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Bilan Hollande : une fiscalité qui a tué la croissance

  • Bilan  Hollande : une fiscalité qui a tué la croissance
  • une  politique a tué la croissance et l’emploi puisqu’il a manqué  près de 1 % au PIB (0.8% exactement)  en moyenne par an pendant le quinquennat de Hollande. .C’est à dire ce supplément d’activité qui précisément aurait permis non seulement de stabiliser le chômage par rapport à 2012 mais même de le faire reculer. En clair la politique du gouvernement a tué le potentiel de croissance qui pouvait commencer à résoudre la crise du chômage. On aurait pu ainsi avec une politique moins hasardeuse réduire le chômage d’environ 1 million par rapport au chiffre actuel. Au lieu de cela la courbe du chômage peinera  à se stabiliser  surtout si on tient compte des transferts de catégorie de pôle emploi et donc du bricolage statistique. En cause l’incompétence de responsables de la politique économique tous fonctionnaire, ancien fonctionnaires ou assimilés (Hollande, Moscovici, Sapin, Ayrault etc.) qui n’entretiennent avec l’économie réelle que des rapports approximatifs. Le rythme trop élevé de la consolidation budgétaire a en effet plombé la croissance et l’emploi en France dans les premières années du quinquennat de François Hollande mais l’inflexion vers une politique de l’offre à partir de 2014 lui permet de terminer sur une note plus positive, estime l’OFCE. Dans un bilan publié lundi, l’Observatoire français des conjonctures économiques estime que l’assainissement des finances publiques françaises aura eu un effet récessif de 0,8 point de PIB en moyenne par an entre 2012 et 2016, un niveau d’autant plus élevé que plusieurs autres pays européens étaient engagés simultanément dans des efforts similaires. L’objectif était de ramener le déficit public sous 3% du PIB (contre 5,1% fin 2011) pour stabiliser la dette de la France, avec un échéancier que la Commission européenne a accepté de repousser de deux ans jusqu’en 2017, dans le but d’éviter qu’elle n’atteigne 100% du PIB. Dans un premier temps, le gouvernement a choisi d’agir par la seule hausse des prélèvements obligatoires, une politique lancée dans les derniers mois du quinquennat de Nicolas Sarkozy.  L’impact total des mesures votées en 2012 et 2013, qui a porté le taux de prélèvements obligatoires à des niveaux record (44,8% du PIB) est estimé par l’OFCE à 52 milliards d’euros (16 milliards sur les entreprises et 32 milliards pour les ménages). Alors que François Hollande évoquait la possibilité d’une inversion de la courbe du chômage dès 2013, l’institut de conjoncture estime que l’ampleur de ce choc fiscal « n’était pas compatible avec une baisse du chômage au cours de la première moitié du quinquennat ». « Une stabilisation de la dette publique était nécessaire, mais la question c’était le rythme de réduction des déficits », a déclaré Xavier Ragot, président de l’OFCE, lors de la présentation de l’étude. « Une hausse des prélèvements obligatoires plus faible aurait maintenu l’activité économique, augmenté le PIB et l’emploi et aurait permis de stabiliser la dette sans avoir cette hausse importante du chômage à court terme », a-t-il ajouté. A partir de 2014, la mise en place d’une politique de l’offre, incarnée par le crédit d’impôt compétitivité emploi et le pacte de responsabilité, s’est accompagnée d’une nouvelle stratégie de lutte contre les déficits concentrée sur la maîtrise de la dépense. Et les baisses de charges et de fiscalité en faveur des entreprises ont permis de plus que compenser la hausse de début de quinquennat, alors que la fiscalité des ménages a continué de progresser, notamment sous la forme de la hausse de la TVA. Au total, l’OFCE estime que, sur l’ensemble du quinquennat, les nouveaux prélèvements représenteraient 28 milliards d’euros : +35 milliards pour les ménages, dont le pouvoir d’achat est aujourd’hui inférieur de 350 euros par rapport à 2012, -20 milliards pour les entreprises et +13 milliards qui ne peuvent être répartis entre ménages et entreprises. Leur atténuation, combinée aux premiers effets positifs de la politique de l’offre, a permis à la croissance française de se rapprocher des niveaux de la zone euro depuis la fin 2015, après deux années à la traîne. « Les politiques de compétitivité et de soutien aux entreprises ont des effets faibles à court terme et importants à long terme, tandis que les politiques de hausse d’impôt ont des effets importants à court terme, pour décroître progressivement », explique l’OFCE. Côté entreprises, cette politique s’est traduite par un rétablissement de leur taux de marge, qui a retrouvé cette année ses plus hauts du début des années 2000, et un redémarrage de l’investissement. En intégrant le sous-emploi, les chômeurs découragés et le temps partiel subi, ce sont près de six millions de personnes qui sont aujourd’hui fragilisées vis-à-vis de l’emploi, soit 440.000 de plus qu’au début du quinquennat, ajoute-t-il. En conclusion, il juge que « la France de 2017 devrait se retrouver dans une dynamique économique plus positive qu’en 2012, même si la fragile reprise ne doit pas occulter les difficultés persistantes du pays, en matière de commerce extérieur et de chômage ».
  • (Avec Reuters)

 

Valls a tué Hollande

Valls a tué Hollande

Il est clair que Manuel Valls a porté le dernier coup fatal à François Hollande notamment dimanche dans son interview JDD ou il a déclaré vouloir se présenter en 2017 y compris face à Hollande. Valls qui n’a cessé de se parer dans les habits de la fidélité est en fait le Brutus de la gauche qui a largement contribué à tuer le monarque républicain socialiste. Valls  devra nécessairement assumer cette responsabilité car son double langage, sa double posture ne sauraient résister aux ’analyse un peu sérieuses. Depuis des mois Valls a en effet choisi la posture d’un Clémenceau contemporain face à la mollesse de Hollande. Avec un détail toutefois, des postures différentes mais servant la même politique car les sujets d’opposition entre le premier ministre et le président de la république ont été rares. On voit mal ce que Valls pourrait contester dans le bilan de François Hollande qu’il devra complètement assumer. Valls a d’abord tué Jean-Marc Ayrault considéré par lui, aussi par beaucoup d’autres, comme relativement incompétent. Valls a ensuite en permanence mis des bâtons dans les roues à Macron  pour l’empêcher de mettre en œuvre les réformes qu’il souhaitait. Du coup Valls est grandement responsable du départ de Macron et de l’autonomisation de sa démarche politique. Le dernier acte de la stratégie de Valls aura été de tuer Hollande avec des propos condamnant avec force les confidences faites par le président de la république et enfin cette estocade dans le JDD où Valls annoncé sa candidature face à Hollande. Certes le retrait de Hollande  est largement du aux échecs de la politique gouvernementale depuis 2012 dans le domaine économique et social en particulier. Mais ce renoncement découle aussi des divergences idéologiques non traitées avant 2012 au sein du parti socialiste écartelé entre le gauchisme, la sociale démocratie et le social libéralisme. Enfin la guerre des egos et l’attitude ambiguë de Valls ont  fini de mettre un terme à toute espérance de François Hollande de se représenter.

Macron tue la candidature de François Hollande

 

 

 

Dans le meilleur scénario le total de la gauche extrême compris ne peut dépasser 40 % en 2017. Le candidat socialiste se trouve maintenant coincé entre Mélenchon et Macron crédité chacun selon les sondages de 10 à 15 % des voix. Du coup le candidat socialiste pourrait n’obtenir qu’autour de 10 %, peut-être moins surtout s’il s’agit de François Hollande. Autant dire que la déclaration de Macron tue la candidature de l’actuel président de la république et hypothèque gravement celle de Manuel Valls. Le candidat officiel du parti socialiste pourrait en effet se retrouver en quatrième ou cinquième position au premier tour des élections présidentielles. Le plus grave sans doute sera la conséquence sur les élections législatives qui suivront. Jusque-là le parti socialiste pouvait encore espérer sauver environ 80 postes de députés sur les 250 qu’il détient actuellement. Cependant avec la venue de Macron la donne change. En effet certains candidats de Macron pourront soit être élus,  soient empêcher le candidat du PS de l’être. Du coup la représentation du parti socialiste pourrait se réduire à une cinquantaine. Dès lors, on comprend mieux la colère de certains dirigeants du parti se socialiste et Manuel Valls lequel n’a pas hésité à condamner Macron. . Invité sur France 2, mercredi 16 novembre, quelques heures après sa déclaration de candidature à l’élection présidentielle, Emmanuel Macron s’est pourtant montré ferme sur ses intentions. « Ce n’est en aucun cas une décision qui est provisoire, oui, c’est une décision irrévocable », a-t-il déclaré. « Quand on prend ce type de décision, avec ce qu’elle comporte de gravité (…) c’est une décision qui est mûrement réfléchie », a expliqué l’ancien conseiller de François Hollande et ancien ministre de l’Economie. Le fondateur du mouvement En marche ! a assuré que sa démarche n’était « en aucun cas une candidature de ralliement à qui que ce soit ». « Si j’avais voulu me rallier, je n’aurais pas fait depuis plusieurs mois les choix qui ont été les miens », notamment son départ du gouvernement fin août, a ajouté Emmanuel Macron.

Le quinquennat de Hollande : une fiscalité qui a tué la croissance

Le quinquennat de Hollande : une fiscalité qui a tué la croissance

 

Cette politique a tué la croissance et l’emploi puisqu’il a manqué  près de 1 % au PIB (0.8% exactement)  en moyenne par an pendant le quinquennat de Hollande. .C’est à dire ce supplément d’activité qui précisément aurait permis non seulement de stabiliser le chômage par rapport à 2012 mais même de le faire reculer. En clair la politique du gouvernement a tué le potentiel de croissance qui pouvait commencer à résoudre la crise du chômage. On aurait pu ainsi avec une politique moins hasardeuse réduire le chômage d’environ 1 million par rapport au chiffre actuel. Au lieu de cela la courbe du chômage peinera  à peine stabiliser  surtout si on tient compte des transferts de catégorie de pôle emploi et donc du bricolage statistique. En cause l’incompétence de responsables de la politique économique tous fonctionnaire, ancien fonctionnaires ou assimilés (Hollande, Moscovici, Sapin, Ayrault etc.) qui n’entretiennent avec l’économie réelle que des rapports approximatifs. Le rythme trop élevé de la consolidation budgétaire a en effet plombé la croissance et l’emploi en France dans les premières années du quinquennat de François Hollande mais l’inflexion vers une politique de l’offre à partir de 2014 lui permet de terminer sur une note plus positive, estime l’OFCE. Dans un bilan publié lundi, l’Observatoire français des conjonctures économiques estime que l’assainissement des finances publiques françaises aura eu un effet récessif de 0,8 point de PIB en moyenne par an entre 2012 et 2016, un niveau d’autant plus élevé que plusieurs autres pays européens étaient engagés simultanément dans des efforts similaires. L’objectif était de ramener le déficit public sous 3% du PIB (contre 5,1% fin 2011) pour stabiliser la dette de la France, avec un échéancier que la Commission européenne a accepté de repousser de deux ans jusqu’en 2017, dans le but d’éviter qu’elle n’atteigne 100% du PIB. Dans un premier temps, le gouvernement a choisi d’agir par la seule hausse des prélèvements obligatoires, une politique lancée dans les derniers mois du quinquennat de Nicolas Sarkozy.  L’impact total des mesures votées en 2012 et 2013, qui a porté le taux de prélèvements obligatoires à des niveaux record (44,8% du PIB) est estimé par l’OFCE à 52 milliards d’euros (16 milliards sur les entreprises et 32 milliards pour les ménages). Alors que François Hollande évoquait la possibilité d’une inversion de la courbe du chômage dès 2013, l’institut de conjoncture estime que l’ampleur de ce choc fiscal « n’était pas compatible avec une baisse du chômage au cours de la première moitié du quinquennat ». « Une stabilisation de la dette publique était nécessaire, mais la question c’était le rythme de réduction des déficits », a déclaré Xavier Ragot, président de l’OFCE, lors de la présentation de l’étude. « Une hausse des prélèvements obligatoires plus faible aurait maintenu l’activité économique, augmenté le PIB et l’emploi et aurait permis de stabiliser la dette sans avoir cette hausse importante du chômage à court terme », a-t-il ajouté. A partir de 2014, la mise en place d’une politique de l’offre, incarnée par le crédit d’impôt compétitivité emploi et le pacte de responsabilité, s’est accompagnée d’une nouvelle stratégie de lutte contre les déficits concentrée sur la maîtrise de la dépense. Et les baisses de charges et de fiscalité en faveur des entreprises ont permis de plus que compenser la hausse de début de quinquennat, alors que la fiscalité des ménages a continué de progresser, notamment sous la forme de la hausse de la TVA. Au total, l’OFCE estime que, sur l’ensemble du quinquennat, les nouveaux prélèvements représenteraient 28 milliards d’euros : +35 milliards pour les ménages, dont le pouvoir d’achat est aujourd’hui inférieur de 350 euros par rapport à 2012, -20 milliards pour les entreprises et +13 milliards qui ne peuvent être répartis entre ménages et entreprises. Leur atténuation, combinée aux premiers effets positifs de la politique de l’offre, a permis à la croissance française de se rapprocher des niveaux de la zone euro depuis la fin 2015, après deux années à la traîne. « Les politiques de compétitivité et de soutien aux entreprises ont des effets faibles à court terme et importants à long terme, tandis que les politiques de hausse d’impôt ont des effets importants à court terme, pour décroître progressivement », explique l’OFCE. Côté entreprises, cette politique s’est traduite par un rétablissement de leur taux de marge, qui a retrouvé cette année ses plus hauts du début des années 2000, et un redémarrage de l’investissement. En intégrant le sous-emploi, les chômeurs découragés et le temps partiel subi, ce sont près de six millions de personnes qui sont aujourd’hui fragilisées vis-à-vis de l’emploi, soit 440.000 de plus qu’au début du quinquennat, ajoute-t-il. En conclusion, il juge que « la France de 2017 devrait se retrouver dans une dynamique économique plus positive qu’en 2012, même si la fragile reprise ne doit pas occulter les difficultés persistantes du pays, en matière de commerce extérieur et de chômage ».

(Avec Reuters)

La malbouffe tue l’agriculture aussi

La malbouffe tue l’agriculture aussi

 

Une émission remarquable sur France 3 lundi soir pour démonter  le système de la malbouffe et les conséquences également désastreuses pour les agriculteurs éleveurs. En gros les multinationales de l’agro alimentaire et la grande distribution ont imposé des normes de produits dangereux pour la santé , gonflé de produits chimiques et des prix dérisoires aux producteurs qui un à un quittent le métier. . ( tomates chimique, lait et poulet  aux OGM, poulet aux antibiotiques gonflé en 1 mois quand il en faudrait 3 !) ; bref de la merde, de la spéculation aussi pour les traders qui spéculent sur les denrée alimentaires et des paysans franaçis dépendants et misérables. Au fait Hollande avait promis de mettre fin à la spéculation sur les denrées alimentaires , depuis il a oublié !  Pas étonnant que le monde agricole batte vraiment la campagne et ne soit pas dans son assiette. Comme on ne peut pas imaginer que le monde politique ait sciemment précipité le monde rural dans le désespoir, force est de constater que les meilleures intentions du monde au départ, peuvent provoquer un désastre absolu à l’arrivée. La preuve ce soir sur France 3 avec « Que mangeons-nous vraiment? », une enquête à conseiller même aux célibataires de L’Amour est dans le pré en face sur M6. Histoire de leur « fournir » un bon résumé de l’évolution-dévaluation de leur secteur en 60 ans. On retient en vrac la décision d’Edgard Pisani de lancer en 65 la Bretagne dans « le tout export » de cochons et volailles ou la décision des paysans français de « se mettre au tout soja » après avoir été inondés de films de propagande américains vantant les qualités miraculeuses de cette légumineuse sans voir et savoir que l’Amérique cherchait un second marché pour écouler ses excédents et « asservir » littéralement nos exploitants. Quelle tristesse de voir ce soir sur France 3 un éleveur attachant devenir la nounou de 56.000 poussins livrés pour être engraissés en batterie et en 31 jours top-chrono jusqu’à ce qu’ils atteignent 1,4 kg pile poils (pardon, pile plumes), poids exigé par des pays arabes qui préfèrent pourtant aujourd’hui les volailles brésiliennes ou polonaises, d’où une faille et des faillites. Eté que dire des industriels du lait qui, fixant eux-mêmes les prix, veulent tout de même « payer encore moins ». Exemple avec les (quelques) inflammations de tétines de vache, inoffensives pour l’homme mais pratiques pour l’industrie laitière, qui inflige par principe des pénalités lui rapportant dit-on 140.000.000 d’euros par an. Ben voyons ! Ya-t-il des raisons d’espérer pour le monde agricole et donc pour le consommateur ? Oui, au nom du principe selon lequel il vaut mieux mourir debout, des éleveurs et des producteurs de fruits et légumes ont fait le pari de la qualité et du « grand air ». Aucun ne le regrette. Toujours endettés mais plus heureux et moins dépressifs.

 

Les RTT qui tuent l’hôpital

Les RTT qui tuent l’hôpital

 

Les 35 heures ont constitué une véritable catastrophe dans les hôpitaux parce qu’ils ont désorganisé les services et parce qu’il  a fallu embauché 32 000 personnes. Le projet de réforme de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP)- réforme réalisée ailleurs- fait débat alors qu’il suffirait de supprimer les 30 minutes de pause repas comptées comme temps de travail ( pourquoi pas aussi le temps de sommeil !). Certes certaines conditions de travail dans certains services de soins sont difficiles et l’attitude du personnel est souvent exemplaire mais il ne faudrait pas que cela cache les réserve de productivité et les gâchis dans les services annexes ( logistique, administratif, entretien, nettoyage etc.), en particulier l’armée mexicaine des services administratifs.  La question des RTT dans les hôpitaux soulève des interrogations depuis leur instauration en 2002 qui a entraîné selon la Fédération hospitalière de France d’importantes « difficultés organisationnelles et financières ». Sur les 37.000 postes non-médicaux initialement prévus pour compenser le passage aux 35 heures, seuls 32.000 auraient été pourvus. Face au manque d’effectifs, le secteur hospitalier a dû faire appel à l’intérim et a été contraint de rappeler des agents pendant leurs congés ou leurs jours de RTT.  Résultat, les jours de compensation non pris par les agents ont été placés sur des comptes épargne-temps. Fin 2014, ils représentaient 74,7 millions d’euros selon la direction.  Face à ce constat, Martin Hirsch, qui a pris la tête en 2013 de l’AP-HP et de ses 38 établissements, s’est lancé à la « reconquête du temps perdu » tout en assurant que son projet de réforme ne visait pas à enterrer les 35 heures.

François Fillon : « Hollande m’a tué »

François Fillon : « Hollande m’a tué »

C’est en substance ce que dite Fillon dans une interview ay point. Il fait en particulier allusion au déjeuner avec Jouyet où il aurait demandé de l’aide à l’Elysée pour éliminer Sarkozy. Bref Dallas mais en politique. Pourtant Fillon n’a sans doute pas tort car Hollande est tout sauf un gentil (la reprise depuis le début de son septennat des attentats s politiques de représailles par nos services secrets) contre les terroristes le prouvent comme son attitude vis-à-vis de ses compagnes° ; Hollande préfère et de loin Sarkozy comme adversaire. Un Sarkozy nettement plus marqué à droite que Fillon (en dépit des efforts de ce dernier), plus caricatural plus vulnérable compte tenu d’une part des affaires mais aussi de son bilan présidentiel très médiocre.  L’ancien Premier ministre lâche ses coups. Dans l’édition du Point parue jeudi, François Fillon accuse plus explicitement encore François Hollande d’avoir manœuvré contre lui à l’occasion du désormais célèbre déjeuner du 24 juin avec le secrétaire général de l’Elysée, Jean-Pierre Jouyet. Ce dernier avait rapporté dans un livre que l’ancien Premier ministre demandait au pouvoir d’accélérer les procédures judiciaires contre Nicolas Sarkozy. « Les médias ont pensé que l’objectif était de dézinguer Sarkozy, mais non, au contraire : Hollande veut le remettre en selle », confie le député UMP, candidat à la primaire pour la présidentielle de 2017. »Pour ça, il faut affaiblir Juppé et moi. Avec cette affaire Jouyet, Hollande a cherché à me tuer », poursuit François Fillon qui se dit auprès du Point convaincu de « gêner ». Le Président pense ainsi que François Fillon est « le plus dangereux », dit encore ce dernier. « En 2012, il disait à son entourage : ‘Contre Sarkozy, je gagne ; contre Fillon, je ne suis pas sûr.’ » Dans l’article de l’hebdomadaire, un « intime de François Hollande » semble corroborer ce point en assurant que François Hollande « a filé un coup de main » à Nicolas Sarkozy, qui « manquait d’air ». François Fillon n’en a pas fini : « Hollande est très méchant. Dans l’affaire qui me concerne, c’est un salopard. » A l’inverse, l’ancien Premier ministre ménage Nicolas Sarkozy, « plus tendre » selon lui. « En ce moment, il est très tolérant, très aimable. Il passe son temps à me dire : ‘On est amis, François, hein?’ » « Je ne crois pas que Sarkozy soit pervers. En tout cas, sa perversité est moins grande que celle de Hollande », dit l’élu de Paris, assurant qu’à l’Elysée, « il ne (lui) a jamais fait de saloperies au sens de prendre publiquement des positions contraires aux miennes, comme l’a subi Ayrault ».

Le Pen : ma fille m’a tué !

Le Pen : ma fille m’a tué !

Psychodrame au FN  où les conflits se règlent au couteau, JM Lepen craint même un accident qui ne serait pas de son fait. Ambiance habituelle en fait, rappelons-nous l’affaire Maigret. Là c’est le père qui avait tué le fils. JM Lepen est d’autant plus révolté que c’est lui qui a transmis l’héritage du FN à Marine sans que cette dernière se soit beaucoup battue. C’est une bourgeoise avait déjà dit JM Le pen (comme lui qui a hérité d’une fortune de manière douteuse). Mais les coups tordus JM Lepen connaît, il pourrait faire payer  la trahison de sa fille prête à renoncer à tout pour le pouvoir y compris à sosn père. Finalemenet ce qu’on appelle la « normalisation » d’une parti !   L’avocat du Front national, Wallerand de Saint-Just, a annoncé mardi que le blog vidéo de Jean-Marie Le Pen ne sera plus hébergé sur le site du parti, pour des « raisons juridiques », après une nouvelle polémique suscitée par des propos du fondateur du mouvement. Une décision que le président d’honneur du FN dit avoir appris par la presse, ce qu’il regrette, a-t-il confié au site du Point. « La courtoisie ne domine pas dans cette affaire. Sur le plan affectif, je suis très blessé », a-t-il assuré, avant de poursuivre : « je supporte assez bien les coups de face mais pas ceux qui sont donnés dans le dos, lâchement. » Depuis la publication de la vidéo polémique, supprimée depuis mais que Le Lab d’Europe 1 a sauvegardée, Jean-Marie Le Pen et Marine Le Pen ne se sont pas adressé la parole. « Je n’ai plus aucune communication avec elle », a assuré le député européen de 85 ans. Un journaliste des Inrockuptibles l’a également contacté, et les propos de Jean-Marie Le Pen sont plus durs encore : Jean-Marie Le Pen au téléphone : « Ma fille m’a poignardé dans le dos. Si je les emmerde, ils n’ont qu’à me tuer. Je ne me suiciderai pas ». Plus loin, Jean-Marie Le Pen « préfère prévenir : s’il m’arrivait un accident prochainement, ça ne sera pas de mon fait.” Et de conclure : « je pense qu’elle a honte car elle sait qu’elle a accrédité le procès d’intention établi par des adversaires du Front national. (…) Elle sait que j’ai le sens du devoir et que je hais la trahison.”

 

Le Pen : Marine a tué le vieux

Le Pen : Marine a tué le vieux

C’est fait Marine a tué le vieux, plus de sorties humoristiques scabreuses  pour Jean Marie exclu du site du FN. Désormais il faut être présentable, lisse, politiquement correct au moins dans les apparences. Après les propos de Jean-Marie Le Pen sur une « fournée » à propos d’artistes anti-FN comme Patrick Bruel, le parti a décidé de ne plus héberger son blog vidéo sur le site du FN. « Tout à fait injustifié », dit-il sur France Info.  Le père se dit « blessé » par les décisions de sa fille.  »Sur le plan affectif, je ne cache pas qu’un peu quand même… On est toujours blessé d’être victime d’une injustice, et plus encore quand cette injustice a une origine familiale« , a déclaré Jean-Marie Le Pen sur France Info mercredi, alors que le site du FN a décidé de ne plus héberger son blog vidéo. C’est ce qu’a indiqué l’avocat du parti, Wallerand de Saint-Just, invoquant des « raisons juridiques« . Ce week-end, dans une de ses vidéos, Jean-Marie Le Pen évoquait une « fournée » à propos d’artistes anti-FN, dont Patrick Bruel qui est juif. Ces propos ont déclenché une polémique, au sein même du Front national, Marine Le Pen a dénoncé une « faute politique » de son père. « Je n’ai pas encore reçu de notification officielle de la décision dont j’ai pris connaissance par la dépêche de l’AFP« , indique Jean-Marie Le Pen, concernant cette décision de ne plus héberger ses vidéos. « Il est bien évident que mon journal de bord continuera« , ajoute-t-il, « sur mon site personnel » « pour autant que Dieu me prêtera vie oui« . Le président d’honneur se sent-il « lâché » par son parti ? « Par mon parti c’est beaucoup dire, en tout cas par ceux qui pour l’instant le dirigent, oui sans doute« , répond-il, précisant qu’il n’a eu aucune communication avec sa fille sur ce « désaccord« . « Je trouve que la décision de Mme LePen est tout à fait injustifiée, et le raisonnement qu’elle apporte à l’appui de sa décision est pour le moins étonnant« , dit-il également.

 

 

L’immobilier trop cher tue la croissance

L’immobilier trop cher tue  la croissance

Comme dans toute l’Europe, les prix de l’immobilier ont grimpé en flèche en France dans les années 2000. Mais contrairement à nos voisins, ils n’ont pas baissé après la crise de 2008, ou très modérément. Trop, selon Terra Nova, le laboratoire d’idées proche du Parti socialiste, qui souligne les conséquences négatives de ces prix élevés. L’épargne des Français est ainsi entièrement dédiée au logement, ce qui ralentit la consommation d’autres biens. Mais l’achat immobilier est pourtant réservé qu’à quelques ménages. Les plus modestes et les plus jeunes n’ont pas les moyens d’accéder à la propriété, ce qui renforce les inégalités entre ces exclus et les propriétaires de longue date qui étoffent encore leur patrimoine. Pour enrayer ce système, Terra Nova émet plusieurs propositions. La fondation suggère par exemple de rendre obligatoire la construction sur un terrain pour lequel une attestation de constructibilité a été émise, faute de quoi le propriétaire serait exproprié ou contraint de payer à la commune une contribution aux investissements collectifs. Dissocier la propriété du foncier et de la construction pourrait également être une solution pour développer l’offre, comme cela se fait déjà dans d’autres pays.

Trop d’impôt tue l’impôt » (Francois Lenglet)

Trop d’impôt tue l’impôt »  (Francois Lenglet)

Hausse du pourcentage de fiscalité mais pourtant déficits qui dérapent, c’est la contradiction que relève François Lenglet sur RTL. « La France a enregistré un déficit public de 4,3% du PIB en 2013 contre 4,9% en 2012. Les hausses d’impôts initiées par la droite et la gauche n’ont donc pas suffi à renflouer le trou. « Caramba, encore raté ! » : la réplique attachée à Ramon dans l’album des aventures de Tintin L’Oreille cassée, pourrait être reprise par le ministre des Finances en découvrant ce lundi 31 mars les chiffres du déficit public de la France. C’est d’autant plus dérangeant que le pays a subi l’une des plus fortes augmentations d’impôts en temps de paix. Entre 2012 et 2013, le déficit ne s’est réduit que d’une dizaine de milliards d’euros, alors que nous avons payé bien plus d’impôts supplémentaires. Certes, il y a eu des dépenses en plus ; mais ce sont aussi et surtout les recettes fiscales qui n’ont pas été à la hauteur où on les attendait. L’impôt est moins bien rentré qu’on ne l’espérait. « L’animal fiscal » (le particulier ou l’entreprise ») n’est pas idiot : dès qu’on augmente un prélèvement, il essaie de l’éviter. Il a sa disposition trois techniques. D’abord, travailler moins (le rendement de l’effort supplémentaire est faible à cause de l’impôt) ; ensuite, travailler plus mais au noir (c’est probablement ce qui s’est passé avec le travail à domicile qui a été surfiscalisé) ; enfin, travailler à l’étranger (délocalisation et ‘exil fiscal).  Dans les trois cas, l’État est perdant. Car comme le dit la maxime, « trop d’impôt tue l’impôt ». L’économiste Arthur Laffer a montré que le rendement des impôts est en réalité décroissant avec les taux de prélèvement. La France illustre aujourd’hui cet axiome de bon sens »

L’impôt tue l’impôt

L’impôt tue l’impôt

 

 

 

 L’impôt tue l’impôt car il plombe compétitivité et consommation. Du coup il manque notamment 11 milliards sur les recettes de TVA. Le compte n’y est pas, loin de là: avec près de 300 milliards d’euros, les recettes devraient au total être inférieures de près de 11 milliards à la prévision initiale. Cette déviation du scénario tient d’abord à la TVA, qui devrait rapporter 135,6 milliards cette année, soit 5,6 milliards de moins qu’anticipé. Ce chiffre s’explique par «la dégradation du contexte macroéconomique», souligne le texte du projet de loi. Les dépenses des Français sont notamment restées atones, plombant au passage les rentrées des recettes fiscales sur la consommation. La mauvaise conjoncture a également eu un impact négatif sur le bénéfice des entreprises. Selon la nouvelle prévision du gouvernement, les recettes d‘impôt sur les sociétés (IS) devraient donc avoir un rendement inférieur de 3,8 milliards à ce qui a été voté en décembre 2012. L’impôt sur le revenu, enfin, devrait rapporter quant à lui 68,8 milliards, au lieu des 71,9 un temps espéré (soit une moins-value de 3,1 milliards). Là également, l’exécutif explique ce décalage par «le contexte économique» dégradé. Mais il pointe aussi du doigt «l’impact des mesures nouvelles». Pour certains, cela veut dire que les hausses d’impôts ont conduit à davantage de travail au noir ; d’autres le justifient par la dégradation du marché de l’emploi sur l’ensemble de l’année. La droite a fait de l’enveloppe manquante un argument politique, l’imputant aux «excès fiscaux du gouvernement». Ce que la majorité balaie d’un revers de main. D’autant qu’elle s’est désormais attelée à la suite des réjouissances: la remise à plat de la fiscalité, annoncée il y a quinze jours par le premier ministre. Une centaine de députés PS, six ministres et Jean-Marc Ayrault, se sont d’ailleurs retrouvés lundi à l’Assemblée nationale pour commencer à en débattre. Il en est d’ores et déjà ressorti une «volonté de stabiliser le niveau des prélèvements obligatoires, voire de l’infléchir sur la fin du quinquennat», a souligné hier le porte-parole des députés PS, Thierry Mandon. À également été réaffirmée à cette occasion la fin de transferts d’impôts des entreprises vers les ménages, la volonté de soutenir le pouvoir d’achat des Français, mais aussi la compétitivité, en faisant davantage reposer l’imposition des entreprises sur les résultats que sur la production. Selon le ministre délégué au Budget, Bernard Cazeneuve, le gouvernement veut «travailler au cours du premier semestre 2014», de manière à arrêter les premières mesures de cette «remise à plat» dans le projet de budget 2015. La suite figurera en loi de finances 2016, voire même dans celles au-delà.

Trop dimpôts tue l’impôt

Trop dimpôts tue l’impôt

Sur un an, pour les comptes arrêtés en avril, le déficit de l’Etat s’est creusé de 7 milliards d’euros pour atteindre 67 milliards en cumulé. Outre le fruit de la vente de la quatrième licence de télephonie mobile qui avait boosté les caisses publiques l’an dernier et que l’on ne retrouve pas cette année, le ministère des Finances invoque cette fois des contributions exceptionnelles au budget européen et de moindres rentrées fiscales dues à la crise. Pour prendre le cas de la TVA (qui représente à elle seule la moitié des recettes fiscales), elle a rapporté 5 milliards et demi d’euros de moins que prévu… parallèlement, les dépenses de l’Etat ont augmenté de 5% à 140 milliards. Inutile de faire un dessin sur l’effet de ciseaux. Tous les économistes le disent. Ce n’est pas parce que Bruxelles nous a donné un peu de mou pour rentrer dans les clous budgétaires qu’il faut baisser la garde. Bien au contraire. Malheureusement, le gouvernement aura beau s’agiter comme un diable pour écoper le navire qui prend l’eau de toutes parts, à défaut de s’engager vraiment vers les économies publiques, le respect des objectifs s’éloignera mois après mois. Moins de recettes fiscales car moins de consommation en période de crise combinée à une perspective de hausses d’impôts… l’Etat s’est mis dans une impasse dont il sera bien difficile de sortir. L’équation est en train de se vérifier. Nous ressentons les effets de l’économie dite « comportementale ». S’ils sont optimistes, les ménages épargnent moins pour consommer, s’ils sont pessimistes ou, au mieux, attentistes, ils épargnent plus au dépend de la consommation. Nous sommes au cœur de cette problématique. Refiscalisation des heures supplémentaires, incertitudes sur l’avenir des auto-entrepreneurs, réforme des retraites à venir, réforme du quotient familial qui n’est en rien une économie pour l’Etat mais en réalité une augmentation nette d’impôt. Selon les prévisions, l’Etat pourrait en retirer 900 millions d’euros… au total entre 1 milliard 7 et 1 milliard 8 si l’on ajoute les réductions d’impôts pour frais de scolarité qui bénéficiaient jusqu’à présent aux familles ayant des enfants au collège et au lycée. Au total, cela représenterait une ponction supplémentaire de 0.1 à 0.2% du PIB, la richesse nationale. On pourrait s’arrêter là, sauf que la TVA doit augmenter au 1er janvier 2014.

Etats-Unis: non à l’austérité brutale qui tue la croissance

Etats-Unis: non à l’austérité brutale qui tue la croissance

 

Il ya une grande différence d’approche entre les Etats Unis et la France ou l’Europe. Chez nous la plupart des gouvernants   sont des fonctionnaires doctrinaux qui ne connaissent rien aux réalités économiques, aux Etats Unis on est beaucoup plus pragmatique et compétente. « Aussi importante soit-elle, la question des déficits ne peut pas être notre seule boussole. La réduction des déficits ne constitue pas à elle seule une politique économique », a déclaré Jacob Lew lors d’une visite à Cleveland dans l’Ohio (nord), selon le texte d’un discours transmis à la presse.  Selon M. Lew, le « degré d’urgence » appliqué au redressement des comptes publics doit être le même que celui déployé pour « faire croître » l’économie américaine et « remettre les gens au travail ».   »N’oublions pas que nous vivons encore avec les cicatrices de la crise financière », a ajouté le secrétaire au Trésor, à l’heure où le débat sur l’austérité continue d’agiter l’Union européenne.  A l’approche de la réunion des ministres des Finances des pays les plus industrialisés (G7), vendredi et samedi à Londres, M. Lew a estimé que les Etats-Unis et l’Union européenne avaient opté pour « des chemins différents ».  En dépit d’un consensus sur la nécessité de redresser les comptes publics, « nous ne sommes pas totalement d’accord sur le calendrier et sur le fait de savoir s’il est urgent d’y parvenir tout de suite », a-t-il détaillé lors d’une séance de questions-réponses.   »Nous avons pris un chemin différent de celui de l’Europe. Nous avons fixé des objectifs de réduction du déficit sur une plus longue période de temps et notre économie croît actuellement en augmentant le déficit sur le court terme », a-t-il précisé.  Selon M. Lew, il n’est pas possible de retrouver la prospérité si la politique budgétaire « plombe » l’économie.  Afin de lutter contre le taux de chômage aux Etats-Unis (7,5% en avril), M. Lew a par ailleurs insisté sur la nécessité d’engager une politique ambitieuse de travaux publics associant le secteur privé afin de ne pas alourdir la dette du pays, qui devrait atteindre cette année 108,1% de son produit intérieur brut, selon le FMI.  Le secrétaire au Trésor a également de nouveau fustigé les coupes budgétaires automatiques entrées en vigueur en mars faute d’accord au Congrès et qui menacent d’amputer les dépenses fédérales de 85 milliards de dollars d’ici à fin septembre.   »Il est grand temps de remplacer ces coupes automatiques avant qu’elles ne causent encore plus de dégâts », a-t-il indiqué.

 

Spanghero : tué par un ministre sauvé par un autre !

Spanghero : tué par un ministre sauvé par un autre !

Benoit Hamon a tué Spanghero mais le  ministre délégué à l’Agroalimentaire, Guillaume Garot veut sauver l’entreprise !, il a promis lundi à Montpellier que le gouvernement allait « au combat » aux côtés des 240 salariés de Spanghero pour sauver cette entreprise de Castelnaudary (Aude), au coeur du scandale de la viande de cheval et qui a été placée vendredi en liquidation judiciaire.   »Nous sommes au combat et nous allons conduire ce combat ensemble » avec les employés et les élus, a dit le ministre, à l’issue d’une rencontre d’urgence avec des représentants du personnel et des responsables politiques locaux.  Cette réunion a servi à définir « une méthode de travail, mais surtout une méthode de combat pour l’emploi », selon le ministre.  Cependant, a-t-il admis, « je ne dis pas que le combat sera gagné, je dis simplement aujourd’hui que nous allons livrer ce combat avec toute l’énergie qu’il faut », soulignant l’importance du savoir-faire du personnel de Spanghero.  Spanghero, prise dans la tourmente depuis février, a été mise en liquidation judiciaire vendredi, avec la possibilité de poursuivre ses activités pendant trois mois, peut-être six. Durant cette période, le propriétaire actuel, la coopérative basque Lur Berri, va chercher à vendre l’entreprise, qui perdrait 200.000 euros par semaine. Les salariés s’attendent à l’annonce d’un plan social dès cette semaine.

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