Archive pour le Tag 'troisième'

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Risque d’ une troisième guerre mondiale ( Bayrou)

Risque d’ une troisième guerre mondiale ( Bayrou)

 

 

Pour Bayrou,  , une troisième guerre mondiale est désormais «une vraie menace», car «ce que Poutine a fait dénote un déséquilibre personnel, une dérive profonde d’un homme qui décide qu’après tout, il va abandonner tous les accords». La «guerre nucléaire» est elle aussi une possibilité réelle, alimentée par les «arsenaux nucléaires de première importance» que possèdent la Russie et les États-Unis.

Il ne s’agit pas pour autant de «tomber dans le piège» tendu par le Kremlin. «Le piège, c’est de dire, ou bien vous appuyez sur le bouton pour déclencher la bombe atomique, ou bien vous abandonnez l’Ukraine. La solution alternative, c’est le rapport de force avec d’autres armes que la bombe nucléaire. Et c’est ce qu’on est en train de faire avec les sanctions financières, avec des livraisons d’armes», a ainsi développé le Haut-commissaire au plan. Lequel a également salué le «bel exemple d’honneur» donné par le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui va «peut-être y perdre la vie» mais «a choisi» le sacrifice pour être «au service de son pays et de son peuple».

Bayrou a aussi dénoncé des «complices actifs» et «propagateurs de la propagande du dictateur russe».

Dans son viseur : Jean-Luc MélenchonÉric Zemmour et Marine Le Pen. Mais aussi l’ancien premier ministre et candidat en 2017, François Fillon, qui vient tout juste de démissionner de ses fonctions auprès d’un groupe privé russe. «Il y a cinq ans, François Fillon aurait pu être élu président de la République. Dans quelle serions-nous aujourd’hui ?», a fait mine de s’interroger François Bayrou.

 

Emploi : plus 0,4 % au troisième trimestre

Emploi : plus 0,4 % au troisième trimestre 

Au troisième trimestre 108.300 créations nettes d’emploi dans tout le territoire, soit une progression de 0,4 % par rapport au trimestre précédent, selon l’estimation définitive publiée mercredi par l’Insee.

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Néanmoins, cette nouvelle hausse de l’emploi salarié est nettement moins forte que celle exceptionnelle du deuxième trimestre, qui s’était soldé par 309.500 créations d’emploi, un bond de 1,5 %. L’emploi salarié se situe à 1 % au-dessus de son niveau de fin 2019, ce qui équivaut à 260 900 emplois supplémentaires.

 

Du côté des rémunérations, le salaire moyen par tête (SMPT) Le SMPT est désormais supérieur de 3,1 % à son niveau de fin 2019.

En comparaison, les prix à la consommation (hors tabac) de l’ensemble des ménages augmentent de 0,5 % ce trimestre et de 1,5 % par rapport à la fin 2019. . La masse salariale soumise à cotisations sociales poursuit elle aussi sa hausse au troisième trimestre 2021 : + 3,8 % après + 2,2 %.


COVID-19: une troisième dose pour tout le monde

COVID-19: une troisième dose pour tout le monde

Pour Lila Bouadma, membre du Conseil scientifique. « Il faut une dose de rappel pour tout le monde », met-elle en garde sur BFMTV ce dimanche soir.

Si « plus on est jeune, plus l’immunité perdure (…), on sait qu’il y a une décroissance de l’immunité constante dans tous les âges », rappelle la membre du Conseil scientifique qui appelle, pour cette raison, à une dose de rappel pour tous.

La réanimatrice à l’hôpital Bichat à Paris s’inquiète de la montée actuelle du taux de contaminations au coronavirus en France. « Le virus retrouve ses conditions idéales », indique-t-elle, évoquant « les températures, l’humidité » et les changements de mode de vie avec plus de rassemblements en intérieur.

Covid: L’urgence de la troisième dose pour tous

Covid: L’urgence de la troisième dose pour tous

 

L’épidémiologiste et directrice de recherche à l’Inserm, Vittoria Colizza, estime que l’injection d’une troisième dose de vaccin pourrait freiner la circulation du virus.(JDD)

 

 

 

C’est l’une des vigies de l’épidémie. Vittoria Colizza, directrice de recherche à l’Inserm (Institut Pierre Louis d’épidémiologie, Inserm/Sorbonne université), qui prépare de nouvelles modélisations, se montre favorable à l’injection d’une troisième dose de vaccin pour tous tout de suite.  »Il ne faut plus attendre, il n’y a plus de raison de prioriser telle catégorie d’âge! », explique-t-elle.
L’accélération de l’épidémie en France vous surprend-elle?
Non, la cinquième vague n’est pas inattendue. Les conditions hivernales de température et d’humidité favorisent la circulation et la transmission du virus. Nos comportements se tournent vers l’intérieur, où le risque de contamination par les aérosols est accru. La vague est bien là, même si elle est montée avec un peu de retard et de lenteur en France, en Italie et en Espagne au regard d’autres pays européens.

Comment l’expliquez-vous?
C’est lié à notre couverture vaccinale assez élevée, mais aussi aux conditions climatiques favorables du Sud par rapport aux pays du Nord, où la flambée a été très rapide. Un autre facteur, très important : le fait d’avoir conservé le passe tout l’été. Certains pays, comme le Danemark, ont tout misé sur la vaccination et ont abandonné les autres mesures sanitaires. En Grande-Bretagne, la situation est étrange, avec un taux d’incidence élevé mais constant, comme pour les autres indicateurs (hospitalisations et décès), alors que les mesures barrière sont levées. Mais une partie de la population continue à télétravailler.

Les moins de 12 ans, qui n’ont pas accès à la vaccination, constituent en ce moment un vaste bassin de population pour la circulation du virus.

Le nombre de cas reste-t-il une boussole pertinente?
Oui, il faut continuer à suivre l’incidence, avec les autres indicateurs, pour comprendre si l’écart entre la courbe du nombre de cas et celle des hospitalisations évolue. D’un côté, la vaccination va creuser l’écart ; de l’autre, la contagiosité accrue du virus va pousser en sens inverse. Même si le vaccin contribue à freiner l’épidémie, le variant Delta est deux fois plus transmissible que la souche de l’hiver dernier et il a une probabilité presque deux fois plus élevée de développer une forme grave de la maladie.

Que disent vos dernières projections?
Nous sommes en train de mettre à jour nos modèles. C’est complexe car les variables sont nombreuses : la couverture vaccinale, son rythme, la troisième dose à introduire, et les premières estimations de la diminution au cours du temps de l’efficacité du vaccin contre l’infection… Notre équipe s’est concentrée sur l’école en réajustant nos modèles avec les caractéristiques du variant Delta et en intégrant les données du terrain pour comprendre la propagation en milieu scolaire.

Avec plus 4.000 classes fermées, l’école est-elle un moteur de la circulation du virus ?
En général, les chiffres sur la circulation virale dans les établissements sont sous-estimés. Les fermetures de classes ne représentent que ce qu’on voit, et on voit peu! La plupart du temps, les enfants sont asymptomatiques ou présentent des symptômes plus difficiles à reconnaître. Les moins de 12 ans, qui n’ont pas accès à la vaccination, constituent en ce moment un vaste bassin de population pour la circulation du virus. Grâce à nos modèles et en analysant les données de dépistage dans les établissements pendant la troisième vague, on a mis en évidence un fort niveau de transmission dans les écoles, qui contribue à la circulation virale en communauté. On a aussi prouvé que, lors de la troisième vague, les fermetures comme les vacances scolaires ont freiné l’épidémie. D’après les modèles, lorsqu’on teste de manière régulière à l’école, on réduit le nombre de jours de classe perdus en moyenne par élève ainsi que le nombre de cas. C’est une mesure préventive très forte.

 

Les hôpitaux risquent-ils la saturation ?
C’est la grande question. La dynamique et le niveau d’hospitalisation sont les indicateurs à surveiller pour mettre en place d’éventuelles nouvelles restrictions. Surtout avec la fatigue de près de deux ans de pandémie et une possible vague hivernale de grippe. Mais on ne peut pas apporter de réponse intuitive, il faut attendre les prochaines projections mathématiques. On s’attend à une vague importante de cas, comme on l’observe dans certains pays voisins. Le nombre d’hospitalisations va suivre, avec un écart plus important entre les deux courbes en fonction du niveau de vaccination.

L’Autriche reconfine, l’Allemagne prend des mesures drastiques. La France échappera-t-elle à de nouvelles restrictions?
Je ne peux pas dire quel sera l’impact sanitaire au moment du pic. Mais nous avons plusieurs outils pour éviter d’en arriver là et répondre à cette vague. À commencer par la troisième dose, le « booster ». D’un point de vue épidémique, il est urgent de l’exploiter, car ce rappel aide à « pousser » la protection contre l’infection. Développé contre la souche de Wuhan, le vaccin reste très efficace contre les formes graves après infection avec le variant Delta, ce n’était pas gagné. Il réduit aussi le risque d’être infecté et de développer des formes symptomatiques. Mais les résultats les plus récents nous montrent que cette efficacité contre l’infection est plus faible à cause du variant et diminue au cours du temps après la deuxième dose. D’où l’intérêt d’une troisième injection.

Vous prônez ce « booster » pour tous tout de suite?
Oui, il ne faut plus attendre, il n’y a plus de raison de prioriser telle catégorie d’âge! On n’a plus de problème d’approvisionnement ou d’administration comme au début de la campagne. Le « booster » agit en prévention : il va faire remonter l’efficacité vaccinale contre l’infection pour qu’une personne exposée au virus ait une probabilité bien plus faible d’être contaminée. On a besoin de réduire la circulation virale dans la population pour diminuer aussi les hospitalisations. Le rappel, c’est la mesure barrière qui, coordonnée avec une couverture vaccinale élargie, va freiner l’épidémie.

 

Avec 87% des plus de 12 ans vaccinés, a-t-on atteint un plafond de verre?
Le problème, c’est qu’on ne sait pas s’il s’agit d’ »irréductibles » opposants, s’ils procrastinent, s’ils n’ont pas accès au vaccin… Il faut aller chercher cette part de la population qui demeure non immunisée avec un risque d’hospitalisation et qui fait circuler le virus. Même si on n’en atteint qu’une fraction, ça peut avoir un impact. Car si l’efficacité vaccinale est très élevée contre les formes graves, elle n’est pas de 100%. Avec un très grand nombre de personnes infectées, mathématiquement, on déplorera plus d’hospitalisations.

Quelles sont les autres armes?
Les gestes barrière – même si on peut comprendre la lassitude des Français! On a encore quelques mois difficiles devant nous. On connaît ces règles désagréables, il faut les renforcer : ce sont des mesures de freinage très importantes qui en éviteront d’autres bien plus contraignantes. Conserver le masque, même avec le passe sanitaire, au théâtre, au cinéma, au restaurant jusqu’au repas. Aérer les locaux, c’est plus difficile en hiver mais très efficace et souvent oublié. Et bien sûr, le télétravail, un levier simple qui a un impact même en l’absence d’autre restriction.

Faut-il immuniser les enfants, comme Israël ou et les États-Unis?
L’Agence européenne évalue la sécurité du vaccin pour eux, car les études cliniques sont pour l’instant basées sur quelques milliers d’enfants. Les données en vie réelle vont vite arriver des États-Unis. Si cette vaccination se révèle sûre et efficace pour les enfants, elle concourra à ralentir la circulation virale dans l’ensemble de la population.

Société-Écriture inclusive et troisième genre : la mort de la langue française

Société-Écriture inclusive et troisième genre  : la mort  de la langue française

 

En entérinant l’écriture inclusive, le Petit Robert franchit un pas tout simplement pour s’engager dans la déconstruction de la langue française. Le troisième genre introduit  (« iel ») serait justifié par l’utilisation croissante qui en est faite. À ce compte-là il faudrait sans doute prioritairement légitimer tous le vocabulaire du RAP notoirement plus majoritaire que les préciosités langagières du wokisme.

Est-il nécessaire de rappeler que la France détient le triste privilège de figurer dans le bas des classements pour la maîtrise de la langue au plan international. On imagine ce que seront les résultats scolaires en cas d’inclusion officielle de la nouvelle écriture du troisième genre.

Le Robert a donc  annoncé mercredi avoir ajouté le pronom non genré « iel » à l’édition en ligne de son dictionnaire il y a quelques semaines, après que ses chercheurs ont constaté une utilisation croissante de ce pronom au cours des derniers mois.

La décision du Robert a suscité un vif débat dans la presse française et sur les réseaux sociaux, plusieurs responsables politiques s’opposant à ce terme.

Le gouvernement français s’oppose catégoriquement à cette idée et le ministère de l’Education a déjà résisté à de précédentes tentatives d’intégrer le langage inclusif dans le programme scolaire.

Le Robert définit le pronom « iel », contraction des pronoms « il » et « elle », comme un « pronom personnel sujet de la troisième personne du singulier et du pluriel, employé pour évoquer une personne quel que soit son genre ».

Covid-19: Pourquoi un passe sous condition d’une troisième dose pour les plus de 65 ans ?

Covid-19: Pourquoi un passe  sous condition d’une troisième dose pour les plus de 65 ans ?

 

Gérald Kierzek, médecin urgentiste et chroniqueur santé, fait part de sa perplexité dans le Figaro; Certes, il  approuve la troisième dose mais s’interroge sur la pertinence d’y associer la délivrance du passe.  (Extrait)

Gérald Kierzek est médecin urgentiste et chroniqueur santé, directeur médical de Doctissimo, et auteur notamment de Coronavirus, comment se protéger? (Éditions de l’Archipel, mars 2020).

 

Sur le fond ensuite, la nécessité d’un rappel vaccinal peut être discutée. En effet, elle se base sur des études de sérologies montrant que les plus de 65 ans voient leur taux d’anticorps baisser. Mais l’immunité est bien plus complexe qu’une simple mesure d’anticorps ! Quand les anticorps baissent, l’immunité cellulaire est là pour assurer aussi les défenses immunitaires et nous sommes médicalement incapables, en routine quotidienne, de connaître la durée de protection vaccinale. L’immunité naturelle est également une immunité forte, plus forte que celle octroyée par le vaccin comme le montrent beaucoup d’études, notamment parce qu’elle permet de développer une immunité muqueuse (anticorps IgA) au niveau ORL seule à même de stopper la circulation virale. Le vaccin n’empêche pas les contaminations car il ne confère pas cette immunité muqueuse ; il protège des formes sévères.

Il serait donc sûrement souhaitable de laisser circuler le virus chez les moins fragiles (pas de risque de formes graves et immunité naturelle solide) ainsi que chez les vaccinés sans faire de rappel. On pourrait même dire que le rebond de contaminations permet d’envisager de stopper la circulation virale et de mettre fin à l’épidémie ! Mais pour cela, il faut sortir du « mode panique » devant les courbes de tests positifs !

 

Alors que le nombre de contaminés augmente à nouveau, faut-il renforcer les gestes barrières comme l’a dit le président ?

Les gestes barrières basiques oui, les mesures restrictives non ! Je m’explique. Les gestes barrières comme le lavage des mains régulier ou les solutés hydroalcooliques quand le lavage des mains est impossible est raisonnable pour lutter contre tous les virus (Sars-Cov-2, grippe, gastro-entérites et autres). De même, l’aération des locaux, privés et publics est fondamentale. En revanche, le port du masque chez les enfants ou encore en extérieur n’a pas de sens. Il faut des mesures barrières tenables sur le long terme pour vivre avec ce virus et limiter les autres virus. Nous ne pouvons pas socialement, psychologiquement et même immunitairement vivre sous cloche.

Les conséquences psychologiques du port du masque chez les enfants sont réelles et terribles, y compris à long terme, alors que son efficacité comme geste barrière plus qu’hypothétique. Trop d’hygiène tue l’hygiène sur le plan immunitaire. On le voit actuellement avec la recrudescence de la bronchiolite chez les enfants nés pendant les mesures de confinement. Leur système immunitaire n’a pas été confronté aux virus classiques liés à la vie en société (crèches, etc.) et est fragilisé.

 

Il est impératif de ne pas sombrer dans une folie hygiéniste dangereuse politiquement et médicalement. Là encore, il ne faut pas céder à la panique des chiffres.

Les contaminations vont augmenter inexorablement mais ne constituent pas une vague au sens de saturation hospitalière. Nous avons assisté en 2020 à des vagues de saturation des réanimations dans deux régions essentiellement (Grand Est et Ile de France) ; stricto sensu, nous ne pouvons plus parler de troisième, quatrième ou cinquième « vague » puisqu’il s’agit désormais de vague de tests positifs sans répercussion hospitalière.

La crise actuelle de l’hôpital, et j’allais dire même celle de 2020 soi-disant liée au COVID, est structurelle et liée au manque de lits et maintenant de personnels. Les patients COVID n’ont représenté que 2% de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020 selon le rapport de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation qui collecte et analyse toutes les données hospitalières ! Bien loin du fantasme collectif d’un hôpital rempli de patients COVID avec des personnes ne pouvant être prises en charge et « triées » pour entrer à l’hôpital.

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Santé-Covid : passe et troisième dose anticonstitutionnels ?

  • Santé-Covid : passe et troisième dose anticonstitutionnels ? 
  •  Il se pourrait bien que l’orientation gouvernementale qui vise à rendre obligatoire pratiquement la troisième dose pour les plus de 65 ans ne soit pas considérée comme conforme à la constitution. En effet, on introduit la charte de discrimination par l’âge alors qu’aucune étude précise et fiable ne permet de démontrer le taux et le temps de couverture des vaccins. Tout dépend en fait beaucoup de l’état de santé des intéressés. Pour preuve actuellement même avec seulement deux doses, nombre de personnes de moins de 60 ans sont de plus en plus nerveuse nombreuse à fréquenter les services de réanimation. Il ne s’agit donc pas de la seule question de l’âge mais de l’état pathologique des malades. La troisième dose ne sera pas théoriquement obligatoire mais le deviendra de fait pour  obtenir un passe sanitaire en règle
  • «Une campagne (de rappel) a été lancée depuis la fin de l’été pour tous les plus de 65 ans et les plus fragiles, il nous faut aujourd’hui l’accélérer», a rappelé le chef de l’État lors d’une allocution télévisée. «À partir du 15 décembre, il vous faudra justifier d’un rappel pour prolonger la validité de votre passe sanitaire», a-t-il poursuivi.

Macron., qui se transforme en infirmière chefs’avance sur des terres inconnues pour lui qui par ailleurs ne sauraient relever de la responsabilité d’un chef d’État.

Covid-19 : passe et troisième dose anticonstitutionnels ?

  • Covid-19 : passe et troisième dose anticonstitutionnels ? 
  •  Il se pourrait bien que l’orientation gouvernementale qui vise à rendre obligatoire pratiquement la troisième dose pour les plus de 65 ans ne soit pas considérée comme conforme à la constitution. En effet, on introduit la charte de discrimination par l’âge alors qu’aucune étude précise et fiable ne permet de démontrer le taux et le temps de couverture des vaccins. Tout dépend en fait beaucoup de l’état de santé des intéressés. Pour preuve actuellement même avec seulement deux doses, nombre de personnes de moins de 60 ans sont de plus en plus nerveuse nombreuse à fréquenter les services de réanimation. Il ne s’agit donc pas de la seule question de l’âge mais de l’état pathologique des malades. La troisième dose ne sera pas théoriquement obligatoire mais le deviendra de fait pour  obtenir un passe sanitaire en règle
  • «Une campagne (de rappel) a été lancée depuis la fin de l’été pour tous les plus de 65 ans et les plus fragiles, il nous faut aujourd’hui l’accélérer», a rappelé le chef de l’État lors d’une allocution télévisée. «À partir du 15 décembre, il vous faudra justifier d’un rappel pour prolonger la validité de votre passe sanitaire», a-t-il poursuivi.

Macron. , qui se transforme en infirmière chef s’avance sur des terres inconnues pour lui qui par ailleurs ne sauraient relever de la responsabilité d’un chef d’État.

Contre la troisième dose dans le passe sanitaire ( Académie de médecine)

Contre la troisième dose dans le passe sanitaire ( Académie de médecine)

un caillou dans la chaussure du moment avec la position de l’académie de médecine qui refuse l’obligation d’intégration de la troisième dose dans le pass sanitaire L’Académie de médecine est opposée à l’idée envisagée par le gouvernement de conditionner le passe sanitaire à une troisième dose de vaccin anti-Covid, qui «outrepasse» selon elle le rôle de ce document. Cette mesure «transgresse le rôle dévolu au passe sanitaire qui était de limiter le risque de transmission du virus et d’inciter la population à se faire vacciner», a estimé l’Académie de médecine dans un communiqué vendredi. «Elle induit quelque incertitude sur l’efficacité de la vaccination et suscite une discrimination injustifiée à l’égard des personnes les plus vulnérables qui ont déjà accepté de recevoir les deux premières doses de vaccin», poursuit l’instance.

Chômage : baisse au troisième trimestre

Chômage : baisse au troisième trimestre

 

Conséquence de la reprise de la croissance, le chômage de catégorie a a diminué d’environ 5 %., Soit le même chiffre que l’évolution du PIB. En Juillet et septembre, le nombre de demandeurs d’emploi a poursuivi sa décrue, entamée depuis plusieurs mois. Selon les derniers chiffres de la direction de l’Animation de la recherche, des Études et des Statistiques (Dares), publiés ce jour, le nombre de chômeurs de catégorie A en France entière s’est établi, au troisième trimestre, à 3,544 millions, en baisse de 5,5% sur un trimestre.

Le  nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A a dégringolé de 9,7% sur un an : il revient désormais à son niveau pré-crise, de fin 2019. Les catégories B et C connaissent une évolution contrastée : la première baisse légèrement sur le trimestre mais croît de 3,3% sur un an, et la seconde, qui concerne les individus en activité réduite longue, augmente fortement. Combinées, les catégories A, B, C n’ont ainsi pas encore retrouvé leur niveau pré-Covid : 5,87 millions d’individus appartiennent à cette catégorie, et 6,67 millions de demandeurs sont enregistrés, toutes catégories confondues.

Covid France : 60% % contre l’obligation d’une troisième dose

Covid France : 60% % contre l’obligation d’une troisième dose

Selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro près de 6 sondés sur 10 rejettent surtout l’idée de conditionner le passe sanitaire à l’administration de cette nouvelle injection. Dans son ensemble, le bilan d’Emmanuel Macron est jugé plutôt négativement par 52 % des Français.  Les sympathisants de la France insoumise (77 %) et du Rassemblement national (67 %) sont aujourd’hui parmi les plus mécontents de sa gestion de l’épidémie.

C’est parmi les sympathisants de la France insoumise et d’Europe Écologie-les Verts, ainsi que dans les catégories populaires et les foyers les plus modestes que cette opposition est la plus forte. Parmi l’échantillon interrogé, ils ne sont que 37 % à envisager actuellement de se faire administrer celle-ci «le plus rapidement possible», et 36 % d’entre eux préfèrent encore «attendre d’être sûr que ce soit bien utile», avant de se décider.

Covid : un troisième traitement (OMS)

Covid : un troisième traitement (OMS)

 

 

U n nouveau traitement vient d’être reconnu par l’organisation mondiale de la santé. L’OMS a officiellement recommandé vendredi un troisième traitement contre le Covid-19, les anticorps de synthèse de Regeneron,. Injectés en intraveineuse, ils sont censés épauler le système immunitaire pour neutraliser le coronavirus. L’ancien président des États-Unis, Donald Trump, a reçu ce traitement quand il avait attrapé le Covid en septembre/octobre 2020.

 

Sondage troisième dose moins de 12 ans : 62 % réticents

Sondage troisième dose moins de 12 ans : 62 % réticents

 

 

les Français sont majoritairement (66 %) favorables à la vaccination des 12-17 ans qui a démarré mi-juin,mais  62 % d’entre eux sont réticents à voir les moins de 12 ans recevoir les doses, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro publié jeudi. Les parents de mineurs s’y opposent encore plus nettement, à 70 %. Rappelons qu’en France, si plus de 66 % des adolescents ont déjà reçu une première dose, la vaccination des moins de 12 ans n’est pas d’actualité: les autorités sanitaires attendent les résultats des essais cliniques en cours avant de se pencher sur la question, qui divise déjà le corps médical.

Covid-19 : démarrage de la troisième dose

Covid-19 : démarrage de la troisième dose

 

Les personnes âgées de plus de 65 ans ou atteintes de comorbidités qui ont reçu leur dernière injection il y a minimum six mois sont concernées, soit 18 millions de Français.

Covid: la troisième dose pour tous ? ( Fischer)

Covid: la troisième dose pour tous ? ( Fischer)

« Pour les personnes plus jeunes et en bonne santé, est-ce qu’un tel rappel sera nécessaire? On verra », répond ce lundi sur BFM  le président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, « mais on attend justement des informations qui vont arriver continuellement dans de nombreux pays sur la durée de protection ».

La durée totale de protection que confèrent les sérums est sans doute la grande inconnue, même si de récentes études avancent une efficacité stable pendant six à huit mois.

La Haute autorité pour la santé a récemment souhaité un rappel d’un vaccin à ARN messager « pour les personnes de 65 ans et plus, ainsi que pour les personnes présentant des comorbidités qui augmentent le risque de formes graves de Covid-19″.

 

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