Archive pour le Tag 'Transfert'

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Transfert de données UE-USA : annulé par la justice européenne

Transfert de données UE-USA : annulé par la justice européenne

 

 

l’accord “Privacy Shield”, qui régulait ces transferts est contraire au  règlement général sur la protection des données (RGPD) dans l’UE, entré en vigueur en mai 2018 a estimé la cour de justice.

“Les limitations de la protection des données à caractère personnel qui découlent de la réglementation interne des Etats-Unis (…) ne sont pas encadrées d’une manière à répondre à des exigences substantiellement équivalentes à celles requises, en droit de l’Union, par le principe de proportionnalité”, écrit la CJUE dans un communiqué. En clair on interdit aux GAFAM dutiliser les données personnelles d’Européens pourrait être détournéeés  à des fins commerciales voire politiques ou autre.

La CJUE souligne que les autorités de protection de la vie privée doivent suspendre ou interdire les transferts hors de l’UE si la protection des données ne peut être assurée.

C’est l’agence irlandaise de protection des données, principale autorité de régulation de Facebook en Europe, qui a porté l’affaire devant la Haute Cour irlandaise, qui a elle-même saisi la CJUE.

Le jugement de la CJUE constitue un nouveau camouflet pour Bruxelles après l’annulation mercredi par le Tribunal de l’Union européenne de la décision de la Commission européenne réclamant à Apple le versement de 13 milliards d’euros d’arriérés d’impôts à l’Irlande.

Margrethe Vestager, vice-présidente de la Commission européenne chargée de la politique de la concurrence, a concédé jeudi que les deux décisions rendues par la justice européenne constituaient “une défaite”.

“La première chose que l’on fait lorsque l’on reçoit un jugement du tribunal est de le lire très, très attentivement. Et nous sommes toujours en train de le faire. Bien sûr, c’est une défaite, car c’est une annulation par le tribunal”, a-t-elle déclaré.

«Philippe – Macron : un transfert de popularité et d’impopularité ?

 «Philippe – Macron : un transfert de popularité et d’impopularité ?

 

 

 

Nombre d’observateurs notent qu’il y a une confusion concernant la popularité dont a bénéficié l’ancien Premier ministre;  en effet pendant longtemps, l’ancien Premier ministre était aussi à la traîne dans les sondages. C’est progressivement que s’est opéré une certes une sorte de transfert à la fois de popularité et d’impopularité. Car à la vérité en soutenant davantage Philippe, l’opinion publique veut surtout marquer son désaccord total avec Macron. C’est davantage un désaveu adressé à Macron qu’un soutien à Édouard Philippe qui cependant en simplifiant sa politique de communication s’est rendu beaucoup moins ésotérique qu’un Macron qui confond sans doute la fonction royale et la fonction démocratique d’un président de la république.  On aura l’occasion rapidement de voir comment évolue la popularité du nouveau Premier ministre. Il se pourrait bien qu’on assiste au même phénomène surtout si Macron confirme son idée de mettre la main sur Matignon pour assurer encore davantage de présence médiatique partout et surtout les sujets.

Déconfinement des écoles : un transfert de responsabilité irresponsable aux maires

Déconfinement des écoles : un transfert de responsabilité irresponsable aux maires

 

On comprend évidemment que les maires soient particulièrement furieux que le gouvernement leur renvoie la patate chaude du déconfinement des écoles. C’est en effet à eux qui reviendra la responsabilité d’organiser la reprise des cours. Une grave responsabilité dans la mesure où nombre d’écoles ne sont pas forcément très adaptées pour gérer ce genre de situation.

 

Normalement le ministre de l’éducation nationale a souhaité que le nombre d’élèves soit réduit de moitié. Le problème c’est qu’on ne sait pas comment; en effet; l’école ne sera pas obligatoire mais elle ne sera pas contingentée non plus. Du coup, dans certaines classes on risque de dépasser la moitié de l’effectif habituel. Le problème surtout c’est que les maires prennent le risque d’être rendus responsables de la propagation du virus.

 

Certes certaines études semblent montrer que les enfants sont moins porteurs que les adultes du Coronavirus mais certains le sont quand même. Cela pourrait alors contaminer les autres et au-delà leur entourage notamment familial il y a aussi la question de l’organisation des cantines sans parler du défi majeur à faire respecter les normes de distanciation par des jeunes enfants. Le risque sanitaire va également bien entendu concerner les enseignements eux-mêmes qui pourraient être exposés encore davantage que les enfants.

Plusieurs élus jugent que les conditions sanitaires ne sont pas remplies. «Pour moi c’est totalement irresponsable, ça me rend furieux. On refile la patate chaude aux élus locaux et je trouve ça inadmissible», fulmine Lionnel Luca, le maire LR de Villeneuve-Loubet (Alpes-Maritimes). Pour lui il n’est pas question d’ouvrir les écoles le 11 mai prochain: «S’ils veulent les clés, qu’ils viennent les chercher à la mairie. Ils nettoieront, ils feront manger les enfants, ils se débrouilleront!»

Même défiance du maire Rassemblement national (RN) de Beaucaire (Gard), Julien Sanchez: «Il est évident que si début mai nous n’avions de la part du gouvernement et des autorités sanitaires pas plus de garanties sur la sécurité sanitaire des élèves et des équipes pédagogiques, je maintiendrais les écoles fermées»

Transfert de Paris en Province ?

 Transfert de Paris en Province ?

 

Griveaux,  en mal de projets pour Paris et surtout mal placé dans les sondages, sort l’artillerie démagogique et propose de supprimer la Gare de l’Est pour en faire une sorte de Central Park. Une proposition un peu petit bras. On pourrait en effet aller beaucoup plus loin et déménager la totalité de la ville de Paris en Sologne. En effet, avant d’obtenir des arbres de taille significative à Paris, il faudra compter quelques décennies. Alors que le transfert de Paris et de son symbole la tour Eiffel en Sologne permettrait à la France d’afficher la plus grande zone urbaine verte.

 

Bref, le projet renouvelé du célèbre humoriste Alphonse Allais qui en son temps avait proposé de déplacer les villes à la campagne. l’avantage de cette restructuration urbanistique,  c’est qu’on pourrait envisager de planter et obtenir rapidement des choux, des navets et autres légumineuses sur les anciens terrains reconvertis de la capitale. Une autre idée moins farfelue que celle de Griveaux  pourrait consister à supprimer tous les bâtiments d’État qui ne servent  pas à grand-chose sinon à fournir des emplois aux énarques et autres fonctionnaires inutiles.

 

On pourrait ainsi aménager plusieurs centaines d’espaces verts sans grand dommage pour la performance du pays. Griveaux  ignore sans doute que l’avantage majeur des gares ferroviaires est de permettre l’accès du train au cœur des villes et de supprimer ainsi d’énormes transports parasites. Ainsi les grandes surfaces ont été expatriées dans des banlieues pour éviter que les camions ne pénètrent dans le cœur des villes mais parallèlement les transports parasitent ont été multipliés par 1000. Un bel exemple d’aménagement de l’urbanisme et de politique environnementale ! Pour s’enfoncer un peu plus dans le ridicule et l’approximation l’équipe de pompiers de Benjamin Griveaux précise  le contour de son projet.

 

Le coût total estimé par l’équipe de Benjamin Griveaux se trouve « aux alentours de 1,5 milliard » d’euros.  »C’est un ordre de grandeur par rapport au coût d’une nouvelle gare », avance son conseiller, qui renvoie à une ordonnance de juin 2019 sur la loi ferroviaire.

 

« Les biens immobiliers attribués à la société SNCF Réseau (…) peuvent être repris par l’Etat ou cédés à des collectivités territoriales  pour des motifs d’utilité publique, moyennant le versement d’une indemnité égale à la valeur de reconstitution« , est-il effectivement écrit à l’article L. 2111-20-1. Autrement dit, depuis l’adoption du projet de loi, la filiale de la SNCF a la possibilité de céder son foncier à la Ville de Paris. C’est ce qui fait dire à LREM Paris qu’elle a la possibilité de mener à bien ce projet.

Quid d’ailleurs des « acteurs privés et des partenaires publics » qui pourraient participer au financement d’une telle infrastructure ? « Il y a deux grands acteurs : les aménageurs (publics, Ndlr) et les entreprises intéressés par la compensation environnementale et qui pourraient être amenées à investir », répond le conseiller Antoine Pellion. Bref on pourrait aussi privatiser les gares !

 

Le transfert des indemnités maladie : « non » (MEDEF)

Le transfert des indemnités maladie : « non » (MEDEF)

 

On peut se demander qui est ce génial fiscaliste de l’État qui a imaginé de faire supporter aux entreprises le paiement de jours de maladie. À juste titre le Medef proteste avec vigueur contre ce qu’il estime être une double peine. En effet il est clair que l’absence d’un salarié handicape la production d’une entreprise et génère souvent des frais supplémentaires pour pallier à cette absence. Deuxièmement on peut se demander pourquoi on fait porter la responsabilité d’un arrêt maladie sur l’entreprise. Certes dans certains cas il peut y avoir un effet un lien de cause à effet entre conditions de travail et recours à la maladie. Mais nombre de pathologies n’ont rien à voir avec les conditions de travail. Enfin il est pour le moins curieux qu’après avoir allégé les charges sociales des entreprises pour retrouver une certaine compétitivité, le gouvernement envisage de charger à nouveau la barque comme si les prélèvements notamment sociaux n’étaient déjà pas un handicap pour la compétitivité  “C’est la double peine ! Les absences de courte durée sont extrêmement perturbantes pour l’entreprise et représentent un coût”, déclare le président délégué du Medef, Patrick Martin, dans un entretien au Parisien publié lundi. “Si en plus l’entreprise doit prendre en charge l’indemnisation de ces absences, cela représente une enveloppe qui s’élève à 900 millions d’euros”, estime-t-il.

Le transfert de titres financiers via blockchain autorisé en France

Le transfert de titres financiers via blockchain autorisé en France

 

Au moment où se multiplient les avertissements concernant la spéculation sur le bitcoin (l’une des applications du Blockchain). Le ministre des finances autorise le recours à cette nouvelle technologie de transactions financières. Le paradoxe n’est cependant qu’apparent car ce ne sont pas les nouvelles techniques de transactions financières qui sont en cause mais la valorisation spéculative du bitcoin.  Blockchain est une sorte de registre virtuel géant qui est distribué dans de nombreux ordinateurs interconnectés par internet y compris ceux des utilisateurs.  Toutes les transactions y sont enregistrées de façon indélébile à commencer par les transactions financières qui utiliseraient ce système. Par analogie avec l’email, il faut un logiciel client dans son ordinateur comme on en a pour pouvoir utiliser l’email sans navigateur. Blockchain c’est ni gestionnaire ni contrôle centralisé. De même qu’il n’y pas de président de l’internet, il n’y a pas de président du blockchain. Mais comme pour internet, les règles de  fonctionnement sont régies par des protocoles techniques et non par des êtres humains  ni  par des organisations spécifiques, gouvernementales ou autres.  Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a présenté vendredi en Conseil des ministres une ordonnance visant à permettre l’usage de la technologie « blockchain » pour simplifier et sécuriser le transfert de la propriété de titres financiers non cotés. L’ordonnance, qui devrait entrer en application au plus tard au mois de juillet, s’appliquera à l’ensemble des titres financiers pour lesquels le droit européen n’impose pas de passer par un organisme tiers et concerne un marché potentiel de plus de 3.000 milliards d’euros. Cela concerne en particulier les parts de fonds, les titres de créances négociables et les actions et obligations non cotées. Pour le gouvernement, il s’agit également d’insister sur « l’innovation dans les services financiers » de la place parisienne, qui serait la première en Europe à autoriser l’usage de la blockchain, afin d’améliorer son « attractivité », selon le ministre. « Après le développement d’un cadre sur le financement participatif puis la finance verte, il s’agit du troisième pilier pour souligner le caractère innovateur de la France en terme de services financiers », a ajouté le ministère.

PAC : contestation du transfert de crédits

PAC : contestation du transfert de crédits

 

C’est surtout la FNSESA qui conteste  le redéploiement t de 4.2% des montants des crédits du premier pilier de la PAC, relatives aux  aides à la production, vers le pilier qui regroupe des dispositifs de soutien ciblés pour aider les zones difficiles ou encore l’agriculture biologique. « C’est un très mauvais signal », déplore la FNSEA, évoquant un « hold-up inacceptable ». « Stéphane Le Foll et le précédent gouvernement ont laissé en héritage une énorme ardoise de 853 millions d’euros ! (…) Pour sortir de cette impasse, plutôt que d’honorer la continuité de l’engagement de l’Etat en trouvant les ressources nécessaires sur le budget national, Stéphane Travert annonce un prélèvement de 4,2 % sur les soutiens directs perçus par les agriculteurs », regrette dans un communiqué le syndicat majoritaire. Le ministre a souligné dans un communiqué que ces choix étaient motivés par « sa volonté que les crédits de la PAC servent l’ensemble de l’agriculture française, avec une attention particulière aux zones les plus défavorisées et aux secteurs fragiles comme l’élevage, et accompagnent encore mieux les différents modèles de production ».

Brexit : Nouveau transfert de Banques en Europe

Brexit : Nouveau transfert de Banques en Europe

Après HSBC c’est au tour de  banques américaines Morgan Stanley et Citigroup  qui vont quitter en partie la City.  Le directeur général de la banque britannique HSBC, Stuart Gulliver, est avait indiqué  clairement qu’un choix s’impose pour son entreprise : une délocalisation d’une partie des emplois du Royaume-Uni vers la France, du fait de sa présence historique et des agréments nécessaires. « Les activités précisément couvertes par la législation européenne vont déménager, et cela représente 20% de notre chiffre d’affaires », a-t-il déclaré au cours d’une interview à Bloomberg TV, précisant qu’il s’agit des activités de marchés et de banque d’investissement réalisées à Londres. J’ai dit publiquement, il y a un moment déjà, qu’il y aurait un millier d’emplois qui sont couverts par la législation européenne et qui, dans le cadre de l’accès au marché unique, devraient probablement aller en France dans notre cas. [...] Nous avons acheté le Crédit Commercial de France (CCF) en 2002, donc nous avons une banque universelle de plein exercice en France. Donc pour nous, c’est la France. » De son coté, Morgan Stanley, dont la majeure partie des équipes européennes sont basées en Grande-Bretagne, devra déménager jusqu’à 1.000 postes dans les ventes, le trading, la gestion du risque, le juridique et la conformité, tout en réduisant la taille de son « back office » au profit d’autres pays, a précisé l’une des sources. Citigroup, qui dispose déjà d’importantes activités bancaires à Dublin, devra transférer une centaine de postes dans la vente et le trading, ont dit des sources proches du dossier. Citigroup, qui a près de 60% de ses effectifs européens basés hors de Grande-Bretagne, dispose d’un avantage relatif sur d’autres banques américaines car ses activités basées à Dublin sont déjà placées sous l’autorité de la Banque centrale européenne (BCE). Le groupe devra néanmoins renforcer ses équipes de vente et de trading dans l’UE et demander les licences nécessaires pour poursuivre les activités concernées avec le reste de l’Europe. « Chaque équipe est actuellement en train de discuter de l’endroit où transférer les postes, tous n’iront pas dans un seul endroit », a dit une source.

Foot : pourquoi 120 millions pour le transfert de Pogba ?

Foot : pourquoi 120 millions pour le transfert de Pogba ?

 

La somme peut paraître démentielle et elle l’est effectivement. Ceci étant elle correspond un certain nom de critères d’évaluation découlant des retombées attendues L’estimation de la valeur d’un joueur sur le marché des transferts découle de plusieurs critères rationnels. L’Observatoire du football du CIES a ainsi établi un algorithme créé à partir de 1.500 transactions opérées dans les cinq grands championnats européens (Allemagne, Angleterre, Espagne, France et Italie) ces dernières années. Cette méthode de calcul permet d’obtenir une estimation précise pour tel ou tel joueur. Un outil en ligne permet d’effectuer en quelques clics d’effectuer une simulation en renseignant plusieurs données du footballeur. Certaines, plus importantes que d’autres peuvent vite faire monter la facture. C’est justement le cas dans la transaction qui concerne Paul Pogba. Un critère important concerne l’âge du joueur. Plus il est jeune, plus le potentiel de progression d’un joueur est important. A 23 ans, Paul Pogba dispose en théorie d’une grande marge de progression et pourra, en plus, faire l’objet d’une revente dans les années à venir. Tout le contraire d’un joueur âgé de plus de 30 ans, qui offre peu de perspectives de plus-value. Celui-ci peut aussi s’envoler en incorporant le poids marketing de la recrue, ce qu’elle peut apporter en terme de retombées médiatiques et publicitaires pour le club et dans le domaine des produits dérivés où excelle Manchester United (171 millions d’euros de bénéfices l’an dernier selon Forbes). Dans ce secteur qui n’est pas pris en compte par le CIES ou le site transfertmarkt, Paul Pogba fait bel et bien partie du gratin des joueurs européens à fort potentiel. Adidas l’a compris en faisant signer en février dernier au milieu de terrain un contrat en or sur dix ans estimé à quarante millions d’euros. (Avec le Figaro)

 

Notre-Dame-des-Landes vote à 73% contre le transfert de l’aéroport

Notre-Dame-des-Landes vote à 73% contre le transfert de l’aéroport

 

Le ridicule du référendum concernant Notre Dame des landes est largement démontré  par ce vote de la commune concernée opposée à 73 % au nouvel aéroport. Résumons la situation 55 % de la consultation organisée dans le seul département de Loire-Atlantique se sont prononcés en faveur de cet aéroport. Près de 60 % des habitants de la région des Pays de Loire son contre, comme les français dans leur ensemble. D’où la question quelle légitimité pour ce pseudo référendum ou alors les liaisons aériennes seront-elles limitées à la Loire-Atlantique ? De toute manière il ne s’agissait nullement d’un référendum mais d’une simple consultation sans fondement économique et juridique sans fondement économique parce que les liaisons concerneront évidemment la France, l’Europe et même le monde entier. Sans fondement juridique car il s’agit d’un projet d’intérêt national dont le principe a déjà été adopté comme le souligne d’ailleurs la décision du conseil d’État appelé à ce prononcé sur ce référendum.

 

La plainte de l’avocat d’Abdeslam. : Une manœuvre pour retarder le transfert en France

La plainte de l’avocat d’Abdeslam. : Une manœuvre pour retarder le transfert en France

 

Officiellement les autorités politiques et judiciaires de la France et de la Belgique travaillent  main dans la main pour élucider les responsabilités dans l’attentat de novembre. Pourtant on constate de nombreuses divergences entre les deux pays concernant la gestion de cette affaire. La Belgique n’a guère apprécié les critiques françaises récurrentes à l’égard du laxisme belge. La presse belge a réagi avec une certaine virulence vis-à-vis de la condescendance acerbe de la France. L’avocat du terroriste Abdeslam s’est engagé dans la brèche de ces oppositions. En laissant parler son client il espère ainsi que la Belgique trouvera suffisamment de chefs d’inculpation pour maintenir le terroriste en Belgique même s’il affirme par ailleurs qu’il conviendra le moment venu d’opérer le transfert en France. En Belgique on s’appuie sur la complexité de l’affaire pour justifier la gestion juridique du dossier par la Belgique.  officiellement les services des deux pays collaborent mais officieusement la lutte est intense pour obtenir le leadership juridique d’une affaire qui marquera l’histoire du terrorisme international. La plainte de l’avocat du terroriste contre le procureur français témoigne à l’évidence des divergences de points de vue entre les autorités françaises et belges. Du coup l’avocat sollicite tous les arcanes procéduriers pour reculer le transfert. Une plainte évidemment scandaleuse pour la mémoire des victimes et qui par ailleurs n’a guère de chances d’aboutir mais qui peut faire gagner du temps à l’avocat. Le procureur de Paris s’est d’ailleurs dit « serein », lundi, au sujet de la plainte de l’avocat du djihadiste présumé Salah Abdeslam, qui l’accuse d’avoir violé le secret de l’instruction en divulguant des propos tenus par son client au cours d’un interrogatoire. Au lendemain de l’arrestation de Salah Abdeslam à Bruxelles, François Molins a notamment affirmé samedi, lors d’une conférence de presse à Paris, que le jeune homme avait déclaré aux enquêteurs belges avoir projeté de commettre un attentat suicide au Stade de France, près de Paris, le 13 novembre dernier, avant d’y renoncer. « Le Code de procédure pénal français (…) autorise le procureur de la République, lorsqu’il l’estime nécessaire pour corriger des informations parcellaires ou inexactes ou pour éviter des propagations de rumeurs, à rendre publics des éléments objectifs tirés de la procédure », a-t-il répondu lundi lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue belge, à Bruxelles. »Je pense que c’est ce que j’ai fait en livrant au public des déclarations qui ont été faites et qui ont donc un caractère objectif », a ajouté François Molins. »Je suis très serein sur cette question », a-t-il encore dit. ‘avocat belge de Salah Abdeslam, Me Sven Mary, a reproché dimanche au procureur français d’avoir cité des propos tenus par son client et annoncé son intention de porter plaine. « C’est une faute et je ne peux pas la laisser passer », a-t-il dit à la radiotélévision belge RTBF. Salah Abdeslam, blessé par balle lors de son arrestation dans le quartier de Molenbeek et incarcéré samedi à Bruges, a été inculpé en Belgique pour son implication présumée dans les attentats qui ont fait 130 morts en France en novembre 2015. Il fait également l’objet d’un mandat d’arrêt européen, qui pourrait aboutir à son transfert en France. « Il y a une forte attente de la justice française et des victimes qu’il vienne s’expliquer », a déclaré François Molins lors de la conférence de presse. Selon lui, la décision définitive concernant un transfert doit intervenir dans un délai maximum de trois mois à compter de la date de son arrestation, même si Salah Abdeslam conteste cette procédure.

Parti socialiste : transfert de l’université d’été à Nantes…… ou à Lourdes !

Parti socialiste : transfert de l’université d’été à Nantes…… ou à Lourdes !

 

Un événement majeur, le parti socialiste va transférer son université d’été à Nantes. Une université d’été installé depuis longtemps à la Rochelle et dont le transfert est justifié  de manière un peu surréaliste par le premier secrétaire du PS « (L’) université d’été ne se tiendra pas (…) à La Rochelle, mais à Nantes parce que nous estimons que nous ne pouvons pas dire ‘dépassement du Parti socialiste’ et garder la Rochelle comme université d’été », a dit Jean-Christophe Cambadélis à l’issue d’un Conseil national du PS. ». Un transfert pourtant pas forcément heureux pour rechercher l’alliance avec les écologistes quand on connaît le différend qui concerne la construction très controversée du futur aéroport de Notre-Dame des Landes. Jean-Christophe Cambadélis ajoute par ailleurs que ce transfert s’inscrit dans la stratégie de préparation de 2017. Sans doute aurait-il été plus opportun de choisir une autre localité par exemple à Lourdes pour y déposer un cierge susceptible d’entretenir l’espoir que le candidat du parti socialiste sera présent au second tour de l’élection présidentielle. Au vu des sondages très défavorables qui n’accordent que de l’ordre de 20 % à Hollande seule une prière peut peut-être encore changer le destin.

Le téléphone pour transfert d’argent entre particuliers

Le téléphone pour transfert d’argent entre particuliers

Plusieurs applications existent déjà pour permettre le transfert d’argent entre particuliers (Google, Facebook etc.). Cette fois c’est Apple qui se lance sur ce marché prometteur (l’envoi par Western union coûte une fortune !)Après avoir déjà proposé le paiement par mobile. Progressivement on s’oriente donc vers une diversification des moyens de paiement dans tous les domaines avec notamment la montée en puissance des groupes informatiques américains. De quoi mettre en question le futur des banques de détail traditionnelles par ailleurs bousculées  par les banques en ligne. Le groupe informatique américain Apple, qui s’était lancé l’an dernier dans les paiements mobiles, discute avec des banques américaines d’un service supplémentaire qui permettrait à des particuliers de s’envoyer de l’argent, écrit mercredi le Wall Street Journal. Cela viendrait en complément du service existant Apple Pay, qui permet d’utiliser un iPhone pour payer chez les commerçants. La marque à la pomme négocierait avec plusieurs banques, dont JPMorgan Chase et Wells Fargo, d’après des sources proches du dossier citées par le quotidien des affaires américain.

L’Europe de Macron : transfert de pouvoirs contre une socialisation des dettes

L’Europe de  Macron : transfert de pouvoirs contre une socialisation des dettes

Une fois fait le constat des limites actuelles de la construction européenne et de l’absolue nécessité d’aller vers davantage d’intégration, les orientations diffèrent nettement entre les Etats en particulier en ce qui entre la France et l’Allemagne. Schématiquement la France propose des transferts de souveraineté nationale vers l’Europe en échange d’une solidarité financière c’est-à-dire d’une notamment d’une socialisation des dettes. Ce que refuse Merkel et en particulier le ministre des Schauble.  L’Allemagne craint plus que tout que cela n’entraîne un laxisme encore beaucoup plus important dans le domaine de la gestion budgétaire des états. La France elle ne serait pas mécontente d’accepter des transferts de souveraineté qui permettrait à l’Europe d’imposer des réformes de structures à la France que les gouvernements successifs ont été incapables de mettre en œuvre. Une sorte de défaussement de responsabilité. Tout le monde est donc d’accord sur l’idée d’une plus grande intégration européenne. Mais dès lors que l’on entre dans le détail, l’unanimité prend fin. Cette nouvelle phase d’intégration pose, en effet, deux questions centrales : de quelle intégration parle-t-on ? Et comment y parvenir ? Et sur ce point, les divergences sont notables. La France plaide pour une intégration profonde, incluant des transferts financiers importants et un gouvernement économique de la zone euro. Emmanuel Macron, profitant de sa bonne image outre-Rhin, a tenté de convaincre les Allemands de cette réforme dans les colonnes de la Süddeutsche Zeitung. « Si les Etats membres ne sont pas prêts comme jusqu’à aujourd’hui à toute forme de transferts financiers au sein de l’union monétaire, on peut oublier l’euro et la zone euro », a-t-il martelé, non sans raison, avant d’ajouter : « une union monétaire sans péréquation, ça n’existe pas. » Le commissaire à la zone euro que propose Paris sera donc amené à « déclencher des investissements. ».  La position du gouvernement français est assez logique, car, effectivement, les maux principaux de la zone euro sont liés à cette absence de péréquation et de solidarité. L’idée centrale de Paris, c’est de « vendre » cette solidarité à Berlin en échange de « réformes. » La France et l’Italie devraient donc améliorer leur compétitivité et l’Allemagne, voyant les déséquilibres se réduire, accepterait l’idée d’une union de transferts.

Foot-Transfert de Gignac : menace sur l’existence de l’OM

Foot-Transfert de Gignac : menace sur l’existence de l’OM

Ce pourrait être un coup dur pour l’OM avec cette affaire de dessous de table notamment pour le transfert de Gignac. Une sale affaire qui va ternir l’image d’un club déjà financièrement fragilisé et dont la propriétaire madame Dreyfus cherche depuis longtemps à se débarrasser. La question est de savoir  qui aurait envie de racheter un club dont limage est  trop sulfureuse alors que paradoxalement les résultats sont excellents cette année. En fait ceste u peu la folie du foot qui est en cause avec des salaires démentiels et nombre d’intermédiaires qui se gavent. En attendant  l’OM: Vincent Labrune, Jean-Claude Dassier et Pape Diouf sont en garde à vue L’information tombe mal alors qu’André-Pierre Gignac devenait  être titularisé par Didier Deschamps pour le match amical France-Suède ce soir au Vélodrome. Selon des informations révélées par lepoint.fr et itélé, Vincent Labrune, actuel président de l’OM, et Jean-Claude Dassier, son prédécesseur, auraient été interpellés et placés en garde à vue mardi matin pour répondre de la gestion du club sur certains transferts, notamment celui de Gignac en provenance de Toulouse à l’été 2010. Acheté 18 millions d’euros, l’attaquant de l’équipe de France avait vu son salaire passer à 300.000 euros bruts. Selon Le Parisien, l’enquête menée par les juges d’instruction marseillais Thierry Azéma et Christophe Perruaux depuis 2011 s’intéresse à la personnalité de Christophe d’Amico, premier agent de Gignac qui «servirait de passerelle entre des individus connus du banditisme corso-marseillais et le monde du football». 

 

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