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Banques : toujours la même spéculation

 Banques : toujours la même spéculation

 

Dans le Parisien, une étude souligne le niveau de spéculation toujours importants des banques, notamment sur les produits dérivés, produits très risqués, dont par exemple BNP détient 48 milliards, la Société générale 19 milliards ou encore le Crédit agricole 17 milliards. En faiat la mini réforme bancaire française n’a rien changé. Une grande partie des liquidités mise à disposition de la BCE servent non pas à assainir les bilans mais au contraire à les fragiliser via la spéculation.  « Quelles banques sont des Fukushimas en puissance? » Derrière ce titre provocateur, le cabinet d’analyse AlphaValue dresse un d’état des lieux des banques, plus de cinq ans après la crise des subprimes et la chute de Lehman Brothers. Et cela fait froid dans le dos. Se défendant de tout catastrophisme, l’analyste Christophe Nijdam, qui a piloté l’étude, pointe du doigt la spéculation effrénée qui a repris, malgré les promesses des politiques d’y mettre fin.  A l’origine des dernières crises ayant entraîné de colossales dettes publiques, les produits dérivés. Soit des instruments financiers dont la valeur évolue en fonction d’un autre produit, appelé sous-jacent. L’astuce est qu’un produit dérivé ne requiert pas d’investissement initial, le règlement s’effectuant plus tard. Selon AlphaValue, ceux en circulation au premier trimestre 2013 sont plus importants qu’en 2008 : 693000 Mds$, contre 684000 Mds€. Selon Christophe Nijdam, le projet de taxer ces dérivés à 0,01% réduirait de 75% leur volume de transactions.

 

Immobilier : toujours en baisse dans le neuf

Immobilier : toujours en baisse dans le neuf

 

Crise, loi Duflot, instabilité fiscale, coût de construction,  resserrement du crédit des banques autant d’éléments qui font plonger les ventes dans le neuf. Les mises en chantier de logements neufs en France ont diminué de 2,8% sur un an, pendant les trois mois allant d’août à octobre, à 76.624 unités, selon les statistiques du ministère du Logement publiées mardi. En succédant à un repli de 0,6% entre juillet et septembre, ce recul plus accentué confirme que la légère embellie constatée entre juin et août (+2,1%) n’était que passagère. D’août à octobre, le segment des logements en résidence (seniors, étudiants…) a toutefois vu ses mises en chantier bondir de 20,2% à 5.026 unités sur un an, alors que celles des logements ordinaires ont baissé de 4,1% à 71.598 unités. Sur les douze mois écoulés entre novembre 2012 et octobre 2013, le nombre de logements neufs mis en chantier est toujours en net repli de 9% à 339.957 unités. « On est toujours sur les niveaux très déprimés qu’on a connus en 2010″, commente Sophie Tahiri, économiste chez Standard and Poor’s. « On a un déficit de logements en France et avec 340.000 mises en chantier, on est très loin des 400 à 500.000 logements que l’on estime nécessaire de construire pour compenser la croissance démographique et l’augmentation du nombre de ménages ».   »La demande des ménages reste faible car il leur est encore difficile d’obtenir un prêt (…), les investisseurs restent frileux en raison de l’instabilité fiscale, et l’impact du dispositif (d’incitation fiscale) Duflot reste incertain, causant une grande prudence de la part des investisseurs », observe-t-elle.  Plus inquiétant pour les mois à venir, le nombre des permis de construire accordés aux logements neufs, qui représentent les futures mises en chantier, a chuté de 23% d’août à octobre, à 101.989 unités, comparé à la même période un an plus tôt.  Et sur douze mois, la tendance est toujours à une nette baisse, avec un repli cumulé de 15,4% à 441.071 unités entre novembre 2012 et octobre 2013, comparé à la même période un an plus tôt.   »Tant du côté des mises en ventes de logements que des mises en chantier, qui allaient un peu mieux depuis quelques mois mais repassent dans le rouge, tous les indicateurs convergent pour indiquer que la machine ralentit de plus en plus », souligne François Payelle, président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI).   »Après avoir vendu 75.000 logements neufs l’an dernier, nous pourrions tomber à 70.000 cette année. Nous retournons sur les niveaux des années 1993-1994, qui étaient très mauvaises », dit-il à l’AFP.  Pour les promoteurs, « les perspectives pour le quatrième trimestre et le premier semestre 2014 sont très mauvaises », estime-t-il.  Comme l’ensemble des observateurs, le Crédit Foncier rappelle que la principale explication de ce ralentissement du rythme de construction réside dans la crise économique actuelle, « conjuguée à une incertitude sur l’évolution incertaine des prix à terme », des facteurs qui « n’encouragent pas les Français à se projeter dans l’avenir ».  Or, en parallèle à cette dégradation de la conjoncture économique, les coûts de construction – qui se situaient déjà à des niveaux élevés, en raison de la cherté du foncier – se sont envolés, du fait d’une accumulation des normes de construction (performance énergétique, règlementation thermique, normes handicapés, normes sismiques…), rappelle le Crédit Foncier.  Ainsi les prix de revient (coût du foncier, coût de la construction et coût des honoraires) ont-ils augmenté de « plus de 28% en Ile-de-France entre 2005 et 2011, et de 55% en dehors de cette région », selon la même source.   »De ce fait, les prix de l’immobilier neuf ressortent à de tels niveaux que les promoteurs sont plus prudents à construire des programmes, par crainte de ne pouvoir les commercialiser », conclut le Crédit Foncier.

Sondage – Hollande : toujours plus bas

Sondage – Hollande : toujours plus bas

Hollande à 21% d’opinions favorables dans le dernier baromètre Ipsos-Le Point*, publié ce lundi. Une nouvelle dégringolade de trois points entre début octobre et début novembre, et un nouveau record d’impopularité pour François Hollandeencore conspué ce lundi lors des cérémonies du 11 novembre.  Il est accompagné dans les tréfonds des études d’opinion par Jean-Marc Ayrault, qui tombe également à 21% de bonnes opinions, le plus bas score pour un Premier ministre dans l’histoire de ce baromètre, qui n’épargne pas grand monde au gouvernement. En octobre, la cote de popularité du chef de l’Etat avait déjà atteint un bas historique dans un autre baromètre, réalisé par BVA-Orange pour l’Express, France Inter et la presse régionale (*), avec 26% de popularité. Seulement un Français sur cinq semble satisfait de l’action du président, tandis que 75% des sondés ont une opinion «défavorable» du chef de l’Etat. Pis, 40% en ont même une opinion «très défavorable», soit cinq points de plus en un mois. Et quel mois ! Ras-le-bol fiscal, affaire Leonarda, fronde des bonnets rouges, et, pour finir, dégradation de la France par Standard & Poor’s : les dernières semaines ont été extrêmement délicates pour l’exécutif….au point de faire douter le noyau dur des «Hollandais». 50% de ceux qui avaient voté pour lui en 2012 ont désormais une opinion défavorable de son action (+ 13 points) selon ce sondage Ipsos.  Jean-Marc Ayrault perd également 5 points et tombe à 21% d’opinions favorables, soit un point de moins qu’Alain Juppé en novembre 1996, précédent record d’impopularité pour un chef de gouvernement. L’étude met également en lumière deux victimes collatérales de cette fronde : Michel Sapin, tombé à 22 % de popularité, et Pierre Moscovici  à 25 %. Quelques ministres résistent toutefois : Manuel Valls demeure, avec 56% de bonnes opinions, le plus populaires des hommes politiques, Christiane Taubira remonte à 37% de popularité (+ 5 points) et Laurent Fabius (40%) fait son entrée dans le top 10.  Dans l’opposition, la cote de popularité de Nicolas Sarkozy progresse (+2 points en un mois à 42% d’opinions positives), tandis que celle de François Fillon reste stable à 38% .Chez les centristes, François Bayrou a progressé de 4 points (42% de jugements favorables), boosté par son alliance avec Jean-Louis Borloo. La présidente du FN Marine Le Pen a elle accusé un nouveau recul (-3 points en un mois à 31% d’opinions positives). Le leader du Front de Gauche Jean-Luc Mélenchon a également vu sa cote baisser (-2 points à 31% de jugements favorables).

Emploi des cadres : toujours la prudence

Emploi des cadres : toujours la prudence

« Entre prudence et reprise de confiance », les entreprises sont près d’une sur deux à manifester leur intention d’embaucher un cadre au quatrième trimestre, un niveau stable sur un an mais aussi par rapport au trimestre précédent, selon une étude Apec publiée mercredi 23 octobre. Selon ce baromètre trimestriel de l’Association pour l’emploi des cadres, 49% des entreprises interrogées prévoient de recruter au moins un cadre entre début octobre et fin décembre. Ce taux était le même au trimestre précédent ainsi qu’au dernier trimestre 2012.Cependant, « tout laisse penser qu’elles seront plus nombreuses que l’an passé à transformer ces intentions en embauches car 76% d’entre elles affirment être certaines de recruter », note l’Apec en citant son directeur général Jean-Marie Marx. Au 3e trimestre, seules un peu plus du quart déclaraient être certaines d’embaucher. « La confiance des entreprises semble se restaurer peu à peu », analyse l’association. De fait, 55% des entreprises interrogées ont recruté au moins un cadre au 3e trimestre (+1 point par rapport au 3e trimestre 2012).Mais plus de la moitié des recrutements (54%) visaient à remplacer des départs. Pour un petit quart (23%) ils ont été effectués en raison d’un développement de l’activité. Par ailleurs, les tendances sont très différentes selon les secteurs : les recrutements sont toujours en baisse sur un an dans l’industrie, la construction ou le secteur de la banque assurance, alors qu’ils sont en hausse dans le commerce et transports, l’informatique, le médico-social. Pour cette enquête, 750 entreprises de plus de 100 salariés, représentatives du secteur privé, ont été interrogées par téléphone en septembre.

Sondage UMP : toujours la guerre

Sondage UMP : toujours la guerre

La situation du parti, après la guerre des chefs Copé-Fillon de l’hiver dernier, est « apaisée » pour seulement 29% des personnes interrogées. Chez les sympathisants, les avis sont inverses : 56% jugent la situation apaisée contre 42% qui sont d’un avis contraire. Invités par BVA à désigner « le meilleur opposant à François Hollande », 36% placent Marine Le Pen (FN) en tête, 23% Jean-François Copé (UMP), 17% Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche). Les deux leaders centristes Jean-Louis Borloo (11%) et François Bayrou (7%) ferment la marche selon cette enquête réalisée les 5 et 6 septembre auprès d’un échantillon représentatif de 1.051 personnes majeures.

 

Croissance juillet : toujours une petite récession

Croissance juillet : toujours une petite récession

La contraction de l’activité dans le secteur privé français a ralenti en juillet plus qu’anticipé grâce à une nette amélioration du secteur manufacturier qui confirme les espoirs d’une sortie de récession de la deuxième économie de la zone euro, selon les premières estimations PMI publiées mercredi par Markit. L’indice du secteur manufacturier est ressorti à 49,8, un plus haut de 17 mois, se situant juste sous la barre des 50 qui sépare croissance et contraction. Celui des services, à 48,3, retrouve son meilleur niveau depuis 11 mois. Le premier s’était inscrit en juin à 48,4 et les prévisions des économistes pour juillet se situaient en moyenne à 48,8. Le second, qui était à 47,2 en juin, était attendu à 47,6. En conséquence, l’indice composite flash, qui combine l’industrie et les services, a atteint un plus haut de 17 mois à 48,8 après 47,4 en juin. Selon Chris Williamson, économiste chez Markit, « les entreprises françaises sont en mesure de gagner des contrats à l’exportation, augmentent leur chiffre d’affaires et sont plus compétitives ». Les chefs d’entreprise interrogés par Markit font état d’une hausse de production dans le secteur manufacturier pour la première fois depuis près d’un an et demi grâce à un retour de la croissance des commandes en provenance de l’étranger. Dans le même temps, le rythme des suppressions d’emploi dans les entreprises françaises est tombé à son plus bas depuis 15 mois. Les données de Markit confortent le scénario d’un rebond de l’économie française, qui devrait avoir renoué avec une croissance positive au deuxième trimestre, même si les perspectives pour le second semestre laissent penser qu’il sera d’ampleur limitée.

 

Patrimoine des députés: « on cache toujours ses petits sous »

Patrimoine des députés: «  on cache toujours ses petits sous »

 

Lamentables parlementaires incapables d’afficher publiquement leur patrimoine et qui voulaient même punir de prison celui qui le dévoilerait. Hollande avait pourtant promis la transparence. Ce corporatisme des élus nationaux constitue de toute évidence un frein majeur à la modernisation de la société et entache une  démocratie déjà bien discréditée par les conflits d’intérêts. Les députés ont supprimé lundi la peine d’un an de prison prévue jusqu’à présent en cas de divulgation d’une déclaration de patrimoine d’un député dans le cadre des projets de loi sur la transparence. En nouvelle lecture, les députés sont donc revenus sur l’un des dispositifs phare de ces textes, via un amendement PS. A l’issue d’un compromis, gouvernement et majorité avaient opté non pour la publicité annoncée par François Hollande, mais pour une consultation en préfecture assortie de sanctions pénales en cas de divulgation: un an de prison et 45.000 euros d’amende.  Cette proposition « résulte des débats qui se sont produits et de remarques justifiées », a fait valoir René Dosière (PS) qui a défendu cet amendement. Le ministre chargé des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a expliqué qu’il s’agissait « d’une des volontés du Sénat ».  Au terme d’un débat chaotique, le Sénat avait supprimé l’article sur la publication de patrimoine.  Le président de la commission des Lois, Jean-Jacques Urvoas (PS), a expliqué que la sanction avait initialement été calquée sur les sanctions applicables aux atteintes à la vie privée.  Hervé Morin (UDI) a jugé que « 45.000 euros cela ne pèse rien ».

Sondage moral chefs d’entreprises : toujours le pessimisme

Sondage moral chefs d’entreprises : toujours le pessimisme

 

 

Au mois de juin, la déprime est toujours de mise pour les chefs d’entreprises, selon l’Insee. En effet, même si le climat des affaires est stable dans l’industrie manufacturière et stagne dans les services , dans les deux cas il reste à des niveaux particulièrement bas.  Qui plus est, le détail des chiffres publiés par l’Insee montre que dans le meilleur des cas le statu quo devrait rester d’actualité et qu’il n’y a guère de réelle perspective d’amélioration alors que l’Hexagone va entrer en période estivale.  Dans l’industrie, si les carnets de commandes « restent quasiment à leur niveau de mai », dans le même temps ils « sont toujours jugés nettement moins garnis que la normale. » Tandis que les chefs d’entreprises interrogés estiment que l’activité dans l’industrie demeure « à un niveau très bas » et que leurs stocks sont « légèrement au-dessous de la normale. » Quant à l’avenir, hormis dans l’automobile où les industriels sont un peu plus optimistes, l’avenir s’annonce toujours morose. Le secteur des services n’est mieux loti. Si les « entrepreneurs estiment que l’activité est moins dégradée sur la période récente. Leurs anticipations d’activité pour les mois à venir restent toutefois pessimistes. »  Et de fait aucun secteur ne prévoit d’amélioration ce qui aura pour conséquence directe de pénaliser à nouveau l’emploi. « Dans les services hors intérim, les chefs d’entreprise estiment que l’emploi est toujours mal orienté », résument les experts de l’Insee.

Bernard Tapie toujours en garde à vue

Bernard Tapie toujours en garde à vue

 

Convoqué dans la matinée par les policiers, l’homme d’affaires a aussitôt été placé en garde à vue à l’hôpital parisien de l’Hôtel-Dieu, qui dispose d’une salle spécialisée pour les gardés à vue nécessitant une surveillance médicale, selon une source proche de l’enquête. On ignorait dans l’immédiat la raison pour laquelle M. Tapie avait été admis dans cette structure.  Dans cette affaire, les juges s’intéressent à la décision du tribunal arbitral d’octroyer en 2008 403 millions d’euros à M. Tapie en règlement du litige avec le Crédit Lyonnais né de la vente, en 1993, de l’équipementier sportif Adidas, qu’il avait acquis trois ans plus tôt.  Les magistrats soupçonnent cet arbitrage d’avoir été biaisé à son profit. Ils veulent savoir comment l’homme d’affaires a plaidé sa cause à l’Elysée et au ministère de l’Economie et s’intéressent de près à ses liens avec les arbitres.  Stéphane Richard, le PDG d’Orange et ex-directeur de cabinet de l’ancienne ministre de l’Economie Christine Lagarde, l’ancien patron du Consortium de réalisation (CDR, chargé de gérer l’héritage du Crédit Lyonnais) Jean-François Rocchi, et l’un des juges arbitraux, Pierre Estoup, ont été mis en examen pour « escroquerie en bande organisée » dans ce dossier.  Mme Lagarde a elle été placée sous le statut de témoin assisté après deux jours d’audition par les magistrats de la Cour de justice de la République (CJR), instance habilitée à juger des délits imputables aux ministres dans l’exercice de leurs fonctions.  Outre M. Tapie, les policiers ont également placé lundi matin en garde à vue Jean Bruneau, ancien président de l’association des petits porteurs de BTF (Bernard Tapie Finances, ancienne société cotée en Bourse), selon une source proche de l’enquête.  Les enquêteurs s’interrogent notamment sur une lettre qu’il avait adressée le 29 avril 2007 à son avocat, Me Maurice Lantourne, qui est également l’avocat de M. Tapie, où il le félicitait à l’avance du résultat de l’arbitrage.   »Il y a eu l’arbitrage, il y a beaucoup de choses qui se racontent, mais la vérité je ne la connais pas parce que je n’ai pas participé à l’arbitrage », a déclaré aux journalistes M. Bruneau à son arrivée lundi matin à la Brigade financière, rue du Château des Rentiers à Paris (XIIIe).  Au coeur de l’affaire, il y a une réunion fin juillet 2007 à l’Elysée en présence, selon M. Richard, du secrétaire général, Claude Guéant, du secrétaire général adjoint, François Pérol, de M. Rocchi, du conseiller justice de l’Elysée, Patrick Ouart, mais également de M. Tapie.  Lors de cette réunion, Claude Guéant avait tranché: « Nous allons faire l’arbitrage », a rapporté M. Richard aux enquêteurs, se disant « surpris » de s’être retrouvé face à MM. Guéant, Pérol et Tapie. Personnage central, Claude Guéant devrait lui aussi être prochainement convoqué par les enquêteurs, qui ont déjà perquisitionné à son cabinet et son domicile.  Sur la réunion à l’Elysée, M. Tapie a multiplié les interviews, laissant entendre qu’il avait pu effectivement prendre part à une telle rencontre. L’enquête a également montré que M. Tapie avait eu plusieurs rendez-vous avec Nicolas Sarkozy, à l’Elysée, en 2007 et 2008.  L’homme d’affaires devrait également s’expliquer sur ses liens avec l’arbitre Pierre Estoup, ancien haut magistrat à la cour d’appel de Versailles.  Les enquêteurs en particulier s’interrogent sur le sens d’une dédicace faite par M. Tapie, en juin 1998, dans un livre offert à M. Estoup. « Votre soutien a changé le cours de mon destin », lui écrivait-il.  Comme l’a révélé Le Monde, les policiers s’interrogent sur une possible tentative d’intervention de M. Estoup en faveur de l’homme d’affaires lors d’un procès sur les comptes de l’Olympique de Marseille. Dans ce procès en appel, l’homme d’affaires avait finalement évité toute peine de prison ferme.  Selon M. Tapie, cette dédicace n’a rien à voir avec ce procès.

 

Hollande nommera toujours le président du CSA, encore un engagement non tenu !

Hollande nommera toujours le président du CSA, encore un engagement non tenu !

Nouvelles modalités de nomination du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) dévoilées lundi 6 mai par la ministre de la Culture Aurélie Filippetti dans une tribune aux Echos.  D’abord, « le collège passera de 9 à 7 membres, dans le respect des mandats en cours« . Ensuite, « le président de la République ne nommera que le président du CSA, au lieu de 3 membres actuellement« . Enfin, les six autres membres continueront à être nommés par les présidents des deux assemblées.  Mais désormais, « l’avis conforme des commissions des affaires culturelles à la majorité des trois cinquièmes sera nécessaire pour ces 6 membres. L’opposition sera ainsi associée au choix des gardiens de la liberté audiovisuelle. Désormais, un poids prépondérant sera donné au parlement dans la désignation« . Pour la ministre, « il faut renforcer l’indépendance des membres du CSA ».  Durant la campagne et juste après l’élection, un schéma assez proche avait été décrit par Aurélie Filippetti. Le 5 mars 2012, lors d’un débat du SPI, elle avait promis que les membres seraient « nommés par les commissions des affaires culturelles du parlement à la majorité des trois cinquièmes« .  Le 21 mai 2012, devenue ministre, elle avait expliqué sur France Inter: « les membres seront désignés par l’Assemblée nationale et le Sénat, les commissions culturelles. Cela permettra une plus grande indépendance du CSA vis-à-vis du pouvoir exécutif« .  Finalement, le schéma retenu laisse quand même certains pouvoirs à la majorité en place, qui pourra donc nommer le président du CSA, plus trois membres via le président de l’Assemblée, ce dernier devant toutefois éviter des profils trop marqués politiquement pour obtenir une majorité des trois cinquièmes.     Ces nouvelles modalités figurent dans la « petite loi » sur l’audiovisuel, qui vient d’être transmise pour avis au CSA et au Conseil d’Etat. Aurélie Filippetti avait annoncé que cette loi serait examinée en Conseil des ministres le 15 ou le 22 mai, mais cette échéance pourrait ne pas être tenue (le CSA a un mois pour rendre son avis).  Interrogé sur BFM Business, l’actuel président du CSA Olivier Schrameck avait estimé que la nomination du président du gendarme de l’audiovisuel devait rester une prérogative de l’Elysée.

Portugal -Moddy’s : dette toujours élévée

Portugal -Moddy’s : dette toujours élévée

 

 Moody’s Investors Service a confirmé jeudi la note Ba3 du Portugal ainsi que sa perspective négative, évoquant une dette publique élevée et la vulnérabilité du pays à des chocs tels que la crise chypriote. L’agence évoque aussi une économie affaiblie, susceptible de se contracter encore plus que prévu cette année. Mais elle dit aussi que des progrès importants ont été accomplis en matière de consolidation budgétaire et de réformes structurelles et que le Portugal est mieux à même à présent de regagner un accès direct au marché à l’avenir.Moody’s dit enfin qu’elle pourrait déclasser le Portugal en cas de hausse sensible du ratio d’endettement ou des coûts d’emprunt. A l’inverse, elle pourrait relever la note si Lisbonne parvenait à stabiliser le ratio

 

Moral des industriels : amélioration mais toujours bas

Moral des industriels : amélioration  mais toujours bas

Le moral des industriels s’est amélioré au mois de février, après s’être dégradé en janvier, a annoncé mercredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). L’indicateur du climat des affaires a gagné trois points par rapport à janvier, à 90 points, « mais demeure nettement inférieur à sa moyenne de longue période », selon l’Insee. Le mois dernier, il avait reculé de deux points, à 87. Au plus fort de la crise financière mondiale, le moral des industriels s’était effondré, pour tomber à 69 points en mars 2009, avant de remonter progressivement jusqu’à 111 points à la mi-2011. Mais, depuis, il a rechuté. « Selon les chefs d’entreprise interrogés en février 2013, la conjoncture dans l’industrie s’améliore », a commenté l’Insee dans un communiqué. Les entrepreneurs de l’industrie manufacturière restent pessimistes quant à leur activité passée mais « en revanche, leurs perspectives personnelles de production dans les trois prochains mois s’améliorent, même si le solde correspondant reste inférieur à son niveau moyen », constate l’institut. L’opinion des industriels sur l’activité de l’industrie dans son ensemble est quasiment stable par rapport au mois précédent mais le solde qui la mesure « demeure à un niveau très bas », selon l’Insee.

 

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Sondages popularité Hollande : toujours très bas en dépit de l’effet Mali

Sondages popularité Hollande : toujours très bas en dépit de l’effet Mali

Dans la dernière enquête de BVA rendue publique lundi, le président François Hollande perd 1 point de bonnes opinions à 43% et le Premier ministre Jean-Marc Ayrault recule de deux points à 38%.  A l’inverse, selon un sondage LH2 publié le même jour, la cote de popularité de M. Hollande s’est légèrement redressée en un mois, avec 41% d’opinions positives (+ 2 points), celle de M. Ayrault frémissant à peine, avec un gain de 1 point à 36% d’avis favorables.  Ces tendances différentes sont liées aux dates des études de référence de chacun des instituts. BVA (pour Orange pour L’Express, la Presse régionale et France inter) donne la tendance par rapport à son enquête des 24 et 25 janvier. En revanche, LH2 (pour Le Nouvel Observateur) a mesuré l’évolution par rapport au sondage qu’il avait réalisé les 11 et 12 janvier.  L’enquête de BVA de janvier avait donc pris en compte un « effet Mali », l’annonce de l’intervention des forces armées françaises dans ce pays remontant au 11 janvier. Cet événement ne pouvait être pris en compte que marginalement par l’enquête de LH2.  Ce dernier institut donne par ailleurs des proportions de sondés sans opinion bien supérieures (entre 7% pour François Hollande et 11% pour Jean-Marc Ayrault) aux résultats communiqués par BVA (entre 1% et 2% seulement n’ont pas d’avis).  Ce week-end, le Journal du Dimanche avait publié une enquête de l’Ifop. Elle montrait, comme celle de BVA, un fléchissement des cotes de popularité de François Hollande et Jean-Marc Ayrault perdant chacun un point en un mois par rapport à janvier, pour arriver à seulement 37% de satisfaits, l’un comme l’autre.  Cette enquête s’étale à chaque fois sur une semaine. Celle de février a été réalisée du 7 au 15 de ce mois, la précédente l’avait été de 10 au 18 février. Comme celle de BVA et à la différence de celle de LH2, elle avait donc pu prendre en compte « l’effet Mali ».  Les trois enquêtes se rejoignent toutefois pour situer la popularité des deux têtes de l’exécutif à un bas niveau, plus marqué cependant dans les études de l’Ifop : pour François Hollande, 43% de bonnes opinions et 56% de mauvaises chez BVA, 41% de bonnes et 52% de mauvaises chez LH2, 37% de bonnes et 62% de mauvaises à l’Ifop.  Jean-Marc Ayrault recueille 38% d’avis favorables et 60% de défavorables chez BVA, 36% de favorables et 52% de défavorables chez LH2, 37% de favorables et 60% de défavorables à l’Ifop.

 

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Après le G20, toujours la guerre des monnaies

Après le G20, toujours la guerre des monnaies

Car si les ministres des Finances et les banquiers centraux du Groupe des 20 peuvent s’engager à ne pas dévaluer directement, rien ne permet de garantir que leur monnaie ne continuera pas de souffrir des injections massives de liquidités par les banques centrales, censées soutenir l’activité économique. « Nous nous abstiendrons de procéder à des dévaluations compétitives », peut-on lire dans le communiqué publié samedi à l’issue de la réunion de Moscou. « Nous ne poursuivrons pas d’objectifs de taux de change à des fins de concurrence, nous résisterons à toutes les formes de protectionnisme et nous maintiendrons nos marchés ouverts. » Mais ce sont bel et bien les politiques monétaires ultra-accommodantes menées par la Réserve fédérale américaine ou la Banque du Japon afin de favoriser la croissance qui ont fait baisser le dollar et le yen ces derniers mois et alimentent l’essentiel des débats sur les risques de « guerre des monnaies ». Cette situation ne risque pas de changer de sitôt, ce que n’ont pas manqué de souligner samedi la Chine et plusieurs autres pays émergents. Le président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke, a déclaré vendredi que « les Etats-Unis utilisent des outils de politique intérieure pour atteindre des objectifs intérieurs ». De même, Tokyo insiste sur le fait que l’engagement de la Banque du Japon à acheter des quantités illimitées d’emprunts d’Etat sur les marchés vise uniquement à faire sortir l’économie nippone de la récession. Et le G20 a admis que de telles politiques n’avaient rien de répréhensible. Pourtant, une dévaluation, qu’elle soit délibérée et assumée ou qu’elle constitue l’effet collatéral d’une politique monétaire donnée, reste une dévaluation.

Sondage popularité : Fillon remonte, Copé toujours derrière le Pen

Sondage popularité : Fillon remonte, Copé toujours derrière le Pen

 

Presque toutes les personnalités de gauche profite de la remontée de Hollande ; à droite Filon remonte et demeure donc la quatrième personnalité préférée des français, Copé remonte légèrement mais reste à un niveau très bas derrière Le Pen et seulement devant De Villepin. Laurent Fabius (28%) gagne 4 points auprès des Français et 13 auprès des sympathisants de gauche, tandis que Jean-Yves le Drian, testé pour la première fois dans notre baromètre réalise un score de 19%. Des hausses s’observent aussi pour Pierre Moscovici (32% ; +2 points) nettement plus visible depuis un mois, ou pour Najat Vallaud-Belkacem (31% ; +2 points), logiquement très médiatisée en tant que porte-parole du gouvernement dans cette période (mariage-gay notamment). Cette embellie connaît évidemment quelques exceptions, pour les Ministres ayant eu à subir des polémiques médiatiques ces dernières semaines. C’est notamment le cas d’Aurélie Filippetti (26% ; -2 points), suite à son clash avec la direction de France Télévision et aux critiques sur ses vacances Mauriciennes. C’est aussi le cas de Vincent Peillon qui subit en ce moment la colère très médiatisée des syndicats enseignants. Néanmoins, dans son cas, le léger recul constaté ponctuellement en janvier (26% ; -3points) pèse bien peu, au regard du très large soutien des Français à sa réforme et de leur rejet massif du mouvement des enseignants : selon notre enquête BVA-CQFD-itéré publiée le vendredi 25 janvier dernier, 58% des Français soutiennent la réforme et 73% estiment que le mouvement des enseignants s’explique avant tout par leur corporatisme. Sans gaffe, bévue ou boulette il peut espérer capitaliser sur ce soutien de fond pour réussir sa réforme et ainsi retrouver de meilleurs niveaux de popularité dans les mois à venir. A droite aussi, l’année débute mieux qu’elle ne s’est terminée. La fin de la guerre à l’UMP permet aux plaies de se cicatriser. Fillon regagne 3 points auprès de l’ensemble des Français et 6 auprès des seuls sympathisants de droite, et Copé, son rival, en gagne respectivement 2 et 8. Leurs niveaux de départ n’étant pas du tout les mêmes, alors que l’ex-Premier ministre redevient ainsi l’une des personnalités préférées des Français (4ème) comme des sympathisants de droite (3ème après Juppé et Sarkozy), l’actuel patron de l’UMP reste la dernière personnalité de notre top-30 et l’une des personnalités de droite les moins aimées par les sympathisants de droite (avant dernier juste devant Villepin mais derrière Marine le Pen).

 

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