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Tweeter: La brutalité d’Elon Musk a fait partir 80 % du personnel

Tweeter: La brutalité d’Elon Musk a fait partir 80 % du personnel

Elon Musk qui se veut libertarien – surtout pour lui-même- s’assoie sans état d’âme sur la liberté des autres. Ainsi sa brutalité a entraîné le départ de 80 % du personnel. Du coup l’avenir du réseau se trouve largement hypothéqué d’autant que les annonceurs se retirent progressivement de Twitter, or ce sont eux qui financent le réseau.

Pour réduire la masse salariale, Elon Musk s’y est pris en trois temps. D’abord, un immense plan social à la hache concernant 50% des effectifs de l’entreprise, doit 3.700 personnes, la première semaine de novembre. La semaine suivante, le nouveau patron s’est attaqué aux contractuels, en annonçant le licenciement de 80% d’entre eux, essentiellement dans la modération des contenus, alors même que Twitter était considéré avant le rachat comme l’un des réseaux sociaux les moins efficaces sur le sujet. Enfin, lors de la troisième semaine de novembre, Elon Musk s’est attaqué aux survivants du premier plan social en lançant aux quelques 3.700 employés restants un ultimatum : travailler « à fond, inconditionnellement » ou prendre la porte.
D’après le magazine Fortune, 75% des restants ont choisi à ce moment-là de partir. Ajoutons à ces vagues de départ quelques centaines de licenciements éparpillés dans le mois -surtout des employés et managers qui critiquaient ouvertement ou dans les messageries internes la gestion d’Elon Musk-, et Twitter ne compterait aujourd’hui que 1.000 employés et 1.100 contractuels, soit 2.200 en tout, contre 12.900 vingt-trois jours plus tôt !

De fait, on retiendra du premier mois d’Elon Musk quatre « accomplissements », tous plus inquiétants les uns que les autres : la boucherie sur la masse salariale ; le flop spectaculaire de l’abonnement Twitter Blue à 8 dollars par mois, lancé puis rangé indéfiniment au placard à cause de nombreuses dérives ; la rupture de neutralité assumée lorsqu’Elon Musk a appelé ses 118 millions de followers à voter Républicain aux élections de mi-mandat début novembre, confirmant les craintes sur son agenda politique ; et la réintégration de Donald Trump suite à un simple sondage, alors même que l’ancien président avait été banni de tous les grands réseaux sociaux l’an dernier en raison de son rôle actif pour encourager les émeutes du Capitole du 6 janvier 2021, qui ont provoqué six morts.

Ces premières semaines donnent un aperçu assez clair de la méthode et du style de management d’Elon Musk : faire table rase de l’ancien Twitter -dont il exécrait la culture d’entreprise- pour reconstruire à partir de ce qu’il en reste. Ainsi, après avoir viré sans ménagement la moitié des effectifs et congédié tous ceux qui osaient le critiquer, l’ultimatum donné aux restants sonne comme une nouvelle épuration, par la qualité cette fois, en se débarrassant de tous ceux qui avaient survécu jusque-là mais qui ne partagent pas ses valeurs.

Problème : la purge est si violente qu’il ne reste plus grand-chose. Si Twitter avait certainement un peu de « gras » à couper dans ses effectifs avant Musk, il paraît peu probable que l’entreprise employait 10.800 personnes de trop. Ce qui ne manque pas d’interroger sur la capacité de Twitter à fonctionner normalement pour ses utilisateurs, de manière sécurisée, et à répondre à ses obligations légales de modération des contenus.

Mais peu importe la violence et le danger que la méthode Musk créé pour la survie à court terme de l’entreprise. Elon Musk est dans une croisade culturelle contre l’ancien Twitter. « Je peux vous dire ce qui marche chez Tesla : être présent physiquement au bureau et se donner à fond »; a déclaré l’entrepreneur lors d’un Spaces, un salon de discussion sur le réseau social. La purge passe donc aussi par la destruction de la culture d’entreprise de Twitter.

Le nouveau patron la juge trop libérale avec son télétravail généralisé, son progressisme typique de la Silicon Valley, et sa politique de ressources humaines axée sur la bienveillance et les avantages pour les salariés comme la cantine gratuite et à volonté. Dès son arrivée, Elon Musk a donc appliqué à Twitter ce qui fonctionne déjà dans ses autres entreprises : le présentiel tous les jours de la semaine sauf exceptions. Le milliardaire a également mis fin aux repas gratuits dans un souci d’optimisation des coûts.

Société-Tweeter: Après les menaces d’ELON MUSK, la fuite des salariés !

Société-Tweeter: Après les menaces d’ELON MUSK, la fuite des salariés !

Une triple fuite chez Twitter : celle des salariés de plus en plus exploités , celle des fournisseurs de publicité et celle des lecteurs. Les départs se multiplient donc chez Twitter , au lendemain d’un ultimatum d’Elon Musk, qui a demandé aux employés rescapés de la première vague de licenciements de choisir entre se donner « à fond, inconditionnellement », et partir. Indéniablement ELON MUSK est un grand ingénieur mais c’est aussi un grand manipulateur qui a permis à son groupe d’afficher une immense bulle financière qui un jour ou l’autre pourrait bien éclater avec les déclarations et décisions fantasques de l’intéressé.

Il y a d’abord cet achat du réseau tweete pour un prix irresponsable de 44 milliards qui va peser lourd sur la trésorerie du groupe. D’ailleurs immédiatement le libertarien a licencié la moitié du personnel. L’autre moitié est soumise à une pression considérable avec des méthodes d’un autre âge.

Le nouveau propriétaire et patron de la plateforme a envoyé un document à signer par mail à l’ensemble des équipes, dans la nuit du 15 au 16 novembre. Ces derniers sont invités à s’engager totalement dans sa stratégie, ou quitter le navire. “Si vous êtes certain de vouloir faire partie du nouveau Twitter, cliquez sur le lien ci-dessous” précise le mail qui renvoie vers un formulaire. Comme le rapporte le média américain, tout salarié de Twitter n’ayant pas signé avant jeudi 17 novembre à 14 heures (heure de San Francisco) seront licenciés. Ils bénéficieront d’une indemnité équivalente à trois mois de salaire.

Toujours d’après la même source, le message d’Elon Musk demande “une implication extrême”, ainsi que “du travail pendant de longues heures à une haute intensité”. “Seules des performances exceptionnelles seront suffisantes” ajoute le milliardaire.

Tweeter: Après les menaces d’ELON MUSK, la fuite des salariés

Tweeter: Après les menaces d’ELON MUSK, la fuite des salariés !

Les départs se multiplient chez Twitter i, au lendemain d’un ultimatum d’Elon Musk, qui a demandé aux employés rescapés de la première vague de licenciements de choisir entre se donner « à fond, inconditionnellement », et partir.

Indéniablement ELON MUSK est un grand ingénieur mais c’est aussi un grand manipulateur qui a permis à son groupe d’afficher une immense bulle financière qui un jour ou l’autre pourrait bien éclater avec les déclarations et décisions fantasques de l’intéressé.

Il y a d’abord cet achat du réseau tweete pour un prix irresponsable de 44 milliards qui va peser lourd sur la trésorerie du groupe. D’ailleurs immédiatement le libertarien a licencié la moitié du personnel. L’autre moitié est soumise à une pression considérable avec des méthodes d’un autre âge.

Le nouveau propriétaire et patron de la plateforme a envoyé un document à signer par mail à l’ensemble des équipes, dans la nuit du 15 au 16 novembre. Ces derniers sont invités à s’engager totalement dans sa stratégie, ou quitter le navire. “Si vous êtes certain de vouloir faire partie du nouveau Twitter, cliquez sur le lien ci-dessous” précise le mail qui renvoie vers un formulaire. Comme le rapporte le média américain, tout salarié de Twitter n’ayant pas signé avant jeudi 17 novembre à 14 heures (heure de San Francisco) seront licenciés. Ils bénéficieront d’une indemnité équivalente à trois mois de salaire.

Toujours d’après la même source, le message d’Elon Musk demande “une implication extrême”, ainsi que “du travail pendant de longues heures à une haute intensité”. “Seules des performances exceptionnelles seront suffisantes” ajoute le milliardaire.

Musk met tweeter au service de Trump

Musk met tweeter au service de Trump

Il n’aura pas fallu longtemps pour que celui qui s’affiche comme un libertarien montre son vrai visage de conservateur et même de complototiste réactionnaire en annonçant sur Twitter -le réseau qu’il vient d’acheter- son soutien à Trump . Rien d’étonnant de la part de celui qui affiche publiquement sa proximité avec l’extrême droite notamment de la mouvance complotiste QAnon; et de qualifier le New York Times qui relevait son erreur, de « site connu pour publier des fake news ».

Une attitude sans trop de surprise : ce genre de discours anti-médiatique, popularisé par Donald Trump, est devenu commun dans le bord de républicain.

Le milliardaire ne manque pas de qualités mais son ego démesuré et ses convictions politiques pourraient bien porter un coup à la santé financière de son groupe. D’abord le rachat de Twitter à 44 milliards constitue une stupidité qui va fragiliter la solidité financière globale de ses affaires. Twitter n’a jamais réussi à dégager de vrais bénéfices ; en outre nombre d’annonceurs qui financent le réseau social ont décidé de le quitter suite à la main-mise d’Elon Musk sur le réseau.

Ensuite le nombre de personnalités ont aussi décidé de ne plus utiliser Twitter pour diffuser leurs informations.

La folie du milliardaire c’est sans doute de mélanger business et politique. Une folie qui risque de lui coûter cher. Il est en effet prévisible que nombre de personnalités vont s’associer au boycott d’un réseau dans l’équilibre financier est déjà précaire sans préjudice d’un autre boycott concernant les affaires du milliardaire et notamment des voitures électriques Tesla.

« Aux électeurs à « l’esprit indép

Musk met tweeter au service de Trump

Musk met tweeter au service de Trump

Il n’aura pas fallu longtemps pour que celui qui s’affiche comme un libertarien montre son vrai visage de conservateur et même de complototiste réactionnaire en annonçant sur Twitter -le réseau qu’il vient d’acheter- son soutien à Trump . Rien d’étonnant de la part de celui qui affiche publiquement sa proximité avec l’extrême droite notamment de la mouvance complotiste QAnon; et de qualifier le New York Times qui relevait son erreur, de « site connu pour publier des fake news ».

Une attitude sans trop de surprise : ce genre de discours anti-médiatique, popularisé par Donald Trump, est devenu commun dans le bord de républicain.

Le milliardaire ne manque pas de qualités mais son ego démesuré et ses convictions politiques pourraient bien porter un coup à la santé financière de son groupe. D’abord le rachat de Twitter à 44 milliards constitue une stupidité qui va fragiliter la solidité financière globale de ses affaires. Twitter n’a jamais réussi à dégager de vrais bénéfices ; en outre nombre d’annonceurs qui financent le réseau social ont décidé de le quitter suite à la main-mise d’Elon Musk sur le réseau.

Ensuite le nombre de personnalités ont aussi décidé de ne plus utiliser Twitter pour diffuser leurs informations.

La folie du milliardaire c’est sans doute de mélanger business et politique. Une folie qui risque de lui coûter cher. Il est en effet prévisible que nombre de personnalités vont s’associer au boycott d’un réseau dans l’équilibre financier est déjà précaire sans préjudice d’un autre boycott concernant les affaires du milliardaire et notamment des voitures électriques Tesla.

« Aux électeurs à « l’esprit indépendant » : le partage du pouvoir gomme les pires excès de chaque parti, donc je recommande de voter pour un Congrès Républicain, car la Présidence est Démocrate. »
a tweeté Musk.

Twitter, en tant que réseau social crucial dans la sphère médiatique était déjà observé de près, par peur qu’il serve de relais à la désinformation d’un des deux bords ou bien de cible de tentative d’ingérence étrangère. Pour calmer les inquiétudes, Elon Musk venait d’affirmer qu’il était prêt à attendre la fin des midterms pour déployer les nombreux changements qu’il prévoit de faire sur Twitter.

Outre la volonté de répondre au grand public, le nouveau dirigeant doit rassurer les annonceurs -dont Twitter dépend pour la quasi-intégralité de ses revenus aujourd’hui- qui s’inquiètent de la modération. Avec sa prise de position publique, le milliardaire se tire certainement une balle dans le pied, et les annonceurs qui ont déjà quitté le réseau social pourraient être suivis par d’autres.

La désinformation en provenance des mouvances de l’extrême-droite américaine continue d’abonder à flot, alors que le président sortant Donald Trump continue de refuser sa défaite à l’élection présidentielle, et pourrait se présenter en 2024.La préférence politique d’Elon Musk va se refléter dans la nouvelle « modération » du réseau social. Autrement dit, si le milliardaire compte bien se servir de Twitter comme d’un outil de propagande pour ses idées.

Société- Tweeter: mise en demeure de l’ONU

Société- Tweeter: mise en demeure de l’ONU

Déjà inquiète des dérives de Twitter, l’ONU met en garde le nouveau propriétaire Elen Musk sur de nouveaux dérapages qui remettraient en cause les droits humains. Un rappel utile quand le milliardaire vient de liquider la moitié du personnel justement pour changer l’orientation du réseau social vers davantage d’excès libertariens.

« Je vous demande instamment de faire en sorte que les droits humains soient au centre du management de Twitter sous votre direction », a écrit Volker Turk.
Dans sa lettre ouverte, il dit son « appréhension au sujet de notre place publique numérique et du rôle de Twitter dans celle-ci ».
Pas « un début encourageant »

« Le respect de nos droits humains partagés devrait tenir lieu de garde-fous pour l’utilisation et l’évolution de la plateforme » et « comme toutes les entreprises, Twitter doit comprendre les dommages associés à sa plateforme et prendre des mesures pour y remédier », a-t-il ajouté.
En ce sens, les informations selon lesquelles Elon Musk a limogé toute l’équipe de Twitter qui était dédiée aux droits de l’Homme ne sont « pas, de mon point de vue, un début encourageant », a regretté Volker Türk.

Tweeter: mise en demeure de l’ONU

Tweeter: mise en demeure de l’ONU

Déjà inquiète des dérives de Twitter, l’ONU met en garde le nouveau propriétaire Elen Musk sur de nouveaux dérapages qui remettraient en cause les droits humains. Un rappel utile quand le milliardaire vient de liquider la moitié du personnel justement pour changer l’orientation du réseau social vers davantage d’excès libertariens.

« Je vous demande instamment de faire en sorte que les droits humains soient au centre du management de Twitter sous votre direction », a écrit Volker Turk.
Dans sa lettre ouverte, il dit son « appréhension au sujet de notre place publique numérique et du rôle de Twitter dans celle-ci ».
Pas « un début encourageant »

« Le respect de nos droits humains partagés devrait tenir lieu de garde-fous pour l’utilisation et l’évolution de la plateforme » et « comme toutes les entreprises, Twitter doit comprendre les dommages associés à sa plateforme et prendre des mesures pour y remédier », a-t-il ajouté.
En ce sens, les informations selon lesquelles Elon Musk a limogé toute l’équipe de Twitter qui était dédiée aux droits de l’Homme ne sont « pas, de mon point de vue, un début encourageant », a regretté Volker Türk.

Tweeter: Elon Musk lance le réseau social payant

Tweeter: Elon Musk lance le réseau social payant

Le libertarien Elon Musk n’aura pas attendu longtemps pour illustrer les limites de la conception de sa liberté. En effet, le capitaliste après avoir acheté le réseau Twitter a décidé de le rendre payant avec pour commencer un abonnement de huit euros… pour « certifier » le compte.

En réalité, le milliardaire s’est lancé de façon un peu aventurière dans le rachat de Twitter pour un prix invraisemblable de 44 milliards qui pourrait bien déstabiliser le groupe de l’exhibitionniste chef d’entreprise.

En fait Twitter ne produit pas grand-chose ( comme Facebook et autres). Ce sont les abonnés qui produisent l’information et les lecteurs qui rendent possible la rentrée d’énormes ressources publicitaires. Le problème c’est que ces réseaux sont en perte de vitesse surtout les plus anciens. Du coup, les recettes publicitaires se tassent sérieusement. Sous des motifs démocratiques, le milliardaire impose donc le paiement de l’utilisation de Twitter d’après uen info du Figaro.

«Le système actuel des seigneurs et des paysans, avec ceux qui ont la coche bleue et ceux qui ne l’ont pas, c’est des conneries. Pouvoir au peuple! Blue pour 8 dollars par mois», a déclaré le patron de Tesla et SpaceX, qui a racheté Twitter jeudi. Il envisage donc de fondre ensemble Twitter Blue – un abonnement à 5 dollars par mois pour un mode de lecture plus confortable et des outils d’édition – et la possibilité donnée aux comptes éligibles de faire vérifier et certifier leur identité.

Actuellement, seuls certains profils peuvent demander ce gage d’authenticité en forme de coche bleue, notamment les gouvernements, les entreprises, les médias, les personnalités politiques, culturelles ou sportives, etc. Ils peuvent perdre leur badge s’ils ne respectent pas les règles de la plateforme. Dès vendredi, Elon Musk a demandé à des ingénieurs de travailler sans relâche sur cette refonte du système. Il a précisé que les abonnés auraient d’autres avantages: leurs tweets apparaîtront en priorité, ils pourront poster des vidéos et messages audio plus longs, et seront exposés à «deux fois moins de publicité». Le prix de l’abonnement sera ajusté en fonction des pays. «Cela apportera aussi des revenus à Twitter pour récompenser les créateurs de contenus», a-t-il conclu.
L’homme le plus riche au monde a répété depuis le début du processus de rachat mouvementé qu’il s’était lancé dans cette opération par intérêt pour cette «place publique» essentielle à la démocratie, et pour «aider l’humanité». Il a indiqué que la rentabilité n’était pas sa priorité. Mais Twitter est un réseau dont les revenus proviennent à 90% de la publicité et qui n’a jamais été très rentable comparé à ses voisins californiens Meta (Facebook, Instagram) et Google (YouTube).

Diversifier les revenus semble donc nécessaire. D’après le site spécialisé The Verge, Elon Musk a d’abord envisagé de passer le prix de l’abonnement à 20 dollars par mois. «Vingt dollars par mois pour garder mon badge bleu ? Qu’ils aillent se faire voir, ils devraient plutôt me payer. Si c’est mis en place, je me casse», a tweeté lundi l’auteur à succès Stephen King. Elon Musk lui avait répondu en suggérant huit dollars mensuels – sans réponse apparente de l’écrivain. L’idée même de devoir payer pour faire certifier son compte a suscité de nombreuses critiques. «Faire appel aux utilisateurs de Twitter pour gagner plus d’argent est peut-être la bonne stratégie, mais ce n’est pas la vérification qu’il faut rendre payante», a commenté Jasmine Enberg, analyste de Insider Intelligence. «La certification est censée assurer l’authenticité des comptes et des conversations sur la plateforme, ce n’est pas un outil premium pour améliorer l’expérience des utilisateurs qui y ont accès», a-t-elle ajouté.

Tweeter: Le pari fou d’ Elon Musk

Tweeter: Le pari très risqué d’ Elon Musk

Officiellement, Elon Musk est devenu propriétaire du réseau social Twitter. Elon Musk se veut le champion des libertés sauf pour les autres. Ainsi est-il l’ennemi des syndicats et de toute revendication collective relative aux conditions sociales. Il est qualifié de libertiarien mais serait davantage une sorte d’anarchiste capitaliste contestant toute forme d’organisation commune et leur contrainte. Cependant l’opération sur tweet pourrait lui coûter très cher. Le prix d’achat totalement excessif de 44 milliards pourrait déséquilibrer les finances du groupe. D’autant qu’il s’agit d’un investissement dans un secteur immatériel qui ne produit pas réellement de valeur mais n’existe que grâce à la publicité. Or cette publicité est en pleine régression sur tous les réseaux sociaux du faît de la crise économique et de la concurrence de nouveaux réseaux sociaux plus modernes.

La conséquence sera sans doute pour le milliardaire d’opérer des réductions drastiques de personnel chez Twitter.

Selon plusieurs médias américains, le patron de Tesla et Space X a commencé à faire le ménage à la tête du réseau social, limogeant trois dirigeants dès jeudi soir.
Avec le rachat d’Elon Musk, le réseau Twitter risque de devenir encore davantage un réseau poubelle avec un déferlement de positions extrémistes, de haine voire même de racisme.

Ce n’est sans doute pas un hasard si l’ancien président américain s’est réjoui du changement de propriétaire.

Au nom d’une conception libertarienne, Musk veut libérer la parole y compris dans tous ses excès. Comme l’homme est aussi businessman, il risque d’avoir pour objectif unique d’augmenter la fréquentation grâce aux provocations et aux polémiques. Bref une sorte de réseau poubelle.

Elon Musk était pressé par le temps: une juge chargée de régler un contentieux entre les deux parties leur avait donné jusqu’à vendredi pour se mettre d’accord, faute de quoi un procès aurait lieu en novembre. L’opération traînait en effet depuis l’annonce fin avril d’une offre d’acquisition à 44 milliards de dollars, acceptée à contrecœur par Twitter. L’entrepreneur avait cherché à s’en extraire unilatéralement début juillet, accusant l’entreprise de lui avoir menti, mais le conseil d’administration de la société a saisi la justice. À quelques jours de l’ouverture d’un procès que Twitter semblait bien parti pour gagner, Elon Musk a finalement proposé de conclure la transaction au prix initialement convenu.

Se présentant comme un ardent défenseur de la liberté d’expression, Elon Musk a déjà indiqué qu’il entendait assouplir la modération des contenus. L’objectif du multimilliardaire serait de multiplier les opinions y compris les plus hétéroclites, les plus excessives pour faire de l’audience.En outre il affichera une ligne davantage anarcho- capitaliste qui le caractérise.

Le problème c’est que Twitter comme d’autres subis la concurrence de réseaux sociaux plus récents et plus modernes. Facebook par exemple souffre particulièrement de cette concurrence

Tweeter: Le pari fou d Elon Musk qui pourrait lui coûter très cher

Tweeter: Le pari fou d Elon Musk qui pourrait lui coûter très cher

Officiellement, Elon musk est devenu propriétaire du réseau social Twitter. Une opération qui pourrait lui coûter très cher. Le prix d’achat totalement excessif de 44 milliards pourrait déséquilibrer les finances du groupe. D’autant qu’il s’agit d’un investissement dans un secteur immatériel qui ne produit pas réellement de valeur mais n’existent que grâce à la publicité. Or cette publicité est en pleine régression sur tous les réseaux sociaux du faît de la crise économique et de la concurrence de nouveaux réseaux sociaux plus modernes.

La conséquence sera sans doute pour le milliardaire d’opérer des réductions drastiques de personnel chez Twitter.

Selon plusieurs médias américains, le patron de Tesla et Space X a commencé à faire le ménage à la tête du réseau social, limogeant trois dirigeants dès jeudi soir.

Elon Musk était pressé par le temps: une juge chargée de régler un contentieux entre les deux parties leur avait donné jusqu’à vendredi pour se mettre d’accord, faute de quoi un procès aurait lieu en novembre. L’opération traînait en effet depuis l’annonce fin avril d’une offre d’acquisition à 44 milliards de dollars, acceptée à contrecœur par Twitter. L’entrepreneur avait cherché à s’en extraire unilatéralement début juillet, accusant l’entreprise de lui avoir menti, mais le conseil d’administration de la société a saisi la justice. À quelques jours de l’ouverture d’un procès que Twitter semblait bien parti pour gagner, Elon Musk a finalement proposé de conclure la transaction au prix initialement convenu.

Se présentant comme un ardent défenseur de la liberté d’expression, Elon Musk a déjà indiqué qu’il entendait assouplir la modération des contenus. L’objectif du multimilliardaire serait de multiplier les opinions y compris les plus hétéroclites, les plus excessives pour faire de l’audience.En outre il affichera une ligne davantage anarcho- capitaliste qui le caractérise.

Le problème c’est que Twitter comme d’autres subis la concurrence de réseaux sociaux plus récents et plus modernes. Facebook par exemple souffre particulièrement de cette concurrence

Tweeter: plainte contre Musk

Tweeter: plainte contre Musk

 Comme souvent ,le fantasque milliardaire ,patron de Tesla, Elon Musk, multiplie les informations les plus contradictoires pour, selon ses intérêts, faire monter et où descendre le cours de ses actions. Cette fois il est accusé par des actionnaires de Twitter d’avoir «manipulé le marché»

Les plaignants reprochent au patron de Tesla d’avoir retardé le moment où il révélait être monté au capital de Twitter, une obligation légale au-delà de certains seuils.

«En retardant la publication du montant de sa participation dans Twitter, Musk a manipulé le marché et acheté des parts à un prix artificiellement bas», assurent les avocats des investisseurs, emmenés par William Heresniak. Depuis début avril, la valeur de la plateforme en Bourse fluctue au gré des informations officielles et tweets du fantasque multimilliardaire. Quand il a annoncé avoir atteint plus de 9% du capital de Twitter le 4 avril, l’action a décollé de 25%.

Il devait rejoindre le conseil d’administration (CA), et puis finalement non, avant d’annoncer son intention de racheter le groupe basé à San Francisco, pour une valeur totale de 44 milliards. Le CA s’y est opposé, avant de céder. Elon Musk a dit suspendre l’opération, puis continuer. «Musk a fait des déclarations, envoyé des tweets et mené d’autres actions conçues pour semer le doute et faire baisser substantiellement l’action de Twitter pour se créer une marge de manœuvre qu’il espérait utiliser pour se retirer de la transaction ou renégocier le prix», affirme la plainte.




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