L’ obsession maladive du pouvoir qui unit le couple Hollande-Royal (Trierweiler)
Valérie Trierweiler est toujours aussi vindicative et acerbe à l’égard de Hollande. Elle ne manque cependant pas de pertinence quand elle affirme que pour Hollande et Royal, l’obsession maladive du pouvoir domine tout et fait même disparaitre anciennes blessures. C’est tellement vrai qu’ hier à Cuba , le discours de Hollande n’a pas été lu par l’intéressé, pris par sa rencontre secret avec Castro, mais par Royal devant la communauté française. Un privilège qu’a apprécié à sa juste valeur l’ancienne compagne de cœur maintenant principale compagne politique.. L’ancienne Première dame de France, Valérie Trierweiler, a donc donné mercredi dans Le Parisien/Aujourd’hui-en-France sa première interview à la presse française depuis la sortie de Merci pour ce moment en septembre dernier. Elle assure que « le pouvoir » est « l’obsession commune » de François Hollande et Ségolène Royal. Neuf mois après la sortie de Merci pour ce moment, Valérie Trierweiler a donné mercredi sa première interview à la presse française à l’occasion de la sortie de son livre en poche. « Le pouvoir » est « l’obsession commune » de François Hollande et Ségolène Royal, explique-t-elle dans un entretien au Parisien/Aujourd’hui-en-France. Interrogée sur ce que lui inspire le retour au premier plan de Ségolène Royal, l’éphémère Première dame estime que : « le pouvoir est leur raison de vivre, leur obsession commune. » »Je m’incline. Ils sont indissociables. Cela dépasse leurs enfants », précise-t-elle avant d’ajouter que « l’enjeu a longtemps été de savoir lequel des deux accéderait à l’Elysée. » »Il n’y avait pas de place pour une autre femme dans cette histoire. Maintenant, ils peuvent se retrouver et s’entraider », affirme Valérie Trierweiler. Vendu à 750.000 exemplaires, le livre de Valérie Trierweiler avait été critiqué par la classe politique en septembre dernier. « Ce n’est jamais facile, mais c’était le prix à payer. Le crime de lèse-majesté existe encore dans les têtes. Je n’avais pas saisi que nous étions toujours en monarchie », note Valérie Trierweiler. Aurait-elle dû se tenir à un devoir de réserve après son éviction de l’Elysée? « Le devoir de réserve concerne les élus et les fonctionnaires. La contrepartie est un devoir de respect. Je n’ai pas été élue. Et chacun a pu juger de la manière dont j’ai été respectée! Ma liberté m’a été rendue assez…soudainement et brutalement. Au nom de quoi rester prisonnière du silence? », s’interroge-t-elle.