Archive pour le Tag 'Total'

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Raffinerie Total: fin de la grève à Donges

Raffinerie Total: fin de la grève à Donges

 

Encore trois raffineries en arrêt chez Total mais  fin à Donges, a indiqué la direction du groupe pétrolier à l’AFP, précisant que « les unités sont en phase de redémarrage ». Le coordinateur groupe CGT de Total Eric Sellini a confirmé la fin du mouvement à Donges.  Les raffineries de Gonfreville-l’Orcher (Seine-Maritime), Châteauneuf-les-Martigues (Bouches-du-Rhône) et Feyzin (Rhône) restent affectées par la grève lancée par la CGT et FO il y a une dizaine de jours. La cinquième raffinerie de Total à Grandpuits (Seine-et-Marne) avait de son côté cessé le mouvement en début de semaine.  Les salariés sont en grève pour le « maintien et l’augmentation de leur pouvoir d’achat », la CGT réclamant notamment une augmentation minimale de 100 euros ainsi qu’une prime de 1.500 euros.  En ce qui concerne les conséquences de ce mouvement pour les consommateurs, Total avait assuré vendredi à l’AFP que « la situation dans les raffineries n’entraîne absolument aucun problème d’approvisionnement ».  Le président de l’Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean-Louis Schilansky, avait également indiqué qu’il n’y avait « aucune perturbation » pour alimenter les stations-service, précisant que le marché français était notamment approvisionné par des importations.  Outre les deux raffineries de Total qui ont cessé la grève, trois autres raffineries exploitées par d’autres entreprises fonctionnent dans l’Hexagone.

Total va déménager à Londres

Total va déménager  à Londres

Après Publicis qui déménage aux pays bas après la fusion, c’est au toutrde Total de commencer par déménager sa trésorerie et la suite suivra sans doute. Le groupe Total a confirmé lundi sa décision de transférer à la fin de l’année la gestion de sa trésorerie et sa communication financière à Londres, tout en minimisant un mouvement qui ne concernerait au plus que 70 personnes. « L’idée, c’est de se rapprocher de Londres, qui est la place financière et pétrolière en Europe, pour permettre au groupe d’améliorer sa visibilité internationale », a déclaré un porte-parole du groupe, confirmant une information de Mediapart. « Ça concerne entre 60 et 70 personnes, maximum 70 personnes, sur un groupe de 100.000″, a-t-il ajouté. Le directeur de la trésorerie Humbert de Wendel et le directeur de la communication financière Martin Deffontaines partiront pour Londres avec leurs équipes, a-t-il expliqué en précisant que le directeur financier, Patrick de La Chevardière, resterait à Paris. La trésorerie et la communication financière du groupe pétrolier se rapprocheront ainsi de leurs interlocuteurs au quotidien à Londres, la place « où il faut être pour parler business, pétrole, finance », a poursuivi le porte-parole. Cette décision risque d’irriter le gouvernement français mais Total a fait savoir qu’il continuerait à payer ses impôts en France. Le groupe a versé au fisc 1,2 milliard d’euros en 2012, a souligné le porte-parole.

 

Total : veut taxer le diesel comme l’essence

Total : veut  taxer le  diesel comme l’essence

On comprend la position de Total, plus le carburant est cher plus les marges sont importantes, témoin ses derniers résultats de 2012. Même raisonnement pour le gouvernement d’autant que le gasoil représente 80% de la consommation. Un double bénéfice pour le gouvernement d’abord alignement du gasoil sur l’essence ensuite la hausse mécanique de la TVA.  Le gouvernement réfléchit donc une hausse de la taxation sur le diesel. Le PDG de Total explique ce vendredi 15 février sur RMC-BFMTV qu’il faudrait surtout que « les produits venant d’une même activité soient taxés de la même manière ». Un détail toutefois, ce sera une amputation du pouvoir d’achat, donc de la consommation, donc de la croissance, donc de l’emploi.

 

 

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Total super bénéfices grâce à la hausse du pétrole

Total super bénéfices grâce à la hausse du pétrole

Pas de crise du pétrole chez Total qui contrairement aux consommateurs profite comme habitude de la hausse des cours du brut. Total a de nouveau enregistré d’énormes bénéfices en 2012, le recul de la production d’hydrocarbures du géant pétrolier français ayant été contrebalancé par les prix très élevés du pétrole brut et un rebond temporaire des marges de raffinage en Europe. Le groupe a dégagé sur l’année un bénéfice (part du groupe) en baisse de 13% à 10,7 milliards d’euros, selon un communiqué publié mercredi.  Son bénéfice net ajusté –mesure la plus suivie dans le secteur, qui exclut certains effets liés à la variation des cours du brut– a au contraire grimpé de 8% à 12,4 milliards d’euros, a détaillé le groupe.  Ces résultats sont conformes aux prévisions des analystes financiers, qui tablaient sur un bénéfice ajusté de 12,4 milliards.  De tels profits colossaux, récurrents pour une compagnie pétrolière de la taille de Total, ont comme attendu reflété les prix très élevés atteints l’an dernier par les cours du pétrole brut, sur fond de tensions géopolitiques autour de l’Iran.  L’an dernier, le prix du baril de Brent coté à Londres avait atteint en moyenne 111,7 dollars, battant légèrement le record de 2011 (111,2 dollars), et a également touché un nouveau sommet historique en euros (à près de 87 euros en moyenne annuelle).  Ce facteur, couplé à un redressement en cours d’année des marges de raffinage en Europe, qui constituent depuis plusieurs années le talon d’Achille du géant pétrolier hexagonal, a permis de compenser un repli de 2% de sa production d’hydrocarbures, tombée à 2,3 millions de barils équivalent pétrole par jour en moyenne.  Ce recul de la production était attendu, du fait d’une série d’incidents qui ont plombé les activités du groupe. Le plus pénalisant a été une grave fuite de gaz en mer du Nord britannique qui a interrompu l’extraction sur les gisements voisins d’Elgin et Franklin depuis près d’un an. A ce sujet, le groupe confirme que l’activité devrait reprendre progressivement sur ces deux champs durant le premier trimestre.  Enfin, le groupe s’est félicité de la bonne avancée de son programme de cession d’actifs, qui vise à réaliser pour 15 à 20 milliards de dollars de transactions entre 2012 et 2014.  Il devrait réaliser 9 milliards de dollars de cessions cette année, après 6 milliards l’an dernier, atteignant ainsi dès fin 2013 le plancher de ce programme de cessions.  Cela devrait inclure la vente envisagée à un consortium mené par EDF et le groupe italien Snam de la filiale française de gazoduc TIGF (Transport Infrastructures Gaz France) pour 2,4 milliards d’euros, et celle à l’autrichien Borealis des activités de fertilisants du groupe en Europe.  TIGF (Transport Infrastructures Gaz France) est la filiale de transport et de stockage de gaz du groupe, basée à Pau (Pyrénées-Atlantique) qui gère le réseau gazier dans le sud-ouest de la France, et dont le groupe avait décidé l’an dernier de se défaire.  Enfin, le groupe a confirmé dans la foulée ses perspectives financières révisées en septembre dernier, avec un potentiel de production de 3 millions de barils par jour en 2017. Et il a également annoncé le redémarrage récent de sa raffinerie normande de Gonfreville-l’Orcher en Seine-Maritime, après un vaste programme de modernisation.  Total est le 3e producteur de pétrole et de gaz d’Europe de l’Ouest derrière les britanniques Shell et BP, et la 1ère entreprise de France par la valeur boursière, au coude-à-coude avec son ancienne filiale, le laboratoire pharmaceutique Sanofi.

 

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Gaz de schiste aux Etats-Unis peu de rentabilité pour Total

Gaz de schiste aux Etats-Unis peu de rentabilité pour Total

Le bilan des investissements du groupe pétrolier dans le gaz de schiste aux Etats-Unis « n’est pas terrible, car nous avons investi sur la base de prix du gaz beaucoup plus élevés que ceux d’aujourd’hui », a admis M. de Margerie, dans un entretien au quotidien.  Le groupe a enregistré une « perte sérieuse » au Texas, car « nous avions fait nos études de rentabilité sur un prix (du gaz naturel) qui était à plus de 6 dollars le million de BTU (0,026 mètre cube, ndr), aujourd’hui, on est à 3,2 dollars, et ça ne passe pas », a-t-il rappelé.  Total avait acquis en 2010 une part dans le gisement texan de Barnett Shale auprès du groupe Chesapeake, pour 2,3 milliards de dollars. Mais l’extraction du gaz de schiste à grande échelle aux Etats-Unis y a fait dégringoler les cours du gaz naturel, remettant en cause la rentabilité de nombreux projets.  En revanche, dans l’Ohio, où le groupe a également investi, il obtient « une bien meilleure rentabilité », car les champs de schiste y sont riches en condensats, c’est-à-dire des hydrocarbures liquides similaires à du pétrole et qui sont commercialisés à des prix élevés.  Du fait de ces résultats mi-figue mi-raisin, « il est clair qu’on met la pédale douce » en matière de gaz de schiste, car « je ne vois pas l’intérêt d’aller investir – je précise bien dans les gaz secs (ndlr : pauvres en condensats) – là où la rentabilité n’est pas au rendez-vous », poursuit M. de Margerie.  Mais le groupe continuera à investir dans l’exploration du gaz de schiste dans « d’autres pays où les marchés sont porteurs », assure-t-il, évoquant des pays comme « la Chine, la Pologne et le Danemark », où Total devrait « commencer un forage d’exploration cette année ».

 

 

Le Qatar fait ses courses en France : 3% du groupe pétrolier français Total

Le Qatar fait ses courses en France : 3% du groupe pétrolier français Total

Le Qatar détient maintenant 3% de Total, Rien encore d’alarmant en valeur absolue mais un processus qui devrait interroger sur le contrôle de filière stratégique. L’exemple de la sidérurgie française rachetée par un indien puis progressivement liquidée mérite réflexion.  Le fonds souverain Qatar Holding, contrôlé par le riche émirat gazier du Golfe, détient 3% du capital de Total, a déclaré le PDG du groupe français samedi dans un entretien au quotidien qatari Al-Sharq.   »L’acquisition par le Qatar de 3% des parts dans notre compagnie constitue clairement un progrès positif », a déclaré M. de Margerie, ajoutant que « cela témoigne de la forte relation établie depuis 75 ans » entre Total et le Qatar, selon ses propos publiés en arabe par le journal.   »Nous nous félicitons d’un investisseur qui a prouvé qu’il est un partenaire de long terme », s’est réjoui M. de Margerie. Le patron de la major française n’a pas indiqué quand avait eu lieu cette entrée du Qatar dans son capital, ni le montant de cet investissement. C’est la première fois que Total commente la montée du Qatar au sein du groupe. A la mi-mars, le quotidien économique français Les Echos avait rapporté que cet émirat du Golfe, champion du gaz naturel liquéfié, avait pris depuis l’été 2% du capital de Total, devenant ainsi, derrière les sociétés du milliardaire belge Albert Frère et les salariés, l’un des grands actionnaires de la plus grosse société française.  La ministre du Budget, Valérie Pecresse, avait implicitement confirmé l’opération, soulignant qu’il ne s’agissait « pas de prendre un pouvoir de décision sur une très grande entreprise française ».  Qatar Holding dépend de la très influente Qatar Investment Authority (QIA).  Le Qatar, qui entretient historiquement de bonnes relations avec la France a récemment renforcé ses participations dans les fleurons économiques français, avec une prédilection pour le luxe, le sport et les médias.  Mi-mars, le numéro un mondial du luxe LVMH (Louis Vuitton, Bulgari…) avait annoncé que le Qatar détenait 1,03% de son capital.  L’émirat a également racheté en deux temps la totalité du club de football Paris Saint-Germain (PSG), repris les palaces cannois Carlton et parisien Royal Monceau et fait une razzia sur les droits télévisés de Ligue 1 à travers sa chaîne de télévision Al-Jazira Sports.  Il est aussi devenu le premier actionnaire du groupe de médias Lagardère, avec 10,1% du capital, sans délaisser l’industrie pour autant, puisqu’il a acquis 5% du capital de Veolia Environnement et 5,6% du groupe de BTP Vinci, et pris le contrôle du maroquinier Le Tanneur.

 

Catastrophe Total : ça y est, on a envoyé une équipe pour observer, c’était temps !

Catastrophe Total : ça y est, on a envoyé une équipe pour observer, c’était temps !

Des conditions météorologiques défavorables avaient jusqu’à présent empêché Total de faire décoller un hélicoptère. « Total confirme qu’un hélicoptère a décollé d’Aberdeen à 10h30 (09h30 GMT) aujourd’hui avec pour objectif d’atterrir sur la plate-forme d’exploitation d’Elgin afin de permettre à une équipe spécialisée d’effectuer une mission de reconnaissance de la plate-forme de puits d’Elgin ainsi que du puits G4, si les conditions de sécurité le permettent », a déclaré un porte-parole du groupe, ajoutant que l’équipe procèderait « avec une extrême prudence ». Le succès des opérations entreprises au cours des prochains jours dépendra entre autres de l’évolution des conditions météorologiques. Les prévisions en ce domaine au Royaume-Uni indiquent pour la région d’Aberdeen un temps nuageux avec la possibilité de pluies fines ce jeudi tandis que le vent devrait rester faible. MetOffice, le service météorologique britannique, ne prévoit pas de dégradation marquée pour vendredi. Total a expliqué en début de semaine que la mission de reconnaissance visait à déterminer s’il était possible de mettre fin à la fuite en injectant de la boue dans le puits et si d’autres mesures étaient nécessaires. Le groupe évalue à 2,5 millions de dollars (deux millions d’euros environ) le coût quotidien de la fuite.

 

Total – fuite de gaz : 6 mois et 3 milliards de dollars

Total – fuite de gaz : 6 mois et 3 milliards de dollars

Total étudie en deuxième option le creusement de deux puits de secours, ce qui pourrait prendre six mois et coûter trois milliards de dollars. « La compagnie a préparé une étude de risque pour faire atterrir un hélicoptère sur la plateforme et envoyer une équipe faire des observations sur le lieu de la fuite de gaz », a déclaré un porte-parole de l’organisation britannique à Londres. HSE donnera à Total des conseils sur les règles de sécurité à observer mais n’interférera pas sur sa décision d’envoyer des experts sur place, a-t-il précisé. Le pétrolier français veut lancer deux processus en parallèle pour stopper la fuite de gaz, qui requièrent dans les deux cas le feu vert de HSE. Dans la première hypothèse envisagée, Total injectera une boue de forage pour boucher le puits par le haut et le mettre ainsi à l’abandon, bien que ceci reste une option risquée parce qu’une intervention humaine sur la plate-forme sera nécessaire. Total étudie en deuxième option le creusement de deux puits de secours, ce qui pourrait prendre six mois et coûter trois milliards de dollars. Le PDG de Total Christophe de Margerie a annoncé samedi qu’une torchère qui brûlait près de la plate-forme de forage s’était éteinte naturellement, ce qui a réduit le risque d’explosion. Cette torchère avait été rendue nécessaire pour purger le gaz en excès et éviter une trop grande pression sur la plate-forme. La fuite de gaz a contraint Total à évacuer les 238 personnes qui travaillaient sur la plate-forme, située à environ 240 kilomètres au large de la ville écossaise d’Aberdeen.

 

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