Archive pour le Tag 'Trappes'

Suppression des trappes à bas salaires ?

Suppression des trappes à bas salaires ?

S’il est très bas salaire sont largement défiscalisés, il en est différemment des rémunérations au-dessus du SMIC . Du coup la grille des salaires se trouve écrasée. En cause le faite que les très bas salaires sont beaucoup moins taxés que les autres. Gabriel Attal propose donc au gouvernement de désmicardiser les trappes à bas salaires en échange d’un allégement des charges.

 

. «Notre dispositif d’allègements de charges freine la hausse des salaires au-dessus du Smic», a reconnu mardi le premier ministre à l’occasion de son discours de politique générale, promettant de le revoir. Invitée ce mercredi matin sur Franceinfo, sa ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet a confirmé que le gouvernement souhaitait avancer sur le sujet, afin de combattre le phénomène de «trappes à bas salaires».

Le nouvel exécutif a ainsi l’intention de reprendre telle quelle une mesure préparée par Gabriel Attal lors de ses dernières semaines à Matignon, et laissée sur le bureau de son successeur, confirme le cabinet d’Astrid Panosyan-Bouvet au Figaro. L’existence d’une telle mesure, censée encourager les entreprises à augmenter les salaires, avait été révélée par Les  Échos .

Très technique…

Municipales à Trappes : alliance républicaine contre le maire

Municipales à Trappes : alliance républicaine contre le maire

L’ancien maire de la ville de Trappes, le socialiste Guy Malandain, a décidé de s’associer avec Othman Nasrou (Libres !), un proche de Valérie Pécresse, pour battre le maire sortant, Ali Rabeh (Génération.s). Ce dernier avait réussi à être élu lors de l’élection municipale de 2020, mais celle-ci avait été définitivement annulée en août par le Conseil d’État, l’édile ayant fait la promotion de sa candidature entre les deux tours.

Lors du second tour de l’élection municipale de juin 2020, la liste conduite par Ali Rabeh était arrivée en tête avec 40,4% des voix, devant celle d’Othman Nasrou (37,19%) et celle de Guy Malandain (22,41%). La partielle qui les départagera de nouveau aura lieu en octobre.

Trappes : « inacceptable » aussi pour Ayrault….. c’est tout ?

Trappes : « inacceptable » aussi pour Ayrault….. c’est tout ?

« Inacceptable », c’est le mot employé par les membres du gouvernement y compris hier par Ayrault. Il n’est sans doute pas besoin d’être membre du gouvernement pour porter ce jugement, on attend beaucoup plus de gouvernants  qui comme face au chômage semblent aussi tétanisés par l’éclatement des valeurs de la république et les atteintes qui y sont portées. La gauche si prompte à légiférer sur tout et sur rien ne sait pas répondre à e déni de légalité qui met en cause la république.    »Nous sommes dans un État de droit, dans une République et la loi doit être respectée par tous (…) C’est le rôle de la police, c’est le rôle de la justice d’y veiller. Les choses ne se règlent pas simplement d’un coup de baguette magique », a déclaré le Premier ministre, en marge d’un déplacement à Crolles, près de Grenoble, en ajoutant: « Et ce qui s’est passé ces derniers jours à Trappes, c’est inacceptable. »  Rappelant que « nous (étions) dans un État de droit », il a souligné que « la République doit rappeler sans cesse les règles, les faire appliquer, quand il le faut avec la plus grande sévérité ». « Mais, en même temps, la République doit tenir ses promesses et n’abandonner personne », a poursuivi le Premier ministre.   »Parfois, a-t-il dit, certains ont le sentiment d’abandon. Je ne cherche pas des excuses. Je dis simplement à ceux qui, à droite, se laissent aller à des slogans qu’ils ont été dix ans au gouvernement, confrontés à des problèmes beaucoup plus graves encore et qu’ils ont laissé des situations se dégrader encore plus dans certains quartiers dans certains villes. »  Jean-Marc Ayrault a « conseillé à la droite d’éviter de caricaturer et d’éviter de polémiquer sans cesse ».  Il a rappelé que, lors des émeutes de 2005, quand il était « dans l’opposition », en tant que président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, il avait « eu une attitude responsable ».   »Le ministre de l’Intérieur de l’époque a pris des décisions difficiles, il s’appelait Nicolas Sarkozy », a enchaîné le Premier ministre, ajoutant: « Je n’ai pas fait comme ceux aujourd’hui qui sont dans l’opposition en me laissant aller. »   »J’ai parlé pour apaiser, j’ai parlé pour soutenir quand c’était nécessaire. J’aimerais que l’opposition d’aujourd’hui soit aussi responsable que ce que nous étions hier », a conclu M. Ayrault.  Vendredi soir, des violences ont eu lieu à Trappes (Yvelines), à la suite d’un contrôle qui a dégénéré jeudi d’une femme portant un voile intégral sur la voie publique, ce qui est interdit depuis 2011.  Les nuits suivantes ont été émaillées de violences à Trappes et dans d’autres villes proches.  Lundi, le « calme (était) en train de revenir » à Trappes, selon le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls.

 

Trappes : encore des tensions

Trappes : encore des tensions

 

Quelques dizaines de personnes se sont regroupées peu avant 21H00 non loin du commissariat de cette ville populaire de 30.000 habitants et ont jeté un pétard en direction des forces de l’ordre. Les CRS se sont aussitôt déployés et ont repoussé le groupe à l’aide d’une grenade lacrymogène. Les individus ont immédiatement quitté les lieux, où une vingtaine de fourgons restaient stationnés.  Vendredi soir, près de 400 personnes avaient jeté des pierres, brûlé des poubelles et détruit des abri-bus aux alentours. La police avait répliqué avec des grenades de dispersion et des gaz lacrymogènes.  Un adolescent avait été grièvement blessé à l’oeil dans les affrontements et quatre policiers légèrement atteints. Six jeunes avaient alors été interpellés.  Quatre, âgé de 18 à 24 ans, ont été écroués dimanche et seront jugés lundi en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Versailles pour « violences », « outrages » ou « jets de projectiles contre les forces de l’ordre ». Un a été relâché faute d’éléments contre lui et le dernier libéré sous contrôle judiciaire en attente d’un procès en septembre.  La nuit de samedi à dimanche, alors que des renforts restaient déployés, la situation était restée calme jusqu’à environ 01H00. Des incidents de moindre intensité ont ensuite eu lieu: une vingtaine de voitures, dont une de policiers, ont été brûlées et un automobiliste a foncé sur les forces de l’ordre qui ont réussi à l’éviter. Là encore, quatre personnes ont été arrêtées.  L’origine des violences remonte à jeudi quand des policiers ont voulu contrôler une femme portant un voile intégral sur la voie publique, ce qui est interdit depuis 2011. Le contrôle avait dégénéré et son mari, un Français converti à l’islam de 21 ans, avait été interpellé.  Cet homme, qui a été remis en liberté sous contrôle judiciaire samedi, sera jugé en septembre. Il est accusé d’avoir agressé un policier et tenté de l’étrangler pendant le contrôle de son épouse.  Celle-ci, une Antillaise de 20 ans, a assuré au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) que les policiers les avaient provoqués.   »C’est inacceptable qu’une personne veuille se soustraire à un contrôle et pire s’en prenne aux forces de l’ordre », a commenté dimanche sur BFM-TV le ministre de l’Intérieur Manuel Valls.  Assurant ne pas douter « un seul instant » de l’attitude respectueuse des policiers lors du contrôle, il a lancé un nouvel appel « au calme ». « Cette nuit encore, les familles le savent, les enfants doivent rester à la maison », a-t-il dit en promettant que les renforts resteraient sur place aussi longtemps que nécessaire.  Mais chacun « doit avoir son examen de conscience et ne pas en rajouter comme font certains responsables de l’opposition », a-t-il ajouté, lançant : « Attention aux propos que l’on tient sur les banlieues, sur l’islam avec les amalgames permanents ».  Plusieurs responsables de la droite et de l’extrême droite ont attribué ces incidents à la montée d’un « communautarisme » et dénoncé le « laxisme » du gouvernement.  Venu sur place, le ministre délégué à l’Economie sociale Benoît Hamon, élu de la circonscription, a rapporté que les habitants de Trappes « regrettent que l’image de leur ville soit dégradée par la faute de quelques-uns ».   »Ce n’est pas bon pour l’image de la ville qui n’avait déjà pas une bonne réputation », a ainsi noté André Louis, un Trappiste de 75 ans. « C’est dommage car c’était calme à Trappes depuis plusieurs années », a-t-il assuré.

 




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