Archive pour le Tag 'tuée'

Social SNCF: une entreprise tuée à petit feu par les grèves

Social SNCF: une entreprise tuée à petit feu par les grèves

Depuis toujours la SNCF se singularise par un taux de grève tout à fait exceptionnel au regard de la conflictualité générale. C’est une sorte de culture de l’entreprise. Pour tout et souvent pour rien, les organisations syndicales gauchistes menacent et font effectivement grève alors que la concertation n’est pas même terminée voir pas même entamée. Pourtant ce ne sont pas les organismes de concertation qui manque dans l’entreprise même si leur nombre a été réduit. Le problème c’est que ces organismes ne sont pas des lieux de négociation mais d’affrontement stérile. En cause sans doute une part de responsabilité de l’entreprise mais aussi la culture socio-économique de syndicalistes qui font de la radicalité le véritable objectif et non l’avancée sociale. Le véritable objectif est la révolution, la lutte contre le capitalisme, contre l’impérialisme. Bref surtout des objectifs politiques et qui instrumentalisent le poujadisme de certaines catégories.

D’une certaine manière, c’est une honte pour le syndicalisme de se mettre à la remorque d’une association douteuse de contrôleurs dont par ailleurs on pourrait comparer les conditions sociales avec d’autres dans l’entreprise mais aussi ailleurs.

Juridiquement les pouvoirs publics devraient s’interroger sur la légitimité de cette association de contrôleurs , sorte de syndicat poujadiste non déclaré mais soutenu par des organisations gauchistes qui se font la courte échelle en matière de radicalité.

Ce mouvement des contrôleurs porte évidemment préjudice à l’entreprise, au service public en général mais tout autant au syndicalisme qu’il discrédite et même ridiculise. Il suffit pour s’en persuader d’écouter l’argumentation d’une médiocrité désolante des syndicats gauchistes complètement irresponsables et syndicalement incompétents.

Depuis 1947, pas une seule année ne s’est écoulée sans que des mouvements sociaux ne viennent perturber le réseau ferré national. À la clé, un nombre impressionnant de jours de travail perdu. Le Figaro a fait les comptes.

Noël, la neige, les décorations, la Saint-Sylvestre, la Saint-Nicolas… Pour beaucoup, la fin d’année rime avec les fêtes, les cadeaux et les retrouvailles en famille. Ces dernières années, une nouvelle tradition, bien plus redoutée, semble toutefois s’être imposée : la crainte d’une grève à la SNCF. Tenace, cette coutume revient quasiment chaque mois de décembre, avec la régularité d’un métronome : depuis 2018, seule la pandémie de Covid-19 est parvenue à la faire s’effacer.

Rebelote en 2022. La grève surprise qui conduit à l’annulation de 60% des TGV et Intercités ce week-end inaugure le quatorzième mois de décembre perturbé sur le réseau ferroviaire français en moins de vingt ans : 2003, 2004, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2016, 2018, 2019, 2021. Des préavis de grève menacent déjà de torpiller les déplacements des week-ends de Noël et du jour de l’an, à l’heure où les Français sillonnent le pays pour retrouver leurs proches.

SNCF: une entreprise tuée à petit feu par les grèves

SNCF: une entreprise tuée à petit feu par  les grèves

Depuis toujours la SNCF se singularise par un taux de grève tout à fait exceptionnel au regard de la conflictualité générale. C’est une sorte de culture de l’entreprise. Pour tout et souvent pour rien, les organisations syndicales gauchistes menacent et font effectivement grève alors que la concertation n’est pas même terminée voir pas même entamée. Pourtant ce ne sont pas les organismes de concertation qui manque dans l’entreprise même si leur nombre a été réduit. Le problème c’est que ces organismes ne sont pas des lieux de négociation mais d’affrontement stérile. En cause sans doute une part de responsabilité de l’entreprise mais aussi la culture socio-économique de syndicalistes qui font de la radicalité le véritable objectif et non l’avancée sociale. Le véritable objectif est la révolution, la lutte contre le capitalisme, contre l’impérialisme. Bref surtout des objectifs politiques et qui instrumentalisent le poujadisme de certaines catégories.

D’une certaine manière, c’est une honte pour le syndicalisme de se mettre à la remorque d’une association douteuse de contrôleurs dont par ailleurs on pourrait comparer les conditions sociales avec d’autres dans l’entreprise mais aussi ailleurs.

Juridiquement les pouvoirs publics devraient s’interroger sur la légitimité de cette association de contrôleurs , sorte de syndicat poujadiste non déclaré mais soutenu par des organisations gauchistes qui se font la courte échelle en matière de radicalité.

Ce mouvement des contrôleurs porte évidemment préjudice à l’entreprise, au service public en général mais tout autant au syndicalisme qu’il discrédite et même ridiculise. Il suffit pour s’en persuader d’écouter l’argumentation d’une médiocrité désolante des syndicats gauchistes complètement irresponsables et syndicalement incompétents.

Depuis 1947, pas une seule année ne s’est écoulée sans que des mouvements sociaux ne viennent perturber le réseau ferré national. À la clé, un nombre impressionnant de jours de travail perdu. Le Figaro a fait les comptes.

Noël, la neige, les décorations, la Saint-Sylvestre, la Saint-Nicolas… Pour beaucoup, la fin d’année rime avec les fêtes, les cadeaux et les retrouvailles en famille. Ces dernières années, une nouvelle tradition, bien plus redoutée, semble toutefois s’être imposée : la crainte d’une grève à la SNCF. Tenace, cette coutume revient quasiment chaque mois de décembre, avec la régularité d’un métronome : depuis 2018, seule la pandémie de Covid-19 est parvenue à la faire s’effacer.

Rebelote en 2022. La grève surprise qui conduit à l’annulation de 60% des TGV et Intercités ce week-end inaugure le quatorzième mois de décembre perturbé sur le réseau ferroviaire français en moins de vingt ans : 2003, 2004, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2016, 2018, 2019, 2021. Des préavis de grève menacent déjà de torpiller les déplacements des week-ends de Noël et du jour de l’an, à l’heure où les Français sillonnent le pays pour retrouver leurs proches.

« Républicains »: changer la marque tuée par Sarkozy

« Républicains »: changer la marque tuée par Sarkozy

La «marque» du parti est «morte», estime Bruno Retailleau,cCandidat à la présidence du parti. Il est vrai que la marque a été tuée depuis longtemps par Sarkozy qui ne cesse depuis 2017 de demander que les « Républicains » fusionnent avec les troupes de Macron.Avec un tel ami des « Républicains » et toujours membre du parti il n’est nul besoin de chercher un ennemi.

Aujourd’hui effectivement sur le plan politique les républicains ne représentent plus grand chose hormis quand même un nombre significatif encore d’élus nationaux surtout dans les zones rurales. Un dernier sondage dans le JDD donné 3 % aux « républicains » de voix dans l’hypothèse d’une élection présidentielle.

Le problème pour les républicains c’est qu’il ne s’agit pas simplement d’une question d’étiquette mais aussi de stratégie. En ce domaine c’est plutôt le grand vide ou plutôt l’ambiguïté entre conservateurs plutôt réacs et réformistes.
« Si on se contente de ripoliner la façade du parti, on est morts. Il faut tout changer. La marque ‘Les Républicains’ est morte », estime le sénateur et candidat à la présidence du parti dans un entretien au Journal du dimanche, dimanche 30 octobre. « Parti, méthode, logiciel » sont voués à être transmués, précise le cacique de la droite.
Congrès. Comment faire alors pour un regain ? « Si je suis élu, [les militants] trancheront, par référendum interne, nos grandes orientations. Et nous travaillerons d’abord sur les idées, en renvoyant la question de la présidentielle après les européennes », précise le président du groupe LR au Sénat. A l’horizon pourtant, l’élection de 2027 se prépare déjà. « Incarner, c’est bien, mais
incarner quelque chose, c’est mieux : les primaires ont été exclues de nos statuts et je ne compte pas les y remettre, ce sera donc à nos militants de choisir », développe Bruno Retailleau. Son rival, Eric Ciotti, entend, lui, soutenir une candidature de Laurent Wauquiez.

La course n’est pas un duel : le député du Lot, Aurélien Pradié, et le maire d’Orléans, Serge Grouard (qui, pour autant, ne devrait pas réunir le nombre de parrainages suffisant pour être dans la ligne de départ), sont aussi candidats à la présidence du parti. Les militants doivent départager les ambitieux par un vote lors d’un congrès début décembre. La ligne d’un accord de gouvernement avec Emmanuel Macron, soutenue par Serge Grouard et Nicolas Sarkozy, semble exclue.
Mots clés: LES RÉPUBLICAINS (LR)

«Occupez-vous de vos enfants !» : La mère de la jeune fille tuée par un adolescent

«Occupez-vous de vos enfants !» : La mère de la jeune fille tuée par un adolescent

Marjorie, la jeune fille tuée d’un coup de couteau et son agresseur s’étaient donné rendez-vous au pied de l’un des immeubles de la cité à la suite «d’échanges véhéments» sur un groupe Snapchat au sujet de la petite sœur de la victime. C’est là que le jeune garçon l’a tuée d’un coup de couteau «en plein cœur».

 

Odile, la mère, a fait preuve d’une dignité remarquable en déclarant :

. «Aimons-nous les uns les autres» avant de se lancer dans un vibrant plaidoyer en faveur de l’éducation : «Je m’adresse tout particulièrement aux parents. Aimez vos enfants, parlez avec vos enfants, aimez-les, dansez avec eux. Je dansais avec Marjorie. Faites des réunions avec vos enfants, discutez avec eux, cherchez à savoir ce qu’ils font dans la vie, soyez auprès d’eux, embrassez-les, dites-leur que vous les aimez, car cette parole je n’ai pas eu le temps de la dire à Marjorie une dernière fois. Là où elle est je pense qu’elle m’entend. Marjorie, je t’aime.»

 

Et de prévenir : «Occupez-vous de vos enfants, ce n’est pas à la justice de s’occuper de vos enfants». «Il faut que ça change, a-t-elle poursuivi. Aujourd’hui c’est moi, hier c’en était d’autres, demain à qui le tour ? Posez-vous la question : le prochain sur la liste, qui ? (…) Tant que vous pouvez dire à vos enfants que vous les aimez, dites-le, n’ayez pas peur de le dire, parce qu’ils peuvent ne jamais rentrer le soir».

 

La ruralité tuée par la folie de la métropolisation

La ruralité tuée par la folie de la métropolisation

 

Le plan pour la revue ruralité annoncée aujourd’hui par le premier ministre est forcément illusoire car toute la politique d’aménagement du territoire est  centrée  sur la folie de la Métropolisation. Cette  mode de la métropolisation risque d’aboutir à un aménagement du territoire composé d’un côté d’une dizaine de villes de plus d’un million d’habitants concentrant une majorité d’emplois et de l’autre des zones en voie de régression voire  de désertification. Un non-sens non seulement économique et social mais aussi environnementale et sociétal. En effet l’hyper concentration qui génère effectivement une croissance endogène provoque aussi des dégâts humains et environnementaux catastrophiques. Les créations d’emplois se en effet concentrent depuis une dizaine d’années sur les aires urbaines de plus de 500.000 habitants, zones où l’on trouve les métiers les plus dynamiques – notamment les postes de cadres - au détriment des villes petites et moyennes, constate une étude de France Stratégie. Au total, c’est une douzaine de métropoles régionales qui se partagent quasiment la moitié (46%) des emplois, dont 22% pour Paris et 24% en province. Et ce marché de l’emploi à deux vitesses se creuse. La situation est inédite: entre en 1968 et 1999, la croissance de l’emploi profitait à l’ensemble du pays… avant que les territoires ne se différencient de plus en plus, et que la fracture ne se transforme en fossé entre 2006 et 2013. C’est durant cette période que les aires urbaines de plus de 500.000 habitants ont massivement créé des emplois alors que les villes moyennes, les petites villes et les communes isolées ont subi des pertes, observe l’organisme placé auprès du Premier ministre. Ce phénomène a un nom: la «métropolisation». Or cet aménagement du territoire qui privilégie l’hyper concentration autour de quelques centres conduits le reste à la désertification.  . La mode aujourd’hui est à la métropolisation, c’est à dire à la sururbanisation (qui constitue pourtant une  aberration environnementale) tandis que certaines  petites villes, des villages s’appauvrissent, des villes moyennes stagnent ou régressent. L’élément le plus significatif de cette désertification c’est la raréfaction de l’emploi. Du coup,  les populations sont contraintes de rechercher des embauches de plus en plus loin de leur domicile (20, 30, 50 kms). Jusqu’au  jour où elles décident de quitter leur zone d’habitat pour  rejoindre des zones plus riches en emplois. Pour preuve de cette désertification : la baisse dramatique de la valeur du patrimoine immobilier. Par manque de populations,  les services rétrécissent comme peau de chagrin. Le cœur de la problématique de la désertification, c’est la disparition de l’emploi qui génère mécaniquement la fermeture des commerces et des services. La réactivation des villes moyennes, des  zones rurales défavorisées passe d’abord par une  analyse fine des réalités et de leur évolution sur longue période (emploi, PIB,  population, services etc.) ; aussi  par une prise en compte des  typologies différenciées des zones dont l’approche globale masque les disparités. Au-delà,  il convient d’agir sur les  leviers susceptibles d’abord de fixer la population active existante et d’encourager la création d’emplois. Bien entendu une  commune ne peut, à elle seule, inverser ces tendances lourdes même si elle peut intervenir utilement dans le champ actuel  de sa  responsabilité. Beaucoup de communes se préoccupent de leur développement pour autant l’environnement défavorable limite leur action (fiscalité, réglementation, transport, équipements et services). En fonction de certains scénarios économiques, sociaux et démographiques, en 2040 certains villages se transformeront en zones pour retraités voire même disparaîtront (d’autant qu’à cette date un  Français sur trois aura plus de 60 ans). L’activité économique interagit sur la qualité et le niveau des services et réciproquement. Si on se préoccupe légitimement des équipements et des services publics, par contre le soutien à l’emploi et à l’économie locale en particulier est plus déficient. Or en fonction du rythme de destruction  des emplois locaux, ce devrait être aussi une priorité. Encore une  fois compte tenu de la mode de la « métropolisation » ‘ pas spécifique à la France, il y a fort à parier qu’on pourra attendre encore longtemps des mesures significatives pour le développement rural des zones défavorisées. On ne saurait se limiter  à quelques dispositions certes utiles mais très insuffisantes (couverture internet, bureau de poste, quelques services …peut-être.

 

Brexit : le débat dépare, une députée tuée

Brexit : le débat dépare, une députée tuée

La violence du débat concernant le Brexit au Royaume-Uni est sans doute responsable indirectement de l’assassinat de la députée britannique. Un assassinat par un extrémiste de droite appartenant à une organisation raciste, organisation qui milite pour la sortie de l’union européenne. D’une certaine manière, les deux camps sont responsables du climat de violence qui s’est développée dans le cadre de ce débat. L’excès et la caricature ont marqué une campagne qui finalement s’est polluée en se focalisant notamment sur la question de l’immigration.  La députée britannique Jo Cox a été mortellement blessée par balle en pleine rue jeudi dans le nord de l’Angleterre, provoquant une vague d’émotion dans le pays et la suspension de la campagne électorale en vue du référendum du 23 juin sur l’avenir du Royaume-Uni dans l’Union européenne. Jo Cox, une élue travailliste de 41 ans favorable au maintien de son pays au sein du bloc communautaire, a été agressée alors qu’elle se préparait à tenir sa permanence électorale hebdomadaire à Birstall, près de Leeds, une localité de sa circonscription. . D’après les médias britanniques, l’agresseur, qui a été arrêté, a ouvert le feu sur la députée et l’a poignardée dans des circonstances encore confuses. Hospitalisée à Leeds dans un état grave, Jo Cox a succombé peu après à ses blessures. Partisans et adversaires de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne ont suspendu leur campagne pour la journée, voire pour vendredi dans le cas des défenseurs du maintien (« Remain »). L’Union Jack flottant au-dessus des chambres du Parlement à Londres a été mis en berne et des centaines d’habitants de Birstall ont assisté à une veillée funèbre. Le Premier ministre David Cameron a annulé un déplacement à Gibraltar et déploré une « tragédie ». « C’était une députée engagée et dévouée. Mes pensées vont à son époux Brendan et à leurs deux jeunes enfants. » Brendan Cox a déclaré que son épouse aurait « souhaité deux choses par-dessus tout: que ses enfants soient entourés d’amour et que tout le monde s’unisse contre la haine qui l’a tuée ». Selon des témoignages recueillis par la presse locale, l’agresseur a crié « Britain First » (La Grande-Bretagne d’abord), nom d’une organisation de droite qui se décrit elle-même comme « un parti politique patriote et une organisation de défense de rue ». Jayda Fransen, numéro 2 de Britain First, a qualifié cette agression d’ »absolument abjecte » et a souligné que l’expression « Britain first » était également un slogan employé par les partisans du Brexit dans leur campagne électorale. (Avec Reuters)

Montrouge : encore une policière tuée

Montrouge : encore une policière tuée

Au lendemain des attentats contre Charlie Hebdo, c’est une policière municipale qui est aussi victime d’en fou. Ce qui pose la problématique générale de la violence où l’acte de tuerie semble se banaliser comme aux Etats-Unis par exemple. Dans cette affaire le terrorisme pourrait aussi être en cause. Après la multiplication des évènements ces dernières semaines, on ne saurait qualifier ces faits d’actes isolés ; la problématique est plus large, c’est une guerre démocratique  qui est déclarée par des voyous, des tarés et des endoctrinés. A cet égard il faut évidemment aussi regretter que cette policière municipale n’ait pas été armée. Un situation qui témoigne du décalage entre le dispositif policier et l’enjeu de la violence actuelle.   Une fusillade a éclaté à Montrouge, au sud de Paris, jeudi matin alors qu’il faisait encore nuit. Une jeune policière stagiaire, touchée par les tirs, est décédée aux alentours de 8 heures, des suites de ses blessures. Elle fait « l’honneur de la Nation » pour le Premier Ministre Manuel Valls. Un agent de la voirie a aussi été sérieusement blessé. Un homme de 52 ans a été interpellé dans la matinée, mais selon le ministre de l’Intérieur, le tireur est lui toujours en fuite. Un deuxième suspect a été placé en garde à vue. Les faits semblent indépendants de l’attaque menée la veille contre le journal Charlie Hebdo. Lors d’un point presse jeudi soir, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a affirmé :  »Aucun élément ne permet d’établir à ce stade un lien » entre l’attentat de Charlie Hebdo et Montrouge». Deux personnes sont actuellement en garde à vue. C’est la section anti-terroriste du parquet de Paris qui mène l’enquête. L’auteur des tirs était lourdement armé. Une enquête en flagrance des chefs d’assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste, tentative d’assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste, tentatives d’assassinats en relation avec une entreprise terroriste, infraction à la législation sur les armes en relation avec une entreprise terroriste, vol avec arme en relation avec une entreprise terroriste a été ouverte. Un accident de la route s’est produit vers 7h30 jeudi matin à hauteur du 91 de l’avenue Pierre Brossolette à Montrouge, dans les Hauts-de-Seine. Peu de temps après ce qui est décrit comme un simple accrochage, des policiers municipaux sont intervenus. C’est à ce moment-là, qu’un homme armé a tiré et blessé une policière municipale de 35 ans, ainsi qu’un agent de la voirie. La jeune femme est décédée des suites de ses blessures. Un chauffeur-livreur présent au moment de la fusillade s’est aussitôt porté au secours de la policière gisant à terre. Il a expliqué avoir entendu trois cou




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