Archive pour le Tag 'toujours'

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Affaire Tapie : Guéant toujours en garde à vue, ça chauffe !

Affaire Tapie : Guéant toujours en garde à vue, ça chauffe !

 

Troisième jour de garde à vue pour Guéant dans l’affaire Tapie.ça chauffe et certains pourraient bien finir par se déboutonner d’autant que Sarko paraît maintenant mal embarqué pour se représenter en 2017 .  Guéant à nouveau entendu mercredi matin. La garde à vue de l’ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant dans l’enquête sur l’arbitrage controversé dont a bénéficié Bernard Tapie dans son litige avec le Crédit Lyonnais, a été suspendue mardi soir et reprendra mercredi, a indiqué à l’AFP son avocat. « La garde à vue a été suspendue à 21h et doit reprendre mercredi vers 8h30″, a dit Me Philippe Bouchez El Ghozi. Quel rôle dans la décision de recourir à l’arbitrage ? L’ancien secrétaire général de l’Elysée, bras droit de Nicolas Sarkozy dans sa conquête du pouvoir comme dans son exercice, est entendu depuis lundi matin dans les locaux de la brigade financière à Paris. Sa garde à vue avait déjà été levée lundi soir avant de reprendre le lendemain à 8h30. Les enquêteurs de la brigade financière de la PJ parisienne devaient interroger leur ancien patron à l’Intérieur sur son rôle dans la décision de recourir à l’arbitrage, dans celle de ne pas contester la sentence, et dans la fiscalité jugée avantageuse appliquée à l’indemnité de plus de 400 millions d’euros octroyée en 2008 à Bernard Tapie.

 

Chômage : toujours pas d’inversion

Chômage : toujours pas d’inversion

On voit mal comment (sauf à truquer les chiffres comme sait très bien le faire Pôle emploi en rayant les chômeurs), le chômage pourrait diminuer avec une croissance complètement à plat.  Selon l’Unédic, il ne faut pas attendre de baisse dans l’immédiat. Dans ses prévisions publiées la semaine dernière, l’organisme qui gère l’assurance chômage table sur une poursuite de la hausse, mais à un rythme ralenti, avec 103.200 demandeurs d’emploi sans activité supplémentaires en 2014 et 60.000 en 2015. François Rebsamen affiche malgré tout son optimiste : « On va y arriver, j’en suis sûr, je suis confiant même si ça ne se fait pas du jour au lendemain avec une baguette magique. »  Le gouvernement, qui a jusqu’à présent mis l’accent sur le chômage des jeunes, doit présenter d’ici la mi-juin un plan pour l’emploi des seniors. « L’alternance sera comprise dedans mais il y aura aussi des mesures que Pôle emploi devra mettre en œuvre pour faciliter l’accueil, l’accompagnement, le suivi des seniors », a dévoilé Rebsamen. Tous âges confondus, l’exécutif mise sur le pacte de responsabilité, et ses 30 milliards d’euros de crédits d’impôt (CICE) et d’exonérations de cotisations patronales, pour créer jusqu’à 500.000 emplois à l’horizon 2017. Mais le ministre du Travail a concédé à la mi-mai qu’une croissance nulle ne permettrait pas de créer des emplois, après que l’Insee eut annoncé une stabilité du PIB au premier trimestre alors que Bercy tablait sur une croissance de 0,1%. A plus long terme, François Rebsamen s’est fixé l’objectif de ramener le nombre de chômeurs sans activité « le plus près possible des trois millions » d’ici la fin du quinquennat de François Hollande en mai 2017. Mon obsession, mon combat François Hollande La baisse du chômage est « mon obsession, mon combat », a pour sa part déclaré début mai le président de la République, estimant qu’il n’aurait pas la crédibilité nécessaire pour briguer un deuxième mandat si le chômage ne baissait pas d’ici 2017. Depuis son élection en mai 2012, près de 425.000 nouveaux demandeurs d’emploi sans activité ont poussé la porte de Pôle emploi. L’établissement n’a plus enregistré de baisse des inscriptions depuis octobre 2013.

Déflation : La BCE vigilante mais toujours immobile

Déflation : La BCE vigilante mais toujours immobile

Une nouvelle fois la BCE indique qu’elle pourrait prendre des mesures ; cela fait des mois que la BCE fait ce genre de promesses. En attendant la croissance en Europe est complètement atone et le chômage bat des records.  . Pour couper court à un tassement des anticipations d’inflation, « davantage d’actions préventives peuvent se justifier », explique Mario Draghi dans un discours intitulé « La politique monétaire dans une période prolongée d’inflation basse ». Ses propos, qui viennent à l’appui des déclarations d’autres responsables de la banque centrale, donnent à penser que la BCE prendra, à l’occasion de sa réunion de politique monétaire du 5 juin, des mesures destinées à faire remonter l’inflation et à favoriser le crédit dans la zone euro. Le président de la BCE pense que l’inflation, actuellement de 0,7% dans la zone euro, reviendra progressivement vers l’objectif de l’institut d’émission, soit un tout petit peu moins de 2%. « Notre responsabilité n’en est pas moins d’être vigilant vis-à-vis des risques attachés à ce scénario susceptibles de se manifester, et d’être prêts à agir si tel est le cas », a-t-il dit à l’occasion de l’ouverture du nouveau Forum de la BCE de Sintra, au Portugal, soulignant la nécessité d’être « particulièrement attentif au risque de voir une spirale négative s’enraciner ». Définissant les possibilités d’action monétaire dans différents cas de figure, Mario Draghi a ajouté que si les taux de change ou l’évolution des marchés débouchaient sur un resserrement indu des conditions financières et monétaires, « il faudrait alors adapter nos outils conventionnels ».

Alstom : Hollande toujours ambigu

Alstom : Hollande toujours ambigu

 

Dun coté Hollande affirme qu’il se prononcera dès qu’il aura une offre de Siemens, d’un autre il indique que c’est une affaire d’industriels ; comme habitude il se ménage deux portes de sorties ; Une porte a déjà été fermée puisqu’Hollande a renoncé à la nationalisation. La chancelière allemande Angela Merkel a quant à elle déclaré que son gouvernement soutiendrait un tel rapprochement si les entreprises jugeaient qu’il a du sens. Les deux dirigeants s’exprimaient lors d’une visite du président français dans le fief électoral de la chancelière, au moment où l’exécutif français veut faire émerger une solution avec Siemens pour éviter un rachat d’Alstom par General Electric. Le groupe américain a présenté un projet d’acquisition des activités d’Alstom dans l’énergie pour 12,35 milliards d’euros, que François Hollande n’a pas jugé acceptable même s’il a les faveurs de la direction du groupe français. Alstom s’est donné jusqu’à la fin du mois pour prendre sa décision. Le ministre de l’Economie, Arnaud Montebourg, promoteur d’un rapprochement avec Siemens, a discuté vendredi de ce projet avec son homologue allemand Sigmar Gabriel. Le président du directoire de Siemens, Joe Kaeser, a également été reçu par le secrétaire général adjoint de l’Elysée, Emmanuel Macron, en présence d’Arnaud Montebourg. Le quotidien Les Echos écrit samedi sur son site internet que Siemens est prêt à de nouvelles concessions pour acquérir la branche énergie d’Alstom, en apportant au groupe français sa division signalisation en plus de ses activités ferroviaires. Interrogé sur l’avenir d’Alstom, François Hollande a déclaré que « c’est d’abord une affaire d’entreprises, d’industriels ».

Chômage : toujours pas d’inversion

Chômage : toujours pas d’inversion

Plus de 5 million de chômeurs officiellement, toujours pas d’inversion et un nouveau ministre du travail qui reprend le vieux discours de Sapin «  on est sur la bonne voie ».  . A signaler surtout la progression des chômeurs séniors (+12% sur un an). Le nombre de demandeurs d’emplois est resté quasi stable en mars en France après le bond enregistré en février, malgré une nouvelle progression du chômage des seniors, qui reste sur six années consécutives de hausse, a annoncé vendredi le ministère du Travail. Le nouveau ministre du Travail, François Rebsamen, a estimé que cette stabilisation était « conforme à la tendance de fond observée depuis octobre », bien que les deux premiers mois de 2014 aient mis à mal les espoirs d’inversion de la courbe que le gouvernement pouvait nourrir fin 2013. En mars, les demandeurs d’emplois de catégorie A, sans la moindre activité, ont quand même augmenté de 1.600, bien moins que les 31.500 de plus enregistrés en février, ce qui porte leur total à un nouveau record de 3.349.300. En ajoutant les catégories B et C, les personnes qui ont exercé une activité réduite, le nombre d’inscrits à Pôle emploi a progressé le mois dernier de 0,2%, soit 11.700 personnes, pour s’élever à 4.949.500 en métropole (5.246.800 en incluant les départements d’Outre-mer). Sur un an, la hausse est de 4,1% pour la catégorie A en métropole et de 4,5% pour les catégories A, B et C. Le nombre de demandeurs d’emplois de plus de 50 ans a encore progressé de 1,0% en mars. Son augmentation atteint 11,8% sur un an. Cette hausse a été compensée par le chômage des jeunes qui a renoué avec son mouvement de baisse, après un coup d’arrêt en janvier et février, s’inscrivant à -0,8% sur le mois (-2,8% en un an). Il enregistre son plus bas niveau depuis octobre 2012 à la faveur des contrats aidés pour les jeunes sans qualification ou des dispositifs comme les « emplois d’avenir ».

G20: toujours vain sur la croissance ou le FMI

G20: toujours vain sur la croissance ou le FMI

 

Comme d’habitude on a rien décidé mais on a parlé avec d’un coté les partisans de la relance par l’offre, de l’autre les partisans de la croissance par la demande (alors que sans doute la vérité se situe entre les deux). Rien non plus sur le Fmi actuellement bloqué par les USA. « Croissance »: c’était sans surprise le mot vedette du communiqué des ministres des Finances du G20 publié vendredi. Quoi de plus consensuel que la volonté de doper l’activité économique et de créer des emplois.  Dans leur déclaration finale, les grands argentiers du globe ont réaffirmé l’objectif fixé fin février à Sydney de doper le produit intérieur brut (PIB) mondial de 2% sur les cinq prochaines années.  Mais les moyens d’y parvenir restent flous et les divisions sont apparues au grand jour vendredi avec la charge du ministre des Finances australien Joe Hockey, dont le pays assure la présidence tournante du G20.   »Certains pays ont avancé des propositions réchauffées » et « inadéquates », a-t-il tonné lors d’une conférence de presse. Selon lui, des réformes structurelles « impopulaires » seront nécessaires, notamment en termes de concurrence et de « dérégulation ».  A Washington, chaque pays a en réalité défendu son modèle et cherché à convaincre ses partenaires de s’en inspirer, au risque de freiner l’effort collectif. « On est très loin du compte », confirme une source diplomatique.  L’Australie, le Royaume-Uni mais aussi l’Allemagne penchent ainsi pour une politique de l’offre assumée.  Le patron de la très orthodoxe Bundesbank Jens Weidmann s’est félicité du fait que lors des réunions « l’accent a été mis sur les réformes structurelles, bien plus que cela n’était le cas auparavant ». « Le besoin de réformes structurelles est commun à toutes les économies », a plaidé le Britannique George Osborne, sommant les pays émergents de « fortifier leurs fondamentaux ».  Ces derniers n’entendent pas se laisser dicter la voie à suivre.  Le Brésil a estimé qu’il fallait aussi se préoccuper de la demande. Son ministre des Finances Guido Mantega a proposé de taxer davantage les hauts revenus et estimé qu’une classe moyenne plus aisée permettrait « de rééquilibrer la demande mondiale ».  Les pays émergents, encore meurtris par de récentes turbulences financières, ont par ailleurs continué à mettre en garde contre « les risques » du retour à la normale monétaire aux Etats-Unis. Mais leur préoccupation n’a pas trouvé sa place dans le communiqué du G20.  Les Etats-Unis ont ainsi échappé à une mise en cause implicite du changement de cap progressif de leur banque centrale. Mais ils n’ont pas été épargnés par un autre sujet de contentieux au sein du G20: le retard de la réforme du Fonds monétaire international. Depuis plus de deux ans, le doublement des ressources du FMI et son rééquilibrage au profit des économies émergentes sont suspendus à une ratification du Congrès américain qui bute sur l’opposition des élus républicains.  Le retard passe d’autant plus mal que les Etats-Unis ont poussé le FMI à jouer un rôle moteur dans le plan d’aide à l’Ukraine.  Les pays émergents ne se sont pas dès lors pas privés de critiquer le statu quo imposé par les Américains.   »Le FMI ne peut pas rester paralysé et reporter ses engagements à se réformer », a souligné le ministre brésilien, assurant qu’il en allait de la crédibilité de l’institution. « Comment le FMI peut préconiser des réformes structurelles à ses Etats-membres s’il est lui même incapable de mettre en œuvre ses propres réformes? », s’est-il interrogé.   »Profondément » déçus par ce nouveau retard, les ministres du G20 ont mis la pression sur les Etats-Unis, en assurant qu’un plan B devrait être envisagé si Washington ne franchissait pas l’obstacle d’ici à la fin de l’année.  Objet de tractations de dernière minute, ce nouveau délai doit permettre d’attendre le résultat des élections de mi-mandat en novembre aux Etats-Unis et de songer ensuite à ce « qui doit être décidé », a précisé le ministre des Finances japonais Taro Aso.  Les contours d’un plan B restent toutefois flous. La principale piste de travail consisterait à séparer le volet gouvernance de celui consacré aux ressources qui, lui, ne requiert pas le feu vert des Etats-Unis. Mais le FMI n’est pas encore convaincu par ce découplage.   »Notre institution ne doit pas passer au plan B avant d’avoir la certitude absolue que le plan A est définitivement enterré », a estimé sa patronne Christine Lagarde.

 

Chine : le yuan toujours trop bas

Chine : le yuan toujours trop bas

Cela fait des années que Washington incite les autorités chinoises à laisser s’apprécier le yuan. Tout affaiblissement de la monnaie favorise les exportateurs chinois au détriment des producteurs américains. Le mois dernier, le secrétaire au Trésor Jack Lew a salué la décision prise par la Chine de permettre une plus grande fluctuation de sa devise par rapport au dollar dans des échanges au jour le jour. Mais les propos tenus ce lundi par un haut responsable du Trésor semblent suggérer que les Etats-Unis ne sont pas encore totalement convaincus par l’intention affichée par la Chine de moins intervenir sur le marché des changes. « Si le récent accès de faiblesse de la devise est le signe d’un relâchement de la Chine dans son volonté (…) à aller vers un taux de change déterminé par le marché, cela soulèverait de graves préoccupations », a dit ce responsable, sous couvert d’anonymat, à des journalistes. Le 15 mars, la banque centrale chinoise avait annoncé un élargissement de la marge de fluctuation quotidienne du yuan, dans un contexte visant à permettre à la devise chinoise d’être plus réactive aux forces du marché.  Vendredi, le point médian de la bande de fluctuation autorisée du yuan correspondait à un creux de six mois face au dollar. Sur les mois de février et de mars, le yuan s’est déprécié de 2,54%, soit sa plus forte baisse sur deux mois depuis que la Chine a mis en place un marché des changes en 1994. Les courtiers sont cependant d’avis que la devise chinoise devrait repartir à la hausse au cours du deuxième trimestre, à la faveur notamment d’une reprise des exportations du pays.

 

Immobilier: toujours la baisse

Immobilier: toujours la baisse   

On est loin des 500  000 logements promis par Hollande et la conjoncture s’annonce encore plus  morose pour la construction si l’on se fie à la baisse des permis de construire.  Selon les chiffres du ministère du Logement publiés ce mardi 25 mars, les nouvelles mises en chantier ont accentué leur repli de décembre à février, reculant de 9,9% par rapport à la même période de l’année dernière. Le précédent chiffre publié par le ministère faisait un était d’une baisse de 9,7% sur la période allant d’octobre à janvier. Au cours des douze mois écoulés entre mars 2013 et février 2014, le nombre de logements neufs mis en chantier n’affiche toutefois qu’un léger recul de 2% à 329.174 unités.  Cette mauvaise tendance risque toutefois de s’accélérer encore. Car, dans le même temps, les permis de construire, qui sont de facto un indicateur avancé des nouvelles constructions, ont accusé une véritable dégringolade. De décembre à février, ils ont ainsi chuté de 22% par rapport à la dernière période comparable, à 85.482 unités. Sur douze mois, la baisse est de 17%. En 2013, 331.867 logements neufs avaient été mis en chantier en France. Un chiffre en repli de 4,2% en un an, bien en-deçà de l’objectif gouvernemental, encore jamais atteint dans l’Hexagone, d’un demi-million de logements construits par an.

Assurance chômage : toujours le même déficit

Assurance chômage : toujours le même déficit

 

Finalemenet l’accord sur l’assurance chômage ne modifiera qu’à la marge le déficit annuel de 4 milliards, 400 millions seulement seront théoriquement économisés. Et encore si le chômage ne s’aggrave pas. Un accord à l’arraché avec le patronat et trois syndicats, CFDT, FO et CFTC, qui ont signé pour mettre en place de nouvelles règles d’indemnisation des chômeurs à compter de juillet. L’organisation patronale voulait que les nouvelles règles d’indemnisation permettent de réaliser un milliard d’euros d’économies par an sur les comptes de l’Unedic qui accusent actuellement près de 4 milliards de déficit annuel. Or, les mesures d’économies (délais de carence allongés, intermittents mis à contribution…) vont entraîner 800 millions d’économies. A quoi il faudra retrancher près de 400 millions de dépenses supplémentaires liées à la mise en place de « droits rechargeables » pour inciter les chômeurs à reprendre un travail. On est donc loin du compte même si le spectre d’une dette cumulée de l’Unedic de plus de 30 milliards en 2017 est décalé de 2 à 3 ans. . Pourtant, Pierre Gattaz a bien failli faire capoter la négociation dans la dernière ligne droite, vendredi. Le président du Medef était remonté contre sa délégation qui négociait avec les syndicats car celle-ci, estimait-il, acceptait de trop lâcher. Et ce, alors que la base du Medef voulait une vraie remise à plat du système ! C’est Jean-François Pilliard, le « monsieur social » du Medef qui a usé de ses talents diplomatiques pour faire revenir Pierre Gattaz à la raison et obtenir qu’il accepte un compromis avec les syndicats. Le cabinet du ministre du Travail est également intervenu pour obtenir un accord. Vendredi matin, Michel Sapin avait prévenu que si les partenaires sociaux ne se mettaient pas d’accord, l’Etat prendrait ses responsabilités. En clair que le gouvernement se substituerait à eux et ferait passer de nouvelles règles d’indemnisation par décret, règles qui auraient sans doute été très proches des dispositions en vigueur.

Banque suisse : L’argent français ça marche toujours fort

Banque suisse : L’argent français ça marche toujours fort

Sil y a bien eu de repentis français qui se sont mis en situation de régularisation avec le fisc français par contre l’afflux de capitaux en Suisse continue mais sous des formes fiscalement aseptisées (comprendre plus sophistiquées), ce que font depuis longtemps les grandes fortunes. L’association des banquiers privés suisse a expliqué ce 16 janvier que les capitaux français « conformes fiscalement » font toujours le bonheur des banques helvétiques. Elle estime que cette tendance est une preuve du savoir-faire bancaire du pays.  L’affaire Cahuzac ne semble pas avoir fait trop de mauvaise publicité à la Finance helvétique. Ainsi, selon l’Association des banquiers privés suisses, qui tenait ce jeudi 16 janvier une conférence de presse à Berne, l’argent français « légal » continue d’être logé dans les banques du pays.Nicolas Pictet, vice-président de cette association et un des dirigeants de la banque éponyme, a ainsi déclaré que « l’afflux dans les banques suisses de capitaux nouveaux, parfaitement conformes sur le plan fiscal », dont des capitaux français, « montre que le savoir-faire suisse en matière bancaire est reconnu ». Il n’a toutefois pas donné d’indications chiffrées. Le banquier a cependant admis que l’expression « compte en Suisse » est actuellement « un handicap en France », par rapport à ce qu’elle représentait il y a 50 ans.  Contrairement aux grandes banques suisses comme UBS et Credit Suisse, les banques privées, spécialisées dans la gestion de fortune, n’ont pas envoyé de courrier ultimatum à leurs clients français non-déclarés au fisc en France pour qu’ils se régularisent. « C’est chaque banque qui décide de sa stratégie », a indiqué Christophe Gloor, président de cette association, qui regroupe 11 banques suisses entièrement privées, et non cotées en Bourse. « La disposition des clients français à se régulariser a beaucoup augmenté, du fait de l’affaire Cahuzac », a-t-il néanmoins ajouté. « Certains clients sont cependant plus réticents, et c’est à nous de les convaincre », a-t-il poursuivi.  Mercredi 15 janvier, le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, a indiqué que, depuis le mois de juin, 11.000 personnes avaient déposé des demandes de régularisation auprès de l’administration fiscale. Il précisait que ce chiffre représentait « une recette potentielle de plus d’un milliards d’euros ». Quant à la Suisse, une enquête menée par l’agence ATS, révélée mercredi 15 janvier, montre que le nombre d’auto-dénonciations pour fraude fiscale a explosé l’année dernière. 2013 a ainsi été un record pour le canton de Genève, avec 498 auto-dénonciations, contre 265 en 2012.

 

Chômage: toujours pas d’inversion en janvier, nouvel échec de Hollande

Chômage: toujours pas d’inversion en janvier, nouvel échec de Hollande

<:article>Encore un résultat décevant du chômage qui confirme l’échec total de l’inversion du chômage promis par Hollande pour fin 2013. La courbe du chômage ne s’est encore pas inversée au premier mois de 2014, selon les chiffres publiés ce mercredi 26 janvier par le ministère du Travail. 8.900 nouveaux chômeurs sans aucune activité (catégorie A) se sont inscrits à Pôle emploi en janvier, ce qui porte leur nombre à 3.316.200 personnes. Toutes catégories confondues, il y a désormais 5.597.700 demandeurs d’emploi en France. Leur nombre a crû de 0,3% par rapport au mois précédent, et de 4,4% par rapport à la même période en 2013. Une hausse que le ministère du Travail impute principalement à l’augmentation du nombre de seniors sans emploi. Les demandeurs d’emploi de plus de 50 ans en catégories A, B et C ont été 1,1% de plus en janvier qu’en décembre, un effectif en progression de 11,4% sur un an.  En revanche, la catégorie des jeunes reste stable en janvier, sur une tendance à la baisse qui atteint 3,5% depuis avril pour les moins de 25 ans. Les chiffres de décembre avaient déjà sévèrement acté l’échec de François Hollande, qui avait fait de la baisse du chômage à la fin de l’année 2013 son engagement phare : non seulement le nombre de demandeurs d’emploi sans activité avait augmenté (+10.200 demandeurs en métropole), mais il avait en plus atteint un record absolu (3,3 millions).  L’année dernière, 177.800 chômeurs sans activité supplémentaires ont poussé la porte de Pôle emploi, parmi eux surtout des seniors.  En attendant que « la croissance prenne le relais mi-2014″, notamment grâce à ce pacte censé réveiller la confiance des entrepreneurs, Michel Sapin a déjà prévenu qu’il continuerait à utiliser sa « boîte à outils » : 340.000 emplois aidés classiques, 50.000 emplois d’avenir supplémentaires, 100.000 formations d’urgence pour les chômeurs et une « accélération » du contrat de génération, dont le dispositif vient d’être modifié.  Selon l’Insee, la croissance a aussi été un peu plus forte que prévu en 2013 (+0,3%). Mais « il faut aller plus loin pour (…) faire reculer le chômage », « si on veut créer plus d’emplois, il faut une croissance plus forte que 1% », reconnaît le ministre de l’Economie, Pierre Moscovici.  La prévision actuelle du gouvernement pour 2014 est de 0,9%, celles des organismes internationaux vont de 0,8% à 1,1%. Or, les économistes estiment généralement que 1,5% est nécessaire pour faire refluer le chômage.   »Il n’y aura pas de reprise flamboyante cette année, on pourrait donc avoir une stabilisation du chômage, mais pas de baisse. Cela n’empêchera pas qu’on puisse ponctuellement avoir des chiffres mensuels positifs », selon Marion Cochard, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).  Aucun organisme ne prédit d’embellie en 2014. La commission européenne, qui estime que le chômage devrait commencer à décroître légèrement cette année dans la zone euro, a ainsi indiqué mercredi qu’elle s’attendait pour la France à une stagnation à 11% en 2014 et 2015.  Selon l’Unédic (assurance chômage), 63.200 demandeurs d’emploi sans activité supplémentaires devraient encore venir grossir les rangs des inscrits à Pôle emploi.

 

Sondage-popularité :toujours plus bas, plus que 16% pour Hollande

Sondage-popularité :toujours plus bas,  plus que 16% pour Hollande

La popularité de François Hollande tend vers zéro comme le contenu de sa politique.  Hollande fléchit de un point en février, avec 16% seulement des Français approuvant son action, selon le baromètre mensuel  de YouGov pour Le Huffington Post et i<Télé publié ce jeudi 13 février. En revanche, la proportion des personnes interrogées qui portent un jugement défavorable sur le chef de l’Etat monte de quatre points, à 77%. 7% ne savent quel jugement porter. Jean-Marc Ayrault gagne un point, avec 15% d’avis favorables à son action, le pourcentage des opinions défavorables restant stable à 74%. 11% sont sans opinion. En revanche, la proportion de ceux qui portent un jugement défavorable à l’action de son gouvernement grimpe de quatre points, à 80%. 15% ont un avis favorable, 5% n’ont pas d’avis du tout. D’autre part, le chômage, cité par 31% des personnes interrogées, est le principal sujet de préoccupation pour les élections municipales, devant les impôts (18%) puis la dette et les finances publiques (10%). 63% des sondés déclarent avoir l’intention de voter en fonction « des enjeux de la politique locale », et 22% en fonction « des enjeux de la politique nationale ». 14% ne savent pas.

Sondage popularité Hollande : la chute toujours et encore

Sondage popularité Hollande : la chute toujours et encore

 

Hollande plonge encore à 23% pour Opinion Way (à 19% pour la SOFRES) ; jamais un président de la république n’a été aussi impopulaire. Au point qu’on peut légitimement s’interroger sur la capacité de Hollande à tenir jusqu’en 2017. Le coup de grâce sera sans doute le fameux pacte de responsabilité, trop tardif, trop peu ambitieux, trop complexe. Nul pourtant n’est besoin de nouvelles cathédrales administratives (vite détournées de leur objet comme le CICE), il faudrait décider tout de suite un allégement fiscal pour redonner de la compétitivité à l’économie, réduire la pression fiscale sur les entreprises et sur les ménages. Or Hollande a fixé le cap en 2017. Bien trop tard pour redresser la croissance et l’emploi. Témoin le dernier chiffre annoncé par la Banque de France : 0.2% eu premier trimestre 2014. Une nouvelle catastrophe qui va faire gonfler le chômage et du même coup dégrader un peu  plus la confiance des patrons, des  investisseurs et des consommateurs.  François Hollande a donc perdu un point de satisfaction en un mois à 23% et Jean-Marc Ayrault en a gagné un à 26%, dans le baromètre de février Clai-Metronews-LCI réalisé par OpinionWay et publié dimanche. L’enquête a été réalisée après la conférence de presse du chef de l’Etat le 14 janvier mais il n’a bénéficié d’aucun rebond, selon l’institut de sondage.  Il était crédité de 24% de satisfaction en janvier. La proportion de sondés mécontents de l’action de François Hollande comme président de la République a décliné de 76% à 75% en un mois, les personnes sans opinion passant de zéro à 2%.  Le président avait atteint son record d’impopularité dans ce baromètre en novembre 2013 avec 77% d’opinions négatives.  Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault est, à l’inverse, passé de 25 à 26% de taux de satisfaction. Les mécontents de l’action du chef du gouvernement ont diminué de trois points en un mois à 70%.   Parmi ces Français, 73% ont le sentiment que ce changement va « dans le mauvais sens », soit trois points de plus en un mois, tandis que 26% estiment qu’il va « dans le bon sens ». 1% ne se prononcent pas.  L’UMP Alain Juppé est resté en tête du palmarès de l’opposition en février, mais en perdant 5 points en un mois à 46% de satisfaction, suivi par le président de l’UDI Jean-Louis Borloo (42%, +1) et par l’ex-Premier ministre UMP François Fillon (37%, -1).  Etude réalisée du 4 au 6 février par téléphone auprès d’un échantillon de 1.010 personnes, représentatif de la population française de 18 ans et plus (méthode des quotas). Marge d’incertitude de 2 à 3 points.

 

 

Goodyear Amiens : Titan toujours candidat

Goodyear Amiens : Titan toujours candidat

Maurice Taylor est toujours prêt à reprendre l’usine Goodyear d’Amiens-Nord. Sur RTL, ce jeudi 23 janvier, le bouillonnant PDG de Titan a ainsi déclaré : « nous pensons que c’est une bonne, très bonne idée de produire des pneus en France ». « Si nos amis de chez Gocdyear nous appellent, cela nous pose aucun problème et c’est exactement ce que j’ai dit à [Arnaud Montebourg]« , a-t-il déclaré. Il a toutefois déploré ne pas avoir eu de nouvelles d’Arnaud Montebourg, de Goodyear et de la CGT. « Nous devons redémarrer l’usine mais avant nous devons déterminer de quoi nous allons parler avec Goodyear, ce n’est pas comme allumer un interrupteur », a-t-il affirmé.  Hier mercredi, la direction de Goodyear et les syndicats ont signé un protocole d’accord pour mettre fin à un conflit de plusieurs mois sur le site d’ Amiens-Nord, un accord qui prévoit le triplement des indemnités offertes aux salariés. »Ils auraient pu le trouver il y a bien longtemps », a réagi Maurice Taylor. Arnaud Montebourg avait déclaré, le 22 janvier, dans un communiqué que cet accord ouvre la voie à l’offre de reprise de Titan qui sauvegarderait  » à peu près 300 emplois » sur le site. « Nous avons hâte [avec Arnaud Montebourg] de nous mettre d’accord et nous asseoir autour d’un bon verre de vin français », a ajouté Maurice Taylor.

 

Chômage zone euro : toujours au niveau record

Chômage zone euro : toujours au niveau record

Preuve que la croissance ne redémarre pas vraiment (+1% prévu seulement en 2014),le taux de chômage est resté inchangé à 12,1% en novembre dans la zone euro, un niveau record auquel il est coincé depuis huit mois, selon des données publiées mercredi par Eurostat. Dans les 17 pays utilisant la monnaie unique, 19,2 millions de personnes sont ainsi recensées comme étant sans emploi. Le taux de chômage des moins de 25 ans est resté stable à 24,2%.

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