Archive pour le Tag 'Tsar ?'

Vladimir Poutine tsar dictateur qu’à 85 ans !

Vladimir Poutine tsar dictateur qu’à 85 ans

 

 

 

Il faut évidemment une sacrée dose de mépris de tout concept démocratique à Poutine pour avoir organisé une pseudo modification institutionnelle  qui va lui permettre de demeurer le tsar dictateur de Moscou jusqu’à 85 ans. L’intéressé a en effet 68 ans actuellement et les nouvelles dispositions lui permettent de rester au pouvoir jusqu’en 2036. Normalement son mandat réduit s’achevait en 2024. Le problème est que la Russie n’a jamais connu vraiment la démocratie et que la culture du KGB de Poutine l’autorise à tous les excès anti démocratique. Par ailleurs comme il a muselé complètement toute opposition, que la presse d’opinion n’existe pas, le peuple russe est maintenu dans un état de sous-culture politique dramatique. Ainsi le seul opposant à savoir Navalny d’abord victime d’une tentative d’empoisonnement et est maintenant maintenu en prison dans des conditions qui d’ailleurs menacent à nouveau sa vie.

 

Poutine n’a cure des observations et reproches des occidentaux quant à son rapport à la démocratie, un concept qu’il récuse. Pas étonnant profitant de ses 20 ans de pouvoir Kremlin il a déjà accumulé une immense fortune qui lui a permis de construire un palais démentiel justement révélé par navalny tandis que son peuple vit les conditions d’un pays en développement. Pire Poutine s’évertue en plus à organiser le désordre chaque fois qu’il le peut dans les théâtres de lutte internationale. Par exemple quand il soutient la Syrie ou encore récemment les dictateurs de Birmanie.

Russie : Poutine bientôt nommé tsar à vie

Russie : Poutine bientôt nommé tsar à vie

 

Dans plusieurs pays, la mode est à la gestion politique dictatoriale . C’est le cas par exemple en Chine où le président dispose maintenant d’un mandat à vie , c’est le cas dans certains pays d’Amérique du Sud, c’est le cas en Turquie, en Syrie et maintenant en Russie où  Poutine va réussir  en fait à être nommé Tsar à vie . Le président russe Vladimir Poutine a en effet signé la vaste réforme constitutionnelle lui accordant notamment le droit d’effectuer deux mandats supplémentaires, annonce l’agence officielle TASS, samedi 14 mars. Cet amendement avait été ajouté au texte à la surprise générale et vivement dénoncé par l’opposition.

Il doit permettre à Vladimir Poutine de remettre à zéro le nombre de ses mandats présidentiels, afin de lui donner le droit de se représenter en 2024 et en 2030.

 

Il y a presque une vingtaine d’années que Poutine occupe une sorte de fonction de tsar de la Russie. La constitution voudrait qu’il quitte maintenant le pouvoir mais l’intéressé ne semble pas en avoir l’intention. Pire, il va  officiellement se faire nommer avec une bénédiction constitutionnelle modifiée. En fait, Poutine tient le pays dans une main de fer. Certes la situation économique et sociale est particulièrement détériorée mais grâce au populisme et au nationalisme, la popularité de Poutine est grande dans le pays. Cela d’autant plus que tous les opposants sont réduits au silence, emprisonnés voire éliminés physiquement et que la presse est complètement muselée. Bref,  le régime communisme sans le communisme mais avec les méthodes du KGB maintenu. Un peu ce qui se passe de la même manière en Chine où le chef de l’État a lui aussi réussi à faire modifier la constitution de sorte que son mandat de président est désormais illimité dans le temps. Le temps des dictateurs réapparaît ainsi avec le risque surtout d’un renforcement du nationalisme voire des conflits armés.

En clair, la réforme constitutionnelle est  une «remise des compteurs à zéro» qui permettrait au chef de l’État – réélu en 2018 pour un quatrième mandat -, de se représenter en 2024. «Je propose que soit levée la limitation des mandats présidentiels et que soit inscrite une disposition permettant, après l’entrée en vigueur de la Constitution, que le président sortant ait le droit d’être élu chef de l’État, comme tout autre citoyen», a déclaré Valentina Terechkova, ex-cosmonaute et députée du parti présidentiel Russie unie qui l’a suivie comme un seul homme.

Le texte doit ensuite être définitivement approuvé lors d’un « vote populaire » prévu le 22 avril. La présidente de la Chambre haute du Parlement russe, Valentina Matvienko, a assuré à la presse que le vote devait être maintenu « malgré les diverses inquiétudes liées au coronavirus ». Ces dernières semaines, des spéculations affirmaient que le Kremlin procèderait à un vote en ligne, une éventualité dénoncée par l’opposition qui craint qu’elle ne permette des fraudes massives.

 

 

Poutine : nommé Tsar ?

Poutine : nommé Tsar ?

 

Il y a presque une vingtaine d’années que Poutine occupe une sorte de fonction de tsar de la Russie. La constitution voudrait qu’il quitte maintenant le pouvoir mais l’intéressé ne semble pas en avoir l’intention. Pire, il pourrait officiellement se faire nommer avec une bénédiction constitutionnelle modifiée. En fait, Poutine tient le pays dans une main de fer. Certes la situation économique et sociale est particulièrement détériorée mais grâce au populisme et au nationalisme, la popularité de Poutine est grande dans le pays. Cela d’autant plus que tous les opposants sont réduits au silence, emprisonnés voire éliminés physiquement et que la presse est complètement muselée. Bref,  le régime communisme sans le communisme mais avec les méthodes du KGB maintenu. Un peu ce qui se passe de la même manière en Chine où le chef de l’État a lui aussi réussi à faire modifier la constitution de sorte que son mandat de président est désormais illimité dans le temps. Le temps des dictateurs réapparaît ainsi avec le risque surtout d’un renforcement du nationalisme voire des conflits armés.

Le processus de révision de la Constitution, que Vladimir Poutine a lancé par surprise le 15 janvier, a connu mardi un coup de théâtre. Alors que la Douma, la Chambre basse du Parlement, était réunie pour examiner en deuxième lecture, la plus importante, les amendements préparés ces dernières semaines, une députée proche du Kremlin a proposé que la limitation – désormais à deux – du nombre de mandats présidentiels ne s’applique qu’après la réforme constitutionnelle.

En clair, une «remise des compteurs à zéro» permettrait au chef de l’État – réélu en 2018 pour un quatrième mandat -, de se représenter en 2024. «Je propose que soit levée la limitation des mandats présidentiels et que soit inscrite une disposition permettant, après l’entrée en vigueur de la Constitution, que le président sortant ait le droit d’être élu chef de l’État, comme tout autre citoyen», a déclaré Valentina Terechkova, ex-cosmonaute et députée du parti présidentiel Russie unie qui l’a suivie comme un seul homme.




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