Archive pour le Tag 'trahit'

Energie et Entreprises: Le MEDEF trahit ses adhérents

Entreprises: Le MEDEF trahit ses adhérents

On peut laisser moment se demander ce qui a conduit le patron du Medef à se montrer aussi courtisan vis-à-vis du gouvernement ; ainsi contrairement aux demandes d’organisations patronales de petites et moyennes entreprises, il réfute l’idée d’un nouveau bouclier tarifaire en matière énergétique. Exactement le même discours que le ministre de l’économie.

Pire, le patron du Medef dénonce l’attitude mendiante des patrons vis-à-vis de l’emballement des prix de l’énergie. Clairement, il prend parti pour le maintien d’une régulation anarchique qui profite aux énergéticiens parasites.

« Oui, il y a des entreprises qui sont fortement pénalisées par l’inflation de leurs coûts qu’elles n’arrivent pas à répercuter dans leurs prix », a concédé le président de la première organisation patronale française. « Oui, il y a des entreprises très consommatrices d’énergie qui ont aussi des problèmes », a-t-il poursuivi. « Mais quand je regarde la globalité (des entreprises), aujourd’hui les carnets de commandes tiennent » et les priorités des patrons sont plutôt « l’embauche et les salaires ».

« A un moment, il faut aussi se dire ‘on est patrons, un patron, c’est fait pour surmonter les difficultés, ça se lève le matin avec l’envie de développer sa boîte quelle que soit la difficulté’,.

On peut laisser moment se demander ce qui a conduit le patron du Medef à se montrer aussi courtisan vis-à-vis du ; ainsi contrairement aux demandes d’organisation patronale de petites et moyennes entreprises il réfute l’idée d’un nouveau bouclier tarifaire en matière énergétique. Exactement le même discours que le ministre de l’économie.

Pire, le patron du Medef dénonce l’attitude mendiante des patrons vis-à-vis de l’emballement des prix de l’énergie. Clairement il prend parti pour le maintien d’une régulation anarchique qui profite aux énergéticiens parasites.

Ces derniers mois, nombre d’organisations professionnelles (CPME, U2P, Syndicat des indépendants notamment) ont multiplié les appels au ministère de l’Economie pour obtenir des dispositifs de soutien face à la flambée des prix de l’énergie.

Le MEDEF trahit ses adhérents

Le MEDEF trahit se adhérents

On peut laisser moment se demander ce qui a conduit le patron du Medef à se montrer aussi courtisan vis-à-vis du gouvernement ; ainsi contrairement aux demandes d’organisations patronales de petites et moyennes entreprises, il réfute l’idée d’un nouveau bouclier tarifaire en matière énergétique. Exactement le même discours que le ministre de l’économie.

Pire, le patron du Medef dénonce l’attitude mendiante des patrons vis-à-vis de l’emballement des prix de l’énergie. Clairement, il prend parti pour le maintien d’une régulation anarchique qui profite aux énergéticiens parasites.

 

« Oui, il y a des entreprises qui sont fortement pénalisées par l’inflation de leurs coûts qu’elles n’arrivent pas à répercuter dans leurs prix », a concédé le président de la première organisation patronale française. « Oui, il y a des entreprises très consommatrices d’énergie qui ont aussi des problèmes », a-t-il poursuivi. « Mais quand je regarde la globalité (des entreprises), aujourd’hui les carnets de commandes tiennent » et les priorités des patrons sont plutôt « l’embauche et les salaires ».

« A un moment, il faut aussi se dire ‘on est patrons, un patron, c’est fait pour surmonter les difficultés, ça se lève le matin avec l’envie de développer sa boîte quelle que soit la difficulté’,.

On peut laisser moment se demander ce qui a conduit le patron du Medef à se montrer aussi courtisan vis-à-vis du ; ainsi contrairement aux demandes d’organisation patronale de petites et moyennes entreprises il réfute l’idée d’un nouveau bouclier tarifaire en matière énergétique. Exactement le même discours que le ministre de l’économie.

Pire, le patron du Medef dénonce l’attitude mendiante des patrons vis-à-vis de l’emballement des prix de l’énergie. Clairement il prend parti pour le maintien d’une régulation anarchique qui profite aux énergéticiens parasites.

Ces derniers mois, nombre d’organisations professionnelles (CPME, U2P, Syndicat des indépendants notamment) ont multiplié les appels au ministère de l’Economie pour obtenir des dispositifs de soutien face à la flambée des prix de l’énergie.

Armement : l’Allemagne trahit encore l’Europe

Armement : l’Allemagne trahit encore l’Europe

 

L’encre de l’accord pour l’avion de chasse commun était à peine sèche que l’Allemagne fait à nouveau valoir son point de vue nationaliste en matière d’armement. L’accord pour la grande chasse a été arraché après d’éprouvantes négociations qui ont démontré que l’Allemagne était surtout intéressée par la maîtrise de la technologie française. Pour les autres équipements militaires, l’Allemagne retourne ainsi que démon : européenne quand ça arrange , atlantiste pour ne pas gêner les États-Unis. La décision de l’Allemagne d’acheter aux Etats-Unis cinq avions P-8A Poseidon (Boeing) pour 1,43 milliard d’euros, a très fortement agacé en France, jusqu’à l’Élysée, pourtant jusqu’ici très germanophile. Mais là, trop c’est trop. La décision ne passe pas vraiment comme d’ailleurs les incertitudes sur d’autres programmes en coopération avec l’Allemagne, notamment le Tigre Mark 3, qui est une priorité de l’armée de terre. D’autant qu’en France, personne ne croit vraiment à l’achat de cinq avions P-8A Poseidon en tant que « solution provisoire » en remplacement des vieux P-3C Orion de l’armée de l’air allemande. Clairement, Paris estime s’être fait roulé par Berlin.

Municipales: le maire socialiste de Strasbourg trahit Trautmann qui l’a fait roi !

Municipales: le maire socialiste de Strasbourg trahit Trautmann qui l’a fait  roi !

Encore un bel exemple de trahison politique avec celui  du maire socialiste de Strasbourg, Roland Ries, qui a annoncé ce samedi son soutien pour les élections municipales au candidat LaREM, Alain Fontanel, au détriment de la candidature socialiste de l’ancienne ministre Catherine Trautmann.

Pourtant Roland  Ries  n’a été élu maire que grâce à la nomination de Catherine Trautmann comme ministre à l’époque. Catherine Trautmann avait alors souhaité être remplacée par Roland ries , un complet inconnu. Changement d’écurie et d’orientation pour l’actuel maire de Strasbourg qui règle ses comptes personnels:

« Alain Fontanel me paraît le mieux placé pour prendre ma succession », a déclaré Roland Ries aux Dernières Nouvelles d’Alsace (DNA), après avoir maintenu le suspense jusqu’au dernier conseil municipal.

« Difficile, la fonction exige du doigté, de la tempérance sans pour autant aboutir à la non-décision. Et puis, Alain est un ami et il est mon premier adjoint », a-t-il ajouté, rendant hommage à son travail d’adjoint depuis 2008.

Il a juste regretté, dans son entretien aux DNA, que celui qu’il avait déjà un temps présenté comme son dauphin, avant qu’Alain Fontanel ne quitte le PS en 2017 pour soutenir Emmanuel Macron, « soit trop inféodé à La République en Marche ».

En octobre, Roland Ries faisait partie des 75 signataires élus et anciens élus d’un « manifeste » appelant à la création d’un  »pôle de gauche dans la majorité » gouvernementale. Le premier secrétaire du PS Olivier Faure en avait « tir(é) la conclusion qu’il n’est plus membre du PS ».

Celui qui aura fait trois mandats non consécutifs de maire n’a d’ailleurs pas évoqué samedi la nouvelle tête de liste PS à Strasbourg, Catherine Trautmann, qui lui avait pourtant laissé le fauteuil de maire de Strasbourg en 1997 quand elle était devenue ministre du gouvernement Jospin.

Catherine Trautmann, jusqu’alors numéro 2, a été propulsée candidate PS la semaine passée après le renoncement du candidat initial Mathieu Cahn, qui s’est finalement complètement retiré de la liste mercredi à la demande de la direction nationale du PS pour des « comportements en contradiction avec ses valeurs » féministes.

Une belle tambouille politique qui témoigne de la faiblesse des convictions où les intérêts personnels et les rancœurs  prennent le pas sur des intérêts politiques.

Airbus : La Pologne trahit l’Europe

Airbus : La Pologne trahit l’Europe

 

Ce n’est pas la première fois que la Pologne  prend des positions anti européennes mais cette fois avec l’annulation d’une commande de 50 hélicoptères militaires Caracal d’Airbus c’est la goutte qui pourrait faire déborder le vase.  Une Pologne très contradictoire qui a largement bénéficié des soutiens économiques et qui maintenant prend le large vis-à-vis de la solidarité économique de l’union européenne.  L’aide apportée aux ex pays de l’Est a en effet été considérable sans parler de l’aide politique pour que ces pays se libèrent du joug soviétique. En refusant d’acheter les hélicoptères d’Airbus la Balagne manifeste encore son alignement sur les États-Unis. Certes le gouvernement euro sceptique actuel de la Pologne n’est pas rien dans cette décision. Pour autant on observe en Pologne comme dans d’autres pays de l’Est des velléités de se coupé des principes européens tant dans le domaine économique que dans le domaine des valeurs républicaines. La relation entre les deux pays membres de l’Union européenne et de l’Otan va être « gravement affectée » par la décision polonaise et la France va « réexaminer l’ensemble » de sa coopération en matière de défense avec la Pologne, selon une source française proche du dossier. L’Etat français, actionnaire d’Airbus à hauteur de 11%, veillera à ce que le groupe réexamine ses projets d’investissements en Pologne, a ajouté cette source. Le contrat, qui portait sur la livraison de 50 hélicoptères Caracal pour un montant de 13,5 milliards de zlotys (3,14 milliards d’euros), représentait plus de 3.000 emplois en Pologne, selon Airbus. Airbus Group emploie actuellement environ 900 salariés en Pologne, dans le spatial, les hélicoptères et les avions militaires, avec un centre de recherche dans le pays. Sur le plan diplomatique, les consultations envisagées le 13 octobre à Varsovie en présence de François Hollande ont été reportées sine die après la confirmation, vendredi, par le ministre polonais de la Défense de l’annulation de l’appel d’offres remporté en avril 2015 par Airbus Helicopters. Une visite du ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian, prévue lundi dans la capitale polonaise, a elle aussi été annulée. « Le président de la République a demandé au ministre des Affaires étrangères de se rendre rapidement à Varsovie », indique-t-on dans l’entourage de François Hollande. Le Quai d’Orsay a fait savoir un peu plus tard que Jean-Marc Ayrault ne se rendrait pas jeudi à Varsovie, contrairement à ce qui avait été auparavant annoncé. Le ministre polonais des Affaires étrangères, Witold Waszczykowski, a assuré que « les consultations entre les gouvernements polonais et français ont été reportées, pas annulées ». Expliquant que « l’offre finale d’Airbus Helicopters ne répondait pas à nos attentes », il a ajouté rester confiant dans la poursuite de la coopération avec la France. L’accord sur le contrat avait été conclu par le précédent gouvernement polonais, battu aux législatives d’octobre 2015 par le parti Droit et Justice (PiS), eurosceptique. Airbus avait à l’époque été préféré à l’américain Sikorsky et à l’italien AgustaWestland. « Avant on avait une plateforme de centre-droit qui comprenait qu’il était dans l’intérêt de la Pologne, au-delà de l’axe avec les Etats-Unis, d’entretenir une relation bilatérale avec les Français et les Allemands », note une source diplomatique française. (Avec Reuters)




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