Archive pour le Tag 'tordus'

Nomination cabinet présidentiel : Trump choisit les plus extrémistes et les plus tordus

Politique-Nomination cabinet présidentiel : Trump choisit les plus extrémistes et les plus tordus

Finalement Trump choisit des personnalités qui lui ressemblent au sein de son cabinet. La plupart se caractérisent par leur extrémisme autant que par leur incompétence. Reste à savoir si le Sénat américain acceptera un cabinet présidentiel aussi fantaisiste et provocateur. Sans parler évidemment des affrontements possibles entre des personnalités relativement tordues.

Les annonces de Donald Trump des nominations pour son futur cabinet s’enchaînent ces derniers jours, avec des personnalités controversées. Parmi les dernières en date, celle du vaccinosceptique Robert F. Kennedy Jr au ministère de la Santé

Certains sénateurs républicains ont publiquement affiché leurs réserves face à des candidat peu sérieux. Ne parlons t pas évidemment d’Elon Musk chargé à la fois de tout et de rien au sein du cabinet et qui se considère déjà comme une sorte de coprésident en participant notamment aux discussions de Trump avec les responsables politiques étrangers !

Nomination cabinet présidentielle : Trump choist les plus extrémistes et les plus tordus

Nomination cabinet présidentielle : Trump choisit les plus extrémistes et les plus tordus

Finalement Trump choisit des personnalités qui lui ressemblent au sein de son cabinet. La plupart se caractérisent par leur extrémisme autant que par leur incompétence. Reste à savoir si le Sénat américain acceptera un cabinet présidentiel aussi fantaisiste et provocateur. Sans parler évidemment des affrontements possibles entre des personnalités relativement tordues.

Les annonces de Donald Trump des nominations pour son futur cabinet s’enchaînent ces derniers jours, avec des personnalités controversées. Parmi les dernières en date, celle du vaccinosceptique Robert F. Kennedy Jr au ministère de la Santé

Certains sénateurs républicains ont publiquement affiché leurs réserves face à des candidat peu sérieux. Ne parlons t pas évidemment d’Elon Musk chargé à la fois de tout et de rien au sein du cabinet et qui se considère déjà comme une sorte de coprésident en participant notamment aux discussions de Trump avec les responsables politiques étrangers !

 

Taxe carbone : le retour justifié par des raisonnements tordus

Taxe carbone :  le retour justifié par des raisonnements tordus

Par Stefan Ambec et Claude Crampes, Toulouse School of Economics s’efforcent de démontrer que la taxe carbone est aussi pertinente que les normes et les progrès technoogiques à partir d’arguments très spécieux comme la voiture polluante qui reste dans le garage ! Sans parler de l’ absence d’alternative pour nombre de zones périphériques condamnés à faire 50 kms par jour pour travailler. Le mirage du  signal-prix  a gagné nombre d’économistes trop contents de récupérer la problématique de l’environnement dans leur champ de compétence. Comment croire que le prix, donc le marché, puisse être un régulateur aussi efficace que la norme ou la technologie. par ailleurs. On fait comment pour calculer le signal prix de la voiture électrique (qui pollue , elle, pendant son processus de production notamment avec les batteries ?).  Nombre d’économiste semblent toujours intoxiqués par les vertu du prix et du marché qui ne sont pas les meilleurs outils dérégulation vis à vis de l’environnement.  ( interview la Tribune- extraits)

 

 

« Tout le monde s’accorde sur le fait que nous avons besoin de technologies plus performantes pour faire face au dérèglement climatique. Mais les avis divergent sur les moyens pour y parvenir. Imposer des standards technologiques plus contraignants présente l’avantage de la simplicité. Il s’agit par exemple de plafonner les émissions de CO2 par kilomètre pour les véhicules, par surface habitable pour les logements, par volume pour les réfrigérateurs. Ce type de réglementation envoie un message clair aux constructeurs : vous devez innover pour faire en sorte que vos produits respectent ces nouvelles exigences. Mais il faut l’accompagner de moyens de contrôle, et de pénalités en cas de non-respect. La détermination des standards ouvre aussi la porte à un intense lobbying par les industriels concernés.

La taxe carbone utilise un moyen détourné pour susciter cette innovation : le signal prix. En faisant payer les émissions de CO2, on accroit le prix des carburants ce qui pousse à l’achat de véhicules moins énergivores. On augmente le coût du chauffage au fuel et au gaz, ce qui rend l’investissement dans l’isolation ou l’achat d’une pompe à chaleur plus attractif. Accroitre le prix de l’énergie incite les ménages à en consommer moins et les entreprises à concevoir des produits pour accompagner cette transition. Nous l’avons vécu après le choc pétrolier des années soixante-dix qui a transformé le parc automobile européen vers plus de sobriété.

Standard versus taxe

Comme le standard technologique, la taxe carbone est un outil de la politique environnementale qui suscite le progrès technique, mais par d’autre leviers. L’épisode des gilets jaunes a mis en lumière les inconvénients de la taxe carbone non accompagnée de mesures sociales. Les standards ont aussi leurs défauts, dont certains peuvent être évités avec la taxe. En voici quelques-uns.

Les standards sont un outil manipulable par les groupes de pression pour favoriser leurs produits ou leurs technologies. On a bien vu en 2015 comment Volkswagen a réussi à tromper les contrôleurs sur les niveaux d’émission polluante de ses véhicules diesel. Comme les barrières métalliques empêchant le stationnement des voitures, l’absence de standard sur une technologie donnée est interprétée comme une autorisation. Dès lors, il faut les multiplier, ce qui ouvre la porte à des négociations industrie par industrie, voire entreprise par entreprise. La politique industrielle de soutien des champions nationaux et les menaces de perte d’emplois entrent alors en conflit avec l’objectif environnemental de réduction des émissions polluantes à moindre coût. De même, le standard technologique peut être détourné de sa mission initiale de protection de l’environnement pour ériger des barrières au commerce international au bénéfice de producteurs influents qui, protégés de la concurrence, peuvent imposer leurs conditions commerciales.

Le standard réglemente le produit mais ne contrôle pas son usage. Obliger un conducteur qui roule peu à payer le surcoût d’une technologie avancée en termes d’efficacité énergétique est inefficace économiquement. Avec une taxe carbone, il garderait sa vieille voiture mais réduirait ses déplacements, et l’automobiliste qui se déplace beaucoup serait incité à acheter une voiture moins consommatrice. Pour le premier, l’impact sur les émissions de CO2 serait sensiblement le même qu’avec une motorisation plus couteuse puisqu’il roule peu ; quant au second, le surcoût à l’achat serait compensé par une consommation réduite. De manière similaire, il est inefficient d’imposer l’achat d’un climatiseur sophistiqué s’il n’est utilisé que deux semaines par an. Si l’on veut en passer par des spécifications techniques, celles des climatiseurs devraient être différentes selon les régions et la durée d’utilisation ce qui est impossible à mettre en pratique.

Par ailleurs, une voiture qui reste au garage ne pollue pas, alors qu’une voiture qui consomme peu sera davantage utilisée. C’est ce que les économistes nomment l’effet rebond (ou paradoxe de Jevons) des politiques environnementales. La réduction de la pollution due au nouveau standard est moindre que celle estimée à usage donnée car l’usage augmente. L’effet rebond a été mis en évidence dans une étude sur le bonus-malus automobile pour les émissions de CO2 en France. Cette mesure a bien atteint son objectif qui était de diriger les achats vers des voitures plus sobres en énergie, mais au prix d’un accroissement du nombre de kilomètres parcourus par an. Au final, les auteurs de l’étude estiment que le bonus-malus a augmenté les émissions du secteur automobile d’environ 9%. Au contraire, taxer le carbone contenu dans le carburant impacte non seulement l’achat de voitures mais aussi leur usage en incitant les conducteurs à rouler moins même si leur voiture consomme peu.

Le standard technologique, en s’appliquant aux produits neufs, accroît la valeur des produits plus polluants sur le marché de l’occasion. C’est l’effet Gruenspecht du nom de l’économiste qui l’a popularisé. Les consommateurs qui ne veulent ou ne peuvent pas payer le surcoût d’une technologie plus avancée n’ont d’autre choix que de garder leur véhicule ou de se tourner vers le marché d’occasion. Des voitures qui devraient partir à la casse continuent à rouler. Au final, le standard encourage l’augmentation de la durée de vie des véhicules énergivores. Une étude a identifié l’effet Gruenspecht dans le cadre du CAFE (Corporate Average Fuel Economy), le standard d’efficacité énergétique des Etats-Unis. Les auteurs partent du constat que les véhicules les plus lourds et les plus puissants sont ceux qui durent plus longtemps. Suite au renforcement du CAFE, les acheteurs de SUV et de pickups reportent leurs achats ou achètent d’occasion. En conclusion, les auteurs de l’étude estiment que cet effet minore la réduction des émissions de CO2 d’environ 15%. Avec la taxe carbone, pas d’effet Gruenspecht. Les propriétaires de SUV et de pickups sont immédiatement impactés par l’augmentation du prix des carburants lorsqu’ils passent à la pompe. Ils sont incités à rouler moins et à remplacer leur véhicule par un neuf plus sobre.

Le standard technologique n’est pas plus juste que la taxe carbone. Certes, la taxe carbone touche de plein fouet les plus pauvres qui consacrent une grosse part de leur revenu à acheter l’énergie pour se chauffer ou se déplacer. Cependant, comme nous l’avions mentionné dans une tribune précédente, à la différence du standard, la taxe génère des recettes qui peuvent être utilisées pour compenser cette perte de pouvoir d’achat en ciblant les plus démunis. De son côté, le standard est loin d’être indolore. Il augmente le coût des voitures, des chaudières, des climatiseurs. Les ménages les plus pauvres auront du mal à financer ces dépenses surtout s’ils n’ont pas accès au crédit. Tout comme la taxe carbone, un standard technologique peut heurter davantage les pauvres que les riches.  L’analyse économique montre qu’un standard d’efficacité énergétique peut s’avérer plus régressif qu’une taxe carbone, c’est-à-dire creuser les inégalités. Ce résultat a été validé empiriquement pour le CAFE aux Etats-Unis.

Le mandat de la Convention citoyenne est de recommander des outils de politiques publiques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre dans un esprit de justice sociale. Une multitude d’instruments sont disponibles, combinant des interventions directes sur les quantités et l’orientation des comportements par des contrôles de prix. Certains sont déjà utilisés, d’autres sont à imaginer. La taxe carbone, avec ses qualités et ses défauts, est un de ces instruments. Elle ne fera pas tout, mais elle doit faire partie de la solution au même titre que les standards technologiques. Ne pas parler de taxer les émissions carbonées est un choix que les membres de la Commission (la concention citoyenne)  le machin de 150 personnes tirées au hasard que tout le monde a oublié!) devront assumer vis-à-vis des générations futures qui sont elles aussi concernées par la justice sociale.

Les fous de Boko Haram rejoignent les tordus de l’Etat Islamique

Les fous de  Boko Haram rejoignent les tordus de l’Etat Islamique

 

Ko Haram, la secte  a plus criminelle des groupes terroristes rejoint l’Etat islamique . des types complètement fous qui d’autres  voyous, des assassins et  des illuminés. Il ya certes quelques  intellos à la tête mais globalement c’est surtout un agglomérat hétéroclite de délinquants, criminels, marginaux, cinglés qui trouve uen légitimité à leurs pulsions et à leur violence par le biais d’uen lecture approximative ‘ (voire inexistante) du Coran. Des marginaux venus du mode entiers puisque la moite environ des  ces terroristes sosnt étrangers au territoire qu’ils occupent ou qu’ils terrorisent. Pour éradiquer ce terrorisme, il faudra évidemment uen coalition  internationale militaire à la hauteur mais sans doute aussi une armée de psychiatres.  Le groupe islamiste nigérian Boko Haram a fait allégeance au groupe terroriste Etat islamique (EI) qui contrôle de vastes territoires en Irak et en Syrie. Il est trop tôt pour savoir s’il y aura « des actions communes sur le terrain » a expliqué Philippe Hugon, chercheur à l’Iris.    »Nous annonçons notre allégeance au calife des musulmans, Ibrahim ibn Awad ibn Ibrahim al-Husseini al-Qurashi », chef de l’EI. C’est ce que déclare une voix identifiée comme étant celle du chef de Boko Haram dans un enregistrement audio diffusé sur le compte Twitter de Boko Haram. Il y avait déjà eu des signes de rapprochement entre le groupe nigérian et Daech. « Cette allégeance signifie qu’il y a une puissance anti-occidentale qui apparait avec un contrôle territorial. Ça augmente la capacité de visibilité de Boko Haram » a expliqué ce dimanche matin sur France Info Philippe Hugon, chercheur à l’Iris. « Il y a des connexions idéologiques, la volonté d’installer un islamisme radical, peut-être des liens en termes de financements et d’organisation militaires.

 




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