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Fiscalité carbone :l ’appel de 86 députés totalement fous

 Fiscalité carbone :l ’appel de 86 députés totalement fous 

 

La plupart des députés sont non seulement incompétents mais aussi irresponsables en particulier lorsqu’ils reprennent l’idée de ré augmenter la taxe carbone pour réduire les rémissions polluantes. Une véritable escroquerie dans la mesure où l’augmentation des taxes notamment sur le carburant n’a strictement aucun lien avec les préoccupations environnementales. Il faut rétablir la taxe carbone, mais débattre de ses modalités, soutiennent l’écologiste Matthieu Orphelin, Joël Giraud (LREM), rapporteur du budget, Hugues Renson (LREM) et Sylvain Waserman (MoDem), vice-présidents de l’Assemblée, Barbara Pompili (LREM), présidente de commission, Jean-Christophe Lagarde, président du groupe UDI, Agir et Indépendants, Christophe Bouillon (PS), Cédric Villani (LREM) et 78 autres députés. Une vision fiscaliste de l’environnement. L’ingénierie fiscale française est en effet sans limite, une pathologie qui touche toutes les sensibilités politiques, tous les technocrates, tous les écolos. Pour résumer, il s’agit de soigner le monde carboné par la saignée fiscale. Le remède radical des médecins de Molière qui guérissaient les malades, lesquels  mourraient de la thérapie de choc. Il est évident qu’en tuant l’économie française on aura aussi fait disparaître le carbone,  à un détail près : on aura reporté les émissions polluantes sur d’autres pays car il faudra bien toujours consommer… (Et accessoirement payer mais avec quelle richesse ?).  En mal de reconnaissance, les économistes qui ont été presque tous nourris au lait du néo libéralisme ont donné une légitimité pseudo scientifique à la taxe carbone. Il s’agit d’abord d’une récupération indécente d’une question sociétale qui ne peut évidemment être seulement et prioritairement régulé par la fiscalité et les prix. Le signal prix cher aux économistes ultra libéraux constitue une sorte de récupération par les mécanismes de marché de la problématique environnementale. L’argumentation consiste à affirmer qu’il convient de limiter les émissions polluantes en leur donnant un prix afin de favoriser la seule régulation marchande. Si l’économie de marché est encore la meilleure chose (ou la moins pire) pour équilibrer l’offre et la demande,  il en va différemment lorsqu’il s’agit des champs sociétaux environnementaux. Certes on peut comprendre l’absolue nécessité d’une transition écologique notamment dans le domaine du transport. Encore faudrait-il qu’il existe une alternative pour permettre le changement de comportement. Or une politique des transports ne peut se conduire que sur le long terme pour  développer à la fois les transports collectifs, le concept du véhicule individuel et son utilisation. En l’absence de ces conditions,  la fiscalité dite écologique se réduit à un impôt classique qui au demeurant vient en plus affecté  le pouvoir d’achat, donc la croissance et l’emploi. Notons aussi que ces mesures carburant touche surtout les moins favorisés qui ne peuvent pas disposer d’une liberté d’horaire pour prendre un autre moyen de transport que leur véhicule individuel. Il y a évidemment d’autres moyens de réguler que l’arme de la fiscalité et des prix : la régulation par les normes et le développement système alternatif. Mais dans le contexte actuel des transports,  la fiscalité écologique constitue une fumisterie environnementale qui n’a d’autre objet que de donner une fausse légitimité scientifique à un impôt qui va se perdre dans le trou du budget. Faudrait-il rappeler aux économistes que leur science, certes utile,  n’est pas très exacte, qu’elle est même souvent approximative. Pour preuve, la majorité des grandes ruptures n’ont pas été prévues par la plupart  de ces experts. Par exemple, la prochaine chute de la croissance française assommée par la fiscalité ou encore la prochaine grande dépression économique mondiale qui se prépare.

 

L’appel de 86 députés totalement fous pour une fiscalité carbone

L’appel de 86 députés totalement fous pour une fiscalité carbone

 

La plupart des députés sont non seulement incompétents mais aussi irresponsables en particulier lorsqu’ils reprennent l’idée de ré augmenter la taxe carbone pour réduire les rémissions polluantes. Une véritable escroquerie dans la mesure où l’augmentation des taxes notamment sur le carburant n’a strictement aucun lien avec les préoccupations environnementales. Il faut rétablir la taxe carbone, mais débattre de ses modalités, soutiennent l’écologiste Matthieu Orphelin, Joël Giraud (LREM), rapporteur du budget, Hugues Renson (LREM) et Sylvain Waserman (MoDem), vice-présidents de l’Assemblée, Barbara Pompili (LREM), présidente de commission, Jean-Christophe Lagarde, président du groupe UDI, Agir et Indépendants, Christophe Bouillon (PS), Cédric Villani (LREM) et 78 autres députés. Une vision fiscaliste de l’environnement. L’ingénierie fiscale française est en effet sans limite, une pathologie qui touche toutes les sensibilités politiques, tous les technocrates, tous les écolos. Pour résumer, il s’agit de soigner le monde carboné par la saignée fiscale. Le remède radical des médecins de Molière qui guérissaient les malades, lesquels  mourraient de la thérapie de choc. Il est évident qu’en tuant l’économie française on aura aussi fait disparaître le carbone,  à un détail près : on aura reporté les émissions polluantes sur d’autres pays car il faudra bien toujours consommer… (Et accessoirement payer mais avec quelle richesse ?).  En mal de reconnaissance, les économistes qui ont été presque tous nourris au lait du néo libéralisme ont donné une légitimité pseudo scientifique à la taxe carbone. Il s’agit d’abord d’une récupération indécente d’une question sociétale qui ne peut évidemment être seulement et prioritairement régulé par la fiscalité et les prix. Le signal prix cher aux économistes ultra libéraux constitue une sorte de récupération par les mécanismes de marché de la problématique environnementale. L’argumentation consiste à affirmer qu’il convient de limiter les émissions polluantes en leur donnant un prix afin de favoriser la seule régulation marchande. Si l’économie de marché est encore la meilleure chose (ou la moins pire) pour équilibrer l’offre et la demande,  il en va différemment lorsqu’il s’agit des champs sociétaux environnementaux. Certes on peut comprendre l’absolue nécessité d’une transition écologique notamment dans le domaine du transport. Encore faudrait-il qu’il existe une alternative pour permettre le changement de comportement. Or une politique des transports ne peut se conduire que sur le long terme pour  développer à la fois les transports collectifs, le concept du véhicule individuel et son utilisation. En l’absence de ces conditions,  la fiscalité dite écologique se réduit à un impôt classique qui au demeurant vient en plus affecté  le pouvoir d’achat, donc la croissance et l’emploi. Notons aussi que ces mesures carburant touche surtout les moins favorisés qui ne peuvent pas disposer d’une liberté d’horaire pour prendre un autre moyen de transport que leur véhicule individuel. Il y a évidemment d’autres moyens de réguler que l’arme de la fiscalité et des prix : la régulation par les normes et le développement système alternatif. Mais dans le contexte actuel des transports,  la fiscalité écologique constitue une fumisterie environnementale qui n’a d’autre objet que de donner une fausse légitimité scientifique à un impôt qui va se perdre dans le trou du budget. Faudrait-il rappeler aux économistes que leur science, certes utile,  n’est pas très exacte, qu’elle est même souvent approximative. Pour preuve, la majorité des grandes ruptures n’ont pas été prévues par la plupart  de ces experts. Par exemple, la prochaine chute de la croissance française assommée par la fiscalité ou encore la prochaine grande dépression économique mondiale qui se prépare.

 

Plastiques recyclés : totalement en 2025 ?

Plastiques recyclés : totalement  en 2025 ?

 

Dans le plan climat le gouvernement a promis de recycler 100 % des plastiques contre 25 % actuellement en moyenne mais 15 % seulement dans les grandes villes. Pour changer la donne, il conviendrait de consacrer beaucoup plus d’argent au  recyclage. Mais pour recycler il faudrait aussi améliorer le taux de collecte. Exemple,  le rétablissement de la consigne sur les bouteilles. Un  Retour aux pratiques anciennes avec une consigne sur les bouteilles y compris en plastique. Une bonne nouvelle évidemment pour l’environnement notamment l’empreinte carbone. Concernant bouteilles plastiques, l’interdiction totale serait encore plus efficace. Sur le plan sanitaire et économique l’eau du robinet présente uen avantage inégalé.  L’eau du robinet est  à 0,003 € le litre en moyenne, soit même pas 2 € par an pour une consommation de 1,5 litre d’eau du robinet par jour. Quand on utilise une carafe filtrante ( le plus souvent complètement inefficace) , le prix du litre est en moyenne multiplié par 20, et il explose dès qu’on passe aux eaux en bouteilles : 0,20 € le litre pour l’eau de source, 0,40 € le litre pour l’eau minérale, soit de 110  à 220 € par an, des montants auxquels il faut ajouter le coût d’élimination des bouteilles en plastique, contre seulement 2 € pour l’’eau du robinet. ».  La gestion des déchets ménagers coûte environ 100 euros par an et par habitant  mais  20 euros sont consacrés au recyclage. C’est-à-dire : pas assez ! Nous sommes donc bien loin derrière un pays comme l’Allemagne, qui atteint les 40% de recyclage, pour presque 0 de mise en décharge. L’Hexagone se classe ainsi 25e au niveau européen sur le taux de recyclage, loin derrière la moyenne européenne qui est passée à 31 % en 2016, pour la première fois devant le taux de mise en décharge qui a chuté à 27 %. En tête de peloton du recyclage plastique, on trouve la Norvège (43 %), la Suède (40,6 %), ou encore l’Allemagne (38,6 %). Ces mêmes pays ont pris des mesures drastiques pour limiter la mise en décharge des déchets plastiques. La Finlande par exemple a interdit cette pratique en 2016 et atteint un taux de valorisation (recyclage et valorisation énergétique) de ses déchets plastique de 93 %. La Suisse, qui se place en haut du classement, valorise ou recycle la quasi-totalité de ses déchets plastique avec un taux de mise en décharge de seulement 0,2 %. De même, l’Autriche, les Pays- Bas, l’Allemagne ou la Suède dépassent les 99 % de valorisation. Pour PlasticsEurope, les limites du recyclage sont ainsi trop importantes pour espérer atteindre un jour les 100 %. « D’abord, il faudrait arriver à 100 % de collecte, argumente Hervé Millet. Or, 25 ans après le tri des bouteilles et flacons, on n’en recycle que 57 %. Ensuite, se pose la question des déchets produits hors foyer. Enfin, le recyclage a dans certains cas un impact environnemental plus élevé que la valorisation énergétique. » Selon une étude publiée en 2015 par l’organisation, l’éco-efficacité maximale du recyclage des emballages plastique se situe entre 35 % et 53 %. « Aller au-delà serait trop coûteux ou sans intérêt pour l’environnement, explique PlasticsEurope. Ainsi par exemple, pour le recyclage des plastiques mélangés, la valorisation énergétique industrielle offre un meilleur coût/bénéfice que le recyclage ». PlasticsEurope souligne par ailleurs que même les matières les plus recyclables n’atteignent pas l’objectif de 100 %, qu’il s’agisse des papiers-cartons (90 %), du métal (78 %) ou encore du verre (75 %).

Syrie : l’aide « totalement insuffisante » de la France

Syrie : l’aide « totalement insuffisante » de la France

Une ONG Oxfam fait état d’efforts internationaux « totalement insuffisants » pour venir en aide aux réfugiés. Le rapport, intitulé « Solidarité avec les Syriens », se penche sur l‘aide humanitaire et le type d’accueil pour les réfugiés fournis par plus de 28 pays, jugeant que seule une « poignée » d’entre eux (dont la France ne fait pas partie) répondait de façon satisfaisante aux énormes besoins.  L’organisation critique notamment deux grandes puissances: la Russie qui n’a accueilli selon Oxfam aucun réfugié syrien et a fourni seulement 1% des contributions internationales à l’aide humanitaire, et la France, qui a participé à hauteur de 22%. Oxfam dénonce un « manque de fonds ou plus exactement, un manque de volonté pour fournir des fonds », indique Andy Baker, un responsable d’Oxfam. Les seuls pays épargnés par les critiques de l’ONG sont – en dehors des pays frontaliers de la Syrie où se trouvent la majorité des réfugiés – la Norvège et l’Allemagne. 

Les vieux bientôt totalement connectés

Les vieux bientôt totalement connectés

 

Aujourd’hui on connecte tout même les vieux ; mais pas assez dit le patron de Legrand. Certes la télésurveillance apporte une sécurité mais visiblement là il s’agit de vendre tout et n’importe quoi : exemple la connexion de la porte du frigo !  Sans doute aussi celle des WC et du papier toilette quand le rouleau est épuisé.   Les objets connectés permettent aussi, selon lui, de maintenir à domicile les personnes âgées. Il relève que « la France n’est pas en avance » dans ce domaine, malgré le lancement du programme « Silver économie » en 2013. « Or cela pourrait devenir une vraie expertise française », assure le chef d’entreprise. Il propose déjà plusieurs dispositifs, existants ou à venir, plus pointus que la télésurveillance via un bracelet ou un pendentif. Et de citer les détecteurs de chutes, d’errance, de manque d’alimentation, les objets captant si le gaz est ouvert ou le réfrigérateur ouvert, si une personne n’a pas bougé pendant longtemps… C’est une question de « confort et de sécurité », argue Gilles Schnepp, qui met aussi en avant l’argument économique : « le retour sur investissement est très attractif ». Ainsi, alors qu’une maison de retraite coûte « 1.000 à 3.000 euros par mois », « l’équipement d’un appartement coûte 2.000 à 5.000 euros au maximum ». Aucun rapport évidemment mais comme les vieux sont en général réfractaires aux smartphones, il faut bien leur vendre autre chose; !

Refonder totalement le PS « (Dray)

Refonder totalement le PS « (Dray)

Il a raison Dray, tout est rebâtir dans un  PS qui n’a jamais représenté les classes populaires. Par contre comment ? Là c’est la langue de bois de l’ancien trotskiste  de la ligue communiste révolutionnaire, désormais bien embourgeoisé car il adore les montres à 7000 euros dont une  achetée avec les fonds d’une  association ! Avant très à gauche, maintenant il s’interroge «  à gauche de quoi ?). C’est le drame du PS dont la quasi-totalité est constituée t des petits bourgeois et d’ oligarques qui n’ont aucun sens des réalités sociales et incompétents sur le plan économique.  Invité lundi matin d’Europe 1, Julien Dray, vice-président du Conseil général d’Ile-de-France, ne dit pas autre chose et estime que sa famille doit en tirer des conclusions. « J’avais dit il y a quelque mois que le PS pouvait mourir ». « Il faut en tirer des leçons, il faut que cela bouge ! Etait-ce une défaite électorale ou vient-elle de plus loin ? Pour moi, elle vient de loin, elle est une défaite qui pose des problèmes sur l’identité de la gauche aujourd’hui. J’avais dit il y a quelque mois que le PS pouvait mourir. Il est à refonder totalement. Il faut recommencer à 0. Il y a une division mortifère, des procès en sorcellerie permanent », a-t-il estimé. « Il faudra des inflexions importantes. »Interrogé sur les attaques de la gauche de la gauche, qui ont commencé dès dimanche soir, Julien Dray regrette et rappelle qu’il « faut travailler ensemble et c’est une responsabilité collective. On a tous le réflexe naturel de trouver un responsable pour se dire que ce n’est pas soi-même qui est en cause, mais l’autre. Quand on est au pouvoir, il y a toujours une responsabilité, donc il va falloir entendre le message. Il faudra des inflexions importantes. » Des inflexions, donc un coup de barre à gauche, comme le réclament les frondeurs ? « Cela ne se réduit pas à cela. A gauche de quoi ? Par rapport à quoi ? Quand vous avez un vote comme hier autour du FN, il y a des questions importantes qui se posent, sur l’avenir de la France, sur son rôle… Ce sont à ces questions-là qu’il faut répondre ! » Le candidat de gauche est-il déjà éliminé dans la course à la présidentielle de 2017 ? « Non, mais il est sacrément menacé… »

 

Exception culturelle : la France « totalement réactionnaire » (Barroso)

Exception culturelle : la France « totalement réactionnaire » (Barroso)

Cela ne va vraisemblablement pas réchauffer les relations, déjà dégradées, entre Paris et Bruxelles. Ce lundi 17 juin, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a violemment critiqué la volonté de la France d’exclure le secteur audiovisuel du mandat de négociations commerciales avec les Etats-Unis, qualifiant cette attitude de « réactionnaire ». « Cela fait partie de ce programme antimondialisation que je considère comme totalement réactionnaire », a-t-il déclaré, dans un entretien publié par l’International Herald Tribune. Le président de la Commission européenne a indiqué qu’il était favorable à la protection de la diversité culturelle mais sans mettre un cordon autour de l’Europe. « Certains (de ceux qui défendent l’exception culturelle) disent être de gauche mais ils sont en fait extrêmement réactionnaires », a-t-il insisté. Les défenseurs de l’exception culturelle  » ne comprennent pas les bénéfices qu’apportent la globalisation (des échanges) y compris d’un point de vue culturel, pour élargir nos perspectives et avoir le sentiment d’appartenir à la même humanité », a-t-il dit. Après treize heures de négociations ininterrompues, les ministres européens en charge du Commerce extérieur ont donné vendredi soir leur feu vert à la Commission européenne pour qu’elle lance les négociations avec les Etats-Unis sur un nouvel accord de libre-échange. Pour parvenir à l’unanimité, ils ont accepté, comme l’exigeait la France, d’exclure complètement le secteur audiovisuel des discussions. Le commissaire européen au Commerce, Karel De Gucht, qui conduira les négociations avec Washignton au nom de l’UE, souhaitait inclure l’audiovisuel dans son mandat, afin de ne donner aucun prétexte aux Américains pour qu’ils refusent toujours l’accès à certains marchés fermés aux entreprises européennes.

 

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