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Désinformation : TikTok, le Réseau des jeunes naïfs

Désinformation : TikTok, le Réseau des jeunes naïfs

Le régulateur français rappelle la nécessité d’une modération des réseaux, cependant ilobserve une amélioration de la quantité d’informations déclarées » par les plateformes sur la lutte contre les fausses informations.Un problème particulier se pose pour le réseau chinois TikTok.

Le réseau chinois progresse de manière exponentielle surtout chez les jeunes qui sans doute sous-estiment l’enjeu politique pour la Chine d’une désinformation. Au-delà de l’aspect commercial, l’objectif de la Chine est en effet de peser sur la formation de l’opinion publique occidentale. Pour cela, le réseau multiplie les fake-news dans tous les domaines.

L’Autorité publique française de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) , lors d’un point presse a rappelé les réseaux sociaux à leurs obligations . Même s’il est soumis pour la première année « à ce régime », le réseau social chinois a « pris une place incroyable à une vitesse fulgurante », notamment auprès des jeunes, a-t-il souligné. D’où un « décalage très clair » entre son audience (plus de 9 millions de visiteurs uniques par jour en septembre en France, selon Médiamétrie) et sa déclaration à l’Arcom « particulièrement imprécise ».

TikTok omet notamment « plusieurs enjeux centraux (étapes de l’instruction d’un signalement, fonctionnement des outils de modération, pratiques de manipulation identifiées sur le service, etc.) » et ne fournit pas d’éléments chiffrés relatifs à la France. L’Arcom souligne en outre la « mise en œuvre sélective » par le réseau social de sa politique d’étiquetage des « médias contrôlés par un Etat », le compte de China Global Television Network Europe n’étant pas identifié comme tel.

Les jeunes sont particulièrement sensibles aux nouveautés dans les réseaux sociaux et le réseau chinois est actuellement particulièrement à la mode. Or aucun réseau social, aucun site n’est réellement neutre et le concept d’indépendance est évidemment relatif voire complètement falsifié quand il s’agit notamment d’un réseau chinois.

Snapchat, TikTok, Twitter, YouTube: une fabrique de jeunes idiots dépendants ?

Snapchat, TikTok, Twitter, YouTube: une fabrique de jeunes idiots dépendants  ?

 

Malgré la maîtrise des outils numériques, les jeunes ne sont pas forcément armés pour faire face au flot d’information déversé quotidiennement sur les réseaux sociaux, et peuvent avoir une vision limitée de l’actualité puisque l’information reçue dépend directement de ses abonnements et des partages de ses amis. Il y a là le risque de s’enfermer dans des bulles de filtres estime Elodie Gentina, Associate professor, marketing, IÉSEG School of Management. L’experte note que les jeunes sont de plus en plus dépendants d’influenceurs journalistes officiels ou non qui réduisent les problématiques jusqu’à la caricature.

Les 18-25 ans, nés avec le numérique, ont recours à des outils différents pour s’informer. Ils privilégient Internet (66 %), via leur smartphone, puis la télévision (26 %). 

 

Nés avec le digital, les 18-25 ans sont plus équipés, plus connectés que les générations précédentes. Ils n’ont pas recours aux mêmes outils pour s’informer que les générations précédentes. Alors que les plus de 35 ans se tournent majoritairement vers la télévision (53%), Internet (23%) et enfin la radio (17%) quand ils veulent se tenir au courant de l’actualité, la tendance est inversée chez les moins de 35 ans. Ces derniers privilégient Internet (66%), via leur smartphone, puis la télévision (26%). Chez les moins de 25 ans, l’usage d’internet pour s’informer est encore plus marqué, atteignant 75% d’entre eux.

Bien que la télévision soit le premier moyen d’information (46% sont d’abord informés par ce moyen), seulement 21% des moins de 25 ans regardent le journal télévisé. D’après le 34e baromètre Kantar Public, les trois quarts des 18-25 ans s’informent d’abord sur Internet, et en particulier sur leurs smartphones, pour suivre l’actualité en temps réel. Ils peuvent accéder à des contenus personnalisés, commenter, évaluer, réagir et partager l’information rapidement et facilement.

Dès lors, les médias transitionnels n’ont plus que le choix d’aller toucher le jeune public là où il se trouve, en lui proposant une offre éditoriale adaptée à ses usages. C’est ce que certains journaux ont compris en proposant du contenu en ligne quotidiennement sur les réseaux sociaux pour toucher les jeunes lecteurs. Par exemple, Le Monde a investi les formats courts sur Snapchat et Instagram. En 2020, le journal a même sauté le pas vers TikTok, en diffusant du contenu au moment du mouvement #BlackLivesMatter. Quant à Libération, sa version numérique, se classant parmi les sites d’information mobiles les plus visités.

 

Le web (et plus particulièrement les réseaux sociaux) est devenu la porte d’accès à l’acquisition des connaissances chez les jeunes, modifiant ainsi leurs pratiques en matière de recherche et de consommation de l’information. Il est bien loin, le temps du rendez-vous familial devant le journal télévisé du 20h, ou celui de l’écoute des infos à la radio le matin. C’est souvent seuls, pendant les trajets, en attendant un rendez-vous, durant différentes pauses de la journée, que les jeunes suivant l’actualité via les réseaux Facebook, Instagram, Snapchat, Twitter… Selon les résultats du Baromètre Kantar 2021, 46% des jeunes s’informent via les réseaux sociaux numériques. Plus l’information est proche d’eux, plus les jeunes s’y intéressent.

Ils privilégient le contenu vidéo, plutôt que le contenu écrit, et recherchent un accès rapide, instantané et quotidien de l’actualité, en recourant à la multitude des supports numériques (tablettes numériques, smartphones…) présents dans leur quotidien. D’après l’étude Adweek, 78% des jeunes de moins de 25 ans visionnent des contenus vidéos chaque jour sur YouTube.

 

De nouveaux médias pure players comme Brut, Loopsider, Konbini ou encore Neo ont compris que les 18-25, peu intéressés par l’actualité politique et par les « hard news », recherchent des informations insolites et divertissantes. Ils ont su tirer leur succès des réseaux

Ces formats sont totalement en phase avec les attentes des 18-25 ans, qui privilégient la vidéo courte (1 à 5 minutes), commentée, au point qu’Emmanuel Macron avait consacré lui-même une interview exclusive à Brut en décembre dernier. Les vidéos virales de Brut ont généré 20 milliards de visionnages en 2020, au point qu’elles devanceraient la BBC avec 39 millions de spectateurs uniques par mois en Europe. Konbini compterait plus de 10 millions de visiteurs uniques tous les mois et Loopsider, plus récent, aurait 150 millions de vidéos vues par mois.

Bien que les jeunes soient séduits par tous ces nouveaux médias, centrés sur les vidéos, 70% d’entre eux continueraient de consulter au moins une page de média traditionnel sur les réseaux sociaux.

Les jeunes se sentent éloignés des sujets traités par les médias et de la hiérarchie des informations qui y est pratiquée. Les jeunes voient le monde en horizontalité, en réseau, et la parole du journaliste devient pour les jeunes aussi valable que celle d’un influenceur. Dès lors, on peut se poser la question de savoir si les influenceurs d’aujourd’hui sont les journalistes de demain, alors que des jeunes montent leur propre média en misant sur les réseaux sociaux. Par exemple, Hugo décrypte, surnommé le « petit prince de l’info », mise sur YouTube et Instagram pour convertir les jeunes à l’actualité.

D’autres journalistes ont aussi basculé sur les réseaux sociaux, comme Samuel Etienne qui animait jusqu’en avril 2021  »la Matinée Est Tienne » sur Twitch, afin d’échanger avec les jeunes sur l’actualité via la plate-forme de streaming dont il a su s’approprier les codes.

Malgré la maîtrise des outils numériques, les jeunes ne sont pas forcément armés pour faire face au flot d’information déversé quotidiennement sur les réseaux sociaux, et peuvent avoir une vision limitée de l’actualité puisque l’information reçue dépend directement de ses abonnements et des partages de ses amis. Il y a là le risque de s’enfermer dans des bulles de filtres.

Les parents et les enseignants ont un rôle éducatif à jouer pour aider leurs enfants à élargir leurs horizons, à prendre du recul sur le contenu de l’information reçue qui peut être ludique, sans réelle portée informative et bien sûr à situer les sources et développer des  »gestes barrières » pour repérer les fake news.

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

COP26 : un retard pour cacher l’échec

La conférence sur le climat de Glasgow joue les prolongations. L’objectif est maintenant de déboucher sur un texte de compromis suffisamment vague pour cacher les divergences et les chèques global de la rencontre notamment surl’objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris de limiter le réchauffement à 1,5°C par rapport à l’ère préindustrielle.

 

Il y a aussi de nombreuses oppositions concernant la contribution mondiale de l’ordre de 100 milliards à attribuer aux pays en développement afin qu’ils puissent lutter également contre le changement climatique. Au-delà de la question symbolique des 100 milliards et de la «confiance brisée», les pays en développement ont mis sur la table une proposition pour créer un mécanisme spécifique de prise en compte des «pertes et préjudices», c’est-à-dire les dommages déjà causés par les impacts ravageurs des tempêtes, sécheresses et canicules qui se multiplient. En vain pour l’instant, en raison de l’opposition des pays riches, selon plusieurs observateurs. Un chiffrage de ses impacts–sans doute à multiplier par 10 la contribution mondiale au pays en développement.

 

Certes cette contribution mondiale serait nécessaire mais des divergences apparaissent sur son montant mais aussi sur son utilisation. Nombre de pays en développement à la démocratie douteuse pourrait en effet détourner au profit des dirigeants une manne destinée à l’adaptation à la nouvelle donne climatique.

 

Finalement on cherche le minima communs dans la déclaration finale. Pour tenter de limiter le réchauffement, le texte provisoire de la présidence britannique appelle les États membres à relever leurs engagements de réduction d’émissions plus régulièrement que prévu dans l’accord de Paris, et ce dès 2022. Même si la possibilité d’aménagements pour «circonstances nationales particulières» a été ajoutée par rapport à la première version, provoquant des critiques des ONG sur la réelle ambition des pays à limiter le réchauffement. Malgré les nouveaux engagements à l’échéance 2030 annoncés juste avant et depuis le début de la COP, le monde se dirige toujours vers un réchauffement «catastrophique» de 2,7°C, selon l’Onu. Alors qu’un réchauffement de 1,1°C environ provoque déjà aujourd’hui une multiplication des catastrophes.

Autre question sensible au cœur des négociations, les énergies fossiles, principales responsables du réchauffement de la planète. Alors que l’accord de Paris ne les mentionnait pas, le dernier projet de déclaration prévoit l’inclusion – adoucie par rapport à la première version – de la sortie de leur financement.

TikTok : nouveau rebondissement

TikTok : nouveau rebondissement

 

Un nouveau rebondissement dans l’affaire TikTok  avec évidemment une protestation des Chinois contre l’éviction des actuels propriétaires. Observons cependant qu’en Chine,  Facebook, Instagram et autres grands du numérique sont complètement interdits en Chine. Le président américain n’est pas non plus satisfait de la solution qui consisterait à ne laisser au investisseurs américains qu’une part minoritaire dans le capital détenu par les Chinois.

Le président américain veut que les sociétés américaines contrôlent totalement TiK TOK. Un enjeu politique pour le contrôle des données dont l’utilisation peut influencer les comportements. Mais aussi surtout un énorme enjeu économique compte tenu du rythme de développement de TiK TOK qui va par ailleurs bientôt entrer en bourse aux États-Unis et dont la valorisation serait par exemple supérieure à celle de Total. Trump récuse donc l’accord qui se dessinait :   ByteDance, la maison mère chinoise de TikTok, laissait entrer au capital d’une nouvelle entité chargée des activités de l’application aux États-Unis les groupes américains Oracle (à hauteur de 12,5%) et Walmart (7,5%). Lundi matin, ByteDance faisait savoir qu’après une pré-introduction en Bourse, elle garderait à 80% du contrôle de la nouvelle entité. Elle précisait que l’accord ne prévoyait aucun transfert d’algorithmes ou de technologie, qu’Oracle aurait accès au code source de l’application aux États-Unis et que le CEO de Walmart siégerait au conseil d’administration aux côtés du fondateur et des actuels dirigeants de ByteDance.

Mais Donald Trump veut plus, lui dont l’objectif initial était de faire racheter purement et simplement TikTok par des Américains. «Oracle et Walmart vont l’acheter, ils en auront un contrôle total» a affirmé le président américain dimanche soir sur Fox News. Et si ByteDance garde 80% de l’actionnariat ? «S’ils le font, nous ne conclurons tout simplement pas l’affaire».

De son côté, le rédacteur en chef du média chinois Global Times affirme que le gouvernement chinois n’acceptera pas non plus l’accord entre ByteDance, Oracle et Walmart dans sa forme actuelle.

 

Trump OK pour la reprise de TikTok par Oracle

Trump OK pour la reprise de TikTok par Oracle

Le président américain a déclaré aux journalistes accrédités à la Maison Blanche qu’il avait donné sa bénédiction à l’accord entre TikTok, Oracle et Walmart, qui créerait une nouvelle compagnie appelée TikTok Global.

Oracle a annoncé prendre une participation de 12,5% dans TikTok Global.

Oracle et Walmart pourraient détenir à terme une participation de 20% dans la société, selon une source.

TikTok s’est dit “heureux que la proposition de TikTok, Oracle et Walmart résolve les inquiétudes de l’administration américaine liées à la sécurité et règle les questions relatives à l’avenir de TikTok aux États-Unis”.

Le propriétaire de TikTok, la société chinoise ByteDance, souhaite que l’application soit valorisée 60 milliards de dollars dans le cadre de l’accord avec Oracle et Walmart, selon l’agence Bloomberg.

A ce prix, les deux entreprises américaines devraient débourser 12 milliards de dollars pour prendre une participation de 20% dans TikTok Global.

Donald Trump a affirmé que la nouvelle société créerait 25.000 emplois aux États-Unis. “J’ai donné ma bénédiction à l’accord”, a-t-il déclaré.

La Chine doit encore donner son feu vert. En attendant elle a pris des sanctions contre les États-Unis alors que les applications américaines comme Facebook et Twitter sont complètement interdites en Chine

TikTok et WeChat : des représailles des chinois !!!

TikTok et WeChat : des représailles des chinois !!!

Devant la suppression de l’exploitation des applications chinoises TikTok et WeChat au États-Unis, la Chine promet de répondre par des sanctions économiques. De quoi évidemment s’offusquer pour le moins dans la mesure où des applications américaines comme Facebook, Twitter et autres sont complètement interdites en Chine.. L’hypocrisie et le culot de la Chine constitue de véritables provocations.

Le ministère chinois du Commerce avait qualifié la décision américaine d’«intimidation» et prévenu que «si les Etats-Unis persistent dans leurs actions unilatérales, la Chine prendra les mesures nécessaires pour protéger de façon résolue les droits et les intérêts des entreprises chinoises».

Pour le département américain du Commerce, «le Parti communiste chinois a démontré qu’il avait les moyens et l’intention d’utiliser ces applications pour menacer la sécurité nationale, la politique étrangère et l’économie des Etats-Unis». Pour l’instant on attend encore une position de la France et de l’union européenne sur ce sujet.

TikTok et WeChat interdits aux États-Unis

TikTok et WeChat interdits aux États-Unis

TikTok et la messagerie WeChat interdit dès dimanche aux États-Unis. Une décision qui a surpris puisque des négociations étaient en cours pour une reprise par des sociétés purement américaines notamment Oracle.

Le département du Commerce américain justifie  cette suppression des menaces à la « sécurité nationale »

Washington laisse cependant une porte ouverte à TikTok, application très populaire auprès des jeunes permettant de produire de courtes vidéos, avant de lui interdire complètement d’opérer sur son sol.

« Le président laisse jusqu’au 12 novembre pour résoudre les problèmes de sécurité nationale posés par TikTok. Les interdictions pourraient être levées le cas échéant », a en effet indiqué le département du Commerce dans un communiqué.

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« Le Parti communiste chinois a démontré qu’il avait les moyens et l’intention d’utiliser ces applications pour menacer la sécurité nationale, la politique étrangère et l’économie des États-Unis », explique le ministère américain dans un communiqué.

Les niaiseries de Macon sur TikTok,

Les niaiseries de Macon sur TikTok,

Tik Tok, c’est le dernier réseau social à la mode surtout pour les plus jeunes. Et Macron en profit  pour lancer un message d’une niaiserie confondante sur ce réseau : : « Si vous venez d’avoir votre bac, ce message est pour vous. Bravo, félicitations ». Puis il lance : « Votre génération a devant elle un monde à inventer. Plus fort, plus solidaire, plus écologique. Je ferai tout pour que le gouvernement travaille pour que ce monde soit meilleur. Mais ce n’est pas moi qui déciderai de votre avenir, ce sera vous. Alors aujourd’hui, profitez, fêtez le baccalauréat et après, bon courage », a-t-il conclu en faisant un clin d’œil.

Une curieuse conception du rôle d’un président de la république qui confond sans doute message politique et message publicitaire pour vendre du soda.

TikTok interdit aux États-Unis ?

TikTok interdit aux États-Unis ?

 

Conséquence peut-être de la mainmise de la dictature chinoise sur Hong Kong, le conflit culturel entre la Chine et les États-Unis se renforce. Ainsi les États-Unis envisagent de supprimer notamment le très célèbre réseau social TikTok, chouchou des adolescents du monde entier, pourraient-ils être interdits aux États-Unis? Ce scénario n’est pas écarté par Mike Pompeo, secrétaire d’État américain. Interrogé lundi soir sur Fox News, le chef de la diplomatie du gouvernement Trump a indiqué «prendre le problème très au sérieux»«Je ne voudrais pas m’avancer par rapport au président Trump, mais c’est un dossier que nous sommes en train d’examiner», avance-t-il. L’Administration américaine, rappelle Mike Pompeo, a déjà pris des sanctions contre d’autres géants chinois comme Huawei ou ZTE, soupçonnés d’espionnage au profit de Pékin. Elle pourrait tout aussi bien rajouter ce réseau social à sa liste, et ce alors que la guerre commerciale entre les deux pays bat son plein. «Utilisez TikTok seulement si vous souhaitez que vos données personnelles soient entre les mains du Parti communiste chinois», ironise le secrétaire d’État.




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