Archive pour le Tag 'toujours'

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L’inflation au plus bas en zone euro mais la BCE attend toujours !

L’inflation au plus bas en zone euro mais  la BCE attend toujours !

 

La zone euro se rapproche de plus en plus de la déflation puisque les prix en août sont sur une tendance de 0.3% par an. En clair, inflation zéro très prochaine, comme la croissance. Pourtant la BCE ne bougera pas beaucoup parce que tout simplement les allemands ne veulent pas. La ligne sera donc maintenu : » on est prêt à agir » autant dire on attend ! L’inflation en zone euro a reculé comme attendu à un plus bas de cinq ans en août, mais ce nouveau ralentissement ne devrait pas inciter la Banque centrale européenne (BCE) à prendre de nouvelles mesures de relance dès la semaine prochaine. Les prix à la consommation dans les 18 pays utilisant la monnaie unique ont augmenté de 0,3% en août en rythme annuel, au plus bas depuis octobre 2009, selon la première estimation publiée vendredi par Eurostat. L’inflation, qui avait ralenti de manière inattendue à +0,4% en juillet, se maintient ainsi en territoire qualifié par le président de la BCE Mario Draghi de « zone de danger », sous les 1%. L’affaissement de l’inflation complique la tâche de la BCE, alors que la reprise est au point mort dans la zone euro et que les économies du bloc sont confrontées aux répercussions des sanctions économiques adoptées contre la Russie pour son rôle dans la crise en Ukraine. Des sources internes à la BCE ont indiqué jeudi à Reuters qu’une nouvelle initiative de politique monétaire était peu probable lors de la réunion du 4 septembre.  Le recul enregistré au mois d’août a été porté par la baisse de 2,0% des prix très volatils de l’énergie, tandis que les prix de l’alimentation, de l’alcool et du tabac ont reculé de 0,3%pour le deuxième mois consécutif. L’inflation de base, qui exclut l’énergie, l’alimentation, le tabac et l’alcool, a progressé à +0,9%, après +0,8% en juillet. La BCE a réduit en juin ses taux d’intérêts à de nouveaux plus bas historiques, allant jusqu’à tester le passage en territoire négatif de son taux de dépôt, et annoncé un nouveau programme de refinancement à long terme ciblé, qui sera lancé en septembre et dont l’objectif est de stimuler le crédit. Depuis lors, la BCE a adopté une position attentiste, souhaitant voir les effets de cette nouvelle injection de liquidité avant d’envisager de prendre de nouvelles mesures de relance. Mario Draghi a cependant répété à plusieurs reprises que la BCE se tenait prête à agir si nécessaire.  

 

Etats-Unis : l’emploi en nette amélioration toujours la priorité

Etats-Unis : l’emploi en nette amélioration toujours la priorité

 

Contrairement à la BCE, la FED fonde évolution de sa politique sur l’amélioration de l’emploi. A cet égard La Réserve fédérale s’est montrée surprise par la vitesse à laquelle le marché du travail américain s’est amélioré, mais ne veut pas pour autant se précipiter pour relever ses taux d’intérêt, selon le compte rendu, publié mercredi, de la dernière réunion de politique monétaire de la banque centrale américaine. « Les conditions du marché de travail se sont sensiblement rapprochées de celles considérées comme étant normales sur le long terme », lit-on dans les « minutes » de la réunion des 29 et 30 juillet. Les responsables du comité de politique monétaire ont « dans leur ensemble convenu » que l’amélioration observée sur le marché du travail au cours de l’année écoulée a été « plus marquée que prévu ». Mais, toujours selon le compte-rendu, la plupart des membres de la Fed estiment que toute modification de leur appréciation de la date à laquelle il fallait commencer à relever les taux « dépendrait d’autres données relatives aux trajectoires de l’activité économique, du marché du travail et de l’inflation ». Wall Street a effacé une partie de ses gains dans la foulée de la publication des « minutes » – la politique ultra accommodante mise en place depuis près de six ans par la Fed étant le principal facteur d’explication des records accumulés par la Bourse américaine en 2013 et 2014 – pour ensuite se reprendre. Le dollar a profité de la légère inflexion du discours de la Fed, prenant 0,42% face à un panier de devises internationales. Selon les minutes, les membres de la Fed se sont mis globalement d’accord sur bon nombre d’éléments du cadre préalable à une hausse des taux – à un niveau proche de zéro depuis décembre 2008. Les économistes voient la Fed annoncer une hausse des taux d’intérêt au début du second semestre 2015. Mais, au vu des dernières données macroéconomiques, certains pensent qu’un premier relèvement des Fed Funds pourrait intervenir plus tôt que cela.

Economie, politique, information : la France toujours en vacances !

Economie, politique, information : la France toujours en vacances !

Inutile de lire la presse actuellement, les journalistes sont toujours en vacances. Aujourd’hui 18 août les unes sont auusi indigentes, quelques faits divers, le sport bien sûr et rien sur l’économie. Une économie de toute façon qui est en panne. La plupart des entreprises sont encore fermées ; en cause les 5 semaines de congés qui sabotent la croissance avec évidemment les 35 heures et les  jours de maladie. Pas étonnant que la croissance soit auusi atone. C’est bien sûr  un tabou mais la France ne travaille pas,  en tout cas pas assez.  Les élites elles-mêmes donnent  l’exemple de ce laxisme. Dans la presse les grandes signatures ou commentateurs  prennent pratiquement 2 mois de vacances et les rédactions  sont suspendues durant ce temps. Même les politiques qui pourtant n’exercent au gouvernement leurs fonctions que quelques mois au plus quelques années s’octroient des vacances, comme tous les Français !  Enfin ceux qui peuvent partir et ils sont de moins en moins nombreux compte tenu de l’évolution du pouvoir d’achat. Pour résumer à partir du 14 juillet et jusqu’au début septembre la France pense à autre chose. La culture de la paresse a pris le pas sur celle du travail, une vieille valeur obsolète. Bref un pays sur la pente du déclin, incapable de se réformer et pour qui le travail est devenu accessoire au profit de la civilisation des loisirs. Aucun politique n’osera dénoncer évidemment ce laisser-aller général : trop dangereux pour les élections. Dans la plupart des autres pays l’économie n’est pas à l’arrêt en août car les vacances sont étalées sur toute l’année, elles sont auusi moins longues. Un exemple de réalisme et de civisme : par referendum la Suisse avait à se prononcer pour décider de congés d’une durée de 6 semaines au lieu de 4 actuellement, majoritairement les Suisse ont voulu conserver les 4 semaines. On imagine ce qu’aurait été le résultat en France où personne, strictement personne n’ose remettre en cause la catastrophique durée hebdomadaire de 35 heures. Le prix à payer de tout cela une croissance insignifiante depuis des années, des déficits abyssaux  et 7 à 8 millions de personnes sans emploi.

Croissance : des prévisions toujours bidon

Croissance : des prévisions toujours bidon

 

La France est coutumière du fait : faire des prévisions de croissance bidon pour justifier toutes les dépenses. C’et le cas depuis longtemps, c’est même la stratégie la plus utilisée par nos politiques. Pour équilibrer le budget avec des prévisions de croissance réaliste, il faudrait engager des réformes structurelle (ce que ne veulent pas faire ces responsables nationaux qui ne veulent pas se fâcher à avec certains électeurs). Du coup depuis trente ans d’une part les dépenses globales sont déjà excessives et par ailleurs les recettes sont bidonnées par des fausses prévisions. Exemple pour cette année  quand  L’Insee a estimé, jeudi 14 août, que la croissance française avait été nulle au deuxième trimestre, mettant un terme aux espoirs gouvernementaux de la voir atteindre 1% sur l’année. Comme depuis trois ans, les prévisions ne se sont donc pas vérifiées. Le semestre écoulé, marqué par une croissance économique nulle en France, devrait sonner le glas des prévisions annuelles du gouvernement. Ce dernier tablait en effet officiellement sur une hausse de 1% du PIB en 2014, mais Michel Sapin, le ministre des Finances, se montre désormais sceptique et évoque le chiffre de 0,5%. Depuis le début du quinquennat, comme durant le mandat précédent, les calculs gouvernementaux se sont rarement révélés justes. Le point sur trois ans de prévisions erronées.  Lors de l’élaboration de la loi de programmation des finances publiques pour les années 2009 à 2012, le gouvernement Fillon s’était montré résolument optimiste, avec une prévision de croissance de 2,5% pour 2012. Deux ans plus tard, au moment de préparer le Budget 2012, l’exécutif ne table pus que sur une augmentation du PIB de l’ordre de 1,75%. Une estimation remise en cause par Nicolas Sarkozy lui-même en novembre, qui annonce lors d’une intervention télévisée que la croissance ne devrait pas dépasser 1%.  L’ancien président français se cramponnera à ce chiffre lors de la campagne présidentielle, alors que de son côté, François Hollande évoque une croissance de 0,5%. Peu de temps après son élection, la prévision de croissance sera ramenée à 0,3% lors d’une loi de finances rectificative. Et au final, l’Insee dévoile le chiffre officiel pour l’année 2012 : 0% et le début des ennuis pour le nouvel exécutif.

 

Moral des ménages : toujours dans les chaussettes

Moral  des ménages : toujours dans les chaussettes

Toujours la même grisaille pour la confiance des ménages qui ne croient guère en la reprise et encore moins à la diminution du chômage. De toute évidence c’est l’attentisme qui domine, personne ne croit réellement aux promesses de réduction de fiscalité faites par Valls et l’épargne de précaution est privilégiée mais pas forcément dans le livret A  qui ne rapporte plus rien ( et dont la collecte diminue)  au regard de l’inflation réelle. Les Français restent pessimistes tant sur leur situation actuelle que sur leur avenir. Selon les données publiées ce mercredi 30 juillet par l’Insee, l’indicateur mesurant la confiance des ménages s’est établi à 86 points, soit un taux stable par rapport à juin. Soit bien en deçà de sa moyenne de long terme calée à 100 points.  L’opinion des Français sur leur situation financière personnelle future a augmenté en juillet pour le troisième mois consécutif (+2 points) et celle sur leur situation personnelle passée a rebondi de trois points.  L’opinion des ménages sur leur capacité d’épargne actuelle s’est effritée (-2 points) de même que celle sur leur capacité d’épargne future, qui a perdu un point après un bond de sept points en juin. La proportion de ménages considérant qu’il est opportun d’épargner est stable. L’opinion des ménages sur le niveau de vie futur en France perd deux points, annulant sa hausse de juin, et celle sur le niveau de vie passé un point.  S’agissant du chômage, les craintes concernant son évolution sont en augmentation pour le quatrième mois consécutif, la proportion de ménages qui pensent qu’il va augmenter progressant de deux points.

 

Sondage : Hollande toujours au ras des pâquerettes à 18%

Sondage : Hollande toujours au ras des pâquerettes à  18%

Hollande  toujours au plus bas dans les sondages. Selon l’étude IFOP, le pourcentage de personnes satisfaites de « François Hollande comme président de la République » est en effet de 18 %, comme en juin, contre 81 % qui se disent mécontentes et 1 % qui ne se prononce pas. Du coup Hollande entraine Valls dans le fond, ; la cote de popularité du chef du gouvernement a en effet baissé de six points en juillet, à 45 %, tandis que celle de François Hollande est restée stable à un très bas niveau, 18 %, selon un sondage Ifop publié dans le JDD. 45 % des personnes interrogées (- 6 % par rapport à juin) se déclarent satisfaites de « Manuel Valls comme Premier ministre », contre 51 % qui se disent mécontentes.  

 

Sondage Hollande toujours plus bas

Sondage  Hollande toujours plus  bas

Seuls 24% des Français ont une bonne opinion de François Hollande, soit trois points de moins que début janvier, selon un sondage BVA à paru dimanche dans Le Parisien. Ils sont seulement 22% à estimer en outre qu’il est un bon président de la République, soit cinq points de moins qu’un autre sondage similaire réalisé en octobre 2013. Si une majorité de Français (51%, -5 points par rapport à janvier) trouvent François Hollande sympathique, ils sont seulement 26% (-5 points) à le juger compétent et 19% (-7 points) à estimer qu’il est capable de prendre les bonnes décisions.  Les deux tiers des personnes interrogées jugent qu’il ne va pas assez loin dans la voie des réformes, alors que 19% trouvent qu’il va trop loin, et 71% estiment qu’à la fin du quinquennat la situation de la France sera globalement moins bonne qu’aujourd’hui.

 

Automobile : toujours en crise en Europe

Automobile : toujours en crise en Europe

Les ventes de voitures en Europe ont progressé de 6,9% sur les cinq premiers mois de l’année par rapport à la période correspondante de l’an dernier, à 5,43 millions de véhicules, selon les chiffres publiés le mois dernier par l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA). En France, les immatriculations ont augmenté de 3,2% en juin et de 2,9% sur l’ensemble du premier semestre selon le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA), qui table sur une hausse d’environ 2% sur 2014, soit environ 1,8 million de voitures vendues. Cependant Le marché automobile européen est toujours en crise et le restera tant qu’il n’aura pas retrouvé un niveau de ventes de 16 millions de voitures pour l’ensemble du Continent et deux millions pour la France, a déclaré au Figaro Carlos Tavares, le président du directoire de PSA Peugeot Citroën. « La courbe a simplement changé de sens. C’est une réaction humaine que d’y voir une victoire, mais nous en sommes très loin », a dit Carlos Tavares au Figaro.   »Pour ma part, j’ai deux chiffres d’or à l’esprit: 16, c’est-à-dire 16 millions de voitures vendues en Europe ; et 2, pour 2 millions en France. En attendant, je considère que le marché est en crise », a-t-il ajouté.  Concernant PSA, Carlos Tavares estime que « cette entreprise est en crise, et le restera tant qu’elle n’aura pas achevé son redressement économique ».  Il a réaffirmé au Figaro les objectifs qu’il a fixés à son groupe à l’horizon 2016, à savoir une marge opérationnelle de 2%, trois années consécutives de cash-flow positif, à hauteur de deux milliards d’euros, et le retour de la dette à zéro. « Lorsque ces critères seront atteints, alors là, oui, nous pourrons déclarer très officiellement et avec un très large sourire que la crise est terminée et que PSA peut passer à l’étape suivante », a conclu le président du directoire du groupe.

 

Sondage : Sarkozy toujours favori à l’UMP

Sondage : Sarkozy toujours favori à l’UMP

Le mois dernier, l’ex-président avait la préférence de 31% des sondés, mais était talonné par le maire de Bordeaux (29%),.Nicolas Sarkozy conforte son avance sur Alain Juppé en dépit de sa mise en examen, 38% des participants à une primaire UMP le choisissant, contre 32% pour Alain Juppé, selon un sondage LH2- »Le Nouvel Observateur » diffusé vendredi.. L’ex-Premier ministre François Fillon, à l’inverse, perd du terrain (8%, -2 points), à égalité avec Bruno Le Maire (8%, stable). Tous les autres candidats, de Laurent Wauquiez à Xavier Bertrand, ne font guère plus que de la figuration. Si la cote d’influence de Nicolas Sarkozy mesurée par le même sondage auprès des sympathisants de l’UMP est en baisse de cinq points, elle reste très élevée à 74%. En revanche, il perd des points au centre-droit, seulement 31% (-9 points) des sympathisants de l’UDI et 23% (-9 points) de ceux du MoDem souhaitant une influence accrue de l’ancien président.   »Le retour médiatique de Nicolas Sarkozy a intensifié la compétition pour le leadership de l’UMP et seules les personnalités politiques de premier plan semblent y résister », commente Thomas Genty, pour l’institut LH2. « Alors que l’ancien président se taille la part du lion du choix des sympathisants de l’UMP et qu’Alain Juppé résiste difficilement, les autres candidats semblent nettement distancés. » Nicolas Sarkozy a été mis en examen début juillet pour trafic d’influence actif, corruption active et recel de violation de secret professionnel à l’issue d’une garde à vue sans précédent pour un pré

 

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

 

Nicolas Sarkozy est toujours le champion à l’UMP, dont 78% des sympathisants souhaitent qu’il soit candidat en 2017, mais est rejeté par l’ensemble des Français, 59% ne voulant pas qu’il se présente, selon un sondage IFOP pour le Journal du Dimanche. A la question « souhaitez-vous que Nicolas Sarkozy soit candidat à l’élection présidentielle » de 2017?, 78% des sympathisants répondent oui, contre 22% non. La proportion est inverse avec l’ensemble des Français : 41% veulent sa candidature, 59% non. Les sympathisants UMP sont favorables à 52% à une candidature du maire de Bordeaux, Alain Juppé, 47% n’y étant pas favorable (1% ne se prononcent pas). 45% des Français souhaitent sa candidature, 54% n’y sont pas favorables (1% ne se prononcent pas). François Fillon obtient les mêmes résultats que Juppé auprès de l’ensemble des Français. 52% des sympathisants UMP ne veulent pas sa candidature (47% oui, 1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP souhaitent à 68% que Sarkozy, mis en examen notamment pour corruption active, soit candidat à la présidence de l’UMP en novembre, 32% ne le veulent pas. 39% des Français le désirent, 60% non (1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP verraient pour 64% d’entre eux d’un bon œil une candidature d’Alain Juppé et pour 58% celle de Fillon. A la question « qui incarne aujourd’hui le mieux le renouveau de l’UMP? », 23% des sympathisants UMP répondent François Baroin (18% des Français), devant Nathalie Kosciusko-Morizet (15% à l’UMP, 17% de l’ensemble des Français), Bruno Le Maire (14%, 16%), Xavier Bertrand (12% à l’UMP, 14% de l’ensemble), Laurent Wauquiez (9%, 8%), Valérie Pécresse (8%, 10%) et Hervé Mariton (2%, 2%).  16% des sympathisants UMP ne répondent « aucune de ces personnalités », comme 9% des Français.  4% ne se prononcent pas à l’UMP, (3% de l’ensemble). Ce sondage a été réalisé par téléphone les 4 et 5 juillet auprès d’un échantillon représentatif de 968 personnes de 18 ans et plus (méthode des quotas).

 

Immobilier : marché toujours en panne à cause de prix trop élevés

Immobilier : marché toujours en panne à cause de prix trop élevés

 

 

 

Dans l’ancien (comme dans le neuf d’ailleurs), ça ne repart pas car la baisse n’est pas assez important pour resolvabiliser les acquéreurs potentiels. . L’effondrement des prix n’a toujours pas lieu. Un effondrement qui viendra nécessairement surtout sui la bulle explose come c’est possible.  Au premier semestre 2014, selon le réseau d’agences Century 21, les prix ont fait du quasi surplace avec un recul limité à 0,4 %. Soit 2545 € le m2 en moyenne en France. Certes, cela vient s’ajouter aux légères baisses intervenues en 2012 (-2 %) et en 2013 (-1,8 %). Mais, au total, depuis 2000, les prix de l’immobilier ont encore augmenté de 75 %. «Les prix ne chutent pas car les taux d’intérêt des crédits immobiliers sont très bas, affirme Laurent Vimont, PDG de Century 21. Mécaniquement, cela resolvabilise un certain nombre de ménages et fait augmenter la demande par rapport à l’offre. Du coup, nous maintenons qu’en 2014, la baisse des prix de l’immobilier sera de 3 % maximum» . Reste que cette évolution globale se décline différemment suivant les territoires. À Paris, par exemple, les prix qui, pour la première fois depuis une quinzaine d’année, avaient connu une vraie baisse en 2013 (- 3,9 %) enregistrent une très timide augmentation (+0,3 %) depuis le début de l’année. Le record historique pour le m2 dans la capitale (+ de 8.400 €) n’est pas encore atteint. Mais le m2 dépasse les 8.200 € (8.229 €). Globalement, sur une vingtaine de régions suivies par Century 21, quatorze voient le prix de l’immobilier baisser. Le recul le plus spectaculaire concerne le Poitou-Charentes (-6,8 %) devant Rhône-Alpes (-5,2 %) et Languedoc-Roussillon (-4,7 %). Léger recul également dans les grandes métropoles: – 1,8 % à Lyon où le m2 moyen s’établit 2.477 €, – 2,2 % à Marseille où le m2 moyen vaut 2.545 €. A contrario, plusieurs régions où les prix de l’immobilier avaient baissé l’année dernière enregistrent des augmentations. Parmi elles, la Bretagne (+6,7 %), l’Aquitaine (3,4 %) ou la Haute-Normandie (+ 5,3 %). A noter que dans ce marché où les prix ne décrochent pas franchement, le nombre de transactions est plutôt en recul (-2,8 %).  «Cette baisse a deux raisons principales, estime Laurent Vimont. D’abord, la loi Alur a multiplié les documents nécessaires pour finaliser la vente d’un bien immobilier, ce qui au final retarde les transactions. Enfin, avec toutes ces annonces défavorables aux propriétaires depuis deux ans, le gouvernement a fait fuir les particuliers investisseurs».  Selon Century 21, depuis deux ans 110.000 particuliers investisseurs ont disparu pour ces raisons. Au premier trimestre, la part des investisseurs parmi les acheteurs de biens immobiliers a reculé de 8,4 %. Dans cette conjoncture difficile avec un chômage qui n’en finit pas de grimper, le marché des résidences secondaires continue aussi à se replier. Il ne représente plus que 6,8 % des transactions. Du coup, le délai de vente d’un bien immobilier en moyenne augmente. Il atteint 93 jours au premier semestre, très proche du plus haut niveau atteint en 2009 (96 jours). Depuis 2012, il a augmenté de 15 jours. La preuve que, pour l’instant, le marché est bloqué.

 

 

Croissance : la France s’enfonce toujours

Croissance : la  France  s’enfonce toujours  

 

Croissance zéro au premier trimestre et peut –être même dans le rouge au second. Triste bilan pour un gouvernement qui avait prédit la reprise. Du coup les statistiques du chômage devrait encore se dégrader. L’inversion , c’est pas pour demain. En effet : l’indice PMI de Markit tombe 48 points en juin  (après 49,3 en mai, sachant que la barre des 50 marque une contraction de l’activité). L’activité se replie pour le 2ème mois consécutif et atteint son niveau «le plus bas de 4 mois». La situation est aussi mauvaise dans l’industrie que dans les services: les fabricants signalent le plus fort repli de la production depuis 6 mois tandis que l’activité enregistre sa plus forte baisse depuis 4 mois chez les prestataires de services, souligne Markit. Cette tendance reflète un léger repli des nouvelles affaires, celles-ci diminuant pour le 3ème mois consécutif. Tout cela n’est évidemment pas bon pour l’emploi! Entre la baisse d’activité et les commandes qui ne rentrent plus les entreprises du secteur privé sont incitées à réduire leurs effectifs ; l’emploi enregistre ainsi un recul pour le 8ème mois consécutif. «Le taux de suppression de postes affiche son plus haut niveau depuis 4 mois», insiste l’enquête. Au premier trimestre, la croissance était restée atone, selon les dernières estimations de l’Insee. «Les dernières données PMI flash sur le secteur privé français n’indiquent aucun signe de retournement de tendance en cette fin de deuxième trimestre», conclut Paul Smith, Senior Economist à Markit,

 

Sondage popularité : Hollande toujours plus bas à 16%

Sondage popularité : Hollande toujours plus bas à 16%

 

Pas de chance pour Hollande, son derbier coup sur la réforme territoriale a été condamnée par les français, encore un coup de com. qui foire. . François Hollande atteint un niveau de 16% au bout de seulement un peu plus de deux ans de mandat. Aucun président avant lui n’avait plongé aussi bas en si peu de temps. En juin 1983, François Mitterrand atteignait 46 %, en juin 2004, Jacques Chirac était à 35 % et en juin 2009, Nicolas Sarkozy était remonté à 41 %.  Avec une cote aussi basse, le président de la République se retrouve sans soutien clair. Même dans son propre camp. Les sympathisants socialistes ne sont plus que 46 % à lui faire confiance. Les jeunes, qui constituaient sa cible principale pendant la campagne présidentielle, ceux sur qui il misait, se sont totalement détournés de lui. Ils ne sont plus que 9 %, dans la tranche 18-24 ans, à lui faire confiance.  Autre inquiétude pour François Hollande, le retour de Dominique Strauss-Kahn dans le baromètre. Compte tenu de sa situation, de son silence, son résultat n’est pas si mauvais: avec 22 % de cote de confiance pour l’avenir, il peut jouer les trouble-fêtes.  D’autant que le Premier ministre est entraîné dans la chute présidentielle. Au bout de trois mois à Matignon, Manuel Valls est désormais impopulaire auprès des Français. À l’inverse du chef de l’État, il conserve une cote élevée auprès des sympathisants socialistes (68 %, + 2). Mais, au PS, certains interprètent cette baisse de la cote de confiance du chef du gouvernement comme étant la conséquence de son positionnement politique, trop proche du chef de l’État. Mardi matin sur BFM TV, Manuel Valls l’a revendiqué: «Il m’a nommé. Et la relation avec lui, c’est la confiance et c’est la loyauté.» Hors de question pour le chef du gouvernement, dans l’immédiat, de prendre ses distances avec le chef de l’État. Pour le moment. Car le Premier ministre se retrouve aujourd’hui au même niveau que Dominique de Villepin en 2005, juste devant Edith Cresson en 1991…

 

Immobilier :marché toujours en stand by ( Jean-Michel Guerrin du mensuel Les Echos Patrimoine).

Immobilier :marché  toujours en stand by ( Jean-Michel Guerrin du mensuel Les Echos Patrimoine).

Il y a eu beaucoup de changements dans la réglementation et en ce qui concerne l’imposition des revenus de l’immobilier, et ce depuis 2008. Principal changement: les changements concernant l’imposition des plus-values. Lorsque vous vendez un bien immobilier, qu’il s’agisse d’une maison, d’un appartement ou d’un terrain, vous réalisez, le plus souvent, ce que l’on appelle une plus-value immobilière. Cette plus-value peut être exonérée d’impôt, c’est le cas lorsque la vente concerne votre résidence principale, ou taxée à hauteur de 34,5 %, soit 19% au titre de l’impôt et 15,5% au titre des prélèvements sociaux. Mais, depuis le 1er septembre 2013, il faut faire une distinction entre l’impôt sur la plus-value, et les prélèvements sociaux. Par le jeu des abattements, on est exonéré de l’impôt au bout de 22 ans de détention du bien alors que pour les prélèvements sociaux, il faut attendre 30 ans pour bénéficier de l’exonération totale. A noter que pour les ventes qui auront lieu avant le 31 août 2014, le vendeur bénéficie d’un abattement exceptionnel de 25 % de la plus-value, pas de l’impôt, sauf s’il s’agit d’un terrain à bâtir. Enfin, depuis le 1er janvier 2013, une surtaxe, de 2 à 6% s’applique lorsque l’on réalise une plus-value supérieure à 50.000 euros.

Il y a aussi la suppression du régime Scellier de défiscalisation au profit du nouveau dispositif Duflot. Pourtant, sur le papier, ce nouveau dispositif est plus intéressant, mais, le coût d’achat est limité à 5.500 euros le m². Vous pouvez acheter plus cher, mais l’avantage fiscal ne sera calculé que sur la valeur maximale de 5.500 euros le m². En plus les loyers sont plafonnés à un niveau inférieur de 20% aux loyers du marché. Pourtant, cela permet de bénéficier d’une réduction d’impôt de 6.000 euros par an, pendant neuf ans. Mais, le dispositif a de la peine à convaincre et la montée en charge est très lente. Il y a eu la loi ALUR. Là, ce n’est pas fini, puisqu’on attend de nombreux décrets d’application. Cela signifie que la réglementation va devenir plus contraignante, notamment pour ce qui concerne les locations meublées et que les loyers vont être strictement encadrés. Au résultat, cela détourne nombre de propriétaires du marché, parce qu’en dehors des abus, le loyer d’un investissement immobilier procure 2 à 2,5% de rentabilité nette par an, impôts déduits. Si les loyers baissent, on va tomber à moins de 2 % et nombre de propriétaires préfèrent alors se tourner vers d’autres produits de placement, des produits financiers, notamment, moins contraignants que l’immobilier. Il faut pourtant le répéter, le placement immobilier, ou simplement l’achat immobilier n’est pas un placement comme les autres. D’abord il a une valeur affective, une valeur de convenance (c’est fait pour y habiter), mais, malgré tout, on en sort toujours gagnant sur le long terme !

 

 

 

Malgré le vote aux européennes la BCE toujours pour l’austérité

Malgré le vote aux européennes la BCE toujours pour l’austérité

 

Encore un bel exemple d’incompétence et de trahison pour ce socialiste luxembourgeois Yves Mersch qui appelle au maintien de l’austérité, paraît-il parait-il soutenir la croissance. Ce socialiste monétariste en fait n’y connait rien, il est avocat de formation et a surtout usé ses fonds de pantalons dans les institutions. Les membres de l’Union européenne ne doivent pas infléchir leurs efforts, et ce malgré le vote de protestation qui s’est exprimé lors des élections européennes, estime Yves Mersch donc, membre du directoire de la BCE, ce 31 mai. Il estime qu’il faut poursuivre les réformes structurelles au sein de l’Union et achever ce qui a été entamé avec la création de la zone euro en 1999. « Je perçois dans l’actuelle tendance à s’opposer aux réformes une possibilité encore éloignée mais nette que la croissance (économique) dans la zone euro s’engage dans la voie d’une baisse ». « C’est la raison pour laquelle continuer à faire progresser la réforme structurelle est essentielle », affirme-t-il. « Nous avons fait beaucoup pour stabiliser la zone euro avec l’union bancaire et d’autres réformes. Maintenant nous devons trouver les moyens de faire croître la zone euro de manière durable ».

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