Archive pour le Tag 'torpille'

Après avoir spéculé Elon Musk torpille le bitcoin

Après avoir spéculé Elon Musk torpille le bitcoin

 

 

Le fantasque patron de Tesla, Elon Musk, après avoir spéculé torpille le bitcoin. Il y a quelques semaines il avait vanté les mérites de la cryptomonnaie et empoché un joli bénéfice suite à la nouvelle envolée du bitcoin. Il avait même indiqué que les consommateurs pourraient acheter un véhicule électrique de Tesla avec le bitcoin;

 

Changement de discours mercredi :  «Tesla a suspendu les achats de voitures avec des bitcoins. Nous sommes inquiets du recours de plus en plus important aux combustibles riches en carbone pour miner des bitcoins, surtout le charbon, qui a les pires émissions (de gaz à effet de serre) de tous les combustibles», a tweeté le fantasque milliardaire.

 

 «La cryptomonnaie est une bonne idée à plein de niveaux et nous pensons qu’elle a un avenir prometteur, mais cela ne doit pas compromettre l’environnement», a expliqué Elon Musk. «Tesla ne vendra pas de bitcoins et nous l’utiliserons pour des transactions dès que les mines seront alimentées par des énergies plus durables», a-t-il ajouté.

Politique : Le «non au cannabis» torpille la diversité de la majorité

  • Politique : Le «non au cannabis» torpille la diversité de la majorité

 

  • dans le Figaro le journaliste Matthieu Deprieck estime que d’une certaine façon Macon a brutalement coupé l’air sous le pied des contestataires de la majorité qui sans doute aurait souhaité un débat plus ouvert laissant la place en particulier à la libéralisation du cannabis. Notons que la France est le pays au monde le plus consommateur de cette drogue qui fait surtout des ravages dans la jeunesse.

Article du Figaro

  • Le « oui, mais », le « en même temps », les « deux jambes », les phrases à rallonge. De tout cela, il n’était pour une fois pas question dans la bouche d’Emmanuel Macron. Dans un entretien au Figaro lundi, le chef de l’Etat a enfilé les habits du ministre de l’Intérieur pour résumer tout le mal qu’il pense du cannabis : « Dire que le haschisch est innocent est plus qu’un mensonge. Sur le plan cognitif, les effets sont désastreux. Combien de jeunes, parce qu’ils commencent à fumer au collège, sortent totalement du système scolaire et gâchent leurs chances ? Et je ne parle même pas des effets de glissement vers des drogues plus dures (…) On se roule un joint dans son salon et à la fin on alimente la plus importante des sources d’insécurité. »
  • Le président, jadis libéral, a éteint toute nuance sur un sujet, qui, justement, en réclame. Les vingt-huit députés membres de la mission d’information portant sur les usages du cannabis en savent quelque chose. Ils ont couvert toutes les sensibilités politiques et les six commissions permanentes de l’Assemblée pour, au terme d’un an d’auditions, conclure qu’on ne répond pas au cannabis « oui » ou « non ».
  • « C’est un sujet compliqué », confirme Agnès Firmin Le Bodo, députée Agir de Seine-Maritime. Elue de droite, ancienne adjointe à la sécurité au Havre, professionnelle de santé, elle était « plutôt opposée à ce que l’on autorise certains usages ». Après plus d’un an de travaux, elle a « lentement évolué vers l’idée que nous pouvons trouver un juste milieu ».
  • « Effets délétères ». « Si nous voulions arrêter tous les consommateurs, il faudrait procéder à 330 millions d’interpellations par an. Nous n’avons ni les moyens humains, ni les moyens financiers de mener une telle politique », ajoute Caroline Janvier, député LREM du Loiret, rapporteur du volet « cannabis récréatif ». De fait, la seule répression n’a pas empêché la France de devenir le premier consommateur de joints en Europe.
  • Ce sera une des leçons des deux rapports remis ces prochains jours : début mai pour le volet récréatif, à la mi-mai pour le rapport général, incluant le thérapeutique et le bien-être. Les députés de la majorité attendaient ce moment pour relancer le débat autour de la réglementation. Dans un souci d’apaisement, ils avaient écarté l’idée de déposer une proposition de loi et misaient plutôt sur des éléments à transmettre à leur futur candidat présidentiel. « Le débat doit avoir lieu en 2022. On ne peut pas l’ouvrir à la hussarde maintenant », explique Caroline Janvier.
  • « Rien ne dit que la vérité d’avril 2021 sera celle de janvier 2022 »
  • La position de fermeté prise par Emmanuel Macron vient leur couper l’herbe sous le pied. Comment espérer ouvrir un débat quand le futur candidat semble déjà sûr de lui ? Les députés de la majorité se raccrochent à ce qu’ils peuvent. « Sa position n’est pas si ferme que cela. Le Président dit qu’il faut un débat, eh bien, débattons », s’exclame Ludovic Mendes, député LREM de Moselle. « Cette consultation pourrait être intéressante si elle met vraiment à plat tous les enjeux de la consommation de cannabis », abonde le député LREM et porte-parole du parti, Roland Lescure. « La réflexion ne fait que commencer. Le Président propose un débat. Le rapport parlementaire peut l’alimenter. Il nous appartient de convaincre les Français que la légalisation est la meilleure solution », affirme Caroline Janvier.
  • Affaire de mots. Dans Le Figaro, le chef de l’Etat envisage effectivement un « grand débat national » mais son intitulé laisse peu d’espoir aux réformateurs : il devrait porter sur « la consommation de drogue et ses effets délétères ».
  • « Nous ferons notre travail en montrant que le débat est plus complexe que cela », ne se démonte pas Ludovic Mendes quand Roland Lescure espère que le chef de l’Etat lira les rapports de la mission d’information dont il fait partie. La porte n’est pas fermée, veulent-ils croire, même le député LREM des quartiers nord de Marseille, Saïd Ahamada, qui pourtant salue la fermeté d’Emmanuel Macron. « Les consommateurs de cannabis sont coresponsables de la situation dans les quartiers difficiles. Ils ont du sang sur les mains », dit-il, tout en jugeant que la question de la légalisation se posera, mais plus tard, quand la situation autour des points de deal sera revenue à un niveau plus contrôlable.
  • De toute façon, « rien ne dit que la vérité d’avril 2021 sera celle de janvier 2022 », se rassure un député de la majorité, favorable à ce que son futur candidat « bouge » sur la question lors de la prochaine présidentielle. Déjà en 2017, le cannabis avait valu à Emmanuel Macron des critiques en inconstance. Dans son livre Révolution, il semblait prendre position pour un assouplissement de la loi. Quand, quelques semaines plus tard, dans Le Figaro (déjà), il affirmait ne pas croire « à la dépénalisation des petites doses ». Il disait en réalité la même chose : il faut dresser des contraventions aux consommateurs plutôt que de les menacer de peines de prison inappliquées. Ce n’était qu’une affaire de mots : tendres dans Révolution, durs dans Le Figaro.

Retraites: Philippe torpille la conférence de financement

Retraites: Philippe torpille  la conférence de financement

 

 

Il est clair que le Premier ministre n’a guère apprécié d’avoir été mis en demeure par le président de la république de trouver un compromis rapide concernant les retraites. De la même façon qu’il n’a pas été particulièrement heureux d’avaler son chapeau et de renoncer à ce qui constitue son totem à savoir l’âge  pivot à 64 ans. Très critiqué à droite, son véritable camp d’appartenance, Édouard Philippe remet deux  sous dans la mécanique pour bloquer la conférence de financement qu’il a dû accepter à regret à la demande de la CFDT. Alors que cette conférence n’a même pas démarré, le Premier ministre remet une poignée de sable dans les rouages de la négociation en réaffirmant qu’une mesure d’âge est indispensable. Sans doute pour faire plaisir au Medef, aussi à la droite mais surtout pour montrer qu’il est le patron de cette réforme. Une attitude évidemment maladroite qui hypothèque une négociation déjà difficile.

Dans la lettre qu’il a adressée samedi aux partenaires sociaux, le Premier ministre a limité leurs marges de manœuvre en disposant que les futures mesures financières “ne devront entraîner ni baisse des pensions (…) ni hausse du coût du travail”. Dans l’hypothèse d’un échec des négociations, le gouvernement reprendrait la main.

“Une mesure d’âge sera à mon sens forcément présente, mais je ne veux pas faire le travail des organisations syndicales et patronales avant qu’elles le fassent”, a déclaré Edouard Philippe lors de la séance des questions au gouvernement, à l’Assemblée nationale.

“Car je ne vois pas comment sinon on pourrait arriver à l’équilibre financier en 2027”, avait-il jugé auparavant. Édouard Philippe reste bien dans la tradition dans la Juppé, une tradition caractérisée par une psychorigidité idiote et finalement méprisante pour les partenaires sociaux. Comme si le gouvernement, l’État en général,  pouvait donner des leçons de gestion alors par exemple qu’on laisse encore filer le budget pour 2020 et qu’on va dépasser les 100 % d’endettement par rapport aux PIB.

G7 : Trump pour un retour de la Russie torpille Macron

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D’une certaine manière Trump torpille d’entrée la proposition de Macron d’envisager le retour de la Russie dans le G7 (alors en formation G8) à condition qu’une négociation s’engage en Europe sur les problèmes de l’Est de l’Ukraine. Trump ne veut certainement pas laisser l’initiative à Macron qui par ailleurs n’a rien obtenu de Poutine hormis cette perspective de discussion. Trump  envisage donc le retour dès maintenant et sans condition de la Russie dans le G8.  Une manière aussi sans doute de rendre les confrontations encore plus difficiles. Ce qui ne gêne nullement Trump  qui au contraire veut défaire toutes les institutions internationales afin de que les États-Unis négocient seuls les grandes questions économiques et diplomatiques. Du coup Poutine qui est à la recherche d’une crédibilité internationale risque de jeter aux orties la proposition de Macron sur l’Ukraine car cela ne constitue plus un obstacle à son retour dans le G8. Il faut aussi voir dans cette proposition de Trump  une volonté de règlement de comptes vis-à-vis de Macron, Trump  n’apprécie guère les initiatives par exemple concernant les taxes Gafa, les positions sur l’Iran, voire les critiques de Macron sur les relations commerciales avec la Chine. Tromp  renvoie Macon et en France à leur statut de chef de petit gouvernement et de petits pays

Depuis l’annexion de la Crimée en 2014, la Russie est exclue du G8, qui s’est donc transformé en G7. En juin, Emmanuel Macron a pour sa part estimé que « sans avancée claire et tangible sur le processus de Minsk » (pour cesser les combats dans l’est de l’Ukraine), « il ne peut y avoir une reformation du G8″. Visiblement trame s’en moque totalement.

Foot- PSG : Tapie torpille Zlatan Ibrahimovic

Foot- PSG : Tapie torpille Zlatan Ibrahimovic

 

 Invité par Le Parisien à donner son avis sur Zlatan Ibrahimovic, Bernard Tapie n’a pas été tendre avec l’attaquant du PSG qu’il juge inconstant. Bernard Tapie n’est pas connu pour avoir sa langue dans sa poche. Alors au moment où Le Parisien l’a interrogé sur l’attaquant suédois du PSG Zlatan Ibrahimovic, l’ancien président de l’OM, que le club de la Capitale affrontera dimanche, a respecté la tradition : « C’est simple : si tu veux enrôler le meilleur buteur du championnat (ndlr : 21 buts cette saison), tu le prends les yeux fermés. Mais si tu veux aussi que ton équipe joue à dix 80 % du temps parce qu’il y a un gars qui n’en fait qu’à sa tête, tu le prends aussi. »




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