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Politique -Taubira pour sauver l’union de la gauche ou la tuer définitivement ?

Politique -Taubira pour sauver l’union de la gauche ou la tuer définitivement ?

 

Taubira, une des plus grandes fortunes de Guyanne,  est sans doute l’archétype de cette gauche intellectuelle très bourgeoise dans sa posture et son comportement mais révolutionnaire dans le propos. Christiane Taubira  est une sorte de caricature de cette gauche culturelle  qui parle si bien des masses populaires, des opprimés et des inégalité tout en se situant de l’autre côté du mur, du côté de celui des nantis. Bref ,le gauchisme confortable qui permet de radicaliser le propos  et de faire croire à l’illusion du grand jour. Un discours évidemment inaudible par ceux qui vivent les vraies conditions inégalitaires tant sur le plan social que sociétal. La contradiction fondamentale qui a tué petit à petit la gauche réduite à un petit cercle de notables, de bobos et d’arrivistes (Notamment ceux qui ont tourné casaque pour rejoindre Sarkozy puis Macron). Le discours pseudo révolutionnaire des élites de gauche à tué tout projet social démocrate crédible sapant les bases mêmes des partis supposés représenter les couches populaires. Résultat les couches populaires se sont tournées vers les partis d’extrême droite !

La gauche actuelle est en pleine décomposition puisque notamment Anne Hidalgo et Montebourg en pleine dégringolade dans les sondages se proposent de se retirer au nom de cette illusoire union de la gauche. Une union de la gauche dont  Mélenchon ne veut surtout pas car il veut vivre son dernier chant du cygne politique. L’ancien communiste, devenu socialiste puis écolo, redevenu communiste et maintenant gauchiste wokiste veut faire un dernier tour de piste. Les écolos de leur côté parviennent difficilement à convaincre travaillés  qu’ils sont eux aussi par ce gauchisme wokiste  incarné jusqu’au ridicule notamment par Sandrine Rousseau et des élus écolos des grandes villes .

Certains pensent que Taubira pourrait être le recours pour l’union de la gauche. Une spécialiste de l’union en effet qui du fait du maintien de sa candidature a fait perdre Jospin en 2002 aux présidentielles ! Comme égérie de l’union ont fait mieux !

PRESIDENTEILLE: Taubira pour sauver l’union de la gauche ou la tuer définitivement ?

PRESIDENTEILLE:  Taubira pour sauver l’union de la gauche ou la tuer définitivement ?

 

Taubira, une des plus grandes fortunes de Guyanne,  est sans doute l’archétype de cette gauche intellectuelle très bourgeoise dans sa posture et son comportement mais révolutionnaire dans le propos. Christiane Taubira  est une sorte de caricature de cette gauche culturelle  qui parle si bien des masses populaires, des opprimés et des inégalité tout en se situant de l’autre côté du mur, du côté de celui des nantis. Bref ,le gauchisme confortable qui permet de radicaliser le propos  et de faire croire à l’illusion du grand jour. Un discours évidemment inaudible par ceux qui vivent les vraies conditions inégalitaires tant sur le plan social que sociétal. La contradiction fondamentale qui a tué petit à petit la gauche réduite à un petit cercle de notables, de bobos et d’arrivistes (Notamment ceux qui ont tourné casaque pour rejoindre Sarkozy puis Macron). Le discours pseudo révolutionnaire des élites de gauche à tué tout projet social démocrate crédible sapant les bases mêmes des partis supposés représenter les couches populaires. Résultat les couches populaires se sont tournées vers les partis d’extrême droite !

La gauche actuelle est en pleine décomposition puisque notamment Anne Hidalgo et Montebourg en pleine dégringolade dans les sondages se proposent de se retirer au nom de cette illusoire union de la gauche. Une union de la gauche dont  Mélenchon ne veut surtout pas car il veut vivre son dernier chant du cygne politique. L’ancien communiste, devenu socialiste puis écolo, redevenu communiste et maintenant gauchiste wokiste veut faire un dernier tour de piste. Les écolos de leur côté parviennent difficilement à convaincre travaillés  qu’ils sont eux aussi par ce gauchisme wokiste  incarné jusqu’au ridicule notamment par Sandrine Rousseau et des élus écolos des grandes villes .

Certains pensent que Taubira pourrait être le recours pour l’union de la gauche. Une spécialiste de l’union en effet qui du fait du maintien de sa candidature a fait perdre Jospin en 2002 aux présidentielles ! Comme égérie de l’union ont fait mieux !

 

Taubira pour sauver l’union de la gauche ou la tuer définitivement

 

 

Taubira pour sauver l’union de la gauche ou la tuer définitivement ?

 

Taubira, une des plus grandes fortunes de Guyanne,  est sans doute l’archétype de cette gauche intellectuelle très bourgeoise dans sa posture et son comportement mais révolutionnaire dans le propos. Christiane Taubira  est une sorte de caricature de cette gauche culturelle  qui parle si bien des masses populaires, des opprimés et des inégalité tout en se situant de l’autre côté du mur, du côté de celui des nantis. Bref ,le gauchisme confortable qui permet de radicaliser le propos  et de faire croire à l’illusion du grand jour. Un discours évidemment inaudible par ceux qui vivent les vraies conditions inégalitaires tant sur le plan social que sociétal. La contradiction fondamentale qui a tué petit à petit la gauche réduite à un petit cercle de notables, de bobos et d’arrivistes (Notamment ceux qui ont tourné casaque pour rejoindre Sarkozy puis Macron). Le discours pseudo révolutionnaire des élites de gauche à tué tout projet social démocrate crédible sapant les bases mêmes des partis supposés représenter les couches populaires. Résultat les couches populaires se sont tournées vers les partis d’extrême droite !

La gauche actuelle est en pleine décomposition puisque notamment Anne Hidalgo et Montebourg en pleine dégringolade dans les sondages se proposent de se retirer au nom de cette illusoire union de la gauche. Une union de la gauche dont  Mélenchon ne veut surtout pas car il veut vivre son dernier chant du cygne politique. L’ancien communiste, devenu socialiste puis écolo, redevenu communiste et maintenant gauchiste wokiste veut faire un dernier tour de piste. Les écolos de leur côté parviennent difficilement à convaincre travaillés  qu’ils sont eux aussi par ce gauchisme wokiste  incarné jusqu’au ridicule notamment par Sandrine Rousseau et des élus écolos des grandes villes .

Certains pensent que Taubira pourrait être le recours pour l’union de la gauche. Une spécialiste de l’union en effet qui du fait du maintien de sa candidature a fait perdre Jospin en 2002 aux présidentielles ! Comme égérie de l’union ont fait mieux !

 

Présidentielle 2022: Taubira pour tuer définitivement la gauche politique ?

Présidentielle 2022: Taubira pour tuer définitivement la gauche politique ? 

 

Taubira est sans doute l’archétype de cette gauche intellectuelle très bourgeoise dans sa posture et son comportement mais révolutionnaire dans le propos. Christiane Taubira, est une sorte de caricature de cette gauche culturelle,  qui parle si bien des masses populaires, des opprimés et des inégalités  tout en se situant de l’autre côté du mur, du côté de celui des nantis. Bref le gauchisme confortable qui permet de radicaliser le propos. Un propos évidemment inaudible par ceux qui vivent les vraies conditions inégalitaires tant sur le plan social que sociétal.

La gauche actuelle est en pleine décomposition puisque notamment Anne Hidalgo et Montebourg en pleine dégringolade dans les sondages et qui  proposent de se retirer au nom de cette illusoire union de la gauche. Une union de la gauche dont  Mélenchon ne veut surtout pas car il veut vivre son dernier chant du cygne politique. L’ancien communiste, devenu socialiste puis écolo, redevenu communiste et maintenant gauchiste wokiste veut faire un dernier tour de piste. Les écolos de leur côté parviennent difficilement à convaincre travaillèrent qu’ils sont eux aussi par ce gauchisme wokisme  qui veut déboulonner les statues pour ignorer l’histoire, interdire le foie gras ou encore les sapins de Noël ! Sans parler de l’écriture inclusive !

Les autres représentants de la gauche comme d’habitude chacun peu près 1 % d’intentions de vote. Taubira en connaît un rayon pour torpiller la gauche; en effet ,c’est grâce à sa candidature dissidente qu’elle a empêchée Jospin de triompher de la présidentielle. Cette fois elle pourrait présider la cérémonie de l’enterrement définitif de l’idée même de gauche

SNCF : une grève des trains régionaux pour finir de les tuer

SNCF : une grève des trains régionaux pour finir de les tuer

 

Sans doute pour finir de tuer le concept de trains régionaux assurés par la SNCF, les syndicats gauchistes de la CGT et de Sud rail ont décidé une grève en vue de faire revaloriser les salaires.

 

Le moment est évidemment particulièrement mal choisi dans la mesure en ce moment même se discute la libéralisation de ce secteur. Nombre de lignes ou de créneaux horaires vont être soumis à concurrence face aux propositions de la SNCF. On sait que les régions financent à hauteur des 3/4 ce type de train. C’est pourquoi certaines ont décidé cette mise en occurrence qui par ailleurs pourrait apporter encore davantage de désorganisation. En effet les circulations des compagnies concurrentes de la SNCF seront contraintes de passer sur le même réseau où circulent par ailleurs déjà des trains de marchandises, des trains de voyageurs rapides et les TGV. Le problème va se poser aussi de l’avenir des TER qui desservent plusieurs régions.

 

La question principale  des TER assurés par la SNCF est celle  d’une insuffisante adaptation des conditions d’exploitation qui génère des coûts que ne veulent plus supporter certaines régions.

 

Une grève en ce moment va effectivement donner raison à ceux qui souhaitent ne plus recourir aux services de la SNCF tant pour des questions de coût que des questions de qualité.

Une administration encore plus étatisée qui va tuer l’économie locale

 Une administration encore plus étatisée qui va tuer l’économie locale

Camille Denagiscarde, président du syndicat des directeurs généraux des chambres de commerce et d’industrie, dénonce dans une tribune au « Monde » la mise à mort de ces organisations proches du terrain par la vision jacobine des réformes en cours.

 

Tribune.

 

Lorsqu’en 1802 le consulat de Bonaparte rétablit l’existence des chambres de commerce, supprimées pendant la Révolution pour dérives corporatistes, il les charge d’éclairer les pouvoirs publics sur les affaires du commerce et de se doter de services utiles à sa prospérité. Durant plus de deux siècles, cette institution, organisée sur le modèle communal, s’est acquittée de sa tâche avec succès, portant la voix des entrepreneurs, conseillant les décideurs territoriaux et exploitant des écoles consacrées aux affaires ou des équipements indispensables à la vie économique.

Au point de voir son modèle décliné pour les secteurs des métiers et de l’agriculture. A raison d’au moins une chambre par département, chaque bassin économique se voyait doter d’un tel outil, formant un réseau régional puis national, l’échelon local restant la structure de base irremplaçable, autofinancée par une modeste fiscalité additionnelle. La loi de 2010 sur les réseaux consulaires a asséné un premier coup de boutoir, que l’on pourrait qualifier, paradoxalement, de néobonapartiste.

 

Adossée à la Révision générale des politiques publiques (RGPD), instaurée par Nicolas Sarkozy et surfant sur la montée en puissance du fait régional, cette loi a en effet instauré une architecture descendante inédite, y compris pour la désignation des instances de décision. L’échelon local, dépossédé de toute ressource fiscale et de personnel propre, a dû se plier à une stratégie régionale encadrée par les préfets.

L’inspiration jacobine de cette reprise en main, aboutissant à transposer le modèle étatique sur un réseau jugé trop prospère et indépendant, était manifeste. Au nom d’une mutualisation érigée en système, des « conventions d’objectifs et de moyens » ainsi que des « contrats de performance » sont venus expliquer aux responsables élus de ces structures quel usage vertueux faire de leurs fonds, lesquels ne provenaient pourtant pas de dotations budgétaires publiques, mais d’une taxe prélevée sur les entreprises !

Pire ; l’Etat s’est payé sur la bête durant le mandat de François Hollande, en prélevant 500 millions d’euros en 2015 sur les réserves d’un réseau coupable de trop bien savoir tenir ses comptes. Le gouvernement actuel, tout en lui assignant une multitude d’objectifs, a poursuivi cet assèchement du réseau, qui en cumulé s’est retrouvé privé de 80 % de ses ressources fiscales.

Prompts à courber l’échine devant un pouvoir exécutif tout-puissant, les responsables du réseau de chambres consulaires, maniant un impôt de production impopulaire auprès de leurs mandants, se sont soumis de bonne grâce à ce régime, y voyant une planche de salut en même temps que l’aubaine d’une prise de pouvoir interne selon la loi du plus fort.

SNCF : une nouvelle grève pour finir de tuer l’entreprise ?

SNCF : une nouvelle grève pour finir de  tuer  l’entreprise ?

La SNCF qui a perdu à peu près la moitié de son trafic en 2020 se trouve dans une situation financière encore plus dramatique que précédemment complètement asphyxiée par sa situation financière. Et pourtant le rituel des grèves recommence dans une société où la gréviculture fait partie intégrante des gènes du corps social. Complètement repliés le plus souvent sur l’environnement socio-économique, les cheminots en tout cas les plus extrémistes parviennent à se persuader qu’ils sont défavorisés. Une situation un peu surréaliste quand on compare effectivement avec les salariés de secteurs comparables notamment dans les transports.

Certes, certaines catégories ont pu subir quelques conséquences de la crise du vide mais seulement sur des rémunérations accessoires.Dans beaucoup de branches ce ne sont pas seulement des rémunérations accessoires qui ont été perdues mais plus cruellement l’emploi. Faut-il rappeler aux cheminots par exemple qu’un conducteur routier travail à peu près le double d’un conducteur SNCF pour la moitié du salaire. On objectera qu’il faut harmoniser les conditions sociales. Sans doute mais il y a des limites quand la concurrence est internationale puisque plus de la moitié du parc qui circule en France est d’origine étrangère pour les poids-lourds. Souvent d’ailleurs des pavillons de complaisance qui permettent d’échapper aux règles fiscales et sociales nationales.

 

Les syndicats voudraient finir de tuer l’entreprise qu’il ne s’y prendrait pas autrement. En effet ,il faudra un état encore bien complaisant chez les trous financiers énormes non seulement liés aux pertes conjoncturelles du fait  de la crise sanitaire mais encore davantage aux faiblesses structurelles de l’entreprise et à son incapacité à s’adapter à son environnement concurrentiel.

 

Le streaming va-t-il tuer le cinéma ?

Le streaming va-t-il tuer le cinéma ?

 

 

 

Hollywood produit plus de films que jamais. Mais combien sont bons ?

Un article du Wall Street Journal

La révolution du streaming n’a pas seulement changé la donne en matière de production et de distribution de longs-métrages. Elle a aussi bouleversé la façon dont ils sont jugés, car les grands studios hollywoodiens et les géants technologiques accélèrent la forte hausse du nombre de films sur le marché.

A Hollywood, Netflix est le leader incontesté dans la production de nouveaux films. L’entreprise en a sorti plus d’un par semaine en 2020. Et Amazon produit de plus en plus de films originaux pour Prime Video. Mais les plateformes de streaming ne sont pas les seules à augmenter le volume. Les studios traditionnels comme Walt Disney et Paramount Pictures accélèrent aussi leur production de films proposés directement en streaming sur leurs propres plateformes afin de faire face à la concurrence et de conserver leurs abonnés. Paramount a récemment annoncé prévoir de sortir un nouveau film chaque semaine sur son service Paramount+ d’ici à 2022.

D’où une crise existentielle : qu’est-ce que cela implique pour le cinéma ?

« C’est une manière différente d’envisager les films », explique le producteur Randy Greenberg, ancien dirigeant chargé du marketing et de la distribution chez Universal Pictures, qui développe à présent des projets de longs-métrages pour les services de streaming.

Traditionnellement, l’industrie du cinéma est axée sur les hits et l’objectif des producteurs et des studios est de créer des films susceptibles d’attirer le public en salle et de faire vendre des places. « Vous devez donner une raison aux gens pour sortir de chez eux », résume Randy Greenberg.

De leur côté, les plateformes de streaming cherchent à attirer les abonnés avec un flux constant de films et de séries de sorte qu’ils restent suffisamment satisfaits pour continuer à payer tous les mois leur abonnement, dont le prix est comparable à celui d’une place de cinéma. La qualité individuelle de chaque film revêt moins d’importance, tant du point de vue de l’entreprise que du consommateur. De nombreux professionnels de Hollywood s’inquiètent de la pression que les studios s’infligent à eux-mêmes pour maintenir la qualité dans ce contexte de hausse majeure de la production.

Selon les données calculées par Ampere Analysis pour le Wall Street Journal, Netflix a produit 133 films entre 2016 et début 2020 soit trois fois plus que Disney, le studio dominant de Hollywood, qui a également produit le plus petit nombre de longs-métrages. Sony Pictures Entertainment est le deuxième studio le plus prolifique de la liste, avec 111 films.

Le réalisateur Martin Scorsese, récompensé aux Oscars, a récemment écrit dans Harpers pour faire part de ses craintes que le cinéma soit dévalorisé en tant qu’art et mis dans le même sac que les séries et émissions de télé en tant que « contenu » des plateformes de streaming

Bien que Hollywood produise davantage de films, très peu d’entre eux obtiennent les faveurs du public et de la critique. Ampere a mesuré la popularité à l’aide de deux indicateurs : une note critique, qui correspond à une moyenne pondérée des critiques de Rotten Tomatoes et de Metacritic, et une autre du public, basée sur l’agrégation des notes des spectateurs en ligne.

En moyenne, le public a donné aux productions originales Netflix, parmi lesquelles figurent des films sélectionnés pour les Oscars, une note de 59,1 sur 100, tandis que les critiques leur ont attribué 54,4 sur 100, selon Ampere. La société de recherche a également noté que les spectateurs ont perdu leur intérêt pour les films Netflix plus vite que pour ceux produits par les grands studios.

En comparaison, Disney a enregistré la meilleure moyenne auprès du public comme des critiques, selon Ampere. Le long-métrage Disney moyen, parmi lesquelles de grandes franchises telles que Marvel, a obtenu une note de 70,3 du public et de 66 des critiques. Disney comptait en outre le plus grand nombre de films à avoir gagné une popularité durable.

Cette augmentation du volume et de la distribution mène à un débat chez les professionnels du secteur. D’un côté, les jeunes réalisateurs et projets ambitieux qui n’auraient jamais eu leur chance dans l’ancien système hollywoodien disposent de plus d’opportunités que jamais. Mais de l’autre, certains professionnels du secteur et cinéphiles sont inquiets. Le réalisateur Martin Scorsese, récompensé aux Oscars, a récemment écrit dans Harpers pour faire part de ses craintes que le cinéma soit dévalorisé en tant qu’art et mis dans le même sac que les séries et émissions de télé en tant que « contenu » des plateformes de streaming.

Avec cette évolution, il devient plus difficile de définir ce qui constitue un succès. Pendant des décennies, les chiffres du box-office ont apporté l’indication la plus claire de la popularité, mais les ventes de places perdent de leur importance pour déterminer les films gagnants, lorsque de plus en plus de longs-métrages sortent directement sur les plateformes de streaming. Et bien que le box-office profite du déconfinement, il est peu probable que cela ralentisse la tendance de Hollywood à sortir plus de films en ligne soit exclusivement soit parallèlement à une sortie en salles limitée, selon plusieurs vétérans du secteur. Les plateformes de streaming sont réticentes à publier des données sur la popularité de certains titres et les chiffres sur lesquels elles communiquent manquent de contexte, comme le nombre de personnes ayant regardé un film en entier en comparaison de ceux qui n’ont visionné que quelques minutes. Certaines entreprises, comme Nielsen, essaient de créer un moyen de suivre le visionnage en ligne et donc la popularité.

Les changements dans les modes de distribution rebattent aussi les cartes pour les réalisateurs. Dans le passé, ils étaient souvent moins rémunérés pour des projets coup de cœur pour lesquels ils faisaient équipe avec les studios en vue d’obtenir un pourcentage des recettes si le film connaissait le succès en salle. Réalisateurs et studios endossaient conjointement le risque dans l’espoir de toucher le jackpot.

Une sortie en streaming change ce calcul. Pour un film diffusé en ligne, les réalisateurs perçoivent généralement une rémunération généreuse, mais renoncent à la chance de bénéficier financièrement du succès éventuel du film par la suite.

De nombreux poids lourds de Hollywood se demandent comment ce modèle de travail sur commande pourrait influencer la qualité. Sans l’opportunité de partager les recettes du box-office, les réalisateurs ne sont plus partenaires des distributeurs et ont dès lors moins de motivation à la réussite commerciale de leur film.

« Le comportement à l’égard de qui constitue un succès ou ce qui fait un flop a radicalement changé », commente Peter Guber, un producteur de film fort de quarante ans d’expérience, qui a également été directeur de Sony dans les années 1990. Dans sa carrière à Hollywood, Peter Guber a contribué à la production de films cultes comme Rain ManLa Couleur pourpre et Batman.

Que la pression soit plus forte ou plus faible pour les réalisateurs et producteurs, il n’a jamais été facile de faire un film qui plaise au public et aux critiques.

« Si vous vous référez à l’âge d’or de Hollywood… ils ne croyaient pas aux suites et aux franchises. Chaque film se faisait à l’instinct », explique Stephen Galloway, un journaliste qui a couvert le secteur du divertissement pendant environ quarante ans, avant de devenir le doyen de l’école de cinéma de Chapman University. « On ne peut jamais vraiment garantir la qualité. »

(Traduit à partir de la version originale en anglais par Astrid Mélite)

Amazonie : Le projet du Ferrograo qui va tuer

La déforestation de l’Amazonie bat des records jamais atteints depuis 2016, et cette tragédie n’est pas une catastrophe naturelle. En plus des feux criminels et de l’assèchement budgétaire de tous les programmes de protection environnementale, le gouvernement brésilien vise à ouvrir encore plus la forêt à l’agrobusiness et à l’industrie minière avec la construction d’un nouvel axe ferroviaire pour éventrer le cœur de l’Amazonie : le Ferrograo.

Conçu et développé pendant les deux derniers gouvernements, le Ferrograo (littéralement, le « chemin de fer du grain ») doit traverser la forêt du sud au nord sur plus de 900 kilomètres pour relier les régions agricoles du Centre-Ouest au bassin amazonien. Le projet risque de faire basculer la destruction de la forêt vers un niveau irréversible et menace la survie de dix-sept peuples indigènes. L’objectif est de créer un corridor d’exportation qui inscrira la domination de l’agrobusiness dans les dernières zones encore préservées de l’Amazonie.

 

Les cinq plus grandes multinationales de trading qui contrôlent l’agrobusiness au Brésil sont de la partie : ADM, Bunge, Cargill, Dreyfus et Amaggi. Ensemble, elles veulent pérenniser un axe commercial entre le Brésil et la Chine, prospérant au mépris des questions environnementales, des droits humains et du bien-être animal. Cette alliance public-privé déchirerait l’Amazonie en deux blocs territoriaux, ouvrant la forêt à d’autres acteurs en quête de richesses naturelles : exploitants miniers, chercheurs d’or, éleveurs et braconniers.

Pour faire adopter le Ferrograo, Bolsonaro et son gouvernement ont usé du savant mélange de mauvaise foi et d’autoritarisme qui les caractérise. Les limites de l’important parc national de Jamanxim ont été retracées en toute illégalité pour faciliter le passage du chemin de fer. Les consultations obligatoires avec les populations indigènes ont été manipulées ou simplement ignorées, en violation avec les normes de l’Organisation internationale du travail (OIT) et la déclaration des droits des peuples indigènes de l’ONU. Ces manœuvres ont conduit à la suspension temporaire du projet par la Cour suprême du Brésil.

Pour tuer la gauche définitivement : le retour de Montebourg !

Pour tuer la gauche définitivement : le retour de  Montebourg !

Il est clair que pour espérer un jour une éventuelle renaissance d’un parti socialiste, il faut tuer ce qui reste du parti existant. Finalement la renaissance de l’histoire quand l’actuel parti socialiste avait tué la vieille SFIO compromise et usée.

 

Pourtant certains s’accrochent à l’idée qu’on pourrait encore relancer la marque de Solférino. Siège vendus suite à une faillite financière qui démontre la capacité de gestion de l’organisation. Après le siège,  c’est la marque elle-même qui pourrait être bradée pour partie à certains gauchistes, pour partie à certains opportunistes du centre ou de droite.

 

Ce n’est en tout cas pas Montebourg , l’archétype du socialo  bobo qui peut donner l’illusion d’une possible résurgence d’un parti qui n’en finit pas de mourir. L’intéressé appelle à l’union comme on pourrait être amené à solliciter l’oignon pour faire la soupe mais sans trop s’inquiéter du contenu douteux du breuvage. Car il s’agit bien de soupe quand on sollicite l’union sans véritablement la moindre convergence des projets voire même sans projet.

Retour au western : 60.000 dollars pour tuer un policier

  • Retour au western : 60.000 dollars pour tuer un policier
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  • C’est le retour au western avec des mises à prix mort ou vivant par les  organisations extrémistes. Ainsi dans une publication, Le Magazine des loups de Manhattan (Majala Dhib Manhatin), le média Jaysh al-Malahim al-Electroni («L’armée des épopées/batailles électroniques») propose tout simplement une récompense, en l’occurrence un bitcoin d’une valeur de 60 000 dollars américains (un peu moins de 50 000 euros), au premier «loup solitaire» qui tuerait un policier dans un pays occidental. Cette «prime» ne vaut que si la victime est de confession chrétienne ou juive ou s’il s’agit d’un athée ou d’un apostat - sans qu’al-Qaida précise comment le tueur doit les reconnaître.

Pour comprendre cette barbarie sinon l’admettre il faut aussi dire que certains pays occidentaux ont également mis à prix la vie de certains leaders extrémistes.

Chine : une amende de 18 milliards pour tuer Alibaba

Chine : une amende de 18 milliards pour tuer Alibaba

Les autorités chinoises ont infligé au groupe de commerce en ligne Alibaba une amende géante de 18,2 milliards de yuans ((2,31 milliards d’euros) pour avoir violé les règles anti-monopole et abusé de sa position dominante sur le marché, marquant ainsi la plus forte amende antitrust jamais imposée dans le pays. La pénalité, qui équivaut à environ 4% du chiffre d’affaires d’Alibaba en 2019, intervient dans le cadre d’une répression réglementaire sans précédent contre les conglomérats technologiques nationaux au cours des derniers mois, qui a pesé sur les actions des entreprises.

Alibaba, l’immense conglomérat chinois fait toujours l’objet d’une surveillance attentive par le parti communiste. L’entreprise a déjà été sanctionnée juridiquement mais maintenant on lui inflige une amende de plus de 18 milliards pour avoir faussé la concurrence. En réalité il s’agit d’une sanction de plus qui vise le fondateur milliardaire d’Alibaba, Jack Ma

Après ses critiques acerbes du système réglementaire chinois fin octobre. Fin décembre, l’Administration d’État chinoise pour la régulation des marchés (SAMR) avait annoncé avoir lancé une enquête antitrust sur la société. Cette annonce est intervenue après que les autorités ont fait échouer un projet d’introduction en bourse de 37 milliards de dollars d’Ant Group, la branche financière d’Alibaba sur Internet.

Le Wall Street Journal a rapporté le mois dernier qu’Alibaba était également poussé à se défaire d’un large éventail d’actifs médiatiques, y compris une vente potentielle du South China Morning Post de Hong Kong.

Environnement: Ces écolos bobos qui vont tuer la prise de conscience environnementale

Environnement: Ces écolos bobos qui vont tuer la prise de conscience environnementale

 

 

 

Le radicalisme dans toutes les matières conduits assez souvent à l’inverse de l’objectif recherché. Ainsi par exemple la doctrine marxiste qui visait à rendre le régime communiste plus égalitaire a surtout conduit à créer des régimes de dictature au profit d’oligarchies. Ainsi le prosélytisme très militant de certaines religions se fondant sur l’amour a-t-elle provoqué d’immenses guerres et de crimes contre l’humanité.

 

Il en est de même avec la cause environnementale. En effet cette cause est surtout servie de manière caricaturale autant que sectaire par des militants qui veulent d’un coup changé les usages mais aussi les valeurs de la société. Ce radicalisme va provoquer forcément une sorte de boomerang chez ceux qui prennent aussi en compte la problématique économique et sociale.

 

La plupart des écolos bobos méprisent  en effet la dimension économique et sociale pour la simple raison que pour la plupart ils viennent sur des métiers financés par l’État ou les organisations internationales. Environ 80 % des élus écolo  d’EELV sont en quelque sorte des fonctionnaires ou assimilés ; ils n’ont  guère eu à se préoccuper des contraintes économiques et de leurs conséquences sociales. Du coup les exigences des écolos bobos risquent de provoquer un dernier coup fatal à la fois à une industrie française en pleine obsolescence et à l’industrie agricole, elle aussi en crise

 

. Certes des changements sont nécessaires et même incontournables là et dans d’autres secteurs. Mais des changements progressifs, négociés et réalistes. Pas vraiment ce que proposent les nouveaux maires élus un peu par hasard lors des  municipales par ailleurs  complètement délaissées par les électeurs. Or la prise de conscience environnementale est indispensable. Tout ne peut en effet posséder de décision ou de régulation étatique.

 

Une part non négligeable dépend du comportement des usagers et des citoyens. D’une certaine manière, les écolos bobos sectaires se comportent comme ces anciens militants communistes qui voulaient faire le bonheur de la société contre la volonté des dés intéressés. Il y a de ce point de vue une certaine similitude entre les deux systèmes de pensée puisque pour une bonne part les écolos bobos sont surtout des gauchistes reconvertis dans l’environnement à la suite du dépérissement voire de la disparition de la gauche et de l’extrême gauche politique. Le même discours prophétique, le même sectarisme, la même volonté de changer la nature de l’homme sans son assentiment et sa participation.

Ces écolos bobos qui vont tuer la prise de conscience environnementale

Ces écolos bobos qui vont tuer la prise de conscience environnementale

 

 

 

Le radicalisme dans toutes les matières conduits assez souvent à l’inverse de l’objectif recherché. Ainsi par exemple la doctrine marxiste qui visait à rendre le régime communiste plus égalitaire a surtout conduit à créer des régimes de dictature au profit d’oligarchies. Ainsi le prosélytisme très militant de certaines religions se fondant sur l’amour a-t-elle provoqué d’immenses guerres et de crimes contre l’humanité.

 

Il en est de même avec la cause environnementale. En effet cette cause est surtout servie de manière caricaturale autant que sectaire par des militants qui veulent d’un coup changé les usages mais aussi les valeurs de la société. Ce radicalisme va provoquer forcément une sorte de boomerang chez ceux qui prennent aussi en compte la problématique économique et sociale.

 

La plupart des écolos bobos méprisent  en effet la dimension économique et sociale pour la simple raison que pour la plupart ils viennent sur des métiers financés par l’État ou les organisations internationales. Environ 80 % des élus écolo  d’EELV sont en quelque sorte des fonctionnaires ou assimilés ; ils n’ont  guère eu à se préoccuper des contraintes économiques et de leurs conséquences sociales. Du coup les exigences des écolos bobos risquent de provoquer un dernier coup fatal à la fois à une industrie française en pleine obsolescence et à l’industrie agricole, elle aussi en crise

 

. Certes des changements sont nécessaires et même incontournables là et dans d’autres secteurs. Mais des changements progressifs, négociés et réalistes. Pas vraiment ce que proposent les nouveaux maires élus un peu par hasard lors des  municipales par ailleurs  complètement délaissées par les électeurs. Or la prise de conscience environnementale est indispensable. Tout ne peut en effet posséder de décision ou de régulation étatique.

 

Une part non négligeable dépend du comportement des usagers et des citoyens. D’une certaine manière, les écolos bobos sectaires se comportent comme ces anciens militants communistes qui voulaient faire le bonheur de la société contre la volonté des dés intéressés. Il y a de ce point de vue une certaine similitude entre les deux systèmes de pensée puisque pour une bonne part les écolos bobos sont surtout des gauchistes reconvertis dans l’environnement à la suite du dépérissement voire de la disparition de la gauche et de l’extrême gauche politique. Le même discours prophétique, le même sectarisme, la même volonté de changer la nature de l’homme sans son assentiment et sa participation.

La détérioration de la santé de Navalny : Poutine veut tuer l’opposant actuellement en prison

  • La détérioration de la santé de Navalny : Poutine veut tuer l’opposant actuellement en prison
  • Rien évidemment ne justifie que le principal opposant à Poutine à savoir Navalny  ne soit détenu dans l’une des prisons les plus dures de Russie sinon la volonté de le tuer. Ce qui serait une seconde tentative après l’échec de son empoisonnement. Le pire, c’est que Navalny  a été condamné à deux ans et demi de prison pour avoir dérogé à son contrôle judiciaire. Or ce contrôle judiciaire n’a pas pu être respecté puisque l’intéressé était en Allemagne et luttait  contre la mort après la tentative d’empoisonnement par les services secrets de Poutine. 
  • Jusque-là les occidentaux ont protesté mais de façon assez formelle et on sait que Poutine ne connaît que la force et la brutalité!  lui,  le produit du KGB. La mollesse de la protestation occidentale vient largement de la position ambiguë de l’Allemagne vis-à-vis de la Russie. L’Allemagne en effet attend avec impatience le gaz russe dont les infrastructures sont en phase terminale. Poutine ne pardonne pas navalny d’avoir dévoilé qu’il était propriétaire d’un immense palais aux frais d’un peuple qu’il maintient dans un état de pauvreté lamentable.  Olga Mikhaïlova, l’une des avocates du principal détracteur du Kremlin, a indiqué à l’AFP que Alexeï Navalny se plaignait depuis peu de «fortes douleurs au dos», ajoutant qu’il avait commencé à ne plus sentir l’une de ses jambes mardi. L’opposant a pu voir un neurologue mais celui-ci ne lui a pas dit son diagnostic, se contentant de lui donner des cachets d’Ibuprofen, un médicament anti-inflammatoire.
  • Militant anticorruption et principal opposant au président Vladimir Poutine, Alexeï Navalny, 44 ans, a survécu l’année dernière à un empoisonnement au Novitchok, agent innervant développé à l’époque soviétique à des fins militaires, qui l’avait plongé dans le coma. Revenu en Russie en janvier dernier d’une convalescence en Allemagne, il a été immédiatement arrêté et condamné dans une affaire de fraude datant de 2014, qu’il dénonce comme politiquement motivée. Depuis son arrivée au camp de Pokrov, Alexeï Navalny a pu décrire sur les réseaux sociaux à deux reprises ses conditions de détention, affirmant que sa vie quotidienne de prisonnier est comparable à celle d’un «Stormtrooper» dans le «remake russe de La Guerre des étoiles» à cause de la rigide discipline en place. Il a comparé sa colonie pénitentiaire à un «camp de concentration».
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