Archive pour le Tag 'touristique'

Logement touristique : Fin de l’avantage fiscal

Logement touristique : Fin de l’avantage fiscal

Le  Conseil d’Etat a annulé le paragraphe permettant aux locations type Airbnb de continuer à bénéficier d’une niche fiscale.

Pour mémoire, le Conseil d’Etat avait été saisi par l’association pour un tourisme professionnel (AToP), le groupement des hôtelleries et restaurations de France (GHR), l’union des métiers et des industries de l’hôtellerie (UMIH), et par les sénateurs Ian Brossat (PCF) et Max Brisson (Les Républicains). A l’origine, leur requête avait été rejetée en référé.

Cette décision « marque un tournant décisif dans la lutte contre les avantages fiscaux injustifiés, dont bénéficie la location Airbnb, face à la location nue. Elle pourrait également ouvrir la voie à d’autres actions en justice contre des dispositifs similaires », poursuit le sénateur communiste.

Logement : du fait de la location touristique 20 % du parc non occupés

Logement : du fait de la location touristique 20 % du parc non occupés

Une véritable épidémie de location touristique gèle en quelque sorte une partie du parc de logements. Par exemple un logement parisien sur cinq est vacant, utilisé occasionnellement ou comme résidence secondaire, selon une étude de l’Agence parisienne d’urbanisme (Apur) . Ces 262.000 logements « inoccupés », soit près de 19% du parc parisien, sont tous ceux « qui ne constituent pas la résidence principale d’un ménage », explique l’Apur qui tire cette définition et ces données du recensement de l’Insee.

Dans le détail, 128.000 logements parisiens étaient vacants, et 134.000 utilisés de manière occasionnelle (travail) ou comme résidence secondaire (loisirs).

Cela fait de la capitale la deuxième ville française ayant la plus forte part de logement « inoccupés », derrière Nice (28%). Suivent Grenoble (17%) et Nancy (16%), toujours selon l’Apur.

A l’autre bout du classement figure Toulon (6%), derrière Nantes et Rennes (10%).

Un coup d’oeil à la carte parisienne montre une très forte disparité entre arrondissements, avec une énorme proportion de logements pas ou peu utilisés pour ceux du centre, en particulier le VIIIe (36%), le VIIe (34%), le VIe et Paris Centre (30%).

Il s’agit pour 72% d’entre eux de petits logements, d’une ou deux pièces, ce qui correspond aux biens « mis en location meublée touristique », souligne l’Apur.

Rappelant que la location d’une résidence secondaire ou d’un logement vacant n’est « pas légale », l’Apur estime que la hausse récente du nombre de logements « inoccupés » est « en partie liée à la hausse des locations meublées touristiques non déclarées ».

Environ 25.000 logements « seraient détournés de leur usage pour être loués sur des plateformes », estime le directeur général de l’Apur, Alexandre Labasse.

Avec un solde négatif de 35.000 résidences principales sur la période 2011-2020, « il y a des quartiers entiers qui se sont en partie vidés », s’alarme le premier adjoint (PS) Emmanuel Grégoire pour qui cette situation crée de nombreux « effets de bord », notamment « l’étalement urbain et des déplacements supplémentaires », et « fragilise à très long terme l’attractivité économique » de Paris.

Fin novembre, les députés ont donné leur aval en commission à une proposition de loi transpartisane qui s’attaque, face à la pénurie de logements, à la « niche fiscale » des meublés de tourisme comme Airbnb.

La mesure la plus débattue porte sur la baisse du taux d’abattement fiscal sur les revenus des meublés de tourisme à 30%, sauf en « zone rurale très peu dense » où un taux de 41% supplémentaire (71% au total) pourrait être appliqué.

Faut-il remettre en cause l’activité touristique en France ?

Faut-il remettre en cause l’activité touristique en France ?

Trois chercheurs en économie du développement pointent, dans une tribune au « Monde », les incohérences entre les investissements privés, et surtout publics, dans l’industrie du tourisme et les ambitions affichées en matière de sobriété par le gouvernement.

Eric Adamkiewicz
maître de conférences en développement territorial à l’université Toulouse-III
Philippe Naccache
professeur associé en stratégie et développement durable à l’Inseec
Julien Pillot
enseignant-chercheur en économie à l’Inseec et chercheur associé CNRS

Un article qui met en cause la pertinence écologique de l’activité des touristes en France. Le problème est que cette activité représente plus de 7 % du PIB et qu’il faudra du temps pour gérer les évolutions de volume et de contenu de ce secteur. À noter aussi que le tourisme des Français à l’étranger pourrait paraître aussi peu pertinent.

Consommation touristique intérieure et poids dans le consommation touristique des visiteurs étrangers s’élève à 50,8 milliards d’euros et est en baisse de 3,0 % par rapport à 2015. Les visiteurs étrangers contribuent en 2016 à -1,0 point de croissance de la consommation touristique intérieure et les visiteurs français à 1,0 point de croissance. La consommation touristique intérieure représente 7,13 % du PIB de l’année 2016, dont 4,85% pour la consommation des visiteurs français et 2,28% pour celle des visiteurs étrangers.
Sources : DGE, compte satellite du tourisme (base 2010) ; Insee, comptes nationaux (base 2010). NDLR

Le 26 juin 2020, au plus fort de la crise Covid, et alors que beaucoup de réflexions s’articulaient autour de l’avènement d’un hypothétique « monde d’après », nous signions une tribune dans Le Monde au titre pour le moins évocateur : « La transition écologique et le tourisme responsable sont incompatibles avec la massification des voyages ». Depuis, la pandémie a reculé et l’économie du tourisme a repris ses droits.

Frappée d’amnésie et incapable de se réformer, elle ne semble pas avoir pris la mesure du problème systémique dont elle souffre. Il en va des investissements privés, à l’image des carnets de commandes records chez les avionneurs ou les croisiéristes, tandis que se multiplient les programmes immobiliers de standing essentiellement destinés à la clientèle étrangère au bilan carbone chargé. Gourmands en ressources, ils contribuent également à l’accroissement du prix du foncier et à l’exode de la population active, notamment la plus jeune, des territoires touristiques.

Nous attendons avec impatience de voir comment tout cet écosystème parviendra à justifier ces investissements massifs, toujours orientés vers les volumes, au regard des objectifs de décarbonation affichés, parfois même inscrits dans le rapport de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) des sociétés impliquées. Plus étonnamment, la fièvre des investissements semble également avoir repris du côté de la puissance publique, bien loin des objectifs de sobriété affichés.

En témoignent les ambitions démesurées pour les Jeux olympiques de Paris, un plan de relance pour la montagne – qui n’est que l’empilage de rustines obsolètes largement consacrées au soutien de l’économie de l’or blanc – ou les propos récemment tenus le 29 août par Olivia Grégoire, ministre déléguée au tourisme, « ensemble, nous avons bien l’intention de rester la première destination mondiale ».

La même Olivia Grégoire qui n’exclut pas de poursuivre la trajectoire pré-Covid et son objectif de… 100 millions de touristes annuellement accueillis sur notre sol. Notons qu’au-delà de ces investissements dispendieux et aux retombées incertaines, une véritable stratégie ferroviaire se fait toujours attendre… A y regarder de plus près, la posture de la ministre déléguée au tourisme dérange autant que la stratégie de l’Etat qui semble bloquée sur des discours qui ont accompagné les plans de la DATAR des années 1960.

Elle paraît en effet parfaitement contracyclique alors que les Français sont appelés à davantage de sobriété, dans un contexte certes conjoncturel de crise énergétique, mais structurel sur le plan du changement climatique. Plus grave encore, cette politique pro-tourisme construite lors des « trente glorieuses » semble ignorer que nous venons de vivre un été 2022 caniculaire qui nous rappelle combien la raréfaction de nos ressources naturelles, notamment en eau, est déjà bien engagée, et ne fera que s’aggraver dans les prochaines années.

Société-Environnement : la conquête spatiale touristique pour quoi faire ?

Société-Environnement : la conquête spatiale touristique pour quoi faire ?

Si la conquête spatiale en tant que telle peut présenter un intérêt du point de vue scientifique par contre le développement de l’activité touristique dans l’espace peut susciter des fortes interrogations et même des condamnations.

D’abord concernant l’aspect environnemental, le développement touristique dans l’espace constitue un énorme gouffre énergétique et en même temps l’exemple même d’activité socialement inutile.

Il est difficile de prétendre que la croissance du tourisme spatial participe du progrès scientifique. En outre une activité qui pendant longtemps sera réservé à des milliardaires qui s’offrent ainsi une espèce de droit à polluer pour satisfaire leurs caprices.

Une telle activité au regard des menaces environnementales et notamment climatiques devrait rapidement faire l’objet d’une régulation mondiale. Déjà dans l’espace proche la multiplication des satellites transforme le ciel en poubelle. Des milliers de satellites devenus inutiles encombrent en effet le ciel.

On recense en 2019 34 000 objets de plus de 10 cm circulant en orbite basse (dont 5 000 satellites et 2 000 satellites actifs), 5 400 débris spatiaux de plus de 1 m en orbite géostationnaire et, selon un modèle statistique de l’ESA 900 000 objets de plus de 1 cm et 130 000 000 objets de plus de 1 mm. Les débris spatiaux situés sur une orbite inférieure à 400 kilomètres sont éliminés au bout d’une vingtaine d’années car leur altitude diminue en raison de la perte de vitesse due aux frottements dans l’atmosphère résiduelle. Ils finissent par brûler dans l’atmosphère terrestre lors de leur rentrée atmosphérique. Mais leur nombre est en augmentation constante du fait de l’activité spatiale (notamment le lancement de nano-satellites) et cette élimination naturelle intervient au bout de centaines d’années dès que leur orbite dépasse 700 km.

Ces débris constituent la manifestation la plus importante de la pollution spatiale et représentent en 2021 une menace très grave pour les engins spatiaux opérationnels en orbite basse (moins de 2000 kilomètres d’altitude). ( wikipédia)

 

Il y a maintenant de nombreux risques de collision en plus de la pollution déjà évoquée. Le développement touristique impulsé par certains chefs d’entreprise déments comme Eon Musk qui veut même coloniser Mars relève d’une folie scientiste et d’un nombrilisme entrepreneurial s’affranchissant de toute contrainte d’intérêt général.

Environnement : la conquête spatiale touristique pour quoi faire ?

Environnement : la conquête spatiale touristique pour quoi faire ?

Si la conquête spatiale en tant que telle peut présenter un intérêt du point de vue scientifique par contre le développement de l’activité touristique dans l’espace peut susciter des fortes interrogations et même des condamnations.

D’abord concernant l’aspect environnemental, le développement touristique dans l’espace constitue un énorme gouffre énergétique et en même temps l’exemple même d’activité socialement inutile.

Il est difficile de prétendre que la croissance du tourisme spatial participe du progrès scientifique. En outre une activité qui pendant longtemps sera réservé à des milliardaires qui s’offrent ainsi une espèce de droit à polluer pour satisfaire leurs caprices.

Une telle activité au regard des menaces environnementales et notamment climatiques devrait rapidement faire l’objet d’une régulation mondiale. Déjà dans l’espace proche la multiplication des satellites transforme le ciel en poubelle. Des milliers de satellites devenus inutiles encombrent en effet le ciel.

On recense en 2019 34 000 objets de plus de 10 cm circulant en orbite basse (dont 5 000 satellites et 2 000 satellites actifs), 5 400 débris spatiaux de plus de 1 m en orbite géostationnaire et, selon un modèle statistique de l’ESA 900 000 objets de plus de 1 cm et 130 000 000 objets de plus de 1 mm. Les débris spatiaux situés sur une orbite inférieure à 400 kilomètres sont éliminés au bout d’une vingtaine d’années car leur altitude diminue en raison de la perte de vitesse due aux frottements dans l’atmosphère résiduelle. Ils finissent par brûler dans l’atmosphère terrestre lors de leur rentrée atmosphérique. Mais leur nombre est en augmentation constante du fait de l’activité spatiale (notamment le lancement de nano-satellites) et cette élimination naturelle intervient au bout de centaines d’années dès que leur orbite dépasse 700 km.

Ces débris constituent la manifestation la plus importante de la pollution spatiale et représentent en 2021 une menace très grave pour les engins spatiaux opérationnels en orbite basse (moins de 2000 kilomètres d’altitude). ( wikipédia)

 

Il y a maintenant de nombreux risques de collision en plus de la pollution déjà évoquée. Le développement touristique impulsé par certains chefs d’entreprise déments comme Eon Musk qui veut même coloniser Mars relève d’une folie scientiste et d’un nombrilisme entrepreneurial s’affranchissant de toute contrainte d’intérêt général.

L’UE : comment sauver l’activité touristique ?

L’UE : comment sauver l’activité touristique ?

 

Pour plusieurs pays, le tourisme constitue un élément énorme de l’activité économique. C’est le cas pour la France le pays le plus visité mais aussi pour d’autres comme l’Italie, l’Espagne la Grèce ou  le Portugal; en moyenne, l’activité touristique représente 10 % du PIB européen ; pour certains  pays cela peut atteindre 25 %.

L’union européenne commence donc à s’interroger pour voir comment elle pourrait relancer une activité actuellement en état de mort clinique. Pour l’instant la réflexion de l’union européenne apparaît bien maigre;  elle se concentre uniquement sur les conditions de remboursement de prestations touristiques déjà payées mais non effectuées en raison du Coronavirus.

La problématique est évidemment plus large. La première urgence , c’est   de limiter les dégâts de l’immense vague de défaillances d’entreprises et d’organisations qui  se prépare. La seconde est d’ imaginer des labels qualité qui garantissent  le respect de normes d’hygiène.

Pour la France en particulier cela supposerait que les vacances ne soient pas toutes concentrées sur seulement deux mois. De toute façon, cette réflexion ne peut être utile que si elle est menée avec les acteurs économiques sinon on risque de déboucher sur des dispositions de nature technocratique inopérantes  tant sur le plan économique que  sanitaire.

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En attendant ,l ’Allemagne et 11 autres pays de l’UE ont demandé à la Commission de suspendre le règlement européen disant que les compagnies aériennes et l’industrie hôtelière sont tenues de rembourser intégralement les vols et les voyages.

Ces pays proposent à la place de ce remboursement un bon d’achat.

En réponse à cette suggestion, l’exécutif européen va dire aux Etats membres de l’UE qu’ils doivent garantir ces bons, afin de convaincre les clients de les accepter, selon le document vu par Reuters.

“Pour encourager les passagers et les voyageurs à accepter ces bons d’achat plutôt qu’un remboursement, ils devraient être mis à l’abri de la faillite de leurs émetteurs et rester remboursables, lors de l’expiration de leur validité, s’ils n’ont pas été utilisés”, lit-on dans le texte.

Le tourisme génère normalement quelque 150 milliards d’euros de recettes sur la période juin-août à la faveur notamment de 360 millions d’arrivées internationales, précise la Commission.

Cette dernière a dit vendredi souhaiter que les frontières extérieures de l’Union restent fermées jusqu’à la mi-juin pour les déplacements non-essentiels, dans le cadre de la lutte contre la propagation du coronavirus.

“Notre industrie touristique est en grave danger”, poursuit la Commission dans son document, disant que 6,4 millions d’emplois pourraient disparaître dans le secteur, où les restaurants et hôtels ont fait état d’une chute de 50% de leurs chiffre d’affaires et les compagnie aériennes et les croisiéristes d’un plongeon des revenus pouvant atteindre 90%. Un bon constat, mais on attend autre chose de l’union européenne.

Conflit loi travail : une catastrophe pour le secteur touristique

Conflit loi travail : une catastrophe pour le secteur touristique

Les conséquences du conflit relatif à la loi risquent d’être dramatiques pour l’activité touristique. Une activité touristique déjà affectée par les attentats de novembre et qui du fait des grèves,  des blocages aussi des violences subit encore de lourdes pertes de fréquentation. Cet environnement social ajouté à un climat désastreux va peser de manière catastrophique non seulement sur l’activité touristique du printemps mais aussi sur les réservations de l’été. À plus long terme les désordres constatés en France est largement relayée par tous les médias mondiaux risquent de porter atteinte à l’image du pays. Le tourisme représente environ 7 % du PIB et concerne de leurs deux 2 millions d’emplois. Au minimum c’est donc 200 000 emplois qui risquent d’être menacés en 2016.  Lourdement pénalisé par la chute des flux touristiques après les attentats de Paris et Bruxelles, le secteur du tourisme craint que les mouvements sociaux ne viennent encore aggraver une situation déjà dégradée à l’approche de l’Euro de football. Quatre raffineries de pétrole étaient toujours à l’arrêt et deux en débit réduit, lundi, des préavis de grève ont été déposés à la SNCF et dans l’aviation civile, et la fédération FO des transports menace de perturber les transports dans les villes-hôtes de l’Euro. Dans l’hôtellerie, les anticipations sont alarmantes pour la période de juin à août. « Les réservations pour l’été sont à ce jour en chute de 20% à 50% par rapport à la même période de 2015″, a précisé à Reuters Evelyne Maes, présidente de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (UMIH) Paris-Ile de France. Les chiffres de la fréquentation ne permettent pas d’entrevoir une amélioration à court terme, estime le Comité régional du tourisme de Paris-Ile-de-France (CRT) dans un communiqué. Pour son président Frédéric Valletoux, « les événements sociaux et les scènes de guérilla en plein Paris relayés dans le monde entier renforcent le sentiment de crainte et d’incompréhension des visiteurs dans un contexte déjà anxiogène suite à la prolongation de l’état d’urgence ». Sur les quatre premiers mois de l’année, le revenu par chambre (RevPar), principale mesure d’activité dans l’hôtellerie, était en baisse de 12% à Paris, selon les chiffres de l’UMIH. Dans les hôtels 5 étoiles et les palaces, encore plus touchés car plus exposés à la clientèle étrangère, la chute atteignait près de 16%. « Dans cette catégorie d’établissements, le taux d’occupation prévu pour cet été pourrait être de 5% à 6% inférieur aux 80% à 90% que l’on observe en moyenne », dit Christophe Laure, directeur de l’UMIH Prestige. La fréquentation des touristes japonais, particulièrement sensibles aux questions de sécurité, a chuté de 56% au premier trimestre. Celle des Russes a baissé de 35% et celle des Chinois de 13,9%, selon le CRT. Les attentats de novembre à Paris ont eu un impact estimé à 270 millions d’euros sur le chiffre d’affaires des hôtels français, selon les estimations de MKG Hospitality. Les espoirs de rebond du secteur, douchés par les attentats de Bruxelles en mars, reposent maintenant sur l’Euro qui démarre le 10 juin pour un mois, et où près de 2,5 millions de spectateurs sont attendus. Le secteur du luxe est lui aussi très pénalisé par la baisse du tourisme étranger, qui compte pour plus de la moitié des ventes du secteur en Europe. Aux Galeries Lafayette, sur le boulevard Haussmann, le chiffre d’affaires réalisé avec les clients étrangers, qui comptent pour la moitié des ventes du grand magasin parisien, accuse une chute de 10% depuis le début de l’année.

(Avec Reuters)




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