Archive pour le Tag 'tourne'

Éolien : le vent tourne pour Macron qui préfère le nucléaire

Éolien : le vent tourne pour Macron qui préfère le nucléaire

Le vent tourne pour Macron concernant les éoliennes qui ne doivent pas porter atteinte au patrimoine et à notre identité a déclaré Emmanuel Macron qui a souligné le rôle central du nucléaire en France. Une  manière de remettre les choses à leur place et de repréciser les priorités de la politique énergétique. Le  chef de l’État a indiqué  qu’il n’était pas opposé aux éoliennes mais qu’elle serait désormais décidée au cas par cas (observons cependant que ces déjà se passe actuellement !).

Le chef de l’État a encore une fois présenté le nucléaire comme la « chance » de la France pour lutter contre le réchauffement climatique. L’atome constitue en effet un atout considérable pour décarboner l’énergie : il ne rejette aucune émission de CO2, ce qui le positionne en bonne place pour soutenir la transition écologique qui exige une consommation accrue d’électricité. . « Je ne veux pas qu’on abîme nos paysages, c’est une part de notre patrimoine et de notre richesse profonde, de notre identité », a-t-il confié au micro de France Info.

« Des tensions naissent parce que certaines de nos régions ont beaucoup construit d’éoliennes », a précisé le président, qui souhaite « améliorer la concertation locale ». Et pour l’éolien en mer, onéreux pour l’État, le président a exprimé l’envie de faire « baisser les coûts ». Emmanuel Macron s’est donc approprié sans détour une question largement abordée question pendant la campagne des élections régionales.

Financement libyen : la responsabilité tourne autour de Sarkozy

Financement libyen : la responsabilité tourne autour de Sarkozy

Michèle Marchand, dite «Mimi», a été mise en examen ce samedi, notamment pour «subornation de témoin», dans l’affaire du financement libyen présumé de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, a annoncé samedi son avocate à l’AFP. Elle a été mise en examen également pour «association de malfaiteurs en vue de commettre une escroquerie en bande organisée» et placée sous contrôle judiciaire.

 

Cette figure de la presse people, proche du couple Macron, avait été placée en garde à vue jeudi dans une information judiciaire ouverte après un entretien accordé en novembre dernier par Ziad Takieddine à un journaliste de l’hebdomadaire Paris Match, qui s’était rendu au Liban avec un photographe de BestImage.

 

Quatre autres personnes également placées en garde à vue ont aussi été déférées, selon une des sources proches du dossier. Trois de ces personnes sont le publicitaire Arnaud de la Villesbrunne, ancien directeur de l’agence Publicis, l’homme d’affaires Pierre Reynaud et Noël Dubus, un homme condamné pour escroquerie. Le journaliste de Paris Match, François de Labarre, avait aussi été placé en garde à vue jeudi mais il avait été libéré dans la soirée, sans poursuite à ce stade.

Selon Le Parisien, Noël Dubus, qui s’est rendu à deux reprises à Beyrouth pour y rencontrer Ziad Takieddine avant sa rétractation, aurait bénéficié de versements suspects, via Arnaud de la Villesbrunne, qui était un des prestataires de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. Selon Libération, l’homme d’affaire Pierre Reynaud aurait, quant à lui, avancé à Noël Dubus des fonds à remettre à Ziad Takieddine. Bref le financement libyen de la campagne électorale tourne autour de Sarkozy, bien entendu complètement ignorant de cette affaire !

La fortune des Le Pen : une affaire familiale qui tourne !

La fortune des Le Pen : une affaire familiale qui tourne !

 

 

 

D’après une enquête du Nouvel Obs. les Le Pen sont à la tête d’une fortune confortable. Pas une fortune qui serait le fruit de leur réussite professionnelle mais plutôt le résultat de lègs, donation, et de gestion d’un parti aux caractéristiques très familiales. En outre,  Le fondateur du Front national et sa fille sont suspectés par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique d’avoir sous-évalué leur patrimoine. La justice a été saisie. Jean-Marie Le Pen a beau dénoncer une nouvelle cabale politique contre lui et sa fille, une chose est sûre : le clan peut compter sur une véritable fortune depuis le milieu des années 1970. Pupille de la nation, issu d’une famille modeste, Jean-Marie Le Pen est alors à la tête d’une entreprise d’édition phonographique – la Société d’études et de relations publiques (Serp), qu’il crée en 1963 – spécialisée dans l’édition de disques de musique et discours militaires, notamment des chants nazis et des discours du maréchal Pétain. Figure montante et bruyante de l’extrême droite française, Jean-Marie Le Pen voit sa situation matérielle changer considérablement quand il fait la connaissance d’Hubert Lambert. Cet héritier d’une société spécialisée dans le ciment et mécène politique, fasciné par le fondateur du Front national, fait alors de Jean-Marie Le Pen son unique exécuteur testamentaire et héritier. A la mort d’Hubert Lambert en 1976, le leader du FN se retrouve à la tête d’une fortune colossale, estimée à 30 millions de francs au moins.  Se sentant lésée – la légende veut que le testament favorable à Le Pen ait été rédigé entre deux tentatives de suicide d’Hubert Lambert – une partie du clan Lambert envisage de contester la validité de l’héritage mais conclut finalement un « arrangement » avec Jean-Marie Le Pen.  Les millions des ciments Lambert vont surtout transformer le leader du Front national en grand propriétaire bourgeois. En plus des 30 ou 40 millions d’euros, Jean-Marie Le Pen hérite d’un gigantesque manoir de style Napoléon III à Saint-Cloud situé dans le – bien-nommé – parc de Montretout.  430 mètres carrés, trois étages et 11 pièces, le clan Le Pen s’y installe en 1976 et transforme rapidement la bâtisse en QG du FN. Comme souvent au Front, politique, argent et famille se mélangent et le premier étage de la nouvelle demeure du clan sert de bureaux au parti. Marine Le Pen détiendrait 200 parts – environ 4,5 % du capital – de la SCI du Pavillon de l’écuyer, propriétaire de Montretout, estimée à près de 7 millions d’euro. Mais Montretout n’est pas la seule propriété détenue par les Le Pen. La maison familiale de la Trinité-sur-Mer – léguée en 1999 – est aussi »partagée » entre les membres du clan.  De son côté, la présidente du Front national possède un huitième de ce bien, estimé à environ 1 million d’euros. A titre personnel, Marine Le Pen possède également des parts dans deux autres SCI : 0,57% du capital de la SCI Clergerie Hugo – propriétaire du « paquebot », le siège historique du FN à Saint-Cloud vendu 10 millions d’euros en avril 2011 – et 50% des parts de la SCI Palouma, acquises en août 2011 avec son compagnon Louis Alliot pour l’achat d’un pavillon à Millas dans la région de Perpignan d’une valeur de 270.000 euros.  Reste pour Jean-Marie Le Pen, la délicate question de son compte en Suisse. La HATVP soupçonne le « Menhir » de cacher une partie de son magot de l’autre côté des Alpes après le signalement début 2015 par la cellule antiblanchissement de Bercy – Tracfin – d’un compte helvète doté de quelque 2,2 millions d’euros – 1,7 million en lingots en pièces d’or – dont il serait le bénéficiaire. Selon Mediapart, le fondateur du FN détiendrait ce compte via un trust géré depuis Genève par son majordome et homme de confiance, Gérald Gérin. Lors d’une perquisition menée à Montretout au mois de novembre dernier, les policiers ont également découvert de nombreuses pièces d’or et lingots après ouverture d’un coffre-fort dans le bureau de Jean-Marie Le Pen. En vacances à Punta Cana lors de la perquisition, il avait préféré pointer du doigt sa femme Jany : «Ce n’est pas à moi, mais à mon épouse. Nous sommes mariés sous le régime de la séparation de biens. C’est son petit magot à elle, le petit trésor de Jany », avait expliqué le patriarche dans « Le Parisien ».» De son propre aveu, Marine Le Pen a aussi un faible pour le précieux métal. En 2012, en pleine campagne présidentielle, elle avait accepté de se livrer à un inventaire – prétendument exhaustif – de ses biens et déclaré posséder environ 3.000 euros en napoléons. Contrairement à son père – qui est soumis à l’impôt sur la fortune (ISF) depuis son instauration en 1982 -, elle ne paye pas l’ISF.

Macron tourne autour du pot sur les 35 heures

Macron tourne autour du pot  sur les 35 heures

 

 

Comme souvent le gouvernement tourne autour du pot pour éviter d’affronter les problèmes. Ainsi Macron persiste en soutenant des dérogations aux 35 heures dans toutes les entreprises mais sans remettre en cause la loi. Autant dire que c’es t une position très faux cul (de ce point de vue Sarkozy n’avait pas été plus courageux(. Les 35 heures sont une erreur grossière en ce qu’elles ont gravement affecté la compétitivité des entreprises déjà structurellement fragiles et surtout elles ont développé en France une culture RTT et tuer en grande partie la valeur travail y compris chez des cadres.  Le nouveau ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, a réitéré mardi son souhait de voir les partenaires sociaux trouver un compromis pour « adapter » la durée de travail dans les entreprises, sans déroger à la législation sur les 35 heures. L’ancien conseiller de François Hollande avait suscité l’émoi jeudi dernier lors de la publication par Le Point d’une interview accordée avant sa nomination à Bercy, le 26 août. « Nous pourrions autoriser les entreprises et les branches, dans le cadre d’accords majoritaires, à déroger aux règles de temps de travail et de rémunérations », y disait-t-il en précisant qu’il s’exprimait « librement ». « C’est déjà possible (…) pour les entreprises en difficulté. Pourquoi ne pas étendre ce dispositif à toutes les entreprises, à la condition explicite qu’il y ait un accord majoritaire avec les salariés? » Cette interview avait provoqué la colère de la gauche du PS et incité Manuel Valls à préciser dimanche, devant l’université d’été de sa formation politique, qu’il n’était pas question de revenir sur la semaine de travail de 35 heures. Emmanuel Macron, qui était mardi en déplacement à Romagny (Manche), où il a visité l’une des plus importantes sociétés coopératives de France, a réitéré ses réflexions. « Je ne pense pas qu’il faille aujourd’hui déroger de manière législative aux 35 heures mais j’invitais (dans l’interview au Point-NDLR) à la négociation sur celles-ci », a-t-il dit. Il y a des entreprises « où les 35 heures sont une bonne chose, où elles sont adaptées, où les gens vivent très bien avec. Dans d’autres catégories d’entreprises, dans d’autres secteurs, elles ne semblent pas adaptées aujourd’hui et donc il faut permettre aux gens d’être intelligents », a-t-il ajouté. « C’est, j’espère, la négociation qui va le conduire, mais ce n’est pas une décision du gouvernement aujourd’hui et ce n’est en tout cas pas une décision du ministre de l’Economie », a-t-il expliqué à des journalistes. « Il ne s’agit pas d’en faire une polémique et d’hystériser le pays avec ce sujet. »

 

Hollande : un tournant économique et idéologique. ? Mais il tourne en rond

Hollande : un tournant économique et idéologique. ?  Mais il tourne en rond

 

Comme d’habitude les éditorialistes se sont immédiatement enflammés après la conférence de Hollande quitte à dire le contraire dans deux ou trois mois. Hollande aurait opéré un véritable tournant économique et idéologique. Tournant économique d’abord en décidant des allégements des charges qui en faia=t seront une opération blanche puisqu’on inclut le CICE dans la suppression des cotisations familiales. En apparence il y aura 10 milliards de charges en moins mais à peu près autant d’impôt en plus sur les bénéfices. En plus c’est étalé sur 3 ans, donc en fait c’est 3 milliards de fiscalité (encore une fois compensés par l’impôt sur les sociétés)°. Quant aux économies des dépenses publiques elles restent encore très virtuelles. Le mille feuilles administratif n’a pas été réellement mis en question. Juste une allusion timide au nombre de régions, les départements qui décideront de leur avenir et le souhait d’un rapprochement des collectivités locales. Pas de vraies réformes structurelles décidées. Des effets d’annonce surtout. Sur la sécu, il faudra dépenser moins de médicaments (les générique),  sur l’Unedic ,  c’est aux partenaires de décider), sur le dimensionnement de l’Etat rien concernant le recentrage des véritables missions régaliennes. Bref du flou à la Hollande. Quant au recentrage idéologique, c’est tout autant virtuel. Hollande d’après l es grands médias complaisants  serait devenu social démocrate voire social libéral. En fait là aussi il tourne en rond par absence véritable de doctrine, de vision et de stratégie. En 2012, c’était le discours contre les fermetures d’usine, il menaçait alors notamment PSA pour Aulnay ou Mittal pour Florange., bien d’autres encore même la finance. En 2013 c’est le temps du matraquage fiscal et pour 2014 ce serait le contraire, l’allégement de la fiscalité. Sur le plan idéologique il tourne aussi en rond. Hollande abandonne aussi vite ses convictions qu’il les a formulées, exemple la fameuse inversion du chômage, disparue des écrans. Ni socialiste (pas plus que Mitterrand) ni social démocrate, ni social libéral, Hollande est avant tout un opportuniste qui fait du pouvoir sa seul objectif. Ensuite il navigue à vue en surfant sur l’évolution de l’opinion, de celle des experts, des courants. L’enthousiasme des éditorialistes va vite retomber avec la réalité économique de 2014 car la France va rater le train de la timide reprise européenne. D’ici la fin de l’année (après la fessée aux élections ?) ou début 2015, il faut s’attendre à un autre virage, plus interventionniste celui là car d’un part le chômage sera devenu encore plus dramatique comme sa cote de popularité. En tout état de cause selon uu sondage s’il convaincu les éditorialistes, Hollande n’a pas convaincu les français (30% seulement).




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