Archive pour le Tag 'trimestre'

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Economie- Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

Economie- Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

 Les chiffres de la croissance se situent dans l’épaisseur du trait et les prévisions à peine positives sont très aléatoires surtout avec la perspective d’un conflit social au cours du premier semestre.

Dans sa dernière enquête de conjoncture dévoilée ce mercredi 11 janvier, la Banque de France table sur une maigre croissance du produit intérieur brut (PIB) de 0,1% au premier trimestre, après 0,1% au dernier trimestre 2022. « Nous confirmons notre précédente prévision de décembre, » a déclaré le directeur des études, Olivier Garnier, lors d’une réunion avec des journalistes. Les chiffres de la Banque de France pour les trois derniers mois de l’année sont plus optimistes que ceux de l’Insee. L’institut public tablait sur un recul de -0,2% au dernier trimestre 2022.

D’après la Banque de France « 2023 devrait marquer un fort ralentissement mais échapper à l’atterrissage brutal redouté il y a quelques mois. La croissance devrait être faiblement positive à 0,3% en 2023. »

Dans ses voeux aux acteurs de l’économie il y a quelques jours, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire a une fois de plus affirmé que « l’économie française résiste, » soulignant que la croissance du PIB avait progressé de 2,5% en 2022. En revanche, il n’a pas donné de chiffre pour 2023 en précisant simplement qu’elle serait « positive ». Pour rappel, l’exécutif tablait sur une croissance de 1% cette année dans le budget 2023. Un chiffre qui semble de moins en moins crédible aux yeux de beaucoup d’économistes.

L’augmentation spectaculaire des prix de l’énergie depuis la fin de l’année 2021 est venue grignoter le pouvoir d’achat des ménages et percuter l’activité des entreprises en dépit des mesures de bouclier tarifaire et la remise sur les carburants. Même si les prix de l’énergie ont commencé à marquer le pas, le bouclier tarifaire moins généreux depuis le premier janvier et la fin de cette ristourne risquent de repousser l’échéance d’une inflation plus modérée.  Il est clair que le relèvement des taux d’intérêt de la BCE va encore accentuer la tendance baissière de l’économie.

Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

 

Les chiffres de la croissance se situent dans l’épaisseur du trait et les prévisions à peine positives sont très aléatoires surtout avec la perspective d’un conflit social au cours du premier semestre.

Dans sa dernière enquête de conjoncture dévoilée ce mercredi 11 janvier, la Banque de France table sur une maigre croissance du produit intérieur brut (PIB) de 0,1% au premier trimestre, après 0,1% au dernier trimestre 2022. « Nous confirmons notre précédente prévision de décembre, » a déclaré le directeur des études, Olivier Garnier, lors d’une réunion avec des journalistes. Les chiffres de la Banque de France pour les trois derniers mois de l’année sont plus optimistes que ceux de l’Insee. L’institut public tablait sur un recul de -0,2% au dernier trimestre 2022.

D’après la Banque de France « 2023 devrait marquer un fort ralentissement mais échapper à l’atterrissage brutal redouté il y a quelques mois. La croissance devrait être faiblement positive à 0,3% en 2023. »

Dans ses voeux aux acteurs de l’économie il y a quelques jours, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire a une fois de plus affirmé que « l’économie française résiste, » soulignant que la croissance du PIB avait progressé de 2,5% en 2022. En revanche, il n’a pas donné de chiffre pour 2023 en précisant simplement qu’elle serait « positive ». Pour rappel, l’exécutif tablait sur une croissance de 1% cette année dans le budget 2023. Un chiffre qui semble de moins en moins crédible aux yeux de beaucoup d’économistes.

 

L’augmentation spectaculaire des prix de l’énergie depuis la fin de l’année 2021 est venue grignoter le pouvoir d’achat des ménages et percuter l’activité des entreprises en dépit des mesures de bouclier tarifaire et la remise sur les carburants. Même si les prix de l’énergie ont commencé à marquer le pas, le bouclier tarifaire moins généreux depuis le premier janvier et la fin de cette ristourne risquent de repousser l’échéance d’une inflation plus modérée.  Il est clair que le relèvement des taux d’intérêt de la BCE va encore accentuer la tendance baissière de l’économie.

Russie : récession de de 3,7% au 3ème trimestre

Russie : récession de de 3,7% au 3ème trimestre

Il faut prendre évidemment avec prudence l’évaluation officielle de la Russie concernant la récession en cours. Le produit intérieur brut (PIB) russe aurait baissé seulement de 3,7% au troisième trimestre, selon l’estimation définitive publiée mercredi par l’agence nationale de statistiques Rosstat, une légère révision par rapport au premier chiffre dévoilé mi-novembre (-4%). Après une contraction de 4,1% au deuxième trimestre, le PIB russe a ainsi suivi une trajectoire globalement identique au troisième trimestre, faisant entrer la Russie en récession technique. Selon Rosstat, le PIB s’est ainsi contracté de 3,7% entre juillet et septembre.En réalité on pourrait plus proche de 5 %.

Ce chiffre reste plus faible que les estimations anticipées par les analystes, qui avaient dit mi-novembre s’attendre à une chute plus marquée de l’économie au troisième trimestre, autour de -4,5%. La catégorie « commerce de gros et de détail, réparations de véhicules, véhicules et motos » a été le secteur le plus touché, avec une chute de près de 20% de son activité. A l’inverse, le secteur de la construction a, lui, augmenté de 6,6% en glissement annuel.

Les trois premiers mois de 2022 avaient vu le PIB russe croître de 3,5%, mais le déclenchement de l’offensive en Ukraine fin février a entraîné une pluie de sanctions internationales et de nombreux problèmes pour l’économie russe: importations et exportations limitées, pénurie de personnel exacerbée, difficultés d’approvisionnement en pièces détachées, etc.

Activité économique France: la stagnation au quatrième trimestre

Activité économique: la stagnation au quatrième trimestre ?

Pour ne pas désespérer Billancourt et surtout plaire au pouvoir, la Banque de France fait le pari d’une croissance insignifiante de 0,1 % au quatrième trimestre. Autant dire en vérité qu’on va tutoyer la stagnation ( que prévoit l’Insee) voire la récession. En effet, tout va dépendre de l’attitude des ménages qui encaissent mal les conséquences de l’inflation sur la baisse drastique du pouvoir d’achat. Pour preuve la consommation est régulièrement en recul en France.

D’après la Banque de France, l’activité mesurée par l’évolution du PIB devrait croître très légèrement, de 0,1%, au quatrième trimestre dans un contexte de grande incertitude liée notamment à la crise énergétique, a indiqué jeudi 8 décembre la Banque de France. Cette «bonne nouvelle» selon l’institution, mais Qui pourrait rapidement être contredite par les faits , s’appuie sur la résilience des entreprises alors que la France subit de plein fouet la flambée des prix de l’énergie depuis l’invasion de l’Ukraine et une inflation soutenue qui entame le pouvoir d’achat.

L’activité économique devrait continuer à progresser sensiblement dans les services en décembre, tandis qu’elle se stabiliserait dans l’industrie et se replierait légèrement dans le bâtiment, selon cette enquête menée auprès d’environ 8500 entreprises entre fin novembre et début décembre.
«Globalement, il n’y a pas du tout de chute de l’activité en fin d’année», a souligné Olivier Garnier: le PIB devrait croître de 0,1% au quatrième trimestre, confirmant la prévision précédente d’une «très légère hausse». «Bien sûr, c’est encore entaché d’incertitude», a-t-il ajouté, mais «on a une activité qui résiste bien, et même plutôt un tout petit mieux que prévu».

Pour l’ensemble de l’année 2022, la Banque de France a confirmé sa prévision d’une croissance de 2,6%, identique à celle de l’Insee qui s’attend pour sa part à une stagnation du PIB au dernier trimestre.

Dans un contexte de hausse des prix se poursuivant à un «rythme soutenu», la Banque de France a dit cependant rester attentive à la situation de trésorerie, qui se stabilise à un niveau «très bas» dans l’industrie, ainsi qu’à l’évolution des stocks. Ces derniers ont grimpé à un niveau jugé «élevé» du fait d’une baisse de la demande ou de difficultés d’approvisionnement notamment, voire de craintes d’éventuelles pénuries d’énergie dans les prochains mois.

Quant à l’impact de la crise énergétique sur leur activité, les entreprises n’ont pas fait état de changement significatif par rapport à octobre, quand la Banque de France a commencé à les interroger sur ce sujet. Ainsi, 24% d’entre elles disent avoir été affectées en novembre, dont 6% fortement. Elles sont toutefois 35% à s’attendre à un impact sur les trois prochains mois, et elles sont encore plus nombreuses à craindre pour leurs marges (52%).

Selon le gouverneur de la Banque de France, tout ira mieux en 2025. Le même pronostic que Macron !

Perspective Croissance : la stagnation au quatrième trimestre ?

Perspective Croissance : la stagnation au quatrième trimestre ?

Pour ne pas désespérer Billancourt et surtout plaire au pouvoir, la Banque de France fait le pari d’une croissance insignifiante de 0,1 % au quatrième trimestre. Autant dire en vérité qu’on va tutoyer la stagnation ( que prévoit l’Insee) voire la récession. En effet, tout va dépendre de l’attitude des ménages qui encaissent mal les conséquences de l’inflation sur la baisse drastique du pouvoir d’achat. Pour preuve la consommation est régulièrement en recul en France.

D’après la Banque de France, l’activité mesurée par l’évolution du PIB devrait croître très légèrement, de 0,1%, au quatrième trimestre dans un contexte de grande incertitude liée notamment à la crise énergétique, a indiqué jeudi 8 décembre la Banque de France. Cette «bonne nouvelle» selon l’institution, mais Qui pourrait rapidement être contredite par les faits , s’appuie sur la résilience des entreprises alors que la France subit de plein fouet la flambée des prix de l’énergie depuis l’invasion de l’Ukraine et une inflation soutenue qui entame le pouvoir d’achat.

L’activité économique devrait continuer à progresser sensiblement dans les services en décembre, tandis qu’elle se stabiliserait dans l’industrie et se replierait légèrement dans le bâtiment, selon cette enquête menée auprès d’environ 8500 entreprises entre fin novembre et début décembre.
«Globalement, il n’y a pas du tout de chute de l’activité en fin d’année», a souligné Olivier Garnier: le PIB devrait croître de 0,1% au quatrième trimestre, confirmant la prévision précédente d’une «très légère hausse». «Bien sûr, c’est encore entaché d’incertitude», a-t-il ajouté, mais «on a une activité qui résiste bien, et même plutôt un tout petit mieux que prévu».

Pour l’ensemble de l’année 2022, la Banque de France a confirmé sa prévision d’une croissance de 2,6%, identique à celle de l’Insee qui s’attend pour sa part à une stagnation du PIB au dernier trimestre.

Dans un contexte de hausse des prix se poursuivant à un «rythme soutenu», la Banque de France a dit cependant rester attentive à la situation de trésorerie, qui se stabilise à un niveau «très bas» dans l’industrie, ainsi qu’à l’évolution des stocks. Ces derniers ont grimpé à un niveau jugé «élevé» du fait d’une baisse de la demande ou de difficultés d’approvisionnement notamment, voire de craintes d’éventuelles pénuries d’énergie dans les prochains mois.

Quant à l’impact de la crise énergétique sur leur activité, les entreprises n’ont pas fait état de changement significatif par rapport à octobre, quand la Banque de France a commencé à les interroger sur ce sujet. Ainsi, 24% d’entre elles disent avoir été affectées en novembre, dont 6% fortement. Elles sont toutefois 35% à s’attendre à un impact sur les trois prochains mois, et elles sont encore plus nombreuses à craindre pour leurs marges (52%).

Selon le gouverneur de la Banque de France, tout ira mieux en 2025. Le même pronostic que Macron !

Croissance : la France va frôler la stagnation au quatrième trimestre

Croissance : la France va frôler la stagnation au quatrième trimestre

Pour ne pas désespérer Billancourt et surtout plaire au pouvoir, la Banque de France fait le pari d’une croissance insignifiante de 0,1 % au quatrième trimestre. Autant dire en vérité qu’on va tutoyer la stagnation ( que prévoit l’Insee) voire la récession. En effet, tout va dépendre de l’attitude des ménages qui encaissent mal les conséquences de l’inflation sur la baisse drastique du pouvoir d’achat. Pour preuve la consommation est régulièrement en recul en France.

D’après la Banque de France, l’activité mesurée par l’évolution du PIB devrait croître très légèrement, de 0,1%, au quatrième trimestre dans un contexte de grande incertitude liée notamment à la crise énergétique, a indiqué jeudi 8 décembre la Banque de France. Cette «bonne nouvelle» selon l’institution, mais Qui pourrait rapidement être contredite par les faits , s’appuie sur la résilience des entreprises alors que la France subit de plein fouet la flambée des prix de l’énergie depuis l’invasion de l’Ukraine et une inflation soutenue qui entame le pouvoir d’achat.

L’activité économique devrait continuer à progresser sensiblement dans les services en décembre, tandis qu’elle se stabiliserait dans l’industrie et se replierait légèrement dans le bâtiment, selon cette enquête menée auprès d’environ 8500 entreprises entre fin novembre et début décembre.
«Globalement, il n’y a pas du tout de chute de l’activité en fin d’année», a souligné Olivier Garnier: le PIB devrait croître de 0,1% au quatrième trimestre, confirmant la prévision précédente d’une «très légère hausse». «Bien sûr, c’est encore entaché d’incertitude», a-t-il ajouté, mais «on a une activité qui résiste bien, et même plutôt un tout petit mieux que prévu».

Pour l’ensemble de l’année 2022, la Banque de France a confirmé sa prévision d’une croissance de 2,6%, identique à celle de l’Insee qui s’attend pour sa part à une stagnation du PIB au dernier trimestre.

Dans un contexte de hausse des prix se poursuivant à un «rythme soutenu», la Banque de France a dit cependant rester attentive à la situation de trésorerie, qui se stabilise à un niveau «très bas» dans l’industrie, ainsi qu’à l’évolution des stocks. Ces derniers ont grimpé à un niveau jugé «élevé» du fait d’une baisse de la demande ou de difficultés d’approvisionnement notamment, voire de craintes d’éventuelles pénuries d’énergie dans les prochains mois.

Quant à l’impact de la crise énergétique sur leur activité, les entreprises n’ont pas fait état de changement significatif par rapport à octobre, quand la Banque de France a commencé à les interroger sur ce sujet. Ainsi, 24% d’entre elles disent avoir été affectées en novembre, dont 6% fortement. Elles sont toutefois 35% à s’attendre à un impact sur les trois prochains mois, et elles sont encore plus nombreuses à craindre pour leurs marges (52%).

Selon le gouverneur de la Banque de France, tout ira mieux en 2025. Le même pronostic que Macron !

Croissance menacée au quatrième trimestre

Croissance menacée au quatrième trimestre

La croissance pourrait être insignifiante au quatrième trimestre voir même nulle. la Banque de France table en effet sur une croissance décevante au dernier trimestre 2022.
« Compte tenu des nombreuses incertitudes, nous nous attendons à une très légère hausse du PIB au dernier trimestre » , a déclaré le directeur des études, Olivier Garnier. Compte tenu de ces incertitudes, la Banque de France ne prend même pas le risque de fournir des prévisions chiffrées.

Dans son enquête mensuelle de conjoncture du mois d’octobre, la Banque de France a interrogé les dirigeants sur les répercussions de la crise énergétique sur leur activité et leurs marges dans les prochains mois. Résultat, deux tiers des industriels anticipent un impact de cette crise sur leur taux de marge au cours du dernier trimestre. Du côté du bâtiment, cette proportion (63%) est comparable à celle de l’industrie. Enfin, dans les services, 44% des entreprises redoutent des conséquences sur leur taux de marge dans les mois à venir. Ces différences ne sont pas vraiment une surprise compte tenu du poids de l’énergie dans les coûts de production dans l’industrie et le bâtiment. Le prolongement de cette hausse de prix pourrait porter un coup sévère à l’industrie française déjà fragilisée ces dernières décennies.

Après avoir connu de fortes perturbations en lien avec la pandémie, les entreprises retrouvent des couleurs en matière d’approvisionnement. Il faut dire que la crise sanitaire et les confinements à répétition avaient provoqué un séisme sur les routes commerciales maritimes, aériennes et ferroviaires partout sur le planète. Selon la dernière enquête de la Banque de France, la proportion d’entreprises dans l’industrie ayant des difficultés d’approvisionnement est passée de 48% à 43% entre septembre et octobre.

Du côté du bâtiment, ce ratio reste stable autour de 40% sur la même période. La tendance observée depuis le pic du printemps montre une vraie inflexion des courbes. En revanche, les problèmes de recrutement, certes en repli, demeurent à des niveaux extrêmement élevés au mois d’octobre à 55% en moyenne pour l’ensemble des secteurs. Dans le bâtiment ou les services, ce pourcentage atteint des sommets (60%). La détente sur le marché du travail tant attendue par les recruteurs se fait attendre.

Revenu: un recul plus important en France qu’ailleurs au deuxième trimestre

Revenu: un recul plus important en France qu’ailleurs au deuxième trimestre

D’une certaine manière, l’OCDE confirme le recul du pouvoir d’achat en France. Un constat facilement compréhensible puisque l’inflation sera de l’ordre de 6 % et que l’augmentation des salaires va tourner autour de 3 %. Soit une perte de 3 % sur l’année.

Le revenu réel (c’est-à-dire en tenant compte de l’inflation) des ménages français, par personne, a reculé au deuxième trimestre, selon l’OCDE. L’organisation internationale chiffre cette baisse à 1,2 % par rapport au trimestre précédent. Soit une perte plus de deux fois plus importante que la moyenne des 38 pays de l’OCDE (sauf le Japon dont les données ne sont pas encore ¬disponibles). En Allemagne, le revenu réel a augmenté de 0,4 %.

Dans l’Hexagone, il avait déjà reculé, de 1,6 %, au premier trimestre, mais sur les trois derniers mois de 2021, il était en progression de 1,2 %. L’ensemble des pays de l’OCDE, en moyenne, a en¬registré son troisième recul trimestriel consécutif.

Recul du revenu plus important en France qu’ailleurs au deuxième trimestre

Recul du revenu plus important en France qu’ailleurs au deuxième trimestre

D’une certaine manière, l’OCDE confirme le recul du pouvoir d’achat en France. Un constat facilement compréhensible puisque l’inflation sera de l’ordre de 6 % et que l’augmentation des salaires va tourner autour de 3 %. Soit une perte de 3 % sur l’année.

Le revenu réel (c’est-à-dire en tenant compte de l’inflation) des ménages français, par personne, a reculé au deuxième trimestre, selon l’OCDE. L’organisation internationale chiffre cette baisse à 1,2 % par rapport au trimestre précédent. Soit une perte plus de deux fois plus importante que la moyenne des 38 pays de l’OCDE (sauf le Japon dont les données ne sont pas encore ¬disponibles). En Allemagne, le revenu réel a augmenté de 0,4 %.

Dans l’Hexagone, il avait déjà reculé, de 1,6 %, au premier trimestre, mais sur les trois derniers mois de 2021, il était en progression de 1,2 %. L’ensemble des pays de l’OCDE, en moyenne, a en¬registré son troisième recul trimestriel consécutif.

Bénéfices stratosphériques CGM–CMA de 7,6 milliards en un trimestre !

Bénéfices stratosphériques CGM–CMA de 7,6 milliards en un trimestre !

 

L’armateur a largement profité de la désorganisation des processus de production et des dysfonctionnements logistiques pour engranger sur un seul trimestre 6,7 milliards de bénéfices. Un résultat à provenant essentiellement de l’augmentation des taux de fret et qui évidemment nourrit aussi l’inflation.

Cette information intervient en même temps que l’Allemagne décide une taxe sur les superprofits alors que la France pour l’instant s’y oppose. Évidemment, on conviendra que les résultats financiers peuvent varier avec la conjoncture mais sans doute pas à ce point là qui relève de la spéculation.( Comme pour  les énergéticiens et autres). En clair, certains producteurs et distributeurs profitent  de la crise Covid.

Le e chiffre d’affaires a bondi de 57% sur un an, à 19,48 milliards de dollars. La performance est donc stratosphérique. En moyenne chaque jour, l’armateur dirigé par Rodolphe Saadé, dégage un bénéfice net de 84,4 millions de dollars. Depuis le début de l’année, les bénéfices flirtent avec les 15 milliards de dollars, soit quasiment autant qu’au cours de l’ensemble de l’année dernière (17,9 milliards).

En six mois, le groupe basé à Marseille aura engrangé 14,8 milliards de dollars, après un record de 17,9 milliards sur toute l’année 2021. Cela lui a valu de figurer, aux côtés d’énergéticiens, parmi les cibles d’une éventuelle taxe sur les « superprofits », réclamée par l’opposition de gauche en France.

La Première ministre Élisabeth Borne avait indiqué la semaine dernière qu’elle ne fermait pas la porte à une telle taxation, mais qu’elle préférait que chaque entreprise qui le peut « baisse les prix pour le consommateur et donne du pouvoir d’achat à ses salariés ».

« Une taxe n’a jamais amélioré la vie de nos compatriotes. Nos compatriotes ont besoin d’argent dans leur poche, pas dans les poches de l’Etat », insistait le ministre de l’Economie Bruno Le Maire devant le Parlement en juillet. Au retour de la pause estivale, sa ligne n’a pas changé et le numéro 2 du gouvernement fait désormais des appels du pied aux secteurs bancaire et assurantiel pour qu’ils réduisent les frais bancaires ou les primes d’assurance. Mais les partisans d’une taxe n’ont pas pour autant  abandonné D’autant que le champ des activités bénéficiant de la crise  Covid est beaucoup plus large..

« On n’a pas l’impression que le code de la taxation soit à même de répartir justement (les profits), surtout depuis le Covid », a jugé Esther Duflo vendredi sur France Inter. Donc « la taxe sur les superprofits, c’est une vraie bonne idée », a poursuivi la colauréate du prix Nobel d’économie 2019.

A Matignon, le ton est devenu légèrement plus conciliant au sujet d’une telle taxation.

« Je pense que les entreprises vont faire preuve de responsabilité » en agissant pour le pouvoir d’achat des Français, a estimé jeudi Elisabeth Borne. Mais « si certaines ne le faisaient pas, nous ne fermons pas la porte » à une taxation exceptionnelle des superprofits, a-t-elle dit.

 

Économie–Croissance Europe : résistance au second trimestre mais hausse de l’inflation et inquiétude pour l’avenir

Économie–Croissance  Europe : résistance au second trimestre mais hausse de l’inflation et  inquiétude pour l’avenir

 

Les chiffres du second trimestre sont relativement encore satisfaisants pour l’Europe au second trimestre mais des inquiétudes émergent sérieusement du fait en particulier de la montée de l’inflation qui pourrait tuer la croissance. Une inflation qui a d’abord été nourrie par les prix de l’énergie et maintenant par les prix de l’alimentaire et des services.

D’après l’estimation flash dévoilée par Eurostat mercredi 17 août, la croissance du produit intérieur brut (PIB) de l’union monétaire a accéléré de 0,6% entre avril et juin. Au premier trimestre, l’activité avait augmenté de 0,5%. L’institut de statistiques européen a révisé très légèrement à la baisse ses chiffres (-0,1 point). Aux Etats-Unis, la croissance a reculé à -0,2% sur la même période. Mais pour l’avenir la situation paraît moins favorable.

En dépit de ces chiffres relativement satisfaisant, les indicateurs avancés de la zone euro (indices PMI) et ceux de la confiance des ménages et des entreprises indiquent que l’activité est en train de s’essouffler dans une grande partie du vieux continent.

En Allemagne du fait notamment de la situation en Ukraine et de la pénurie de gaz russe, la croissance du PIB a stagné (0%) au cours du second trimestre après un premier trimestre à 0,8%.

Les pays du Sud semblent mieux s’en tirer. L’économie espagnole a accéléré de 1,1% au second trimestre après un début d’année décevant (0,2%). Quant à l’Italie, l’activité a rebondi à 1% après un premier trimestre particulièrement morose (0,1%).

En France, la croissance du PIB a accéléré de 0,5% au second trimestre après un premier trimestre catastrophique à -0,2%. 

Pour l’instant, la plupart des instituts de prévision (Insee, Banque de France, OFCE, Rexecode) ont écarté le scénario noir d’une récession technique (deux trimestres consécutifs de croissance négative) mais l’inflation persistante pourrait changer la donne. En effet, une grande partie des salariés du privé ont enregistré une chute de leurs revenus réels, c’est-à-dire en prenant en compte l’inflation, au cours du premier semestre.

Compte tenu du poids de la consommation dans l’économie tricolore, l’activité pourrait marquer le pas d’ici la fin de l’année. L’indice général des prix à la consommation qui s’est établi 6,1% en juillet pourrait continuer de miner le pouvoir d’achat des Français malgré les nombreuses mesures défendues par le gouvernement dans son projet de loi pouvoir d’achat adopté au début du mois d’août par le Parlement.

L’indice des prix à la consommation pèse toujours sur l’activité de la zone euro.  L’inflation a été propulsée à un nouveau record par la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales contre Moscou, à 8,9% en juillet, après 8,6% en juin

Croissance Europe : résistance au second trimestre mais hausse de l’inflation et inquiétude pour l’avenir

Croissance  Europe : résistance au second trimestre mais hausse de l’inflation et  inquiétude pour l’avenir

 

Les chiffres du second trimestre sont relativement encore satisfaisants pour l’Europe au second trimestre mais des inquiétudes émergent sérieusement du fait en particulier de la montée de l’inflation qui pourrait tuer la croissance. Une inflation qui a d’abord été nourrie par les prix de l’énergie et maintenant par les prix de l’alimentaire et des services.

D’après l’estimation flash dévoilée par Eurostat mercredi 17 août, la croissance du produit intérieur brut (PIB) de l’union monétaire a accéléré de 0,6% entre avril et juin. Au premier trimestre, l’activité avait augmenté de 0,5%. L’institut de statistiques européen a révisé très légèrement à la baisse ses chiffres (-0,1 point). Aux Etats-Unis, la croissance a reculé à -0,2% sur la même période. Mais pour l’avenir la situation paraît moins favorable.

En dépit de ces chiffres relativement satisfaisant, les indicateurs avancés de la zone euro (indices PMI) et ceux de la confiance des ménages et des entreprises indiquent que l’activité est en train de s’essouffler dans une grande partie du vieux continent.

En Allemagne du fait notamment de la situation en Ukraine et de la pénurie de gaz russe, la croissance du PIB a stagné (0%) au cours du second trimestre après un premier trimestre à 0,8%.

Les pays du Sud semblent mieux s’en tirer. L’économie espagnole a accéléré de 1,1% au second trimestre après un début d’année décevant (0,2%). Quant à l’Italie, l’activité a rebondi à 1% après un premier trimestre particulièrement morose (0,1%).

En France, la croissance du PIB a accéléré de 0,5% au second trimestre après un premier trimestre catastrophique à -0,2%. 

Pour l’instant, la plupart des instituts de prévision (Insee, Banque de France, OFCE, Rexecode) ont écarté le scénario noir d’une récession technique (deux trimestres consécutifs de croissance négative) mais l’inflation persistante pourrait changer la donne. En effet, une grande partie des salariés du privé ont enregistré une chute de leurs revenus réels, c’est-à-dire en prenant en compte l’inflation, au cours du premier semestre.

Compte tenu du poids de la consommation dans l’économie tricolore, l’activité pourrait marquer le pas d’ici la fin de l’année. L’indice général des prix à la consommation qui s’est établi 6,1% en juillet pourrait continuer de miner le pouvoir d’achat des Français malgré les nombreuses mesures défendues par le gouvernement dans son projet de loi pouvoir d’achat adopté au début du mois d’août par le Parlement.

L’indice des prix à la consommation pèse toujours sur l’activité de la zone euro.  L’inflation a été propulsée à un nouveau record par la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales contre Moscou, à 8,9% en juillet, après 8,6% en juin

 

Conjoncture Europe : résistance de la croissance au second trimestre mais hausse de l’inflation mais inquiétude pour l’avenir

Conjoncture Europe : résistance de la croissance au second trimestre mais hausse de l’inflation et   inquiétude pour l’avenir

 

Les chiffres du second trimestre sont relativement encore satisfaisants pour l’Europe au second trimestre mais des inquiétudes émergent sérieusement du fait en particulier de la montée de l’inflation qui pourrait tuer la croissance. Une inflation qui a d’abord été nourrie par les prix de l’énergie et maintenant par les prix de l’alimentaire et des services.

D’après l’estimation flash dévoilée par Eurostat mercredi 17 août, la croissance du produit intérieur brut (PIB) de l’union monétaire a accéléré de 0,6% entre avril et juin. Au premier trimestre, l’activité avait augmenté de 0,5%. L’institut de statistiques européen a révisé très légèrement à la baisse ses chiffres (-0,1 point). Aux Etats-Unis, la croissance a reculé à -0,2% sur la même période. Mais pour l’avenir la situation paraît moins favorable.

En dépit de ces chiffres relativement satisfaisant, les indicateurs avancés de la zone euro (indices PMI) et ceux de la confiance des ménages et des entreprises indiquent que l’activité est en train de s’essouffler dans une grande partie du vieux continent.

En Allemagne du fait notamment de la situation en Ukraine et de la pénurie de gaz russe, la croissance du PIB a stagné (0%) au cours du second trimestre après un premier trimestre à 0,8%.

Les pays du Sud semblent mieux s’en tirer. L’économie espagnole a accéléré de 1,1% au second trimestre après un début d’année décevant (0,2%). Quant à l’Italie, l’activité a rebondi à 1% après un premier trimestre particulièrement morose (0,1%).

En France, la croissance du PIB a accéléré de 0,5% au second trimestre après un premier trimestre catastrophique à -0,2%. 

Pour l’instant, la plupart des instituts de prévision (Insee, Banque de France, OFCE, Rexecode) ont écarté le scénario noir d’une récession technique (deux trimestres consécutifs de croissance négative) mais l’inflation persistante pourrait changer la donne. En effet, une grande partie des salariés du privé ont enregistré une chute de leurs revenus réels, c’est-à-dire en prenant en compte l’inflation, au cours du premier semestre.

Compte tenu du poids de la consommation dans l’économie tricolore, l’activité pourrait marquer le pas d’ici la fin de l’année. L’indice général des prix à la consommation qui s’est établi 6,1% en juillet pourrait continuer de miner le pouvoir d’achat des Français malgré les nombreuses mesures défendues par le gouvernement dans son projet de loi pouvoir d’achat adopté au début du mois d’août par le Parlement.

L’indice des prix à la consommation pèse toujours sur l’activité de la zone euro.  L’inflation a été propulsée à un nouveau record par la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales contre Moscou, à 8,9% en juillet, après 8,6% en juin

 

Pétrole-Aramco : près de 50 milliards de bénéfices sur un trimestre !

Pétrole-Aramco : près de 50 milliards de bénéfices sur un trimestre !

Près de 50 milliards de bénéfices sur le second trimestre pur le géant pétrolier saoudien, conséquence notamment du conflit en Ukraine

48,4. C’est le montant en milliards de dollars des bénéfices enregistrés par le géant pétrolier saoudien Aramco, au cours du deuxième trimestre de l’année. Des bénéfices pharaoniques tirés par la flambée des cours du brut consécutive à l’invasion russe de l’Ukraine et à la reprise économique post-covid.

Ce bénéfice trimestriel, le plus élevé d’Aramco depuis son introduction en Bourse en 2019 (la plus grande de l’Histoire), est supérieur aux prévisions des analystes, qui tablaient sur 46,2 milliards de dollars. En réalité, le bénéfice net du premier producteur mondial d’or noir a bondi de 90% en glissement annuel et permet ainsi à Aramco d’enregistrer son deuxième record trimestriel consécutif, après avoir affiché un résultat net de 39,5 milliards de dollars entre janvier et mars 2022.

Les cinq plus grandes entreprises privées du secteur ont, de leurs côtés, engrangé 62,46 milliards de dollars de bénéfices au cours du deuxième trimestre de l’année. (Par ordre croissant : TotalEnergies 5,7 milliards, BP 9,26 milliards, Chevron 11,6 milliards, ExxonMobil 17,9 milliard et Shell 18 milliards).

Au cours du deuxième trimestre, le baril d’or noir coté à New York s’est échangé entre 95 et 120 dollars environ. En hausse depuis plus d’un an en raison du rebond de la demande des entreprises et des ménages après la pandémie, il a été propulsé à des niveaux plus vus depuis 2008 au printemps dernier, suite aux sanctions imposées à la Russie après qu’elle ait envahi l’Ukraine le 24 février.

 

Cryptomonnaies: Coinbase perd plus d’un milliard un trimestre !

Cryptomonnaies: Coinbase perd  plus d’un milliard un trimestre !

Nouvelle déconvenue avec les crytommonnaies et la principale bourse américaine spécialisée « Coinbase « qui accuse une perte de plus de 1 milliard sur un trimestre.

 La principale Bourse américaine de cryptos a réalisé une perte record de 1,1 milliard de dollars au deuxième trimestre. Il y a un an, elle affichait un bénéfice de 1,6 milliard. Le spectaculaire dégonflement de la bulle des actifs financiers 2.0 a fait chuter les valorisations et les volumes d’échanges.

Les revenus de la plateforme ont plongé de 61 % au dernier trimestre, à 808 millions de dollars, décevant les aQui accuse une perte de plus d’un milliard sur un trimestre.nalystes de marché qui tablaient sur une activité plus importante. Coinbase a également passé un montant record de dépréciations (446 millions de dollars) sur ses investissements dans le secteur des cryptos.

Le nombre d’utilisateurs a continué à se replier , à 9 millions par mois en moyenne au deuxième trimestre. En perte de vitesse par rapport à ses concurrentes, la société ne prévoit pas de retour à meilleure fortune dans l’immédiat. Elle estime que pour l’année complète, le nombre moyen d’utilisateurs mensuel devrait rester compris entre 7 et 9 millions.

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