appelé avec cinq jeunes secrétaires nationaux de l’UMP Nicolas Sarkozy à se prononcer pour le mariage homosexuel peu avant la présidentielle de 2012. Selon l’hebdomadaire d’extrême droite Minute, la présidente du FN ne veut pas renoncer à cette nomination « qui a commencé à se propager dans les hautes sphères du FN où elle suscite de très vives oppositions. »   »Je dois avouer ma stupéfaction. Je suis extrêmement étonné de voir ce monsieur arriver alors que ses engagements ont toujours été contraires à nos idées », déclare Bruno Gollnisch, l’ex-numéro 2 du parti à Libération.fr. Des cadres du FN appellent anonymement, dans un communiqué, les militants à téléphoner au siège du FN pour dénoncer « l’incohérence politique et morale » de cette nomination.

A défaut d’emploi Valls soutient les restos du cœur !

A défaut d’emploi Valls soutient les restos du cœur !

 

Il faut vraiment que le gouvernement soit complètement démuni pour appeler les dons via les Restos du Cœur. Certes cette œuvre caritative est magnifique et aide les plus démunis mais le gouvernement devrait avoir honte de se réfugier derrière cette œuvre de solidarité. Valls ose même parler de sursaut pour la justice sociale or il  n’y a jamais eu autant de disparités, autant de pauvres, autant de riches,  autant de marginaux exclus de la société. Jamais autant de dividendes versés aux actionnaires, jamais autant de chômeurs. Les mots ont perdu tous sens dans la bouche de ces oligarques. Le Premier ministre Manuel Valls, qui a assisté lundi au lancement de la 30ème campagne des Restos du cœur, s’est engagé à « promouvoir les dons » en nature à cette association, notamment pour les filières de fruits et légumes. « Les choses ont avancé dans la filière laitière et nous évoquions que dans d’autres filières, fruits et légumes, pour la viande aussi, il y avait encore des progrès à accomplir, et Michel Sapin et Stéphane Le Foll sont évidemment prêts à travailler le plus vite possible, j’ai bien entendu le message, sur ces questions tout à fait fondamentales », a dit le Premier ministre lors d’une conférence de presse dans un centre parisien de l’association. « Le gouvernement s’engage à promouvoir les dons », a poursuivi M. Valls, « donc il faut à la fois trouver les bons dispositifs fiscaux, mais surtout les bons dispositifs techniques, administratifs, à travers le dialogue avec les filières afin que nous puissions avancer le plus vite possible. » Les Restos du cœur ont obtenu l’an dernier du gouvernement que la loi Coluche sur les exonérations fiscales soit étendue aux dons des producteurs laitiers, et réclament cette mesure pour tous les dons agricoles. »Viande, œufs, légumes, céréales, il faut que toutes les filières puissent bénéficier d’un dispositif fiscal incitatif », estime le président de l’association Olivier Berthe. Le Premier ministre, après une visite des locaux pendant environ une heure, de l’association aux côtés des ministres de la Santé Marisol Touraine, du ministre des Finances Michel Sapin, et de la maire de Paris Anne Hidalgo, pendant environ une heure, a évoqué un « véritable sursaut pour la justice, contre le inégalités, pour une meilleure répartition des richesses, que nous devons les uns et les autres accomplir, et c’est l’engagement que je prends devant vous ».

 

Non à la réforme territoriale : retenez –moi où je fais un malheur (Baylet- MRG)

Non à la réforme territoriale : retenez –moi où je fais un malheur (Baylet- MRG)

Baylet le président des radicaux de gauche (associés au gouvernement) a poussé un grand cri mais peu l’ont entendu. En clair, il a menacé le gouvernement en faisant démissionner les ministres MRG. Une occasion sans doute pour le grand public d’appendre qu’il y avait des ministres radicaux de l’équipe de Valls : Girardin, Braillard et Pinel. Des noms presque inconnus ! De toute manière, il ya longtemps que le MRG n’aurait plus d’existence sans le PS et tout ce finira par un arrangement. En fait Baylet conteste surtout la future suppression des départements. Une suppression qui n’est pas pour demain. Pour autant Baylet n’a pas complètement tort d’attirer l’attention sur la désertification de nombre de départements ruraux ; mais ce ne sont pas forcément le maintien des conseils génaux qui sont la solution. « Notre désaccord est grave et profond. » Dans un entretien accordé au Nouvel Observateur à paraitre jeudi, Jean-Michel Baylet, le président du Parti radical de gauche (PRG), fait part de toute sa détermination. A l’origine de son mécontentement : la réforme territoriale, que l’Assemblée nationale a adopté le 18 juillet dernier. Le sénateur du Tarn-et-Garonne estime que le texte a été étudié « dans la précipitation et en dehors de toute concertation utile et réelle », excluant des débats « les fonctionnaires territoriaux et les populations ». L’ancien candidat à la primaire socialiste menace le gouvernement. S’il n’est pas entendu, il précise que la ministre du Logement Sylvia Pinel, ainsi que les deux Secrétaire d’Etat Annick Girardin et Thierry Braillard, tous membres du PRG, démissionneront de leur poste. « Sur le fond, nous comprenons la nécessité de la réforme, mais nous disons qu’il faut la faire sur des critères objectifs et sérieux », poursuit Jean-Michel Baylet, qui s’étonne de voir la région Midi-Pyrénées fusionner avec le Languedoc-Roussillon, « deux immenses régions », alors qu’on « ne rattache pas la petite région des Pays-de-la-Loire à la Bretagne pour des raisons d’amitié personnelle avec le président de la République ». Une attaque à peine déguisée à l’encontre du Breton Jean-Yves Le Drian et du Nantais Jean-Marc Ayrault, qui ont manœuvré en coulisses. Le président du PRG demande par ailleurs le maintien du conseil général dans les départements ruraux, « une collectivité de proximité indispensable pour les services et l’aménagement du territoire », en l’absence de grande métropole. Tous les conseils généraux doivent pourtant être supprimés à l’horizon 2020. « Si nous ne sommes pas entendus, si nous arrivons à un point de rupture, alors là, oui, nous prendrons nos responsabilités et nous partirons du gouvernement. Nous en avons voté le principe lors de notre dernier comité directeur », précise Jean-Michel Baylet. Au début du mois de juillet, les radicaux avaient déjà menacé de quitter le gouvernement sans avancées significatives sur le sujet. Les sénateurs avaient alors déposé une motion référendaire afin que la réforme territoriale soit soumise au suffrage universel. L’adoption du texte devant l’Assemblée n’avait pourtant pas été suivie des faits. « Je ne veux pas me conduire comme les Verts qui ne cessaient de menacer de sortir de la majorité gouvernementale », se défend pourtant Jean-Michel Baylet dans cet entretien.

 

Intermittents : Parisot s’oppose au MEDEF

Intermittents : Parisot s’oppose au MEDEF  

 

Dans  une tribune, lundi dans Les Echos, Parisot  défend le régime spécial d’assurance chômage des intermittents du spectacle. Et contredit par la même occasion l’organisation qu’elle présidait jusqu’en 2013, le Medef, qui souhaite supprimer ce régime spécial. A trois jours d’une nouvelle séance de négociations entre patronat et syndicats sur l’assurance chômage, la vice-présidente de l’Ifop récuse l’idée qu’il « serait équitable et juste » de supprimer le régime -déficitaire- des intermittents, au nom de l’équilibre financier de l’Unédic. Dès lors, le Medef estime que ce serait à l’Etat d’assumer le « surcoût du traitement plus favorable » réservé aux intermittents. Si Laurence Parisot s’oppose à un tel scénario, c’est parce qu’elle redoute que cette suppression aboutisse à transférer la charge de ce régime sur les comptes de l’Etat. Pour elle, transférer le dossier des intermittents à l’Etat reviendrait à transformer la culture en « culture d’Etat et à fonctionnariser les artistes ». « La question des intermittents est loin d’être un simple problème comptable, elle renvoie au statut de la culture dans notre pays », poursuit l’ex-présidente du Medef, rappelant que « le rayonnement et l’attractivité de notre pays dépendent certes de sa politique économique et budgétaire (…) mais aussi de sa production culturelle ». Et Laurence Parisot de pointer un autre aspect du dossier des intermittents, qu’elle juge bien plus prioritaire : « impérativement lutter contre » les « nombreux abus » dont fait l’objet ce régime.

 

UE: 2 ans de plus à Athènes pour réduire son déficit ; du pipeau, on peut accorder 20 ans !

UE: 2 ans de plus à Athènes pour réduire son déficit ; du pipeau, on peut accorder 20 ans !

 

L’union européenne faiat encore semblant se croire aux perspectives de rééquilibrage budgétaire en Grèce. Elle accorder 2 ans de plus là où elle aurait pu accorder 20 ans. De toute manière, la Grèce ne s’en sortira pas ; les saignées imposées tuent sa croissance et ses rentrées fiscales. Responsables, ceux qui ont fait entrer la Grèce dans l’Euro: Draghi en premier en tripatouillant les comptes (avec Goldman Sachs), l’Allemagne contente de vendre ses produits, les autres pays, la Grèce elle-même. Tout cela finira soit par une faillite, soit par une annulation de la dette ( qu’envisage maintenant Merkel). « Les ministres ont approuvé les mesures donnant à la Grèce deux ans de plus pour corriger son déficit excessif, suite à un accord entre le gouvernement grec et la troïka des créanciers », ont-ils indiqué dans un communiqué.  Athènes aura donc jusqu’en 2016, et non plus 2014, pour ramener son déficit budgétaire sous la barre des 3% du PIB, soit dans les clous européens.  Les ministres ont fondé leur décision sur les efforts entrepris par la Grèce en termes de réformes et d’ajustement budgétaire. Le pays a adopté un programme musclé comprenant des économies de 18 milliards d’ici 2016, et un budget pour 2013 imposant 9 milliards d’euros d’économies.  Conscients de ces efforts, la zone euro, le FMI et la BCE avaient décidé le 12 novembre d’accorder deux ans de plus à la Grèce pour ramener ses finances publiques à l’équilibre. Mais ce délai avait un coût d’environ 32 milliards d’euros. Une solution pour le financer a finalement été trouvée la semaine dernière.  La zone euro et le FMI se sont mis d’accord la semaine dernière sur les moyens de réduire nettement la dette grecque, avec l’objectif de la ramener à 124% du PIB d’ici 2020.  Parmi ces mesures, figurent en premier lieu une très complexe opération de rachat de la dette grecque par Athènes, une réduction significative des taux d’intérêt des prêts bilatéraux déjà consentis à la Grèce, un allongement de la durée de remboursement des prêts et un report pour le paiement des intérêts.

 

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