Archive pour le Tag 'turbines'

Nucléaire: Retour sulfureux des turbines

Nucléaire: Retour  sulfureux  des turbines

D’une certaine manière Macon est particulièrement gonflé de se prévaloir du retour en France des turbines des centrales nucléaires. Des équipements stratégiques d’Alstom qui ont été bradés à General Electric puis que la société américaine a abandonné pour être rachetées par EDF (contre son avis).  Une opération à la fois tourmentée et très coûteuse liée aussi au lien particulier de Macron avec General Electric et les affaires de corruption

En 2014, GE rachète la branche énergie d’Alstom dans un contexte où l’entreprise française était engluée dans des affaires de corruption à l’étranger. Succinctement, Frédéric Pierucci, cadre dirigeant d’Alstom, est arrêté en avril 2013 aux États-Unis, Patrick Kron (PDG d’Alstom) négocie avec la direction de GE la cession de la branche énergie du groupe en 2014 sur fond de promesse américaine d’abandonner les poursuites contre Alstom et ses cadres dirigeants, Arnaud Montebourg, alors ministre du redressement productif, préfère d’abord un rapprochement entre Alstom et Siemens et accuse Patrick Kron de négocier dans son dos.

Alors que les négociations avec Siemens sont abandonnées, Arnaud Montebourg se rallie à l’option GE tout en cherchant une solution pour maintenir les activités nucléaires sous pavillon français. Nommé le 26 août 2014, Emmanuel Macron valide la cession de toute la branche énergie d’Alstom à GE en novembre 2014.

La même semaine, Frédéric Pierucci est libéré sous caution aux États-Unis. Un proche de Macron est alors nommé à la tête de général électricque en France. Il n’y a donc pas lieu de se glorifier de ce retour car l’abandon des turbines aux Américains a constitué une grave erreur stratégique. En plus on impose le rachat à EDF qui n’a pas les moyens financiers.

Nucléaire: Retour en France sulfureux et coûteux des turbines

Nucléaire: Retour en France sulfureux et coûteux des turbines

D’une certaine manière Macon est particulièrement gonflé de se prévaloir du retour en France des turbines des centrales nucléaires. Des équipements stratégiques d’Alstom qui ont été bradés à General Electric puis que la société américaine a abandonné pour être rachetées par EDF (contre son avis).  Une opération à la fois tourmentée et très coûteuse liée aussi au lien particulier de Macron avec General Electric et les affaires de corruption

En 2014, GE rachète la branche énergie d’Alstom dans un contexte où l’entreprise française était engluée dans des affaires de corruption à l’étranger. Succinctement, Frédéric Pierucci, cadre dirigeant d’Alstom, est arrêté en avril 2013 aux États-Unis, Patrick Kron (PDG d’Alstom) négocie avec la direction de GE la cession de la branche énergie du groupe en 2014 sur fond de promesse américaine d’abandonner les poursuites contre Alstom et ses cadres dirigeants, Arnaud Montebourg, alors ministre du redressement productif, préfère d’abord un rapprochement entre Alstom et Siemens et accuse Patrick Kron de négocier dans son dos. Alors que les négociations avec Siemens sont abandonnées, Arnaud Montebourg se rallie à l’option GE tout en cherchant une solution pour maintenir les activités nucléaires sous pavillon français. Nommé le 26 août 2014, Emmanuel Macron valide la cession de toute la branche énergie d’Alstom à GE en novembre 2014. La même semaine, Frédéric Pierucci est libéré sous caution aux États-Unis. Un proche de Macron est alors nommé à la tête de général électricque en France. Il n’y a donc pas lieu de se glorifier de ce retour car l’abandon des turbines aux Américains a constitué une grave erreur stratégique. En plus on impose le rachat à EDF qui n’a pas les moyens financiers.

Centrales nucléaires: Retour en France tourmenté et coûteux des turbines

Centrales nucléaires: Retour en France tourmenté et coûteux des turbines  

D’une certaine manière Macon est particulièrement gonflé de se prévaloir du retour en France des turbines des centrales nucléaires. Des équipements stratégiques d’Alstom qui ont été bradés à General Electric puis que la société américaine a abandonné pour être rachetées par EDF (contre son avis).  Une opération à la fois tourmentée et très coûteuse liée aussi au lien particulier de Macron avec General Electric et les affaires de corruption

En 2014, GE rachète la branche énergie d’Alstom dans un contexte où l’entreprise française était engluée dans des affaires de corruption à l’étranger. Succinctement, Frédéric Pierucci, cadre dirigeant d’Alstom, est arrêté en avril 2013 aux États-Unis, Patrick Kron (PDG d’Alstom) négocie avec la direction de GE la cession de la branche énergie du groupe en 2014 sur fond de promesse américaine d’abandonner les poursuites contre Alstom et ses cadres dirigeants, Arnaud Montebourg, alors ministre du redressement productif, préfère d’abord un rapprochement entre Alstom et Siemens et accuse Patrick Kron de négocier dans son dos. Alors que les négociations avec Siemens sont abandonnées, Arnaud Montebourg se rallie à l’option GE tout en cherchant une solution pour maintenir les activités nucléaires sous pavillon français. Nommé le 26 août 2014, Emmanuel Macron valide la cession de toute la branche énergie d’Alstom à GE en novembre 2014. La même semaine, Frédéric Pierucci est libéré sous caution aux États-Unis. Un proche de Macron est alors nommé à la tête de général électricque en France. Il n’y a donc pas lieu de se glorifier de ce retour car l’abandon des turbines aux Américains a constitué une grave erreur stratégique. En plus on impose le rachat à EDF qui n’a ni les compétences ni les moyens financiers.

Retour en France tourmenté et coûteux des turbines des centrales nucléaires

Retour en France tourmenté et coûteux des turbines  des centrales nucléaires

D’une certaine manière Macon est particulièrement gonflé de se prévaloir du retour en France des turbines des centrales nucléaires. Des équipements stratégiques d’Alstom qui ont été bradés à General Electric puis que la société américaine a abandonné pour être rachetées par EDF (contre son avis).  Une opération à la fois tourmentée et très coûteuse liée aussi au lien particulier de Macron avec General Electric et les affaires de corruption

En 2014, GE rachète la branche énergie d’Alstom dans un contexte où l’entreprise française était engluée dans des affaires de corruption à l’étranger. Succinctement, Frédéric Pierucci, cadre dirigeant d’Alstom, est arrêté en avril 2013 aux États-Unis, Patrick Kron (PDG d’Alstom) négocie avec la direction de GE la cession de la branche énergie du groupe en 2014 sur fond de promesse américaine d’abandonner les poursuites contre Alstom et ses cadres dirigeants, Arnaud Montebourg, alors ministre du redressement productif, préfère d’abord un rapprochement entre Alstom et Siemens et accuse Patrick Kron de négocier dans son dos. Alors que les négociations avec Siemens sont abandonnées, Arnaud Montebourg se rallie à l’option GE tout en cherchant une solution pour maintenir les activités nucléaires sous pavillon français. Nommé le 26 août 2014, Emmanuel Macron valide la cession de toute la branche énergie d’Alstom à GE en novembre 2014. La même semaine, Frédéric Pierucci est libéré sous caution aux États-Unis. Un proche de Macron est alors nommé à la tête de général électricque en France. Il n’y a donc pas lieu de se glorifier de ce retour car l’abandon des turbines aux Américains a constitué une grave erreur stratégique. En plus on impose le rachat à EDF qui n’a ni les compétences ni les moyens financiers.

La trouble affaire du rachat des turbines Arabelle de Macron

La trouble affaire du rachat des turbines Arabelle de Macron

La trouble affaire du rachat des turbines électrique continue de faire des remous à tel point que la signature du rachat par EDF a été reportée. Arabelle Solutions devait voir le jour le 1er décembre. Il n’en sera finalement rien. La grande cérémonie devait réunir des ministres, le patron d’EDF, le représentant de GE pour sceller la vente des turbines Arabelle, héritées d’Alstom, à EDF.

Le report de la signature de la vente des turbines Arabelle par EDF témoigne évidemment de ce dossier économique et politique très trouble. Ces turbines ont été soldées sur pression de Macron à l’américain General électric qui ensuite du fait d’une mauvaise gestion globale de son activité a souhaité les faire reprendre. Et Macron a imposé à EDF de les racheter.
Or la fabrication de turbines n’est pas la spécialité d’EDF dont le métier est de les faire tourner et non de les créer. En outre l’imposition politique crée des problèmes financiers supplémentaires à EDF qui n’a pas besoin de cette charge.

Dans la famille du nucléaire français, le rôle du sauveteur échoit toujours à EDF. Après avoir repris en 2017 l’activité industrielle d’Areva – aujourd’hui baptisé Framatome – l’électricien doit racheter cette semaine l’activité turbine de l’américain GE, basée à Belfort. Après moins de sept ans sous pavillon américain, «Arabelle», du nom de la turbine vapeur géante utilisée dans les centrales nucléaires, revient sous contrôle français. Le conseil d’administration d’EDF devrait valider l’opération lundi en fin de journée.

Cette affaire a une dimension politique et même politicienne du fait des liens particuliers entre l’entourage de Macron et des responsables de GE soupçonnée d’avoir contribué au financement de la campagne du président. Un dossier toujours enfoui dans les tiroirs de la justice.

La trouble affaire du rachat des turbines Arabelle par EDF est reportée

La trouble affaire du rachat des turbines Arabelle par EDF est reportée

La trouble affaire du rachat des turbines électrique continue de faire des remous à tel point que la signature du rachat par EDF a été reportée. Arabelle Solutions devait voir le jour le 1er décembre. Il n’en sera finalement rien. La grande cérémonie devait réunir des ministres, le patron d’EDF, le représentant de GE pour sceller la vente des turbines Arabelle, héritées d’Alstom, à EDF.

Le report de la signature de la vente des turbines Arabelle par EDF témoigne évidemment de ce dossier économique et politique très trouble. Ces turbines ont été soldées sur pression de Macron à l’américain General électric qui ensuite du fait d’une mauvaise gestion globale de son activité a souhaité les faire reprendre. Et Macron a imposé à EDF de les racheter.
Or la fabrication de turbines n’est pas la spécialité d’EDF dont le métier est de les faire tourner et non de les créer. En outre l’imposition politique crée des problèmes financiers supplémentaires à EDF qui n’a pas besoin de cette charge.

Dans la famille du nucléaire français, le rôle du sauveteur échoit toujours à EDF. Après avoir repris en 2017 l’activité industrielle d’Areva – aujourd’hui baptisé Framatome – l’électricien doit racheter cette semaine l’activité turbine de l’américain GE, basée à Belfort. Après moins de sept ans sous pavillon américain, «Arabelle», du nom de la turbine vapeur géante utilisée dans les centrales nucléaires, revient sous contrôle français. Le conseil d’administration d’EDF devrait valider l’opération lundi en fin de journée.

Cette affaire a une dimension politique et même politicienne du fait des liens particuliers entre l’entourage de Macron et des responsables de GE soupçonnée d’avoir contribué au financement de la campagne du président. Un dossier toujours enfoui dans les tiroirs de la justice.

Politique et finances : EDF rachète les turbines de GE vendues à l’Américain par Alstom

Politique et finances : EDF rachète les turbines de GE vendues à l’Américain par Alstom

Retour En France des turbines d’Alstom soldés à l’Américain général électrique et rachetés par EDF. Une opération sulfureuse managée par Macron depuis 2014 .
Dans un premier temps, grâce à la bénédiction de Macron, les turbines d’Alstom de Belfort ont été rachetées par GE dans des conditions très troubles . Un rachat qui pourrait être lié à des intérêts politico-financiers facilités par des optimisations fiscales.Le géant industriel américain General Electric (GE) a eu recours à de l’optimisation fiscale en France entre 2015 et 2020, lui permettant de transférer jusqu’à 800 millions de profit à l’étranger, selon des informations publiées par le site d’investigation Disclose d’après le Figaro.

Depuis le rachat de l’usine de turbines de Belfort à Alstom en 2015, la multinationale américaine aurait fait échapper 800 millions d’euros de bénéfices vers la Suisse et l’État américain du Delaware, soit un manque à gagner entre 150 et 300 millions pour le fisc français, selon les bilans de l’usine et des audits consultés par Disclose.

Selon ce montage financier, l’usine de Belfort était une «unité de fabrication sous contrat» ou «prestataire» de filiales suisses de GE, qui se chargent des ventes et engrangent la plupart des bénéfices. L’usine de turbines pour centrales électriques versait également des redevances à sa maison mère américaine pour l’utilisation de sa marque et de ses technologies. Bercy aurait validé au préalable le schéma fiscal, selon un protocole de «relation de confiance» avec l’administration fiscale, indique Disclose.

Dans leur assignation déposée en décembre 2021, le syndicat Sud Industrie et le Comité social et économique (CSE) de GE reprochaient à l’entreprise d’avoir minoré le résultat fiscal de l’entité turbines à gaz de Belfort (GE EPF) par le biais de transfert de richesses vers des filiales à l’étranger, où la fiscalité est plus avantageuse. Ils réclament un rattrapage de participation sur la période 2015-2020.

Le CSE estimait à environ un milliard d’euros le montant des profits localisés dans les paradis fiscaux au détriment de GE EPF ces dernières années. EDF a annoncé depuis le rachat d’une partie des activités du site pour 1,2 milliard de dollars.

Le paradoxe c’est que EDF a été contraint par le gouvernement de racheter une partie de l’activité des turbines de GE !

Alstom, c’est le péché originel dans l’aventure macronienne », estimait il y a quelques mois Jérôme Sainte-Marie, président de la société d’études PollingVox. Une opération vécue comme un abandon de souveraineté et qui « a donné l’impression que l’intérêt national était mal défendu »; Un euphémisme !

Business et politique : EDF rachète les turbines de GE vendues àl’Américain par Alstom

Business et politique : EDF rachète les turbines de GE vendues à l’Américain par Alstom

Retour En France des turbines d’Alstom soldés à l’Américain général électrique et rachetés par EDF. Une opération sulfureuse managée par Macron depuis 2014
Dans un premier temps, grâce à la bénédiction de Macron, les turbines d’Alstom de Belfort ont été rachetées par GE dans des conditions très troubles . Un rachat qui pourrait être lié à des intérêts politico-financiers facilités par des optimisations fiscales.Le géant industriel américain General Electric (GE) a eu recours à de l’optimisation fiscale en France entre 2015 et 2020, lui permettant de transférer jusqu’à 800 millions de profit à l’étranger, selon des informations publiées par le site d’investigation Disclose d’après le Figaro.

Depuis le rachat de l’usine de turbines de Belfort à Alstom en 2015, la multinationale américaine aurait fait échapper 800 millions d’euros de bénéfices vers la Suisse et l’État américain du Delaware, soit un manque à gagner entre 150 et 300 millions pour le fisc français, selon les bilans de l’usine et des audits consultés par Disclose.

Selon ce montage financier, l’usine de Belfort était une «unité de fabrication sous contrat» ou «prestataire» de filiales suisses de GE, qui se chargent des ventes et engrangent la plupart des bénéfices. L’usine de turbines pour centrales électriques versait également des redevances à sa maison mère américaine pour l’utilisation de sa marque et de ses technologies. Bercy aurait validé au préalable le schéma fiscal, selon un protocole de «relation de confiance» avec l’administration fiscale, indique Disclose.

Dans leur assignation déposée en décembre 2021, le syndicat Sud Industrie et le Comité social et économique (CSE) de GE reprochaient à l’entreprise d’avoir minoré le résultat fiscal de l’entité turbines à gaz de Belfort (GE EPF) par le biais de transfert de richesses vers des filiales à l’étranger, où la fiscalité est plus avantageuse. Ils réclament un rattrapage de participation sur la période 2015-2020.

Le CSE estimait à environ un milliard d’euros le montant des profits localisés dans les paradis fiscaux au détriment de GE EPF ces dernières années. EDF a annoncé depuis le rachat d’une partie des activités du site pour 1,2 milliard de dollars.

Le paradoxe c’est que EDF a été contraint par le gouvernement de racheter une partie de l’activité des turbines de GE !

Alstom, c’est le péché originel dans l’aventure macronienne », estimait il y a quelques mois Jérôme Sainte-Marie, président de la société d’études PollingVox. Une opération vécue comme un abandon de souveraineté et qui « a donné l’impression que l’intérêt national était mal défendu »; Un euphémisme !

Alstom–GE : les turbines rachetées deux fois plus chères

Alstom–GE : les turbines rachetées deux fois plus chères

L’affaire des turbines d’Alstom constitue un véritable fiasco économique et Seraitfinancier. C’est turbines d’Alstom ont été vendus à General Electric sur la forte insistance de Macron alors  conseiller à l’Élysée. Sept ans plus tard ,le même Macron se vante d’avoir fait racheter par EDF les mêmes turbines mais au double du prix.

Pas étonnant GE  n’est pas étranger à la montée politique de ma grand et à son succès aux élections présidentielles. Témoin de la consanguinité, c’est le conseiller de Macron qui avait été nommé directeur général de General Electric France.

En fait,  c’est EDF qui va payer la facture, une entreprise qui si elle était privée en faillite car elle n’a pas le premier sou pour acheter les turbines de General électrique. Du coup l’État va procéder à une augmentation de capital d’EDF. Bref un transfert de l’argent du contribuable ver GE.

Le pire, c’est que se se félicite de ce rachat en l’agglomérant avec la relance du nucléaire

À l’époque du rachat il y a maintenant sept ans, GE avait promit la création de 1000 emplois. En fait il en a supprimé à peu près 1000 ! Un vrai fiasco économique, financier et social.

 

Retour curieux des turbines Alstom en France !

Retour curieux des turbines Alstom en France !

En effet, ce lundi 7 février 2022, aété officialisée la vente de l’activité turbines pour les centrales nucléaires de GE à EDF. Et le président Macron jeudi 10 février à l’occasion de sa visite à Belfort a donné sa bénédiction à ce rachat; Pas étonnant, c’est lui qui l’a imposé après avoir fait le contraire !

 

Un curieux jeu de chaises musicales organisé par Macron lui-même concernant les anciennes turbines d’Alstom. C’est Sous l’impulsion de Macron en charge  des problèmes économiques qu’il y a sept ans on avait poussé Alstom à vendre le secteur très stratégique des turbines à l’Américain Général électric. Un investissement qui ne semble pas avoir satisfait l’Américain. Et Macron d’intervenir encore pour faire acheter ses turbines par EDF déjà bien endettée. Sans doute y a-t-il aussi des liens particuliers entre Macron et General ral Electric partie prenante de la campagne électorale de l’intéressé en 2017.

L’objectif du gouvernement est de renforcer la filière nucléaire, de rapatrier sous pavillon tricolore un savoir-faire, de maîtriser tous les maillons de la chaîne de production . Mais dès lors on se demande pourquoi avoir vendu les turbines d’Alstom à General Electric ?

Hugh Bailey, ancien conseiller d’Emmanuel Macron au ministère de l’Économie, avait  pris la tête de GE France !

Retour des turbines Alstom en France !

Retour des turbines Alstom en France !

En effet, ce lundi 7 février 2022, doit être officialisée la vente de l’activité turbines pour les centrales nucléaires de GE à EDF. Après des mois de négociations, la transaction doit être validée au cours d’un conseil d’administration d’EDF.

 

Un curieux jeu de chaises musicales organisées par Macron lui-même concernant les anciennes turbines d’Alstom. C’est Sous l’impulsion de Macron en charge  des problèmes économiques qu’il y a sept ans on avait poussé Alstom à vendre le secteur très stratégique des turbines à l’Américain Général électric. Un investissement qui ne semble pas avoir satisfait l’Américain. Et Macron d’intervenir encore pour faire acheter ses turbines par EDF déjà bien endettée. Sans doute y a-t-il aussi des liens particuliers entre Macron et général électric partie prenante de la campagne électorale de l’intéressé en 2017.

L’objectif du gouvernement est de renforcer la filière nucléaire, de rapatrier sous pavillon tricolore un savoir-faire, de maîtriser tous les maillons de la chaîne de production . Mais dès lors on se demande pourquoi avoir vendu les turbines d’Alstom à General Electric ?

Hugh Bailey, ancien conseiller d’Emmanuel Macron au ministère de l’Économie, avait  pris la tête de GE France !




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