Archive pour le Tag 'tous'

LR: Investiture pour tous les députés sortants sauf Ciotti

LR: Investiture pour tous les députés sortants sauf Ciotti

Les Républicains ont décidé mercredi 12 juin de réinvestir tous leurs députés sortants aux législatives anticipées, à l’exception de leur président tout juste exclu, Éric Ciotti.

«Il y aura un candidat LR contre Eric Ciotti dans sa circonscription», a ajouté Olivier Marleix, qui s’exprimait à la sortie d’une commission nationale d’investiture des Républicains.

 

Appel à tous les sociaux-démocrates

Appel à tous les sociaux-démocrates

Le Président de la République a choisi de demander aux Français de dire quelle France ils veulent. Une France républicaine, progressiste et européenne ou une France identitaire, repliée sur elle-même, climatosceptique et qui veut détricoter l’Union européenne.
Par Dominique Villemot, Jacky Bontems, Marie-Françoise Leflont, Rodrigue Tchouale (Démocratie Vivante)

Face à ce choix tous les sociaux-démocrates doivent se rassembler, qu’ils soient macronistes, qu’ils soient au PS ou ailleurs (à Place publique, au PRG…). L’enjeu est trop important. Il y va de l’avenir du pays, de celui de notre modèle républicain et social, de notre positionnement en Europe et dans le monde.

Les sociaux-démocrates ne peuvent pas participer à un front populaire avec LFI.

Car pour nous la gauche ce ne peut pas être l’adhésion aux thèses racialistes ni l’indulgence envers les islamistes ni le soutien aux terroristes du Hamas ni la faiblesse vis-à-vis de Poutine ni la dénonciation de la construction européenne.

 Pour nous la gauche c’est celle qui défend la République et la laïcité, qui allie promotion de notre modèle social et réalisme économique, qui soutient l’Union européenne. C’est la social-démocratie de Michel Rocard, Jacques Delors et François Hollande.

Jean-Luc Mélenchon prétend se réclamer de François Mitterrand, mais faut-il lui rappeler que l’ancien Président de la République était un authentique républicain et un Européen convaincu.

Nous ne demandons pas à tous les sociaux-démocrates de rejoindre Renaissance. Il ne s’agit pas de cela. Il s’agit de contribuer à bâtir une coalition à l’Assemblée nationale sur un projet clair fondé sur

  • l’universalisme républicain, c’est-à-dire l’adhésion à la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, la laïcité, le combat contre l’islamisme, mais aussi le refus de catégoriser les Français selon leur origine ou leur religion et le refus du communautarisme et du wokisme,
  • l’économie sociale de marché, pour reprendre l’expression du Congrès de Bad-Godesberg du SPD : le refus de l’étatisme, mais la défense de notre modèle social basé sur l’Etat providence, la solidarité fiscale et sociale et l’importance donnée au dialogue social,
  • l’écologie de progrès avec l’adhésion aux travaux du GIEC, la fermeture des centrales au charbon et la réduction de nos importations d’énergies fossiles. C’est aussi le refus de la décroissance et le choix d’investir dans nos centrales nucléaires,
  • l’Europe puissance : une Europe de la défense face à la Russie, une Europe sociale et une Europe de la santé ainsi que le soutien du Green deal.

Nous lançons donc un appel au rassemblement de tous les sociaux-démocrates, qu’ils soient dans la majorité, comme Clément Beaune, Elisabeth Borne, Olivier Dussopt, Sacha Houlié, Jean-Yves Le Drian et François Rebsamen, au PS, comme Carole Delga, Nicolas Mayer-Rossignol et Stéphane Le Foll ou ailleurs comme Raphaël Glucksmann et Bernard Cazeneuve. Il ne s’agit pas de rallier telle ou telle organisation, mais de rester fidèles à leurs valeurs, à ne pas se perdre dans une alliance avec LFI à bâtir un rassemblement de centre-gauche qui pèsera dans la formation d’une grande coalition républicaine et progressiste.

Société- De l’ordre à tous les étages : il serait temps !

Société- De l’ordre à tous les étages : il serait temps !

Après les incidents et les violences qui non seulement se multiplient mais s’amplifient dans leur nature y compris avec des morts , le ministre de la fonction publique fait le vœu qu’on « remette de leur à tous les étages ». Il serait temps car désormais on assiste non seulement à des règlements de compte notamment dans le cadre du trafic de drogue mais aussi à des violences sur des scolaires qui banalisent la sauvagerie.

D’une façon générale, la discipline à tous les étages et mise en cause et d’une certaine manière l’État est comprise par son inaction hormis quelques manifestations spectaculaires mais très temporaires comme les opérations antidrogue. À tout le moins la problématique de la sécurité et de la violence mérite un débat urgent au moins dans le cadre du Parlement mais aussi évidemment des orientations très fermes car ce sont les règles de la république et de la démocratie qui sont en cause.
Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, s’est exprimé vendredi 5 avril sur CNews et Europe 1 sur les récentes affaires de harcèlement et de violence scolaires survenues cette semaine en France. En réponse à ces actes, le membre du gouvernement a appelé à une sévérité accrue. « Il faut beaucoup de sévérité, il faut tout simplement remettre de l’ordre à tous les étages. On peut le faire et on doit le faire en remettant nos policiers dans nos rues. Il faut remettre de l’ordre à tous les étages de notre société », a-t-il déclaré sur le plateau de la chaîne.

« Cela commence évidemment à l’école et le Premier ministre a fait un sujet prioritaire d’appliquer les règles, tout simplement », en particulier en ce qui concerne le harcèlement, a poursuivi Stanislas Guerini, faisant référence à l’affaire Samara. Il a également souligné l’importance de l’autorité, mentionnant la nécessité d’appliquer la loi de 1905 sur la laïcité, estimant que ce principe était « le joyau de la République ».

 

De l’ordre à tous les étages : il serait temps

De l’ordre à tous les étages : il serait temps

Après les incidents et les violences qui non seulement se multiplient mais s’amplifient dans leur nature y compris avec des morts , le ministre de la fonction publique fait le vœu qu’on « remette de leur à tous les étages ». Il serait temps car désormais on assiste non seulement à des règlements de compte notamment dans le cadre du trafic de drogue mais aussi à des violences sur des scolaires qui banalisent la sauvagerie.

D’une façon générale, la discipline à tous les étages et mise en cause et d’une certaine manière l’État est comprise par son inaction hormis quelques manifestations spectaculaires mais très temporaires comme les opérations antidrogue. À tout le moins la problématique de la sécurité et de la violence mérite un débat urgent au moins dans le cadre du Parlement mais aussi évidemment des orientations très fermes car ce sont les règles de la république et de la démocratie qui sont en cause.
Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, s’est exprimé vendredi 5 avril sur CNews et Europe 1 sur les récentes affaires de harcèlement et de violence scolaires survenues cette semaine en France. En réponse à ces actes, le membre du gouvernement a appelé à une sévérité accrue. « Il faut beaucoup de sévérité, il faut tout simplement remettre de l’ordre à tous les étages. On peut le faire et on doit le faire en remettant nos policiers dans nos rues. Il faut remettre de l’ordre à tous les étages de notre société », a-t-il déclaré sur le plateau de la chaîne.

« Cela commence évidemment à l’école et le Premier ministre a fait un sujet prioritaire d’appliquer les règles, tout simplement », en particulier en ce qui concerne le harcèlement, a poursuivi Stanislas Guerini, faisant référence à l’affaire Samara. Il a également souligné l’importance de l’autorité, mentionnant la nécessité d’appliquer la loi de 1905 sur la laïcité, estimant que ce principe était « le joyau de la République ».

 

Gazole non routier : le secteur du bâtiment demande la suppression de la hausse pour tous

Gazole non routier : le secteur du bâtiment demande la suppression de la hausse pour tous

La Capeb réagit aux annonces de Gabriel Attal, lundi dans un communiqué. La confédération s’inquiète de la suppression de la hausse de la taxe sur le GNR pour le secteur agricole qu’elle considère comme une « iniquité ».

« Le secteur du BTP avait déjà consenti à un accord plus ambitieux du point de vue environnemental mais plus coûteux pour les professionnels par rapport au monde agricole en acceptant de voir ses taxes remonter en sept ans jusqu’au niveau normal », rappelle la Confédération. Elle rappelle que « la trajectoire de hausse progressive du gazole non routier » était justifiée par la « capacité collective à relever les défis environnementaux et énergétiques ». Elle refuse que « cet objectif repose désormais sur les épaules des entreprises du BTP ».

La Capeb avertit le gouvernement que « la tentation est forte » pour le secteur, d’exprimer son incompréhension « dans la rue, puisque cette forme d’expression semble désormais l’emporter sur une stratégie responsable et collective de sortie indispensable des énergies fossiles ».

« Les 620 000 entreprises artisanales du bâtiment ne peuvent entendre que 400 000 entreprises agricoles soient privilégiées sous prétexte qu’elles ont engagé un rapport de force contestataire aussi justifié soit-il », ajoute la Capeb qui pointe une « situation inacceptable ».

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Enseignement-Macron,, Lemaire, Darmanin, la ministre de l’éducation etc : tous élèves de l’école privée

Enseignement-Macron, Lemaire, Darmanin, la ministre de l’éducation etc : tous élèves de l’école privée

Ce qui semble caractériser la plupart des responsables de ce gouvernement et d’autres c’est le choix d’être candidat à la gestion de l’intérêt général mais de choisir son intérêt particulier pour l’éducation des enfants. Ainsi la plupart des responsables comme Macon, Bruno Lemaire, Dar mana ou encore l’actuel ministre de l’éducation ont tous choisis l’école privée soit comme élève, soit pour leurs enfants.

Sur le plan légal il n’y a rien à redire sinon qu’en général le coût d’accès école privé n’est pas le même que le coût dans le public. En bref pour l’essentiel ce sont les plus favorisés qui choisissent l’établissement d’enseignement privé.

Sur le plan strictement scolaire, il est clair que la déliquescence du système français a largement contribué au déclassement de la France dans ce domaine comme ailleurs. Le choix est donc légitime mais on peut reprocher à nos plus grands responsables la grande faiblesse de l’enseignement en France et d’une certaine manière leur hypocrisie par rapport à leur choix personnel.

Nouvelles technologies–IA Générative: Ouvert à tous chez Microsoft

Nouvelles technologies–IA Générative: Ouvert à tous chez Microsoft

Microsoft lance une version grand public à 20 dollars par mois .
Premier outil d’IA générative déployé en masse par Microsoft, Copilot a le potentiel pour dépasser ChatGPT et ses 100 millions d’utilisateurs hebdomadaires, puisqu’il va pouvoir s’appuyer sur le réservoir de plus de 345 millions d’abonnés payants de la suite 365.

Copilot est lié à la suite 365 et dispose donc de tout un contexte spécifique lié aux différents documents présents sur le compte de l’utilisateur. En revanche, il nécessite l’abonnement au logiciel de Microsoft.

Avec cette nouvelle mise à jour, Microsoft permet aussi aux utilisateurs de Copilot d’intégrer (et bientôt, de créer) des « Copilot GPTs », autrement dit des versions spécifiques de l’assistant Par type d’activité ou de thème.

Par exemple, un GPT peut être dédié au sport, au voyage ou encore à la cuisine. Les utilisateurs se trouvent ainsi en face d’un interlocuteur plus expert, sans avoir à donner tout un contexte à leur assistant au moment de poser leur question. OpenAI a tout juste déployé ce système la semaine dernière, et voilà déjà son miroir chez Microsoft…

Avec sa puissance commercial, Microsoft pourrait étouffer OpenAI, dont il a enfin réussi à infiltrer la gouvernance suite à la crise Altman fin 2023.

Copilot 365 pourrait donc rapporter des dizaines de milliards de chiffre d’affaires par an supplémentaires à l’entreprise, et ce, même si elle ne convertit qu’une partie de sa clientèle.

Intelligence artificielle ouverte à tous chez Microsoft

Intelligence artificielle ouverte à tous chez Microsoft

Microsoft lance une version grand public à 20 dollars par mois .
Premier outil d’IA générative déployé en masse par Microsoft, Copilot a le potentiel pour dépasser ChatGPT et ses 100 millions d’utilisateurs hebdomadaires, puisqu’il va pouvoir s’appuyer sur le réservoir de plus de 345 millions d’abonnés payants de la suite 365.

Copilot est lié à la suite 365 et dispose donc de tout un contexte spécifique lié aux différents documents présents sur le compte de l’utilisateur. En revanche, il nécessite l’abonnement au logiciel de Microsoft.

Avec cette nouvelle mise à jour, Microsoft permet aussi aux utilisateurs de Copilot d’intégrer (et bientôt, de créer) des « Copilot GPTs », autrement dit des versions spécifiques de l’assistant Par type d’activité ou de thème.

Par exemple, un GPT peut être dédié au sport, au voyage ou encore à la cuisine. Les utilisateurs se trouvent ainsi en face d’un interlocuteur plus expert, sans avoir à donner tout un contexte à leur assistant au moment de poser leur question. OpenAI a tout juste déployé ce système la semaine dernière, et voilà déjà son miroir chez Microsoft…

Avec sa puissance commercial, Microsoft pourrait étouffer OpenAI, dont il a enfin réussi à infiltrer la gouvernance suite à la crise Altman fin 2023.

Copilot 365 pourrait donc rapporter des dizaines de milliards de chiffre d’affaires par an supplémentaires à l’entreprise, et ce, même si elle ne convertit qu’une partie de sa clientèle.

IA Générative: Ouvert à tous chez Microsoft

IA Générative: Ouvert à tous chez Microsoft

Microsoft lance une version grand public à 20 dollars par mois .
Premier outil d’IA générative déployé en masse par Microsoft, Copilot a le potentiel pour dépasser ChatGPT et ses 100 millions d’utilisateurs hebdomadaires, puisqu’il va pouvoir s’appuyer sur le réservoir de plus de 345 millions d’abonnés payants de la suite 365.

Copilot est lié à la suite 365 et dispose donc de tout un contexte spécifique lié aux différents documents présents sur le compte de l’utilisateur. En revanche, il nécessite l’abonnement au logiciel de Microsoft.

Avec cette nouvelle mise à jour, Microsoft permet aussi aux utilisateurs de Copilot d’intégrer (et bientôt, de créer) des « Copilot GPTs », autrement dit des versions spécifiques de l’assistant Par type d’activité ou de thème.

Par exemple, un GPT peut être dédié au sport, au voyage ou encore à la cuisine. Les utilisateurs se trouvent ainsi en face d’un interlocuteur plus expert, sans avoir à donner tout un contexte à leur assistant au moment de poser leur question. OpenAI a tout juste déployé ce système la semaine dernière, et voilà déjà son miroir chez Microsoft…

Avec sa puissance commercial, Microsoft pourrait étouffer OpenAI, dont il a enfin réussi à infiltrer la gouvernance suite à la crise Altman fin 2023.

Copilot 365 pourrait donc rapporter des dizaines de milliards de chiffre d’affaires par an supplémentaires à l’entreprise, et ce, même si elle ne convertit qu’une partie de sa clientèle.

Macron, Lemaire, Darmanin, la ministre de l’éducation etc : tous élèves de l’école privée

Macron, Lemaire, Darmanin, la ministre de l’éducation etc : tous élèves de l’école privée

Ce qui semble caractériser la plupart des responsables de ce gouvernement et d’autres c’est le choix d’être candidat à la gestion de l’intérêt général mais de choisir son intérêt particulier pour l’éducation des enfants. Ainsi la plupart des responsables comme Macon, Bruno Lemaire, Dar mana ou encore l’actuel ministre de l’éducation ont tous choisis l’école privée soit comme élève, soit pour leurs enfants.

Sur le plan légal il n’y a rien à redire sinon qu’en général le coût d’accès école privé n’est pas le même que le coût dans le public. En bref pour l’essentiel ce sont les plus favorisés qui choisissent l’établissement d’enseignement privé.

Sur le plan strictement scolaire, il est clair que la déliquescence du système français a largement contribué au déclassement de la France dans ce domaine comme ailleurs. Le choix est donc légitime mais on peut reprocher à nos plus grands responsables la grande faiblesse de l’enseignement en France et d’une certaine manière leur hypocrisie par rapport à leur choix personnel.

France: Un effondrement du pays dans tous les domaines

France: Un effondrement du pays dans tous les domaines

La France connaît un amollissement et un délitement dans de nombreux domaines : économiques, sociaux mais aussi sociétaux. Les crises s’ajoutent aux crises et interagissent entre elles de manière systémique. Un seul exemple , l’ enseignement où l’autorité et même les programmes sont en cause. On a voulu pousser toute la population vers le bac et les études supérieures. Résultat on forme en sciences sociales des armées de Bacs, de Licences et de Masters qui n’offrent aucun débouché économique sauf l’entrée dans l’administration. Y compris et surtout dans l’enseignement, d’où le tassement dramatique du niveau des élèves en moyenne.

Et la France du coup manque cruellement d’ouvriers qualifiés, de techniciens et même d’ingénieurs. Il faut faire venir des soudeurs des États-Unis pour entretenir les centrales nucléaires d’EDF! À quel prix ?

Le principal problème économique provient bien d’autres dimensions notamment de l’abandon de l’industrialisation. Une pente qu’on pourra difficilement remonter sans formation et sans attrait des filières. D’autant que les Français qui prolongent leurs études ne sont guère attirés, c’est moins qu’on puisse dire, par le travail manuel. Bien d’autres dimensions sont à prendre en compte notamment le rapport au travail, la participation des salariés. Le niveau de rémunération également dans la mesure où dans le bas des conventions collectives les salaires sont moins attractifs que les aides sociales dans une analyse coût bénéfice.

Toutes les études démontrent que depuis notamment l’affaire des 35 heures, après celle de la retraite à 60 ans, la France travaille beaucoup moins que les autres pays. Pire, ces mesures ont installé dans le pays un climat RTT y compris chez les cadres. Bref, il faudrait remettre le pays au travail mais politiquement cet objectif n’est pas d’une convention très correcte.

Comme rien n’est réellement évalué et géré, la France pratique la fuite en avant avec un endettement démesuré; l’emprunt sert à la fois à rembourser les dettes antérieures mais aussi à boucher un peu plus chaque année les déficits du budget de fonctionnement.

Le délitement concerne aussi l’autorité dans tous les domaines, les violences et le déferlement du commerce de drogue. On aura du mal à gérer ces questions dans la mesure où par exemple en matière de violence, le déni de réalité concernant l’identité et la sociologie des auteurs est une vertu cardinale.

On pourrait ajouter une dizaine d’autres exemples qui témoignent de la désintégration économique et sociétale du pays. Face à cela trop de politiques et d’experts préfèrent jeter un voile pudique sur l’ampleur de la situation afin d’éviter d’en faire l’analyse et au-delà d’en tirer des conséquences en matière de stratégie publique.

Lucidité et courage, les deux qualités qui manquent à la plupart des élus plus préoccupés d’accession au pouvoir que de gestion et d’intérêt général. Mais la société a peut-être les responsables qu’elle mérite.

On objectera que le problème n’est pas forcément uniquement français qu’il affecte aussi d’autres pays comme si la maladie des autres pouvait constituer une thérapie pour soigner notre pays.

Société France: Un effondrement du pays dans tous les domaines

Société France: Un effondrement du pays dans tous les domaines

La France connaît un amollissement et un délitement dans de nombreux domaines : économiques, sociaux mais aussi sociétaux. Les crises s’ajoutent aux crises et interagissent entre elles de manière systémique. Un seul exemple , l’ enseignement où l’autorité et même les programmes sont en cause. On a voulu pousser toute la population vers le bac et les études supérieures. Résultat on forme en sciences sociales des armées de Bacs, de Licences et de Masters qui n’offrent aucun débouché économique sauf l’entrée dans l’administration. Y compris et surtout dans l’enseignement, d’où le tassement dramatique du niveau des élèves en moyenne.

Et la France du coup manque cruellement d’ouvriers qualifiés, de techniciens et même d’ingénieurs. Il faut faire venir des soudeurs des États-Unis pour entretenir les centrales nucléaires d’EDF! À quel prix ?

Le principal problème économique provient bien d’autres dimensions notamment de l’abandon de l’industrialisation. Une pente qu’on pourra difficilement remonter sans formation et sans attrait des filières. D’autant que les Français qui prolongent leurs études ne sont guère attirés, c’est moins qu’on puisse dire, par le travail manuel. Bien d’autres dimensions sont à prendre en compte notamment le rapport au travail, la participation des salariés. Le niveau de rémunération également dans la mesure où dans le bas des conventions collectives les salaires sont moins attractifs que les aides sociales dans une analyse coût bénéfice.

Toutes les études démontrent que depuis notamment l’affaire des 35 heures, après celle de la retraite à 60 ans, la France travaille beaucoup moins que les autres pays. Pire, ces mesures ont installé dans le pays un climat RTT y compris chez les cadres. Bref, il faudrait remettre le pays au travail mais politiquement cet objectif n’est pas d’une convention très correcte.

Comme rien n’est réellement évalué et géré, la France pratique la fuite en avant avec un endettement démesuré; l’emprunt sert à la fois à rembourser les dettes antérieures mais aussi à boucher un peu plus chaque année les déficits du budget de fonctionnement.

Le délitement concerne aussi l’autorité dans tous les domaines, les violences et le déferlement du commerce de drogue. On aura du mal à gérer ces questions dans la mesure où par exemple en matière de violence, le déni de réalité concernant l’identité et la sociologie des auteurs est une vertu cardinale.

On pourrait ajouter une dizaine d’autres exemples qui témoignent de la désintégration économique et sociétale du pays. Face à cela trop de politiques et d’experts préfèrent jeter un voile pudique sur l’ampleur de la situation afin d’éviter d’en faire l’analyse et au-delà d’en tirer des conséquences en matière de stratégie publique.

Lucidité et courage, les deux qualités qui manquent à la plupart des élus plus préoccupés d’accession au pouvoir que de gestion et d’intérêt général. Mais la société a peut-être les responsables qu’elle mérite.

On objectera que le problème n’est pas forcément uniquement français qu’il affecte aussi d’autres pays comme si la maladie des autres pouvait constituer une thérapie pour soigner notre pays.

France : Un effondrement général dans tous les domaines

France : Un effondrement général dans tous les domaines

La France connaît un amollissement et un délitement dans de nombreux domaines : économiques, sociaux mais aussi sociétaux. Les crises s’ajoutent aux crises et interagissent entre elles de manière systémique. Un seul exemple , l’ enseignement où l’autorité et même les programmes sont en cause. On a voulu pousser toute la population vers le bac et les études supérieures. Résultat on forme en sciences sociales des armées de Bacs, de Licences et de Masters qui n’offrent aucun débouché économique sauf l’entrée dans l’administration. Y compris et surtout dans l’enseignement, d’où le tassement dramatique du niveau des élèves en moyenne.

Et la France du coup manque cruellement d’ouvriers qualifiés, de techniciens et même d’ingénieurs. Il faut faire venir des soudeurs des États-Unis pour entretenir les centrales nucléaires d’EDF! À quel prix ?

Le principal problème économique provient bien d’autres dimensions notamment de l’abandon de l’industrialisation. Une pente qu’on pourra difficilement remonter sans formation et sans attrait des filières. D’autant que les Français qui prolongent leurs études ne sont guère attirés, c’est moins qu’on puisse dire, par le travail manuel. Bien d’autres dimensions sont à prendre en compte notamment le rapport au travail, la participation des salariés. Le niveau de rémunération également dans la mesure où dans le bas des conventions collectives les salaires sont moins attractifs que les aides sociales dans une analyse coût bénéfice.

Toutes les études démontrent que depuis notamment l’affaire des 35 heures, après celle de la retraite à 60 ans, la France travaille beaucoup moins que les autres pays. Pire, ces mesures ont installé dans le pays un climat RTT y compris chez les cadres. Bref, il faudrait remettre le pays au travail mais politiquement cet objectif n’est pas d’une convention très correcte.

Comme rien n’est réellement évalué et géré, la France pratique la fuite en avant avec un endettement démesuré; l’emprunt sert à la fois à rembourser les dettes antérieures mais aussi à boucher un peu plus chaque année les déficits du budget de fonctionnement.

Le délitement concerne aussi l’autorité dans tous les domaines, les violences et le déferlement du commerce de drogue. On aura du mal à gérer ces questions dans la mesure où par exemple en matière de violence, le déni de réalité concernant l’identité et la sociologie des auteurs est une vertu cardinale.

On pourrait ajouter une dizaine d’autres exemples qui témoignent de la désintégration économique et sociétale du pays. Face à cela trop de politiques et d’experts préfèrent jeter un voile pudique sur l’ampleur de la situation afin d’éviter d’en faire l’analyse et au-delà d’en tirer des conséquences en matière de stratégie publique.

Lucidité et courage, les deux qualités qui manquent à la plupart des élus plus préoccupés d’accession au pouvoir que de gestion et d’intérêt général. Mais la société a peut-être les responsables qu’elle mérite.

On objectera que le problème n’est pas forcément uniquement français qu’il affecte aussi d’autres pays comme si la maladie des autres pouvait constituer une thérapie pour soigner notre pays.

Société France : Un effondrement général dans tous les domaines

Société France : Un effondrement général dans tous les domaines

La France connaît un amollissement et un délitement dans de nombreux domaines : économiques, sociaux mais aussi sociétaux. Les crises s’ajoutent aux crises et interagissent entre elles de manière systémique. Un seul exemple , l’ enseignement où l’autorité et même les programmes sont en cause. On a voulu pousser toute la population vers le bac et les études supérieures. Résultat on forme en sciences sociales des armées de Bacs, de Licences et de Masters qui n’offrent aucun débouché économique sauf l’entrée dans l’administration. Y compris et surtout dans l’enseignement, d’où le tassement dramatique du niveau des élèves en moyenne.

Et la France du coup manque cruellement d’ouvriers qualifiés, de techniciens et même d’ingénieurs. Il faut faire venir des soudeurs des États-Unis pour entretenir les centrales nucléaires d’EDF! À quel prix ?

Le principal problème économique provient bien d’autres dimensions notamment de l’abandon de l’industrialisation. Une pente qu’on pourra difficilement remonter sans formation et sans attrait des filières. D’autant que les Français qui prolongent leurs études ne sont guère attirés, c’est moins qu’on puisse dire, par le travail manuel. Bien d’autres dimensions sont à prendre en compte notamment le rapport au travail, la participation des salariés. Le niveau de rémunération également dans la mesure où dans le bas des conventions collectives les salaires sont moins attractifs que les aides sociales dans une analyse coût bénéfice.

Toutes les études démontrent que depuis notamment l’affaire des 35 heures, après celle de la retraite à 60 ans, la France travaille beaucoup moins que les autres pays. Pire, ces mesures ont installé dans le pays un climat RTT y compris chez les cadres. Bref, il faudrait remettre le pays au travail mais politiquement cet objectif n’est pas d’une convention très correcte.

Comme rien n’est réellement évalué et géré, la France pratique la fuite en avant avec un endettement démesuré; l’emprunt sert à la fois à rembourser les dettes antérieures mais aussi à boucher un peu plus chaque année les déficits du budget de fonctionnement.

Le délitement concerne aussi l’autorité dans tous les domaines, les violences et le déferlement du commerce de drogue. On aura du mal à gérer ces questions dans la mesure où par exemple en matière de violence, le déni de réalité concernant l’identité et la sociologie des auteurs est une vertu cardinale.

On pourrait ajouter une dizaine d’autres exemples qui témoignent de la désintégration économique et sociétale du pays. Face à cela trop de politiques et d’experts préfèrent jeter un voile pudique sur l’ampleur de la situation afin d’éviter d’en faire l’analyse et au-delà d’en tirer des conséquences en matière de stratégie publique.

Lucidité et courage, les deux qualités qui manquent à la plupart des élus plus préoccupés d’accession au pouvoir que de gestion et d’intérêt général. Mais la société a peut-être les responsables qu’elle mérite.

On objectera que le problème n’est pas forcément uniquement français qu’il affecte aussi d’autres pays comme si la maladie des autres pouvait constituer une thérapie pour soigner notre pays.

France : un délitement général dans tous les domaines

France : un délitement général dans tous les domaines

La France connaît un amollissement et un délitement dans de nombreux domaines : économiques, sociaux mais aussi sociétaux. Les crises s’ajoutent aux crises et interagissent entre elles de manière systémique. Un seul exemple , l’ enseignement ou l’autorité et même les programmes sont en cause. On a voulu pousser toute la population vers le bac et les études supérieures. Résultat on forme des armées de bacs, de licences et de masters qui n’offrent aucun débouché économique sauf l’entrée dans l’administration. Y compris et surtout dans l’enseignement, d’où le tassement dramatique du niveau des élèves en moyenne.

Et la France du coup manque cruellement d’ouvriers qualifiés, de techniciens et même d’ingénieurs. Il faut faire venir des soudeurs des États-Unis pour entretenir les centrales nucléaires d’EDF! À quel prix ?

Le principal problème économique provient bien d’autres dimensions notamment de l’abandon de l’industrialisation. Une pente qu’on pourra difficilement remonter sans formation et sans attrait des filières. D’autant que les Français qui prolongent leurs études ne sont guère attirés, c’est moins qu’on puisse dire, par le travail manuel. Bien d’autres dimensions sont à prendre en compte notamment le rapport au travail, la participation des salariés. Le niveau de rémunération également dans la mesure où dans le bas des conventions collectives les salaires sont moins attractifs que les aides sociales dans une analyse coût bénéfice.

Toutes les études démontrent que depuis notamment l’affaire des 35 heures, après celle de la retraite à 60 ans, la France travaille beaucoup moins que les autres pays. Pire, ces mesures ont installé dans le pays un climat RTT y compris chez les cadres. Bref, il faudrait remettre le pays au travail mais politiquement cet objectif n’est pas d’une convention très correcte.

Comme rien n’est réellement évalué et géré, la France pratique la fuite en avant avec un endettement démesuré; l’emprunt sert à la fois à rembourser les dettes antérieures mais aussi à boucher un peu plus chaque année les déficits du budget de fonctionnement.

Le délitement concerne aussi l’autorité dans tous les domaines, les violences et le déferlement du commerce de drogue. On aura du mal à gérer ces questions dans la mesure où par exemple en matière de violence, le déni de réalité concernant l’identité et la sociologie des auteurs est une vertu cardinale.

On pourrait ajouter une dizaine d’autres exemples qui témoignent de la désintégration économique et sociétale du pays. Face à cela trop de politiques et d’experts préfèrent jeter un voile pudique sur l’ampleur de la situation afin d’éviter d’en faire l’analyse et au-delà d’en tirer des conséquences en matière de stratégie publique.

Lucidité et courage, les deux qualités qui manquent à la plupart des élus plus préoccupés d’accession au pouvoir que de gestion et d’intérêt général. Mais la société a peut-être les responsables qu’elle mérite.

On objectera que le problème n’est pas forcément uniquement français qu’il affecte aussi d’autres pays comme si la maladie des autres pouvait constituer une thérapie pour soigner notre pays.

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