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L’impôt sur le revenu pour tous abandonné par l’assemblée

 

L’impôt sur le revenu pour tous abandonné par l’assemblée

 

C’est pour » le vivre ensemble » qu’un député PS en mal existentiel proposait un impôt sur le revenu pour tous les français dont le caractère devait renforcer l’idée de citoyenneté ;  bref un joli bla-bla de gauche comme si les Français ne payaient déjà pas d’impôts. Bien entendu ils sont soumis comme tous les consommateurs notamment à la TVA(en général de 20 %) sur tout ce qu’ils achètent. Ils paient également environ 2000 € pour la taxe d’habitation et l’impôt foncier en moyenne. Une multitude d’autres impôts et taxes. On voit mal ce qui aurait peut exister de citoyen  dans le versement d’un impôt sur le revenu de 30 à 50 € pour les plus défavorisés. Les discussions ont cependant été nourries mercredi soir à l’Assemblée nationale autour de l’amendement du député PS Razzy Hammadi qui visait à établir un impôt sur le revenu minimum obligatoire. L’élu de Seine-Saint-Denis a finalement retiré son amendement, qui n’a donc pas été soumis au vote. Il proposait de créer une tranche supplémentaire qui serait devenue la première tranche et aurait entraîné une « contribution citoyenne » correspondant à 0,1% des revenus.  Quelque 46,5% des foyers fiscaux sont assujettis à l’impôt sur le revenu en 2015, selon le rapport du rapporteur général, Valérie Rabault (PS).  Razzy Hammadi a expliqué dans l’hémicycle vouloir nourrir « des principes et des symboles » pour favoriser le « vivre ensemble », en assurant qu’ »une majorité de Français considèrent qu’il y a un sens » à cette « universalité » de l’impôt sur le revenu.  Mais le secrétaire d’Etat au Budget, Christian Eckert, a dit croire davantage à la « pédagogie » qu’aux « symboles », et rappelé que la contribution sociale généralisée (CSG) était assise sur l’ensemble des revenus. « En moyenne les Français paient plus de CSG » et « ceux qui n’ont pas beaucoup de revenus ne paient pas d’impôt sur le revenu », a-t-il fait valoir.

Impôt sur le revenu : obligatoire pour tous les Français (Hammadi)

Impôt sur le revenu : obligatoire pour tous les Français (Hammadi)

Nouvelle offensive d’un responsable de gauche pour instituer le caractère obligatoire de l’impôt sur le revenu. Cette fois il s’agit du député socialiste Razzy Hammadi qui a déposé ce samedi un amendement devant la commission des Finances visant à établir un impôt sur le revenu minimum obligatoire. Ce serait une manière de rendre les Français davantage citoyens. Cet impôt pourrait même être  de 30 € pour les plus défavorisés. Même pas le montant nécessaire pour couvrir les frais administratifs de ce nouveau produit de l’ingénierie fiscale française. On rêve évidemment ! Certes il s’agit sans doute pour ce député assez anonyme de sortir de l’ombre en ressortant une pancarte déjà usagée avec en plus une argumentation pour le moins fumeuse qui distingue les impôts citoyens de ceux qui ne le sont pas ! Mais sur le fond cette proposition caractérise bien la folie fiscale de nombreux d’élus. Comme si tous les citoyens sans exception ne payaient déjà pas suffisamment d’impôts. L’apparatchik en question ignore sans doute que tous les français paient de nombreux impôts, des impôts indirects comme la TVA qui concerne tout les consommateurs et qui représente l’une des principales ressources de l’État ;   les impôts directs aussi, locaux notamment qui représentent la plus grande pression fiscale pour la plupart des ménages. En effet ces impôts locaux en moyenne (taxe habitation et impôts fonciers) représentent environ del’ordre  de 2000 € par foyer. On voit mal d’ailleurs pourquoi les Français auraient besoin par le biais d’une nouvelle innovation fiscale d’acheter leur brevet de citoyenneté. Le député de Seine-Saint-  a précisé avoir déposé deux versions de son amendement: «la première crée une tranche supplémentaire qui devient la première tranche» et entraînerait un «paiement forfaitaire minimum». La deuxième version consiste à «rajouter une ligne à la feuille d’impôt (comme pour la redevance télé) intitulée ‘cotisation civique minimum obligatoire’, dont le montant est à fixer par décret». De quel montant parle-t-on? «Entre 30 et 50 euros», propose Razzy Hammadi.  «Cela faisait longtemps que je souhaitais aborder ce débat», confie-t-il, assurant avoir «reçu une quarantaine de soutiens d’autres députés». «Le socialisme, ce sont des droits, mais aussi des devoirs. L’objectif du gouvernement de poursuivre les baisses d’impôts ne doit pas nous emplêcher de continuer notre combat pour la justice de l’impôt», justifie le député, pour qui «il faut, en France, des impôts plus bas et des impôts plus justes». La mesure proposée par le député socialiste rapporterait entre 400 et 600 millions d’euros, selon ses calculs. Un gain qu’il propose d’ajouter aux 2 milliards d’euros de baisses d’impôts déjà promises par le gouvernement pour l’année 2016, auprès des classes moyennes. «Aucun gain fiscal ne sera enregistré par l’État. Ainsi, François Hollande respecterait sa promesse de ne plus augmenter les impôts.» !!!!!!

Retraites : effort de tous et régime unifié (CFDT)

Retraites : effort de tous et régime unifié (CFDT)

 

La CFDT prône l’instauration d’un régime unifié de retraites complémentaires pour l’ensemble des salariés français sur la période 2019-2024, assorti d’une hausse des cotisations patronales de 0,1% par an de 2019 à 2021. De son coté le  Medef propose un recul de l’âge de la retraite pour les complémentaires,  il faudra attendre 65 ans pour toucher une retraite à taux plein. En cause la situation catastrophique des caisses puisque les réserves financières seront en épuisé en 2018 pour l’Agirc (cadres) et en 2027 pour l’Arcco au (autres salariés). De toute façon la réforme est indispensable pour sauver les régimes de retraite. Trois scénarios, ou augmenter les cotisations, ou diminuer les pensions ou retarder l’âge de la retraite. Avec une combinaison possible de ces trois leviers. Progressivement on risque de s’orienter vers une réduction des montants et un recul de l’âge de la retraite pour une retraite pleine. En cause évidemment l’évolution de la démographie aussi un nombre d’actifs insuffisants du fait de la croissance molle dans laquelle est englué la France. Le Medef propose, entre autres, qu’à partir de 2019, un salarié arrêtant de travailler à 62 ans se voie appliquer une décote de 30% la première année, 20% la suivante et 10% à 64 ans pour bénéficier d’une retraite à taux plein à 65 ans.  La CGT a évalué à 7.667 euros la perte de revenus sur trois ans d’une cadre, dont le salaire annuel net serait de 41.305 euros et qui partirait à la retraite à 62 ans.  En appliquant l’abattement dégressif proposé par le Medef, le syndicat souligne que la future retraitée ne « toucherait donc plus que 2.035,5 euros nets par mois la première année, soit une perte de 319,5 euros/mois; 2.142,1 euros nets mensuels la 2ème année, soit une perte de 212,9 euros/mois; et enfin 2.249 euros nets la troisième années, soit une perte de 106 euros/mois ».L’Agirc a vu son déficit se creuser à 1,985 milliard et l’Arrco à 1,153 milliard l’année dernière. Si rien n’est fait, leurs réserves seront épuisées d’ici à 2018 pour l’Agirc, à 2027 pour l’Arrco.la CFDT elle se refuse d’être acculée à négocier uniquement sur les propositions du Medef et en faiat récuse l’idée d’un recul de l’âge de la retraire   »Notre proposition s’articule en trois temps : les mesures urgentes avant 2019, le retour à l’équilibre jusqu’en 2024, puis au-delà. Tout le monde doit faire des efforts, pas seulement les salariés et les retraités », explique Laurent Berger, le patron de la CFDT. « À court terme, poursuit le dirigeant syndical, nous sommes prêts à décaler la revalorisation des pensions complémentaires d’avril à octobre, pour faire des économies, en s’alignant sur le régime général ». Laurent Berger estime qu’ »on peut jouer aussi sur le taux de rendement du point de retraite, en restant au-dessus de 6% ». « Nous sommes prêts également à discuter de la poursuite, pendant trois ans, de la sous-indexation des pensions, en les revalorisant de 1 point de moins que l’inflation et non pas 1,5 point comme le réclame le patronat ». Le secrétaire général de la CFDT se prononce également pour une mutualisation des réserves de l’Agirc et de l’Arrco dès 2017. Sur le long terme, la CDFT propose « la mise en place d’un nouveau régime unifié de retraites complémentaires pour tous les salariés » sur la période 2019-2024. Ce régime serait fondé sur le niveau de la rémunération et non le statut, avec une seule valeur du point. « Pour le conforter financièrement, des efforts devront être demandés aux entreprises : une hausse des cotisations de 0,1% par an de 2019 à 2021, ainsi qu’une contribution patronale en cas de séparation d’un salarié au-delà de 50 ans », dit-il. En contrepartie, les salariés partant à la retraite assumeraient « une contribution de solidarité intergénérationnelle ». En clair les retraités seraient sollicités pour équilibrer les régimes.   »A l’inverse du Medef, notre but n’est pas de pousser les salariés à prolonger leur carrière, conduisant de fait à une remontée de l’âge de la retraite, mais à leur demander un effort de solidarité pour sauvegarder leur régime de retraite », justifie Laurent Berger. « En mobilisant une partie des réserves actuelles, qui représentent dix mois de pensions, nous serions quasiment à l’équilibre technique en 2020 (- 1 milliard) et en excédent en 2030 (+700 millions) ».

Bac : pour tous ou presque

Bac : pour tous ou presque

 

Plus de 90% pour le bac général, pas loin pour l’ensemble des bacs. Ce qui pose la question de son maintien en la forme et en même temps de son niveau. On peut même se demander si certains bacheliers (surtout dans la filière pro qui mène tout droit à pôle emploi)  seraient capables de passer le certificat d’études primaires des années 20 ( où le taux de réussite était de l’ordre 20%. Ce qu’ont tenté les journalistes de l’Express. Pas brillant comme résultat (pour des bac+ 5) : 66% de réussite et tout juste la moyenne. Extrait de l’express

« L’Express décroche le certif’! Le projet de soumettre ses journalistes aux épreuves du certificat d’études primaires est parti d’un commentaire laissé sous un article de 20 minutes consacré à l’ouvrage. L’internaute lançait alors un défi:

« Serait-il indécent de soumettre les journalistes en 2013 à cette épreuve? »

Quelques journalistes de L’Express ont ainsi passé les épreuves comme à l’époque des encriers couleur pétrole et de la craie sous les ongles. Dans les mêmes conditions, sans ordinateur ni téléphone bien sûr. Les sujets ont été tirés au sort dans le livre Auriez-vous eu votre certificat d’études en 1923? paru en avril 2013 chez Larousse.  De 1866 à 1989, le certificat d’études primaires attestait des connaissances acquises par les élèves âges de 11 à 13 ans à la fin de leur scolarité en primaire. Un examen « très sélectif ». Au début du 20e siècle seulement 30% des candidats décrochaient leur diplôme. « L’élite pouvait alors prétendre au Saint-Graal: embrasser une carrière dans la fonction publique! » (sic) précise le livre paru chez Larousse.  La moyenne générale est de 31 sur 60. Ce qui est bien mais pas top. Elle est supérieure à 30, L’Express est diplômé. Dans le détail, 66% des candidats ont plus de 30 points voire beaucoup plus.  Un résultat honorable, dans la mesure où certains sujets n’ont jamais ou rarement été abordés par les candidats, dont la moyenne d’âge est de 34 ans (plus âgé 52 ans, plus jeune 21 ans), au cours de leur scolarité en primaire.  Les points forts ont été récoltés dans les épreuves de grammaire, orthographe, géographie, anatomie et… récitation. Les mathématiques ont piégé les candidats, même si les résultats ne s’avèrent pas non plus catastrophiques: une moyenne de 5 points sur 15 possibles. Les intitulés étaient corsés: robinets qui coulent, superficie de prismes, calculs de masse de beurre obtenue à partir de lait de vache. ..  Au final, l’honneur est sauf. » Enfin… pas tout à fait !

« La Manif pour tous » : nouveau parti politique

« La Manif pour tous » : nouveau parti politique

«La Manif pour tous» est devenu un parti politique. Ce que confirme l’un de ses responsables, Albéric Dumont au Scan : «Pour nous il s’agit d’un ajustement technique. Nous étions une association loi 1901 à but non lucratif, maintenant nous sommes devenus une association 1901 à but politique». Le vice-président du nouveau parti affirme qu’il «ne s’agit que d’une mise à jour, pour être en cohérence avec notre mode de pensée, l’association étant devenue plus politique». Selon lui, rien ne va changer. La ligne reste la même, les revendications également. «Nous ne comptons présenter aucun candidat aux présidentielles, ni aux régionales», affirme même Albéric Dumont.  Pas de candidats, donc, ni de changement de ligne politique. Par contre ce statut ouvre la voie à une déduction fiscale pour les donateurs de la Manif pour tous. Des dons évalués à près de 4,5 millions d’euros pour l’exercice 2013, publié en juin dernier. Pour un parti politique, le plafonnement des dons est fixé à 7500 euros par an et par foyer fiscal, sans compter les cotisations. Les dons sont déductibles des impôts à hauteur de 66 %. La Manif pour Tous rejoint donc Sens Commun dans la cour des partis politiques. Composé d’anciens cadres du mouvement LMPT, Sens Commun est aujourd’hui associé à l’UMP. «Notre action est complémentaire à celle de l’UMP», confiait d’ailleurs au Scan un membre de la direction de Sens Commun. Un rôle que ne veut pas jouer Albéric Dumont. «Nous ne nous considérons comme affilié à aucun parti, nous voulons représenter nos idées au sens large, au-delà des partis politiques. Sens Commun fait partie de l’UMP, leur objectif est d’être élu. Ça n’est pas notre cas». La présidente de la Manif pour tous, Ludovine de La Rochère assurait le 12 mars dernier à RTL que le mouvement n’avait pas vocation à se transformer en parti politique.  »Nous ne sommes pas là pour obtenir des mandats [...] Nous sommes là pour attirer l’attention sur le respect de l’humanité [...] Présenter des candidats n’est pas une possibilité, la Manif pour tous n’aucune raison de traiter tous les domaines« , expliquait-elle. Ce revirement est difficile à expliquer pour le vice-président du parti, qui indique  que ce projet existait « depuis trois ou quatre mois et a été mis au Journal officiel ce vendredi ». Il ajoute : « Je ne sais pas pourquoi elle a dit ça ».

Une nouvelle prise qui va contraindre à changer tous les ordinateurs !

Une  nouvelle prise qui va contraindre à changer tous les ordinateurs !

 

Ceci est une révolution d’Apple ! Il faut évidemment encourager le remplacement des ordinateurs ( le plus souvent avec des système d’exploitation moins rapides et plus complexes). Appel vient d’inventer uen nouvelle prise qui pourrait remplacer toutes les  autres. Mais qui pourraiat contraindre à renouveler aussi le matériel à terme. Une  idée qui sera sans doute reprise rapidement pas les autres constructeurs.  Dans les mois et les années à venir, tous les ordinateurs devraient être équipés de ce nouveau connecteur : l’USB type C. Pour l’instant cette nouvelle prise n’est que sur le nouveau MacBook d’Apple. Le futur Chromebook Pixel sera aussi équipé.  Aujourd’hui sur nos ordinateurs, il y a une prise pour recharger l’appareil, une autre pour par exemple le connecter à un écran de télé – une prise HDMI souvent – et puis des ports USB classiques qui permettent différents branchements. L’USB Type C est capable à elle toute seule de remplacer toutes ses prises. Elle sert pour tous les branchements. Impossible donc, sauf si l’appareil est équipé de plusieurs prises USB-C (ce qui n’est pas le cas du nouveau MacBook) de mettre à charger son ordinateur tout en branchant dessus par exemple un disque dur externe ou tout en le reliant à la télé. C’est une petite gymnastique à laquelle il va falloir s’habituer. On peut aussi imaginer que vont fleurir sur le marché des prises multiples pour USB C.  Ce nouveau connecteur USB a un design tout à fait différent des autres ports USB que nous connaissons. Il est plus petit et sa particularité est qu’il n’y a pas de sens pour le brancher : la partie mâle s’insère dans la partie femelle quelle que soit la façon dont vous la présentez, il n’y a pas de « à l’endroit à l’envers », ce qui est plutôt pratique. Cela signifie qu’on ne pourra pas brancher sur ce connecteur USB C tous les accessoires, tous les câbles qu’on peut déjà avoir et qui ont une prise USB classique. Il faudra donc soit les changer soit s’équiper d’adaptateurs.

Accès à la cantine pour tous en primaire :qui va payer ?

Accès à la cantine pour tous en  primaire :qui va payer ?

 

Une mesure sociale évidente car il était indigne de refuser des enfants à la cantine dans le primaire. Mais encore uen mesure non financée puisqu’il est seulement prévu que le coût qui pourrait en résulter sera compensé par la dotation globale. Or cette dotation globale doit diminuer. Autrement dit la fiscalité locale va augmenter ( même si les enjeux financiers de cette mesure  ne sosnt pas dramatiques). C’est un peu comme les travaux d’activités périscolaires, votés par le parlement mais financé par les communes.   Les députés français ont adopté en première lecture jeudi une proposition de loi qui vise à garantir le droit d’accès à la restauration scolaire, les cantines, pour tous les enfants scolarisés dans les écoles maternelles et élémentaires. Tous les groupes, à l’exception de l’UMP qui a qualifié ce texte « d’affichage », ont voté cette proposition de loi présentée par le groupe des radicaux de gauche. « L’inscription à la cantine des écoles primaires, lorsque ce service existe, est un droit pour tous les enfants scolarisés. Il ne peut être établi aucune discrimination selon la situation de famille », dispose le texte. Certaines communes, pour des raisons diverses comme la situation familiale ou le lieu de résidence, interdisent l’accès d’enfants à leurs cantines alors que les jurisprudences condamnent toutes les discriminations. Six millions d’élèves, la moitié des écoliers et les deux tiers des collégiens et lycéens, sont inscrits dans les cantines. Quelque 400 millions de repas sont servis chaque année dans les écoles pour un coût moyen de 7 euros facturé aux parents en moyenne à hauteur de 2,5 à 3 euros. Six cents millions de repas sont servis dans les collèges et lycées pour un coût par repas d’environ 9 euros facturé en moyenne de 3,5 à 4 euros.  Le coût est évalué à près de 1,5 milliard d’euros pour les communes et à 3,5 milliards d’euros pour les départements et les régions. La proposition de loi prévoit une compensation financière, notamment par le biais de la dotation globale de fonctionnement, pour les charges qui pourraient résulter pour les communes de ce droit obligatoire à l’accès.

 

Pesticides :danger mortel , partout et pout tous

Pesticides :danger mortel , partout et pout tous

 

Les pesticides sont particulièrement dangereux pour les professionnels très exposée mais ils sosnt dangereux aussi pour tous et partout via la chaîne alimentaire, l’air, l’eau etc. Les insecticides, herbicides, fongicides et autres produits dits phytosanitaires sont nombreux (plus de 100 familles chimiques et 10 000 formulations commerciales) et massivement utilisés, surtout en milieu agricole mais aussi dans de nombreux autres secteurs (parcs et jardins, voierie, traitement du bois, santé humaine et vétérinaire, etc.). De ce fait, si les études réalisées se concentrent dans les milieux professionnels exposés, les pesticides sont en fait omniprésents : dans l’air, les eaux, le sol et les produits alimentaires. En milieu professionnel, précise l’étude de l’Inserm, la principale voie d’exposition est la peau (80 %) et dans certains milieux, la voie respiratoire. En population générale, la principale voie d’exposition est la voie orale à travers l’alimentation. Sur ce sujet controversé, les études sont multiples et les résultats concordants pour certaines maladies, moins pour d’autres. L’expertise de l’Inserm s’est focalisée sur 8 localisations de cancer et 3 maladies neurodégénératives mais aussi sur la fertilité, la grossesse et le développement de l’enfant. En ce qui concerne les cancers, une augmentation du risque de cancer de la prostate existe chez les agriculteurs, les travailleurs des usines de pesticides et en zone rurale (12 % à 28 %). Certains pesticides comme la chordécone  sont également pointées du doigt en population générale. Par ailleurs, les pesticides organophosphorés comme le DDT sont liés à une augmentation du risque de lymphome non hodgkingien (cancer des ganglions) et de myélome multiple (cancer du sang qui s’origine dans la moelle des os). Pour les leucémies, bien que les résultats soient moins concluants, le risque ne peut être écarté. Pour d’autres cancers, comme le cancer du testicule ou du cerveau, l’analyse des études est difficile, notamment en raison de leur incidence faible en population générale. S’agissant des maladies neurodégénératives, une augmentation du risque de développer une maladie de Parkinson chez les personnes exposées aux pesticides est observée. Pour d’autres maladies comme la maladie d’Alzheimer ou la sclérose latérale amyotrophique, il n’y a pas assez d’études pour conclure. En revanche, un effet délétère sur les fonctions cognitives a été observé, notamment chez les personnes ayant des antécédents d’intoxication aiguë aux pesticides. Une étude de l’association Génération Futures publiée ce jeudi montre que des jeunes femmes qui sont très prudentes sur leurs habitudes de consommation sont tout de même contaminées par des pesticides. France Info s’est procuré les résultats.. L’enquête montre que les jeunes femmes, même si elles sont averties des dangers des pesticides et qu’elles font attention, sont tout de même contaminées.  Il y a un an, la même association avait montré que l’on retrouvait jusqu’à 600 substances différentes dans les cheveux d’enfants vivant en zone rurale. Cette fois, une trentaine de jeunes femmes de 25 à 40 ans qui vivent en ville en Ile-de-France se sont soumises au test. Un laboratoire indépendant a recherché dans une mèche de leurs cheveux 64 substances différentes : des pesticides mais aussi des PCB, des retardateurs de flammes, des produits chimiques réputés pour leur effet sur le système hormonal. « Honnêtement j’ai été surprise par les résultats alors que depuis plus de 10 ans je n’ai mangé que bio, je fais très attention aux produits chimiques. Il n’y a pas de ça chez moi« , explique l’une des cobayes, Nadine 38 ans. Ses analyses ont montré la présence de plus d’une vingtaine de produits perturbateurs endocriniens. Un choc pour cette maman d’une petite fille. Parmi les substances retrouvées, il y a même du lindane utilisé autrefois dans des anti-poux mais qui est aujourd’hui interdit en France, comme dans une cinquantaine de pays. Si Générations futures s’est penchée sur des femmes urbaines en âge d’avoir des enfants, c’est parce que la grossesse est un moment clé de contamination par les produits chimiques. « Il faut que la France tape du poing sur la table pour faire avancer la législation européenne« , estime François Veillerette, le président de Générations Futures. Depuis plus de cinq ans, une règlementation interdit les perturbateurs endocriniens sauf que l’Europe n’a toujours donné la définition de ces substances. Difficile donc de les interdire alors qu’elles ne sont pas définies ? L’association reconnait que la stratégie de la France avance mais elle n’est pas suffisante. Interdire le bisphénol A, c’est bien mais quid des autres substances. Les scientifiques de l’Anses doivent en évaluer une quinzaine d’ici trois ans alors que chaque année plusieurs centaines de nouvelles molécules chimiques sont mises sur le marché.

La PUB élargie dans tous stades ( Touret, fils de pub)

La PUB élargie dans tous stades ( Touret, fils de pub)

Alain Touret a réussi à étendre le champ de la PUB dans tous les stades. Une vraie victoire idéologique de gauche à défaut  de victoire sur le chômage. Amendement voté à l’unanimité de l’assemblée ! il a raison Touret il faut de la PUB et partout, même contraindre les spectateurs à offrir leur corps aux dieus de la PUB  pour vanter les mérites des marques. Partout où c’este’ possible il faut de la pub, sur les maillots bien sû,r mais sur toute la pelouse, dans les gradins, dans le ciel même . et pourquoi pas des spots comme à la télé à chaque interruption de l’arbitre avec annonce  «  le coup franc vous est offert par le crédit Lyonnais » , «  le penalty par le yaourt allégé Yoplait ». Pour permettre aux stades en question de bénéficier au moment de l’Euro 2016 -une compétition dont les Allemands et les Bleus seront, au départ, les favoris- de ressources supplémentaires, le gouvernement, avec l’aval de Ségolène Royal  et dans le cadre du débat sur la loi Macron, avait accepté l’idée que les publicités supérieures à 12m2 n’y seraient plus interdites. Pour l’Euro et, précision importante, pour la suite. Alain Tourret, menant une active campagne auprès de ses collègues élus des grosses villes de province (y compris celles où ce n’est pas le football qui est roi mais le rugby), s’est alors insurgé contre un privilège qui serait octroyé, dit-il, à ceux des clubs qui occupent déjà le dessus du panier, aux dépens des… petits. Aux dépens aussi des clubs de rugby. Argument de gauche, c’est pour les petits clubs aussi. Dans mon village de 500 habitants, l’épicerie a aussitôt réservé un emplacement sur la porte des WC du stade, c’est 20 euros dans la caisse du club. C’est pas uen réforme économique structurelle ça ?

Rebsamen:  » formation qualifiante gratuite pour tous les chômeurs », c’est quoi ?

Rebsamen  » formation qualifiante gratuite pour tous les chômeurs », c’est quoi ?

 

 

« Formation qualifiante gratuite » pour les chômeurs de longue durée, à condition qu’ils aient « un projet éligible au compte personnel de formation ». Une décision qui risque de se perdre dans les méandres de la bureaucratie d’autant qu’on est bien incapable de définir ce qu’est réellement une formation qualifiante répondant «  aux besoins à court et moyen terme de l’économie ». Comme l’indique les textes . E une formation de quelle durée de 150 heures ? Soit environ un mois. Quelle réelle qualification réelle peut–on obtenir au bout  d’un mois ? Et même si la formation n’est jamais du temps perdu encore faut-il s’interroger sur les besoins d’une activité générale  aujourd’hui atone, c’est à dire uen croissance molle qui pourrait bien durer une  décennie. Encore heureux que cette formation soit gratuite car la formation permanent dispose déjà de l’ordre de 35 milliards par an mangés pour l’essentiel par les superstructures, les organisations professionnelles et syndicales et les formations bidon.  Le ministre du Travail, François Rebsamen, a donc annoncé lundi vingt mesures pour lutter contre le chômage de longue durée. Le nouveau plan, qui sera appliqué en mars, s’appuie notamment sur la formation. Afin d’enrayer le chômage de longue durée, le gouvernement mise notamment sur la formation. Le ministre du Travail, François Rebsamen, a annoncé lundi plusieurs mesures. Ce plan qu’il qualifie « d’effort sans précédent » sera appliqué à partir du mois de mars.   François Rebsamen a présenté 20 mesures pour tenter d’enrayer le chômage de longue durée. Certaines sont nouvelles, d’autres sont des extensions de plans déjà existants. Le dispositif fait une large place à la formation et à un accompagnement personnalisé renforcé des demandeurs d’emploi concernés. Il est question pour ces personnes d’une « formation qualifiante gratuite« , à condition qu’elles aient « un projet éligible au compte personnel de formation ». Les charges familiales ainsi que le logement peuvent être des freins à la recherche d’un emploi. Le gouvernement se fixe comme objectif de trouver, dans les six mois suivant l’inscription au chômage, une solution pour que tout demandeur d’emploi puisse faire garder ses enfants le temps d’un entretien d’embauche, d’une formation ou d’une période d’essai. Des solutions d’hébergement pour les chômeurs de longue durée ayant des problèmes de logement seront aussi mises en place sur tout le territoire, a aussi annoncé le ministère du Travail.  Pour illustrer sa démonstration, François Rebsamen a pris l’exemple d’un parent isolé à la recherche d’un travail.

« La garde d’enfants, en particulier pour les mères isolées, constitue un frein majeur au retour à l’emploi. Il y aura un dispositif de réservation de places en crèche d’entreprises ou municipales, pour les demandeurs d’emploi, parents isolés. » « Un parent pourra se rendre à un entretien professionnel, sans que ne pèse sur lui le problème de la garde de son enfant » : François Rebsamen, ministre du Travail  Le nombre de demandeurs d’emplois sans activité ou avec une activité réduite et inscrits depuis plus d’un an a augmenté de 9,7% en 2014, pour atteindre 2.254.600 en France métropolitaine. Selon le ministère du Travail, « si rien ne change, d’ici quelques mois, près d’un chômeur sur deux sera un chômeur de longue durée ».

 

Compte personnel de formation: définition

Ce nouveau droit à la formation est la mesure-phare du projet de loi sur la formation adopté ce 27 février 2014 par le Sénat. A partir du 1er janvier 2015, chacun disposera d’un Compte personnel de formation (CPF) qui le suivra tout au long de sa carrière même en période de chômage.

. Objectif du compte personnel de formation (CPF) : « donner à chacun les moyens d’évoluer professionnellement et de sécuriser son parcours professionnel » notamment en progressant d’au moins un niveau de qualification au cours de sa vie professionnelle ou en obtenant une qualification dans le cadre d’une reconversion ». Ce nouveau droit remplace le DIF (Droit individuel à la formation).  Le compte personnel de formation est « attaché à la personne » dès son entrée sur le marché du travail, dès 16 ans (15 ans pour le jeune qui signe un contrat d’apprentissage) et jusqu’à son départ à la retraite.  Le compte est « universel » et « individuel »: toute personne (jeune sortant du système scolaire, salarié, demandeur d’emploi et, à terme, les fonctionnaires, les travailleurs indépendants…) « indépendamment de son statut », disposeront d’un compte personnel de formation.  Les salariés qui changent d’emploi ou qui alternent fréquemment périodes d’emploi et de chômage sont assurés de conserver leurs droits à la formation Le compte personnel de formation ne peut être débité sans l’accord exprès de son bénéficiaire et ne peut jamais être diminué du fait d’un changement d’employeur, quelle que soit la fréquence des changements.  En cas de licenciement, les heures de CPF restent créditées sur le compte, y compris en cas de licenciement pour faute lourde.   Le compte personnel de formation est « intégralement transférable ». Que le bénéficiaire soit salarié ou demandeur d’emploi, il conserve son droit tout au long de sa vie professionnelle, quel que soit son parcours.  Le compte personnel de formation est alimenté en heures à la fin de chaque année. Il ne pourra excéder 150 heures de formation sur 8 ans (24 heures par an pendant les 5 premières années puis 12 heures par an pendant les 3 années suivantes) pour un travail à temps complet (contre 120 heures sur 6 ans pour l’actuel DIF).  Les heures portées au crédit du compte personnel de formation le demeurent en cas de changement de statut et jusqu’à la mobilisation du compte ou départ à la retraite de son titulaire.  Pour les périodes de travail à temps partiel, l’alimentation du compte est calculée proportionnellement au temps de travail effectué, sous réserve de dispositions plus favorables prévues par un accord d’entreprise, de groupe ou de branche.  Pour les formations hors temps de travail, le salarié pourra utiliser son CPF sans faire de demande à l’employeur (à la différence du DIF).  Pour les formations sur le temps de travail, un accord de l’entreprise sera nécessaire. (La rémunération du salarié sera maintenue.) Seules exceptions: les stages visant l’acquisition du socle de connaissances (lire, écrire, compter..) et de compétences (bureautique, informatique, langues étrangères…) ainsi que ceux prévus par accord de branche ou d’entreprise.  Lorsque la formation sera suivie tout ou partie pendant le temps de travail, le salarié doit demander l’accord préalable de l’employeur sur le contenu et le calendrier de la formation. L’entreprise sera tenue de lui faire connaître sa réponse dans un délai qui sera mentionné par décret. L’absence de réponse vaudra acceptation. En cas de mobilisation du CPF hors temps de travail, aucune allocation de formation ne sera due au salarié, comme c’était le cas pour le DIF.  Les frais pédagogiques et frais annexes (transport, hébergement…) sont pris en charge par l’employeur lorsque l’entreprise a conclu un accord d’entreprise sur le compte personnel de formation.   En l’absence d’accord, les frais de formation seront pris en charge par l’Opca. A noter : des cas d’utilisation  » de droit  » du CPF (sans accord de l’employeur ni sur le contenu ni sur le calendrier) sur le temps de travail pourra être prévue en particulier pour des formations permettant d’acquérir un socle de connaissance en langue ou lorsque le salarié employé par une entreprise de plus de 50 salariés n’aura pas suivi de formation, de VAE ou d’entretien au cours des 6 dernières années, ce qui lui donnera droit à un  » abondement correctif  » de 100 heures sur son compte.   La demande devra être formulée au moins 60 jours avant le début de la formation si elle dure moins de 6 mois et au moins 120 jours si la durée de la formation est supérieure à 6 mois. L’absence de réponse de l’employeur à compter de la demande vaut acceptation.  Le demandeur d’emploi pourra mobiliser son CPF sans avoir à demander l’accord de Pôle emploi. Sa formation sera prise en charge par le FPSPP. Il pourra bénéficier du futur conseil en évolution professionnelle  Un mécanisme d’accompagnement est prévu pour tout salarié souhaitant mobiliser son compte personnel, sous la forme d’un « conseil en évolution professionnelle » extérieur à l’entreprise (information/conseil sur l’évolution des métiers sur les territoires, les offres d’emploi adaptées à ses compétences…). Ce nouveau conseil sera mis en place dans le cadre du futur Service public régional de l’orientation.  Chaque personne aura connaissance du nombre d’heures créditées sur son compte en accédant à un service dématérialisé d’information dédié. Ces informations seront validées par le financeur (l’Opca, l’entreprise, le FPSPP (Fonds paritaire de sécurisation professionnelle) quand les formations seront mises en oeuvre. 

 

Le service civique universel non obligatoire pour tous sur la base de volontariat (SCUNOPTSBV) !!!!!

Le service civique universel non obligatoire pour tous sur la base de volontariat (SCUNOPTSBV) !!!!!

 

Difficile de définir ce machin tellement il est inconsistant et ce n’est pas Hollande qui a permis d’éclairer  ce fameux service dont on ne sait pas à qui il est destiné, pour quoi faire et comment ; Bref, les français voulait à une énorme majorité rétablir le service militaire obligatoire pour restructurer certains marginaux et permettre le brassage social et à la place on leur sort cet ersatz de service national. Sur le site officiel du service civique quelques exemples des missions possibles !

 

« Accompagnement socio éducatif des enfants au sein des structures d’accueil

  Où ?

Finistère (Bretagne)

Quand ?

6 février 2015 (11 mois)

Intervenir auprès du service Accès aux droits qui vise une population en situation de précarité financière

Où ?

Ille-et-Vilaine (Bretagne)

Quand ?

6 février 2015 (9 mois)

Accompagner les habitants dans leur consommation quotidienne

Où ?

Nord (Nord-Pas-de-Calais) »

 

Trois exemples magnifiques qui peuvent témoigner du coté structurant de ce service d’opérette certes socialement éventuellement utile mais pas du tout adaptée pour inculquer discipline, autorité et effort à des populations complètement largués sur le plan social, économique et culturel.  Ces technos qui veulent étendre ce service sont de dangereux angéliques pourquoi pas aussi par exemple «  participait et animer la chorale de la paroisse en milieu rural ». Peu importe presque tous les commentaires sont élogieux, Hollande a incarné la fonction présidentielle. Comprendre  : il a été moins nul que d’ordinaire. Sur le plan économique rien strictement rien et sur le plan de la sécurité et du terrorisme des gadgets : un projet de loi (un de plus), une agence, un comité interministériel. Il manque une chose : une commission ou un groupe de travail  ou une mission à un expert pour enterrer la question.

 

Mais les grands médias sont contents, c’est l’essentiel !

Sarkozy : « l’UMP ? Tous des cons »

Sarkozy : « l’UMP ? Tous des cons »

 

Deux journalistes dans un ouvrage récent révèlent la vraie pensée de Sarkozy sur nombre de responsable politiques et même sur l’UMP. Un livre qui montre en tout cas que Sarkozy n’a guère changé et qu’il est surtout revanchard ; Bref F  Un ancien président prompt à gratifier ses propres amis politiques de qualificatifs peu aimables (même si beaucoup sont pertinents !) ;  c’est le portrait qui se dessine à travers le livre de confidences recueillies au fil des mois par deux journalistes du Parisien.  Dans un livre de 271 pages publié ce mercredi 5 novembre et intitulé « Ça reste entre nous, hein ? » (Flammarion), Nathalie Schuck et Frédéric Gerschel livrent ce qu’ils présentent comme le contenu de conversations régulières, dont des extraits sont parus mardi sur le site de L’Express.  François Hollande? Un « amateur », « mal fagoté », « un président ridicule ». François Fillon? « Un loser ». Son propre parti? « Tous des cons ». Marine Le Pen? « Une hommasse ». Xavier Bertrand? « Un petit assureur, un médiocre ».  Dans ce livre, comme le rapporte cette fois Le Parisien Magazine, les auteurs s’attardent aussi sur les conférences rémunérées que donne Nicolas Sarkozy depuis deux ans. D’après eux, « chaque intervention lui rapporte entre 100.000 et 150.000 euros ».  Ils ont aussi calculé qu’il a « effectué une vingtaine de prestations rémunérées en deux ans et demi. Soit un gain d’environ 2 millions d’euros. » « C’est le chiffre qui circule dans la Sarkozie », rapportent-ils.  Ces confidences ont eu lieu principalement au « 77″ (rue de Miromesnil, à Paris, dans les bureaux de l’ex-président) « à plusieurs reprises, jamais moins de deux heures, le plus souvent en tête-à-tête ».

 

Manif pour tous : 70 000 ou 500 000 ?

Manif pour tous : 70 000 ou 500  000 ?  

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C’est traditionnel, il y a toujours un écart entre le nombre de manifestants décomptés par la police et celui affiché par les organisateurs de défilés. Mai cette fois cela touche au ridicule : 500 000 pour les organisateurs et 70 000 selon la police à Paris.  A bordeaux l’écart varie de 7500 à 30 000.  La preuve sans doute de la dégradation de l’apprentissage du calcul à l’école ! La Manif pour tous avait cette fois-ci en ligne de mire l’accès des couples homosexuels à la procréation médicalement assistée (PMA) et à la gestation pour autrui (GPA). Les manifestants dénoncent aussi le coup de rabot annoncé sur les allocations familiales et l’enseignement à l’école d’une théorie du genre niant, selon le collectif, les différences entre les sexes, un enseignement dont le gouvernement a toujours démenti l’existence. Sous un ciel plombé et dans la fraîcheur, nombre de manifestants tout juste descendus des cars qui ont afflué dans l’ouest parisien, ont battu le pavé. Parmi eux, des adultes et des enfants, des jeunes ou retraités brandissaient des drapeaux français ou les étendards bleu, blanc ou rose de la Manif pour tous (MPT). « La déconstruction en cours de la politique familiale est désastreuse, cette déconstruction s’accélère », a lancé Ludovine de la Rochère, présidente du collectif.

 

Sondage Manif pour tous : 31% pour

Sondage Manif pour tous :  31% pour  

À la veille d’une nouvelle Manif pour tous, le mouvement serait-il en train de s’essouffler ? C’est en tout cas ce que semble indiquer un sondage IFOP pour le site Atlantico, selon lequel près d’un tiers des Français (31 %) se sentent « proches » des idées de La Manif pour tous. À l’inverse, ils sont 42 % à se dire assez ou très éloignés des valeurs et idées défendues par La Manif pour tous, qui appelle notamment à « l’abolition universelle de la GPA » (gestation pour autrui) et à l’interdiction de la procréation médicalement assistée pour les couples de femmes. Un quart (27 %) se dit indifférent. Côté couleur politique, c’est parmi les sympathisants UMP et FN que se retrouvent le plus de personnes à se considérer « proches » des idées du collectif, avec respectivement 45 % et 47 %. Ils sont toutefois 29 % de sympathisants UMP et 26 % de sympathisants Front national à se considérer « éloignés » du mouvement. À gauche, 66 % des sympathisants socialistes se disent éloignés, contre 20 % proches. La Manif Pour Tous ne fait pas l’unanimité non plus chez les catholiques. . Quelque 59 % des sondés se déclarant catholiques pratiquants se considèrent proches des idées de La Manif pour tous, une proportion qui chute à 33 % chez les catholiques non pratiquants et 21 % chez ceux qui se déclarent sans religion. Dernière information de ce sondage, les seniors se sentiraient les plus concernés par ce mouvement. En effet, les plus de 65 ans sont les plus favorables au combat de La Manif pour tous, avec 43 % se déclarant proches.

Banques : la loi américaine pour tous

Banques : la loi américaine pour tous

Finalemenet les banques du monde entier vont se plier aux exigences d’embargo décidées par les Etats-Unis sur certains pays.  Après l’amende de près de neuf milliards de dollars dont a écopé BNP Paribas pour avoir financé des transactions avec le Soudan, l’Iran et Cuba, les responsables politiques et économiques français ont appelé à accroître le rôle de l’euro dans le système financier international, afin de contrer celui du dollar. Mais pour nombre de banquiers, ces déclarations tiennent avant tout du vœu pieux. Dans les faits, les principales banques d’Europe et d’Asie ont déjà commencé à s’adapter aux décisions prises aux Etats-Unis, en prenant leurs distances avec les pays mal vus à Washington pour éviter d’être à leur tour sanctionnées, voire, pire, d’être exclues des circuits financiers en dollars. Parallèlement, les autorités financières hors des Etats-Unis commencent à rechercher des solutions pour prévenir tout dommage que des sanctions américaines pourraient infliger à leurs banques et à leurs marchés.  Mais pour l’instant, pour tous les établissements financiers, la seule issue consiste à se plier à la ligne fixée à Washington. « L’obligation faite aux banques de connaître les clients de leurs clients, même dans les pays où l’archivage de ces informations n’est pas organisé, signifie que les banques n’ont guère d’autre choix que de mettre fin à certaines relations, pour ne pas risquer des amendes douloureuses et qui menaceraient leur bilan », explique Anthony Browne, directeur général de la British Bankers’Association (BBA), la fédération bancaire britannique.

 

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