Archive pour le Tag 'Trudeau'

Canada : Mark Carney remplace Justin Trudeau


Canada : Mark Carney remplace Justin Trudeau

Son manque d’expérience politique a joué en sa faveur.

Originaire de Fort Smith aux confins de l’Arctique, ce fils d’une institutrice et d’un directeur d’école, ensuite nommé professeur d’histoire de l’éducation à l’université d’Alberta, est diplômé d’Harvard puis d’Oxford. Pendant treize ans, cet anglophone au français malhabile a travaillé pour Goldman Sachs avant d’être nommé sous-gouverneur de la banque du Canada puis haut fonctionnaire à des postes clefs .

Pour demeurer en poste au-delà des quelques prochains mois, Carney devra battre l’ultraconservateur Pierre Poilievre aux élections générales initialement prévues fin avril, début mai, mais qui peuvent se tenir au plus tard en otobre. Afin de déstabiliser son adversaire, Carney a droitisé son programme en supprimant par exemple l’impopulaire taxe carbone sur les ménages, l’une des rares mesures environnementales du Canada.

Canada : la démission de Trudeau, premier ministre

Canada : la démission de Trudeau, premier ministre

 

Politique mais aussi économique, le premier ministre canadien a soudain démissionné. Deux facteurs explicatifs majeurs d’une part l’absence de majorité pour le premier ministre au Parlement, d’autre part des difficultés économiques qui vont s’amplifier notamment face aux États-Unis. Sans parler des propos irresponsables de Donald Trump qui prétend que le Canada devrait fusionner avec les États-Unis. Ou la philosophie Poutine qui contamine l’Occident !

 

 

Minoritaire au Parlement, Justin Trudeau souffre d’une faible cote de popularité, étant vu comme responsable de la forte inflation qui frappe le pays, tout comme de la crise du logement et des services publics. Et dans ce contexte tendu, les déclarations de Donald Trump après son élection sont venues mettre de l’huile sur le feu: le républicain a menacé d’imposer des droits de douane de 25% à ses voisins dès son retour au pouvoir en janvier.

Dans la foulée, la vice première ministre, Chrystia Freeland, a démissionné et affiché son désaccord avec Justin Trudeau sur la façon de gérer la guerre économique qui se profile avec les Etats-Unis. Cela a provoqué un large remaniement ministériel, qui n’aura pas suffi pour Justin Trudeau.

Le contexte de politique actuelle n’est guère favorable aux libéraux qui d’après les sondages accuseraient un retard de 20. Par rapport aux conservateurs alors que les prochaines élections législatives doivent se tenir au plus tard en octobre 2025.

 

Caricatures: la trouille de Trudeau

Caricatures: la trouille de Trudeau

 

Comme nombre de responsables politiques qui se barricadent dans de prudentes positions vis-à-vis du TERRORISME, le premier ministre canadien n’a pas fait preuve d’un grand courage en se mettant du côté de ceux QUI CONDAMNENT LES CARICATURES.  Une manière sans doute de protéger son pays mais qui ne grandit pas la démocratie et les valeurs universelles. Notons que même en France certains commencent à lâcher la bride comme ces deux intellectuels catholique ( ANCIENS RESPONSABLES DE LA REVUE ESPRIT) auteurs d’une tribune dans le monde qui ,eux aussi, rejoignent le monde des frileux alors qu’on se situe clairement dans une guerre de civilisation.

Le Premier ministre canadien, interrogé vendredi sur la liberté de critiquer le prophète Mahomet comme l’a fait Charlie Hebdo, avait estimé que la liberté d’expression n’était «pas sans limite», et ne devait pas «blesser de façon arbitraire et inutile» certains groupes ou communautés. Tout en condamnant les récents attentats terroristes en France, Justin Trudeau prenait ainsi ses distances avec la position du président français, qui a fermement défendu le droit à la caricature au nom de la liberté d’expression. Les prises de position de Justin Trudeau, chantre du multiculturalisme et du respect des minorités, ont également été dénoncées par plusieurs députés d’opposition lors d’un débat sur la liberté d’expression à la Chambre des communes. «La formation politique que je représente se dissocie sans équivoque (…) du grave manque de courage exprimé par le Premier ministre du Canada quant à l’étendue de la liberté d’expression», a lancé le chef du Bloc Québécois (Indépendantistes), Yves-François Blanchet.

« Non au retour de Poutine au G8″ (Trudeau président du Canada)

« Non au retour de Poutine au G8″  (Trudeau président du Canada)

 

Il est clair que les pays occidentaux ont mal digéré l’annexion de la Crimée par la Russie. Une digestion douloureuse qui n’a d’ailleurs appelé pratiquement aucune réplique à la hauteur de l’enjeu. S’y est ajouté l’annexion de fait  de certaines zones de l’est de l’Ukraine. La c’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. L’union européenne en particulier a pris des sanctions économiques contre la Russie et Poutine a été exclue du G8. Récemment Macron a prit l’initiative d’envisager le retour de la Russie dans le G8 sous réserve de discussions et de négociations concernant l’est de l’Ukraine. Sans doute pour contrer Macron, trame j’ai dit favorable immédiatement et sans condition à la réintégration de Poutine. La position du Canada sur le sujet est plus courageuse : pas question de réintégrer la Russie tant que celle-ci n’aura pas libéré la région de l’Est ukrainien. Il ne s’agit même pas de discussions, Trudeau le président canadien veut une libération sans condition et sans négociation.

« La violation par la Russie du droit international en envahissant la Crimée et en annexant le Donbass, et en continuant à soutenir la guerre (dans cette région de l’est ukrainien), ne nous laisse pas le choix, c’est pour ça qu’elle est exclue » du groupe des huit pays les plus industrialisés, a déclaré en conférence de presse la ministre canadienne des Affaires étrangères.

« Nous n’appuyons pas l’idée que la Russie soit réinvitée », a abondé à la presse une source gouvernementale canadienne. Au-delà de la question ukrainienne, se pose vis-à-vis de la Russie le bien-fondé d’une éventuelle réintégration dans le G8. En effet le principe des réunions du G7 est de rassembler les grands pays démocratiques. Peut-on vraiment parler de démocratie dans un pays qui pratique toujours les méthodes du KGB en liquidant les opposants et en interdisant l’accès à la candidature pour les élections. ?

 

CETA : en discussion entre Hollande et Trudeau


CETA : en discussion entre Hollande et Trudeau

 

Trudeau viendra notamment plaider la cause du Ceta au près d’un Hollande qui de toute façon ne peut plus guère peser sur la décision. L’avenir du traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada ainsi que la situation en Syrie seront abordés lors du déjeuner de travail entre François Hollande et Justin Trudeau dimanche à Arras (Pas-de-Calais), a-t-on appris jeudi dans l’entourage du président français. Plusieurs candidats à l’élection présidentielle française des 23 avril et 7 mai veulent remettre en cause ce traité controversé, qui doit faire disparaître les tarifs douaniers sur près de 99% des marchandises entre les deux partenaires. C’est le cas de la présidente du Front national, Marine Le Pen, du candidat de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, et du socialiste Benoît Hamon. Le candidat d’en Marche, Emmanuel Macron, y est favorable, tout comme celui de la droite et du centre, François Fillon, avec quelques réserves. Le Parlement européen a ratifié l’accord du CETA le 15 février. Les parlements nationaux doivent se prononcer à leur tour sur cet accord afin qu’il soit définitivement ratifié. Ce CETA constitue un curieux objet juridique ;  ce traité de libre échange, le Ceta,  signé par  Le Canada et l’Union européenne dimanche à Bruxelles le traité CETA de libre-échange, destiné à dynamiser le commerce et l’emploi. Un traité qui est signé par le Canada mais par le parlement européens et les Etats. . En attendant le traité sera en grande partie applicable sauf sur certains points comme les tribunaux arbitraux. Notons aussi que la commission européenne détient tout pouvoir pour négocier le contenu d’accord qui peut même être négocié dans plus dans le plus grand secret comme par exemple celui concernant les échanges entre l’union économique et les États-Unis appelés TT IP ou TAFTA.  Comme dans tout traité il y aura  des bénéficiaires aussi des victimes. On pourra surtout exporter davantage d’automobiles allemandes aussi de fromages français alors qu’à l’inverse le Canada pourra exporter davantage ses productions agricoles.  Le CETA va faire disparaître les tarifs douaniers sur près de 99% des marchandises. Les bénéficiaires en seront, par exemple, les constructeurs automobiles et l’industrie textile de l’UE, sur les produits desquels les droits de douane canadiens peuvent se monter à 18% jusqu’à présent. Le Canada, de son côté, bénéficiera à l’exportation de quotas plus importants pour ce qui est du porc, du bœuf et du blé vers les marchés de l’UE. L’UE pourra exporter vers le Canada plus du double du volume actuel autorisé de fromages de « haute qualité ». Les sociétés de services pourront aussi tirer parti du CETA et les entreprises de l’UE seront autorisées à répondre à des appels d’offres pour des contrats publics au niveau des provinces et des municipalités du Canada, ce qui sera une première. Le CETA fait figure de tremplin vers un accord plus large entre l’UE et les Etats-Unis, appelé TTIP (traité de libre-échange transatlantique), que contestent vivement nombre de syndicats et d’organisations écologistes ou politiques en Europe. La commissaire européenne au Commerce, Cecilia Malmström, a estimé samedi que le TTIP n’était pas mort et dit que les négociations se poursuivraient avec la future administration américaine issue de la présidentielle du 8 novembre. Les partisans du CETA font valoir que cet accord va faire bondir de 20% le commerce entre le Canada et l’UE et doper l’économie européenne de l’ordre de 12 milliards d’euros par an, et l’économie canadienne de 12 milliards de dollars




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