Archive pour le Tag 'timbre'

la Poste: Le timbre rouge déjà obsolète !

la Poste: Le timbre rouge déjà obsolète

Le fameux timbre rouge qui permet l’envoi d’une lettre par Internet semble déjà condamnéepuisque il est utilisé aujourd’hui seulement 3 500 fois par jour. Il faut dire qu’il fait complètement double emploi avec l’envoi de mails classiques sans intermédiaire de la poste.

Ce service, qui coûte 1,49 euro, contre 1,43 euro pour l’ancien timbre rouge, permet d’envoyer des documents de trois feuillets (soit 4 500 signes, espaces compris) maximum sur le site laposte.fr ou dans un bureau de poste, via un automate ou avec l’aide d’un postier, qui sera imprimé à proximité du destinataire, mis sous pli et distribué le lendemain s’il a été envoyé avant 20 heures.

« Les gens aiment la lettre rouge, [mais] ils n’en écrivent plus », a réagi Philippe Wahl aux émotions suscitées par l’annonce, rappelant que le nombre de lettres prioritaires est passé de 4,25 milliards en 2008 à 380 millions en 2021, et 275 millions en 2022, sur 7 milliards de lettres acheminées au total par an aujourd’hui.

Rien d’étonnat à celà puisque les anciennes lettre au timbre rouge parvenaient en même temps ou presque que les lettres à timbre vert.

Politique- Russie: Un président timbré et une population arriérée

Politique- Russie: Un président timbré et une population arriérée

 

Dans son bunker, Poutine vit hors du temps et du monde. Sa vision est celle du Moyen Âge. Le problème, c’est que cela est largement partagé par un peuple russe complètement sous-développé du point de vue économique, culturel, sociétal et politique.
Certes il existe une catégorie sociale évoluée essentiellement dans les milieux urbains mais qui demeurent apeurée car le choix est clair : soit se taire, soit la prison et le cercueil. La Russie a pourtant fourni au monde de grands intellectuels et de grands scientifiques mais aujourd’hui  ils fuient ou se taisent.
Le sous-développement sociétal et politique d’une majorité du peuple russe tient au fait que ce pays n’a jamais connu la démocratie, la liberté d’expression et ignore les réalités mondiales. La vision globale partagée est  encore celle des tsaristes ou des communistes donc des dictateurs. Et Poutine alimente le nationalisme qui fait considérer l’Occident comme l’ennemi de la Russie.

Au-delà de la posture politique de Poutine il y a surtout aussi sa personnalité. La personnalité d’un officier de police de répression du KGB qui ne connaît et n’a connu que la terreur pour faire valoir le point de vue des autorités. En outre un personnage assez introverti qui se venge sans doute de n’être pas considéré de l’histoire comme un grand personnage de l’histoire.

Un personnage un peu timbré si l’on en juge par les cotations et la domination de son peuple, par la corruption et les détournements de fonds à son profit propre sans parler de son parler de son palais d’un cout milliard.

Son seul projet est de conserver le pouvoir mais même cet objectif est mal géré.

Poutine ne serait pas dément d’après nombre d’experts bienveillants. Le seul problème c’est qu’on reconnaît en même temps que sa seule motivation consiste à rester au pouvoir et que pour cela il est prêt à employer tous les moyens. Bref, la définition même de la folie politique ( En fait le même syndrome qu’Hitler).

Sergueï Pougatchev, ancien oligarque russe, S’explique sur BFM sur la personnalité du dictateur du Kremlin

 « Je ne pense pas que Vladimir Poutine soit forcément malade, mais il est peut-être instable psychologiquement et ça il faut le prendre en compte », juge Sergueï Pougatchev. « C’est plus choquant pour nous (les Russes résidant à l’étranger, NDLR) qui regardons cela de l’extérieur. »
Pour l’ex-oligarque russe, le but principal de Vladimir Poutine est « de rester au pouvoir », quitte à « mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour le garder ».  »Poutine vit dans un monde carrément parallèle, où il a dans un certain sens sa propre vision des choses, donc il est dans une bulle », conclut-il sur BFMTV.

Russie en guerre : Un président timbré et une population arriérée

Russie en guerre : Un président timbré et une population arriérée

 

Dans son bunker, Poutine vit hors du temps et du monde. Sa vision est celle du Moyen Âge. Le problème c’est que cela est largement partagé par un peuple russe complètement sous-développé du point de vue économique, culturel, sociétal et politique.
Certes il existe une catégorie sociale évoluée essentiellement dans les milieux urbains mais qui demeurent apeurée car le choix est clair : soit se taire soit la prison et le cercueil. La Russie a pourtant fourni au monde de grands intellectuels et de grands scientifiques mais aujourd’hui  ils fuient ou se taisent.
Le sous-développement sociétal et politique d’une majorité du peuple russe tient au fait que ce pays n’a jamais connu la démocratie, la liberté d’expression et ignore les réalités mondiales. La vision globale partagée est  encore celle des tsaristes ou des communistes donc des dictateurs. Et Poutine alimente le nationalisme qui fait considérer l’Occident comme l’ennemi de la Russie.

Au-delà de la posture politique de Poutine il y a surtout aussi sa personnalité. La personnalité d’un officier de police de répression du KGB qui ne connaît et n’a connu que la terreur pour faire valoir le point de vue des autorités. En outre un personnage assez introverti qui se venge sans doute de n’être pas considéré de l’histoire comme un grand personnage de l’histoire.

Un personnage un peu timbré si l’on en juge par les cotations et la domination de son peuple, par la corruption et les détournements de fonds à son profit propre sans parler de son parler des démentiels d’un cout milliard. Son seul projet est de conserver le pouvoir mais même cet objectif est mal géré.

Poutine ne serait pas dément d’après nombre d’experts bienveillants. Le seul problème c’est qu’on reconnaît en même temps que sa seule motivation consiste à rester au pouvoir et que pour cela il est prêt à employer tous les moyens. Bref, la définition même de la folie politique ( En fait le même syndrome qu’Hitler).

Sergueï Pougatchev, ancien oligarque russe, S’explique sur BFM sur la personnalité du dictateur du Kremlin

 « Je ne pense pas que Vladimir Poutine soit forcément malade, mais il est peut-être instable psychologiquement et ça il faut le prendre en compte », juge Sergueï Pougatchev. « C’est plus choquant pour nous (les Russes résidant à l’étranger, NDLR) qui regardons cela de l’extérieur. »
Pour l’ex-oligarque russe, le but principal de Vladimir Poutine est « de rester au pouvoir », quitte à « mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour le garder ».  »Poutine vit dans un monde carrément parallèle, où il a dans un certain sens sa propre vision des choses, donc il est dans une bulle », conclut-il sur BFMTV.

Russie: Un président timbré et une population arriérée

Russie:Un président timbré et une population arriérée

 

Dans son bunker, Poutine vit hors du temps et du monde. Sa vision est celle du Moyen Âge. Le problème c’est que cela est largement partagé par un peuple russe complètement sous-développé du point de vue économique, culturel, sociétal et politique.
Certes il existe une catégorie sociale évoluée essentiellement dans les milieux urbains mais qui demeurent apeurée car le choix est clair : soit se taire soit la prison et le cercueil. La Russie a pourtant fourni au monde de grands intellectuels et de grands scientifiques mais aujourd’hui  ils fuient ou se taisent.
Le sous-développement sociétal et politique d’une majorité du peuple russe tient au fait que ce pays n’a jamais connu la démocratie, la liberté d’expression et ignore les réalités mondiales. La vision globale partagée est  encore celle des tsaristes ou des communistes donc des dictateurs. Et Poutine alimente le nationalisme qui fait considérer l’Occident comme l’ennemi de la Russie.

Au-delà de la posture politique de Poutine il y a surtout aussi sa personnalité. La personnalité d’un officier de police de répression du KGB qui ne connaît et n’a connu que la terreur pour faire valoir le point de vue des autorités. En outre un personnage assez introverti qui se venge sans doute de n’être pas considéré de l’histoire comme un grand personnage de l’histoire.

Un personnage un peu timbré si l’on en juge par les cotations et la domination de son peuple, par la corruption et les détournements de fonds à son profit propre sans parler de son parler des démentiels d’un cout milliard. Son seul projet est de conserver le pouvoir mais même cet objectif est mal géré.

Poutine ne serait pas dément d’après nombre d’experts bienveillants. Le seul problème c’est qu’on reconnaît en même temps que sa seule motivation consiste à rester au pouvoir et que pour cela il est prêt à employer tous les moyens. Bref, la définition même de la folie politique ( En fait le même syndrome qu’Hitler).

Sergueï Pougatchev, ancien oligarque russe, S’explique sur BFM sur la personnalité du dictateur du Kremlin

 « Je ne pense pas que Vladimir Poutine soit forcément malade, mais il est peut-être instable psychologiquement et ça il faut le prendre en compte », juge Sergueï Pougatchev. « C’est plus choquant pour nous (les Russes résidant à l’étranger, NDLR) qui regardons cela de l’extérieur. »
Pour l’ex-oligarque russe, le but principal de Vladimir Poutine est « de rester au pouvoir », quitte à « mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour le garder ».  »Poutine vit dans un monde carrément parallèle, où il a dans un certain sens sa propre vision des choses, donc il est dans une bulle », conclut-il sur BFMTV.

Poutine, le timbré !

Poutine, le  timbré ?

 

Dans son bunker, Poutine vit hors du temps et du monde. Sa vision est celle du Moyen Âge. Le problème c’est que cela est largement partagé par un peuple russe complètement sous-développé du point de vue économique, culturel, sociétal et politique.
Certes il existe une catégorie sociale évoluée essentiellement dans les milieux urbains mais qui demeurent apeurée car le choix est clair : soit se taire soit la prison et le cercueil.
Le sous-développement sociétal et politique d’une majorité du peuple russe tient aux faites que ce pays n’a jamais connu la démocratie, la liberté d’expression et ignore les réalités mondiales. La vision globale partagée est  encore celle des tsaristes ou des communistes donc des dictateurs. Et Poutine alimente le nationalisme qui fait considérer l’Occident comme l’ennemi de la Russie.

Au-delà de la posture politique de Poutine il y a surtout aussi sa personnalité. La personnalité d’un officier de police de répression du KGB qui ne connaît et n’a connu que la terreur pour faire valoir le point de vue des autorités. En outre un personnage assez introverti qui se venge sans doute de n’être pas considéré de l’histoire comme un grand personnage de l’histoire.

Un personnage un peu timbré si l’on en juge par les cotations et la domination de son peuple, par la corruption et les détournements de fonds à son profit propre sans parler de son parler des démentiels d’un cout milliard. Son seul projet est de conserver le pouvoir mais même cet objectif est mal géré.

Poutine ne serait pas dément d’après nombre d’experts bienveillants. Le seul problème c’est qu’on reconnaît en même temps que sa seule motivation consiste à rester au pouvoir et que pour cela il est prêt à employer tous les moyens. Bref, la définition même de la folie politique ( En fait le même syndrome qu’Hitler).

Sergueï Pougatchev, ancien oligarque russe, S’explique sur BFM sur la personnalité du dictateur du Kremlin

 « Je ne pense pas que Vladimir Poutine soit forcément malade, mais il est peut-être instable psychologiquement et ça il faut le prendre en compte », juge Sergueï Pougatchev. « C’est plus choquant pour nous (les Russes résidant à l’étranger, NDLR) qui regardons cela de l’extérieur. »
Pour l’ex-oligarque russe, le but principal de Vladimir Poutine est « de rester au pouvoir », quitte à « mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour le garder ».  »Poutine vit dans un monde carrément parallèle, où il a dans un certain sens sa propre vision des choses, donc il est dans une bulle », conclut-il sur BFMTV.

Courrier : hausse du timbre rouge de 11,7 % !

Courrier : hausse du timbre rouge de 11,7 % !

 

Alors que salaires et pensions sont bloquées déjà depuis des années, les prix notamment des services ne cessent, eux, d’augmenter ; notamment les services publics;  ainsi la Poste  va-t-elle faire augmenter le prix du timbre rouge de 11,7 %. La Poste argumente en considérant que l’activité du courrier est déficitaire mais elle oublie de préciser que les autres activités sont-elles bénéficiaires comme l’activité bancaire par exemple ou encore l’assurance.

Les tarifs des colis postaux classiques envoyés en France (Colissimo) augmenteront parallèlement de 1,6% au 1er janvier, mais le paquet de moins de 250 grammes restera au même prix de 4,95 euros. Pour les entreprises, les tarifs du courrier industriel de gestion augmenteront de 4,0% et ceux du marketing direct de 1,7%, a précisé La Poste. Les ménages français devraient dépenser en moyenne environ 38 euros en produits postaux cette année comme l’an prochain, selon le groupe public.

La gamme des services postaux devrait être revue d’ici la fin 2022, tandis que le gouvernement a promis une aide d’un demi-milliard d’euros par an à partir de l’an prochain pour combler le déficit du service postal universel, creusé par la baisse des volumes malgré la forte hausse des tarifs de ces dernières années.

Même en 2020, l’intégration de CNP Assurances a permis à La Poste d’éviter une perte historique de 1,8 milliard d’euros en 2020, l’excellente forme des envois de colis étant loin de compenser le plongeon des volumes de courrier transportés, accéléré par la crise sanitaire. La pandémie de covid-19 eu un impact négatif de 2,3 milliards, a précisé le groupe jeudi. Mais cela a été compensé par la comptabilisation des titres CNP Assurances, dont le groupe a pris le contrôle le 4 mars -La Banque Postale, filiale à 100% de La Poste, en détient désormais 62,1% du capital- et qui a apporté 3,6 milliards au résultat net. La Poste affiche finalement un bénéfice net de 2,1 milliards d’euros sur l’année, contre 822 millions en 2019.

« Les résultats de l’année 2020 sont difficiles », a sobrement commenté le PDG Philippe Wahl lors d’une téléconférence de presse. Le chiffre d’affaires du groupe -désormais contrôlé par la Caisse des dépôts- est en progression de 20% à 31,2 milliards d’euros, en grande partie grâce à des acquisitions (l’intégration de CNP Assurances et du spécialiste italien du colis express BRT, notamment). L’activité du courrier traditionnel a particulièrement pâti de la crise sanitaire, avec une baisse de chiffre d’affaires de 13% et des volumes en baisse de 18% sur un an.

« Au cours de l’année 2020, nous aurons perdu 1,6 milliard (…) de plis, c’est-à-dire presque trois années de baisse des volumes, ça a bien sûr un impact absolument considérable sur la tenue de l’économie du groupe La Poste », a relevé Philippe Wahl. La hausse de 29% des volumes du colis classique (Colissimo), surtout à partir d’avril, n’a pas suffi à amortir la baisse du chiffre d’affaires de la branche Services-Courrier-Colis, de 1,8% à 12,2 milliards d’euros. Sa perte d’exploitation dépasse le milliard d’euros.

GeoPost (colis express, dont Chronopost en France) s’en sort nettement mieux grâce à l’essor du commerce en ligne. Son chiffre d’affaires a bondi de 42% à 11 milliards d’euros. La pandémie a de fait accéléré la diversification du groupe public voulue par Philippe Wahl : son objectif était de faire passer l’an dernier la part du courrier traditionnel dans le chiffre d’affaires « en dessous de 20% » (contre encore 25,6% en 2019). Elle est tombée à 18,7%. Il s’agit pour lui de trouver des activités -et les moyens suffisants- pour maintenir une présence sur le territoire et de continuer à assurer des tournées de facteurs six jours sur sept.

Le timbre supérieur à 1 euro et de moins en moins de vitesse

Le timbre supérieur à 1 euro et de moins en moins de vitesse

Augmentation de  10 à 11 % au 1er janvier mais les délais d’acheminement n’ont jamais été aussi longs. Une lettre expédiée d’une localité à une autre distante de moins de 10 km peut mettre trois à quatre jours. Une vitesse inversement proportionnelle au prix de la prestation

Le prix du timbre vert – pour un pli distribué en 48 heures en France métropolitaine – pour les particuliers passera de 97 centimes à 1,08 euro (+11,3%) tandis que celui du timbre rouge – pour une lettre prioritaire théoriquement distribuée le lendemain -grimpera de 1,16 à 1,28 euro (+10,3%).

La Poste parle d’ »avantage tarifaire » pour évoquer l’écart de prix entre les timbres vert et rouge, qui va passer de 19 à 20 centimes. Et ceux qui les achèteront en ligne auront droit à une ristourne de 3%.

Quant à l’ »Ecopli » – formule la moins chère pour un envoi en quatre jours en moyenne, avec un timbre gris -, il va augmenter de 95 centimes à 1,06 euro (+11,6%).

L’autocollant de « suivi » qui permet de disposer d’informations sur l’acheminement et la distribution des envois, prioritaires ou pas, passera de 45 à 48 centimes.

Les tarifs des colis postaux classiques envoyés en France (Colissimo) augmenteront parallèlement de 1,6% au 1er janvier, mais le paquet de moins de 250 grammes restera au même prix.

Pour les entreprises, les tarifs du courrier industriel de gestion augmenteront de 3,9% et ceux du marketing direct de 0,7%, a précisé La Poste.

Le prix du timbre : plus 10 % en 2019

Le prix du timbre : plus 10 %  en 2019

 

L’affaire pourrait paraître anecdotique mais cette augmentation de service qui s’ajoute à celle d’autres services ampute de plus en plus le pouvoir d’achat des ménages qui a diminué de 0,6 %. Une amputation qui a affaibli la consommation des ménages et réduit de manière substantielle la croissance. Officiellement l’augmentation des prix ne dépasse pas 2 % pour l’année 1018. Le problème c’est que la structure de consommation des ménages ne cesse de se déformer. Les dépenses ajustables se réduisent de plus en plus tandis que les dépenses contraintes s’envolent (services, assurances, carburant, gaz, chauffage etc.). les tarifs du courrier vont en effet augmenter de 4,7% en moyenne en 2019, a annoncé La Poste, dans un communiqué transmis au Figaro ce vendredi. Dans le détail, le prix des timbres ordinaires (le vert) va s’accroître de huit centimes (+10%), pour se porter à 88 centimes. Ceux qui préfèrent envoyer leur courrier en lettre prioritaire (le timbre rouge) vont devoir débourser 1,05 euro l’an prochain, contre 95 centimes cette année. Le tarif du sticker de suivi restera, lui, inchangé à 40 centimes.

 

L’augmentation pour les colis se révèle plus modérée. Les tarifs pour les envois domestiques des particuliers augmenteront de 1,4%, identiques à 2018. «Pour les entreprises, les tarifs du courrier industriel de gestion évolueront de 2,5% et ceux du marketing direct de 1,5% afin d’encourager l’utilisation du Média courrier», complète l’entreprise. «Le tarif grand public du Colissimo France métropolitaine de moins de 250g restera au même prix qu’en 2018, soit à 4,95€.» La Poste se veut rassurante sur l’impact sur le pouvoir d’achat des ménages. «Le budget des ménages en produits postaux représente environ 0,1 % de leur budget total, soit une dépense de l’ordre de 44€ par an en moyenne», explique-t-elle. «L’impact de la hausse sera donc limité à moins de 3€ par an et par ménage». La poste oublie évidemment  évidemment que cette  progression des prix affecte  la quasi-totalité des services. Or les dépenses dans l’ajustable représentent près de trois quarts des dépenses des ménages.

 

Poste: hausse de 7% du prix du timbre

Poste: hausse de 7%  du prix du timbre

Electricité, gaz, impôts, rentrées des classe  etc., maintenant le prix du timbre  en hausse notable et pourtant l’inflation officielle serait historiquement faible (0.5% environ en 2014). Sans doute le non prise en compte de la modification structurelle de la consommation des ménages de plus en plus affectés par  les dépenses contraintes.  Le prix du timbre, lui,  va connaître la plus forte hausse de son histoire. Nicolas Routier, directeur général de la branche Services-Courrier-Colis de La Poste, a ainsi annoncé à l’AFP, ce mercredi 1er octobre, que « la lettre prioritaire à timbre rouge augmentera au 1er janvier de 0,66 à 0,76 euro, et  la lettre à timbre vert de 0,61 à 0,68 euro ». En moyenne, l’augmentation sera ainsi de 7% au 1er janvier prochain.  Cette hausse à l’ampleur inédite était attendue après le feu vert délivré le 22 juillet par l’Autorité des télécoms, l’Arcep, à La Poste.  Cette décision l’autorisait à augmenter ses tarifs de 5,2% en moyenne par an pendant quatre ans, en prenant en compte un taux moyen d’inflation d’1,7% sur la période.  Compte tenu des difficultés de l’entreprise, l’Arcep lui avait également permis d’utiliser dès le 1er janvier 2015 jusqu’à 50% de l’enveloppe globale prévue sur l’ensemble des quatre ans.   »Nous avons utilisé environ 40% du panier tarifaire sur les quatre ans, en conformité avec la décision de l’Arcep, ce qui veut dire aussi que cette hausse n’est pas destinée à être reproduite dans son ampleur », a souligné Nicolas Routier.   »On a voulu faire un ajustement important cette année parce qu’il y avait une situation de nécessité de rétablir notre modèle économique et de pouvoir continuer à investir », a-t-il admis.  Les tarifs du courrier avaient augmenté en moyenne de 2,8% au 1er janvier 2013 et de 3% au 1er janvier 2014.  Pour Nicolas Routier, cette hausse est nécessaire car elle s’inscrit dans « une stratégie de maintien d’un service universel très étendu et d’un haut niveau de qualité en conformité avec notre plan pour l’horizon 2020″. Ben voyons !

 

Poste : hausse importante du prix du timbre

Poste : hausse importante du prix du timbre

 

La Poste prévoit de fortes augmentations des tarifs d’acheminement du courrier d’ici 2018 sur fond de sévère diminution des lettres transportées au profit des e-mails, assure jeudi le Parisien citant un document interne de l’entreprise. Selon ce « projet stratégique 2013-2018″, les hausses prévues dépasseraient l’inflation de 1% en 2014 et 2015 et de 3% en 2016, 2017 et 2018.  Ces projections doivent cependant être avalisées par l’Autorité de régulations des communications électroniques et des postes (Arcep). Pour la période 2013-2015, l’Arcep a préconisé que l’évolution du prix moyen des tarifs postaux soit limitée à une augmentation de 1% en sus de l’inflation, correspondant donc au document cité. Le prix des timbres les plus utilisés – soit la lettre prioritaire et la Lettre verte – est passé respectivement en janvier 2013 de 0,60 euro à 0,63 euro, et de 0,57 à 0,58 euro. Selon la Poste, le nombre de lettres transportées en France devraient baisser de 6% par an d’ici 2018.

 




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