Archive pour le Tag 'tordu ?'

Terrorisme : encore un tordu à Cannes qui tente un meurtre

Terrorisme : encore un tordu à Cannes qui tente un meurtre


Il ne va pas manquer en France de tordus , d’abrutis et de violents pour se laisser prendre par la propagande meurtrière de l’islamisme. Potentiellement, il y a sans doute des centaines de tarés et de pauvres types qui vont essayer de se donner un rôle sociétal après avoir tout raté. Une sorte d’acte de contrition barbare qui passe par la tuerie d’un individu au hasard pour se concilier la bienveillance de Dieu. Un individu «très dangereux» a encore été interpellé par des policiers de la Brigade anticriminalité (Bac) ce mercredi 18 octobre dans la soirée, à Cannes (Alpes-Maritimes), a annoncé le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin sur le réseau social X.

L’individu a été vu en train de prier sur un tapis de prière, dans un centre automobile, sur les coups de 19 heures, a appris Le Figaro auprès d’une source policière. Le «gérant» du centre l’aperçoit et lui signale que «ce n’est pas l’endroit pour prier», nous indique-t-on. L’individu aurait alors crié «Allah Akbar», en tentant de porter plusieurs coups de couteau au gérant, avant de prendre la fuite.

L’individu a ensuite été interpellé par la Bac, quelques minutes plus tard. Il était porteur d’un couteau à la ceinture. «Merci (aux policiers): ils ont évité le pire», a écrit Gérald Darmanin sur X. L’homme a été placé en garde à vue pour «apologie du terrorisme et violences avec arme». Il est «a priori» sans domicile fixe, toujours selon Damien Savarzeix.

Covid-19 : un protocole scolaire tordu

Covid-19 : un protocole scolaire tordu

Le protocole qui doit s’appliquer à la rentrée et qui remplace celui du 22 juin est sans doute déjà obsolète avant d’être mis en application. Un protocole pour le moins tordu et contradictoire au moment ou on constate une montée importante des contamination compris chez les jeunes.

 

Le nouveau texte indique que « dans les espaces clos (salles de classe, ateliers, bibliothèques, réfectoires, cantines, internats…), la distanciation physique n’est pas obligatoire lorsqu’elle n’est pas matériellement possible ou qu’elle ne permet pas d’accueillir la totalité des élèves ». Consigne est toutefois donnée « d’organiser les espaces de manière à maintenir la plus grande distance possible entre les élèves ». Dans les espaces extérieurs, les mesures de distanciation physique n’existent plus non plus. Résumé : les mesures de distanciation deviennent facultatives. La mesure sera remplacée par le port du masque mais seulement au  collège des l’âge de 11 ans .   »dans les espaces clos et extérieurs lors de leurs déplacements ». Idem en classe, « lorsque la distanciation d’un mètre ne peut être garantie et qu’ils sont placés face à face ou côte à côte ». Le masques est « à proscrire » en maternelle et « pas recommandé » en primaire.

Pendant les récréations, l’accès aux jeux ainsi qu’aux bancs et « espaces collectifs extérieurs » sera de nouveau possible sans restriction. « La mise à disposition d’objets partagés au sein d’une même classe ou d’un même groupe constitué (ballons, jouets, livres, jeux, journaux, dépliants réutilisables, crayons…) est permise », sans condition de désinfection donc, peut-on également lire dans le texte du ministère.

Pour les récréations, les mesures complètement compréhensibles. Contrairement à ce qui avait été mis en place en juin lors de la reprise, avec notamment des heures de récréations échelonnées, « la limitation du brassage entre classes et groupes d’élèves n’est plus obligatoire », précise aussi le protocole. Cependant, il est indiqué que les établissements scolaires « organisent le déroulement de la journée et des activités pour limiter, dans la mesure du possible, les regroupements et les croisements importants ». Une vigilance particulière doit être prise pour les « arrivées et départs ».

Pour renouveler l’air, le protocole indique que les locaux doivent être aérées « toutes les trois heures » (avant l’arrivée des élèves, durant les récréations et la pause du midi, et le soir), pendant « au moins 10 à 15 minutes ». Par ailleurs, un nettoyage des sols et des tables et bureaux  doit être « réalisé au minimum une fois par jour ». Idem pour les poignées de porte par exemple.

Pour les enseignants en maternelle, le port du masque pour le personnel n’est pas obligatoire. Il l’est dans les autres niveaux (primaire, collège et lycée), sauf quand l’enseignant est « à une distance d’au moins un mètre des élèves ». Le nouveau protocole précise que lorsqu’il n’est pas utilisé, le masque doit être « soit suspendu à une accroche isolée, soit replié sans contacts extérieur/intérieur (ne pas le rouler) et stocké dans une pochette individuelle ». Des masques – deux par jour de présence – seront mis à disposition pour les professeurs.

Par contre dans les universités, « Une distanciation physique d’un mètre ou d’un siège d’écart est préconisé », précise le communiqué. Si cela n’est pas possible, le masque est alors obligatoire. De manière générale, « le port du masque dans les salles d’enseignement est fortement recommandé », est-il aussi écrit. En respectant les consignes sanitaires, les restaurants universitaires, espaces de coworking ou encore salles de sport seront de nouveau ouverts. Un ensemble de mesures particulièrement incohérentes très critiqués par les syndicats d’enseignement.

Un reconditionnement du confinement très tordu

Un reconditionnement du confinement  très tordu

 

 

Il faudra sans doute au moins 48 heures pour que les médias mesurent bien le caractère tordu des nouvelles orientations dites de déconfinement , des orientations  qui ne sont que des mesures de reconditionnement de l’ancien confinement. Pour preuve, cette idée typique d’un énarque de colorer les départements en rouge ou en vert  pour limiter la mobilité. En fait une manière de mettre les départements un peu plus sous la tutelle du préfet. Une idée complètement idiote dans la mesure où à l’intérieur même d’un département le taux d’infectés peut varier de 1 à 100 sur la même surface. En effet il est évident que la pandémie affecte surtout les territoires sur-urbanisés. À l’inverse, dans les zones rurales d’un même département le nombre d’infectés est très faible voire marginal. Il est donc idiot de vouloir déconfiner de la même manière selon qu’on habite une ville de 300 000 habitants ou  un village de 1000 habitants. Le caractère tordu peut aussi être révélé à travers les dispositions relatives au transport où on va tenter d’imposer le port de masques dont d’ailleurs nous ne disposons pas et avec une distanciation de 1 m entre les passagers. Des mesures  sans doute prises par des technocrates qui ne sont jamais montés dans le métro ou dans des bus aux heures de pointe.  Le pouvoir est tellement peu persuadé de l’efficacité de ce nouveau confinement qu’il envisage un calendrier limitant la mobilité jusqu’à l’été.

“nous ne déconfinerons pas le 11 mai, ou nous le ferons plus strictement”, a-t-il prévenu. “Si tout est prêt le 11 mai, alors commencera une phase qui durera jusqu’au 2 juin”, date à laquelle un nouvelle phase débutera “jusqu’à l’été”.

Conditionné, le déconfinement sera donc différencié selon les territoires, la circulation du virus n’étant pas uniforme dans une France divisée entre des zones qui ont été sous tension (Grand-Est, Ile-de-France) et des zones très peu affectées par l’épidémie.

Concrètement, le déconfinement sera différencié le 11 mai entre les départements classés “vert”, où il sera appliqué largement, et ceux classés “rouge”, où il prendra une forme plus stricte.

Les départements classés “rouge” seront ceux où le taux de cas nouveaux sur une période de 7 jours reste élevé, où les capacités hospitalières régionales en réanimation restent tendues ou qui ne seraient pas suffisamment prêts en matière de tests.

“C’est une ligne de crête délicate qu’il faut suivre, un peu trop d’insouciance et c’est l’épidémie qui repart, un peu trop de prudence et c’est l’ensemble du pays qui s’enfonce”, a insisté Edouard Philippe, mettant en garde contre un risque d’”écroulement” de l’activité économique et de l’emploi.

Pour éviter d’”immobiliser la France”, les attestations, que chaque Français doit être en mesure de présenter aux forces de l’ordre depuis le 17 mars ne seront donc plus obligatoires à partir du 11 mai, à l’exception toutefois des déplacements de plus de 100 km du domicile.

Brexit : un régime douanier tordu en Irlande du nord

Brexit : un régime douanier tordu en  Irlande du nord

 

En fait l’accord UE Johnson reprend 90% de l’accord Theresa May (ce qui par parenthèse va poser de sérieux problèmes lors du vote à la chambre des communes qu’il l’avait repoussé à plusieurs reprises). La seule vraie innovation, c’est le régime douanier provisoire. En vérité, un régime assez tordu puisque les marchandises destinées seulement à l’Irlande du nord  ne seront pas taxés par le Royaume-Uni. Le problème sera de savoir si ces biens resteront bien en Irlande du Nord. Pratiquement, le contrôle sera impossible. Bref c’est un peu comme si on exempter la Bretagne  de taxes française pour les importations de produits qui y demeurent. Une partie de la Grande Bretagne du Royaume uni va bénéficier du régime européen pas les autres. Justement les Ecossais et les gallois se réveillent et revendiquent le même régime que l’Irlande du nord.

Le régime douanier de l’Irlande du Nord dépendra de la destination finale des produits en provenance de Grande-Bretagne, qu’ils y aient été fabriqués ou qu’ils y transitent depuis un autre pays tiers. S’ils ont vocation à rester dans le nord de l’île, ils ne seront pas taxés. S’ils sont au contraire destinés à la République d’Irlande, au sud, ou au reste de l’UE, alors les autorités britanniques devront appliquer les droits européens. L’opération sera du ressort des douaniers britanniques, sur la base d’un protocole qui sera défini durant la période de transition par un comité conjoint entre l’UE et le Royaume-Uni.

Les discussions ont été âpres sur ce point qui a occupé les ultimes heures de la négociation : comment garantir sur un certain nombre de produits, comme ceux de première nécessité, qu’il n’y ait pas de différences entre les taux appliqués entre le nord et le sud de l’Irlande ? L’idée est notamment d’éviter un trafic de marchandises au sein de l’île jouant sur les écarts de TVA entre les deux Irlande. La solution retenue offre la possibilité au gouvernement britannique d’appliquer en Irlande du Nord les mêmes taux de TVA qu’en République d’Irlande. Les autorités britanniques seront chargées de l’application et de la collecte de cette TVA, là aussi sous l’égide du futur comité conjoint.

 

Traité transatlantique Europe États-Unis : le dernier coup tordu ?

Traité transatlantique Europe États-Unis : le dernier coup tordu ?

Alors que l’Europe est déjà dans une crise de régulation sans précédent le futur traité transatlantique risque de faire tout exploser en permettant de s’affranchir des normes européennes en matière économique, sociale, environnementale et de santé. Ce serait notamment la fin d’une agriculture déjà agonisante. Les États-Unis souhaitent accélérer la négociation pour qu’elle puisse aboutir d’ici la fin de l’année. Depuis des mois dans le plus grand secret, on négocie  entre seulement la commission européenne et les États-Unis ;  pour schématiser l’enjeu tourne autour de l’uniformisation des normes, ce qui permettra par exemple  d’autoriser le  poulet à l’eau de Javel américain. En outre et surtout on pourra donc alléger l’arsenal législatif actuel des trois quarts enfin si les États-Unis prônent le plus grand libéralisme pour accéder au marché européen par contre,  ils entendent toujours se protéger  dans un certain nombre de secteurs. Le traité en l’état va constituer une remise en cause de la souveraineté des Etats et de l’Europe dans de nombreux domaines : économiques, sociaux et environnementaux. Les  Etats ne pourront plus contester les litiges qui seront réglés par des tribunaux arbitraux  supra nationaux. La possibilité laissée à une entreprise de poursuivre un gouvernement dont les lois seraient jugées par elle trop contraignantes a suscité de nombreuses critiques en Europe. La Commission européenne, qui conduit les négociations au nom des 28 États membres de l’UE, propose de créer, à la place du système d’arbitrage privé, une cour de justice spéciale qui comprendrait des juges hautement qualifiés. Les négociateurs américains vont prendre le temps d’étudier la proposition de la Commission européenne, a-t-il précisé, laissant entendre qu’elle ne devrait pas constituer un obstacle à la volonté commune de conclure. En négociation depuis 2013, l’accord commercial États-Unis-Europe serait, s’il voit le jour, le plus vaste au monde. Mais il reste un certain nombre de différends à trancher, notamment sur le partage de données par les géants américains de l’internet. Les Européens redoutent aussi le détricotage de réglementations existantes par exemple sur les cultures OGM.  Mais comme cet accord se négocie seulement de manière assez secrète entre la commission économique et les États-Unis les conséquences néfastes pourraient bien n’être mesurées qu’après la signature.

 




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