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Sondage Macron : une politique condamnée par plus des deux tiers des Français

Sondage Macron : une politique condamnée par plus des deux tiers des Français


Plus des deux tiers Français condamnent la politique économique et sociale de Macron. selon un sondage Viavoice pour Libération publié jeudi quand on interroge les Français les mots « incompréhension » et « colère » sont ceux qui reviennent en premier lieu (16% chacun). S’en suivent le « dégoût » (13%) et l’ »espoir » (10%). Vient ensuite l’ »indifférence » (9%).

Le décrochage est bien réel. Seuls 26% des Français interrogés conservent une image positive d’Emmanuel Macron -et 4% une image « très positive »-, ce qui représente tout de même 2 points de plus que la Première ministre Élisabeth Borne. A l’automne dernier, un tiers de Français étaient satisfaits.

Les libertés ont également régressé depuis la présidence d’Emmanuel Macron pour 55% des Français. Le président est par ailleurs considéré comme « plus autoritaire » actuellement qu’en 2017, lors de sa première élection.

Sa politique est également vue comme « solitaire » pour plus de la moitié des Français (53%). Et pour plus de deux tiers d’entre eux, elle n’est jugée ni « au service de l’intérêt général » (68%), ni « juste » (69%) ni « respectueuse des oppositions politiques » (69%). Elle n’est pas non plus considérée comme « à la hauteur des enjeux d’avenir » (65%) ou « claire » (66%).

« Des constats qui plaident pour une suite et fin de quinquennat sous le signe d’une réforme sociétale qui réconcilie les libéralismes et le rapport du président de la République à la liberté », avance dans les colonnes de Libération Adrien Broche, responsable des études de Viavoice.

Selon une enquête Elabe pour BFMTV publiée mercredi, Marine Le Pen aurait été largement en tête du premier tour si l’élection présidentielle 2022 était rejouée aujourd’hui, dans un contexte défavorable à l’actuel président, et elle sortirait gagnante au second tour avec 55% des voix.

Et selon un autre sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro Magazine, Marine Le Pen arriverait en tête du premier tour de la présidentielle 2027, quelles que soient les hypothèses de candidature pour la majorité présidentielle.

Sondage Macron : une politique condamnée par plus des deux tiers des Français

Sondage Macron : une politique condamnée par plus des deux tiers des Français

Plus des deux tiers Français condamnent la politique économique et sociale de Macron. selon un sondage Viavoice pour Libération publié jeudi quand on interroge les Français les mots « incompréhension » et « colère » sont ceux qui reviennent en premier lieu (16% chacun). S’en suivent le « dégoût » (13%) et l’ »espoir » (10%). Vient ensuite l’ »indifférence » (9%).

Le décrochage est bien réel. Seuls 26% des Français interrogés conservent une image positive d’Emmanuel Macron -et 4% une image « très positive »-, ce qui représente tout de même 2 points de plus que la Première ministre Élisabeth Borne. A l’automne dernier, un tiers de Français étaient satisfaits.

Les libertés ont également régressé depuis la présidence d’Emmanuel Macron pour 55% des Français. Le président est par ailleurs considéré comme « plus autoritaire » actuellement qu’en 2017, lors de sa première élection.

Sa politique est également vue comme « solitaire » pour plus de la moitié des Français (53%). Et pour plus de deux tiers d’entre eux, elle n’est jugée ni « au service de l’intérêt général » (68%), ni « juste » (69%) ni « respectueuse des oppositions politiques » (69%). Elle n’est pas non plus considérée comme « à la hauteur des enjeux d’avenir » (65%) ou « claire » (66%).

« Des constats qui plaident pour une suite et fin de quinquennat sous le signe d’une réforme sociétale qui réconcilie les libéralismes et le rapport du président de la République à la liberté », avance dans les colonnes de Libération Adrien Broche, responsable des études de Viavoice.

Selon une enquête Elabe pour BFMTV publiée mercredi, Marine Le Pen aurait été largement en tête du premier tour si l’élection présidentielle 2022 était rejouée aujourd’hui, dans un contexte défavorable à l’actuel président, et elle sortirait gagnante au second tour avec 55% des voix.

Et selon un autre sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro Magazine, Marine Le Pen arriverait en tête du premier tour de la présidentielle 2027, quelles que soient les hypothèses de candidature pour la majorité présidentielle.

Sondage Macron : une politique ni juste ni efficace pour plus des deux tiers des Français

Sondage Macron : une politique ni juste ni efficace pour plus des deux tiers des Français

Plus des deux tiers Français condamnent la politique économique et sociale de Macron. selon un sondage Viavoice pour Libération publié jeudi quand on interroge les Français les mots « incompréhension » et « colère » sont ceux qui reviennent en premier lieu (16% chacun). S’en suivent le « dégoût » (13%) et l’ »espoir » (10%). Vient ensuite l’ »indifférence » (9%).

Le décrochage est bien réel. Seuls 26% des Français interrogés conservent une image positive d’Emmanuel Macron -et 4% une image « très positive »-, ce qui représente tout de même 2 points de plus que la Première ministre Élisabeth Borne. A l’automne dernier, un tiers de Français étaient satisfaits.

Les libertés ont également régressé depuis la présidence d’Emmanuel Macron pour 55% des Français. Le président est par ailleurs considéré comme « plus autoritaire » actuellement qu’en 2017, lors de sa première élection.

Sa politique est également vue comme « solitaire » pour plus de la moitié des Français (53%). Et pour plus de deux tiers d’entre eux, elle n’est jugée ni « au service de l’intérêt général » (68%), ni « juste » (69%) ni « respectueuse des oppositions politiques » (69%). Elle n’est pas non plus considérée comme « à la hauteur des enjeux d’avenir » (65%) ou « claire » (66%).

« Des constats qui plaident pour une suite et fin de quinquennat sous le signe d’une réforme sociétale qui réconcilie les libéralismes et le rapport du président de la République à la liberté », avance dans les colonnes de Libération Adrien Broche, responsable des études de Viavoice.

Selon une enquête Elabe pour BFMTV publiée mercredi, Marine Le Pen aurait été largement en tête du premier tour si l’élection présidentielle 2022 était rejouée aujourd’hui, dans un contexte défavorable à l’actuel président, et elle sortirait gagnante au second tour avec 55% des voix.

Et selon un autre sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro Magazine, Marine Le Pen arriverait en tête du premier tour de la présidentielle 2027, quelles que soient les hypothèses de candidature pour la majorité présidentielle.

PÉTROLE RUSSE: Réduction des deux tiers par l’union européenne

 PÉTROLE RUSSE: Réduction des deux tiers par l’union européenne

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Progressivement l’étau économique et financier se resserre autour de la Russie. Des sanctions qui forcément ne donnent des effets qu’à terme mais qui risquent  de peser très lourdement à partir de la fin de l’année. D’ores et déjà la Russie est très proche du défaut, il ne s’agit que d’une question de mois. L’objectif est de viser une faillite profonde et durable du pays l’obligeant à choisir sous la pression de l’opinion entre priorités aux guerres d’occupation ou priorité au développement. Or précisément sur ce terrain la Russie depuis l’arrivée de Poutine en particulier a largement délaissé son économie au profit des rentrées liées aux exportations de pétrole et de gaz. Certes on objectera que ce pétrole et ce gaz pourront être vendusà d’autres en particulier aux Chinois et aux Indiens. Le problème c’est que ce ne sera pas aux mêmes conditions économiques. Pour preuve l’Inde achète actuellement de l’énergie russe à bas prix pour le revendre à d’autres pays.Les 27 pays membres de l’Union européenne ont approuvé ce lundi soir un embargo sur le pétrole russe couvrant plus des « deux tiers » de leurs importations depuis ce pays, a annoncé le président du Conseil européen, Charles Michel.

Cet accord couvre pour l’instant « plus des deux tiers des importations de pétrole de Russie », a déclaré le président du Conseil, Charles Michel. Il va permettre de « supprimer une énorme source de financement à la machine de guerre » russe et exercer « une pression maximum » sur Moscou pour l’inciter à mettre fin à la guerre, a-t-il affirmé sur Twitter. Grâce à l’engagement volontaire de Berlin et Varsovie d’arrêter leurs importations par l’oléoduc de Droujba, l’embargo supprimera « environ 90% » des importations européennes de pétrole russe d’ici à la fin de l’année », a précisé Ursula von der Leyen, également sur Twitter.

Les importations par l’oléoduc de Droujba, qui alimentent aussi la Hongrie, seront exemptées dans un premier temps, ce qui a permis de lever le veto de Budapest qui bloquait depuis plusieurs semaines le 6e paquet de sanctions de l’UE contre l’invasion russe de l’Ukraine.

Selon l’Elysée, l’embargo progressif de l’UE sera limité dans un premier temps au pétrole transporté par bateau (soit les deux tiers des achats européens de pétrole russe). Des négociations doivent avoir lieu « dès que possible » pour mettre fin au reste des importations de pétrole russe de l’UE, a précisé l’Elysée.

Délits et crimes : un tiers de récidivistes

 

Près d’un tiers (31%) des détenus sortis de prison en 2016 ont à nouveau été condamnées pour une infraction commise l’année suivant leur libération, selon une étude* publiée jeudi 29 juillet dans le bulletin d’information statistique de la justice. « Le risque de récidive est d’autant plus élevé que les personnes sont jeunes au moment de leur entrée en prison, et augmente avec le nombre de condamnations antérieures », écrivent les statisticiennes Frédérique Cornuau et Marianne Juillard dans le numéro de juillet du bulletin « Infostat justice », produit par la Chancellerie.

Le taux de récidive varie fortement selon l’infraction initiale, les auteurs de vols simples (43%) ou de vols aggravés sans violence (39%) étant les plus susceptibles d’être à nouveau condamnés. Les auteurs de violences sexuelles récidivent en revanche peu à court terme (12%) tout comme les auteurs d’homicide (9%).

 

Sondage gestion sanitaire : les deux tiers des Français critiquent la gestion de l’exécutif

Sondage gestion sanitaire : les deux tiers des Français critiquent la gestion de l’exécutif

 

Selon le sondage Odoxa-Backbone consulting pour Franceinfo et Le Figaro près des deux tiers des Français jugent très sévèrement la gestion sanitaire du gouvernement. 80 % estiment même que le gouvernement ne sait pas où il va. 7 Français sur 10 jugent que les maires (73 %) et les entreprises (68 %) ont été à la hauteur de la situation. Les Français sont plus partagés au sujet de leurs concitoyens : 48 % jugent qu’ils se sont bien comportés et presque autant (51 %) le contraire.

 

Mais ce sont surtout les responsables politiques qui se retrouvent au cœur des critiques : pour près des deux tiers des Français, ni le président Emmanuel Macron (63 %) ni le premier ministre Jean Castex (66 %), ni le ministre de la Santé Olivier Véran (65 %) n’ont été à la hauteur de la situation. Les sondés sont encore plus sévères avec les forces d’opposition, critiquées par 84 % d’entre eux.

 

Quelque 77 % des sondés estiment que le gouvernement ne « rassure pas » car, selon eux, il n’est « pas clair » (80 %) et « ne sait pas où il va » (83 %). Les trois quarts des Français pensent que l’exécutif « n’a pas pris les bonnes décisions au bon moment » (73 %) et sont persuadés qu’il ne « leur a pas dit la vérité » (76 %). Si les Français sont partagés sur la gestion des masques (52 % de satisfaits) ou de la crise économique (49 % de satisfaits), ils sont majoritairement critiques sur la stratégie vaccinale menée depuis janvier (75 % d’insatisfaits).

 

Pause

Parcoursup: réponses pour plus des deux tiers

Parcoursup: réponses pour plus des deux tiers

D’une certaine manière le taux de réponses reçues par les étudiants paraît satisfaisant mais ce taux de réponse ne signifie pas pour autant que les étudiants sont satisfaits de ces réponses. En tout cas, le   ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, a déclaré mardi que plus des deux tiers des lycéens concernés avaient reçu à ce jour une réponse favorable à leur demande d’entrée à l’université sur la plateforme de préinscription “Parcoursup”, très critiquée. “Parcoursup” remplace la plateforme informatique “Admission post-bac” (APB), qui a laissé sur le carreau des dizaines de milliers de bacheliers en 2017, tirés au sort là où les demandes étaient supérieures aux capacités d’accueil. “Il y a eu un système l’année dernière dont chacun sait qu’il a été un échec, qui était fondé sur le tirage au sort et qui avait laissé encore à la rentrée beaucoup d’étudiants dans des situations pour le coup réellement angoissantes”, a rappelé le ministre lors des questions d’actualité à l’Assemblée. Le nouveau système est “à la fois plus rationnel et plus humain” et a notamment permis d’améliorer l’orientation des élèves de terminale, a-t-il estimé. “Aujourd’hui, il permet d’avoir, au moment où je vous parle, plus des deux tiers des élèves qui ont reçu une réponse favorable et déjà 200.000 qui ont accepté cette réponse”, a conclu Jean-Michel Blanquer. “C’est déjà clairement un progrès par rapport à l’année dernière.”

Un tiers payant « généralisable » mais pas forcément obligatoire !

Un tiers payant « généralisable »  mais pas forcément obligatoire !

Généralisable mais pas obligatoire c’est la dernière position de la ministre de la santé à l’égard du tiers payant concernant les généralistes. Il faut dire que la ministre de la santé à plusieurs fois slalomé  entre le caractère facultatif et obligatoire. On s’orienterait donc vers une extension du tiers payant mais qui ne serait pas systématique. Bref il y a encore des précisions à apporter concernant la décision finale Elle a en effet déclaré que le tiers payant, fortement combattu par les médecins libéraux, avait «vocation à être généralisable». «Le mot, c’est généralisable», a-t-elle insisté. Le tiers-payant «ne sera pas enterré». «Il va se développer, dès qu’il fonctionnera. Aujourd’hui il y a une étude en cours (de l’Igas) pour voir comment, en pratique, nous pouvons faire fonctionner cet outil qui ne fonctionne pas», mais il sera mis en oeuvre «dans le courant de l’année 2018», a-t-elle assuré. «Il faut que ce soit un système gagnant-gagnant», pour les assurés et les médecins, a développé Agnès Buzyn. «Il n’est pas possible que 15% des Français qui sont en-dessous du seuil de pauvreté renoncent à se faire soigner» et «nous ne pouvons pas demander aux médecins (…) de s’inscrire dans un dispositif où ils passent une journée par semaine à faire des papiers».  Dans un communiqué, la Confédération des Syndicats Médicaux Français, premier syndicat des médecins libéraux, «salue la clarification de la position» de la ministre. Elle rappelle être attachée «à un tiers payant possible et facile, mais non obligatoire».

Tiers payant confirmé

Tiers payant confirmé

 

 

Une mesure qui obtiendra sans doute le soutien d’une majorité d’assurés mais sans doute pas d’une majorité de généralistes qui risquent de se noyer dans la paperasse administrative. En outre pas sûr que cela n’entraîne pas quelques dérives financières pour la sécurité sociale notamment. Sans doute aurait été aurait-il été préférable de réserver ce tiers payant aux seuls assurés  financièrement défavorisés. ( Ce que pratiquent déjà certains médecins). La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a donc  assuré mardi que le tiers payant (dispense d’avance de frais) chez le médecin «sera généralisé», une semaine après avoir annoncé qu’elle souhaitait «éviter son obligation». «Il sera généralisé, c’est vraiment une question d’équité et d’accès aux soins puisque beaucoup de Français renoncent à aller se faire soigner parce qu’ils ne veulent pas avancer l’argent chez un médecin, c’est donc impératif d’aller vers un tiers payant généralisé», a déclaré sur France Inter la ministre de la Santé. Pourtant, dans une interview mercredi dernier, Mme Buzyn avait indiqué avoir confié une mission à l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) sur «la faisabilité technique» du dispositif expliquant que son objectif était «d’éviter l’obligation de tiers payant généralisé». «J’ai horreur des obligations», avait dit la ministre qui confirmait l’engagement pris par Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle de rendre le dispositif «généralisable», c’est-à-dire facultatif, et non «généralisé». La dispense d’avance de frais, fortement combattue par les médecins libéraux, doit devenir un droit pour tous les Français à partir du 1er décembre. Toutefois, la loi de 2016 ne prévoit pas de sanctions pour les médecins refusant d’appliquer la mesure, que le Conseil constitutionnel a limitée à la seule part remboursée par la Sécurité sociale. «Aujourd’hui nous regardons la mise en oeuvre de ce tiers payant qui pose des problèmes techniques et nous souhaitons que des médecins trouvent une facilité dans ce tiers payant, pas une difficulté supplémentaire, nous avons besoin de leur donner du temps médical, plutôt que du temps administratif», a ajouté la ministre ce mardi. «Oui nous allons y aller, la question est de savoir avec quelle méthode pour que cela fonctionne pour tout le monde», a-t-elle poursuivi. Interrogée sur le respect du calendrier, elle a précisé «attendre» le rapport de l’Igas en septembre «pour décider». Également questionnée sur la promesse que tous les Français aient accès à des offres de mutuelles «sans aucun reste à charge» pour les soins dentaires, les lunettes et les prothèses auditives, la ministre a expliqué que le sujet était «complexe». Il «nécessite de travailler avec tous les acteurs de la filière, les complémentaires santé, mais aussi les producteurs de lunettes. Nous allons travailler filière par filière pour définir un panier de soins minimal, qui permette à tout un chacun d’avoir accès à des soins de qualité», a-t-elle détaillé. «Les travaux commenceront en septembre et nous nous donnons tout le quinquennat pour y arriver», a-t-elle redit.

 

Tiers payant : pas forcément généralisé

Tiers payant : pas forcément généralisé

 

 

Contrairement à ce qu’avait prévu l’ancien gouvernement le tiers payant généralisé ne sera pas mis en œuvre à la fin de l’année 2017. Il devrait être expérimenté à partir de l’été puis évalué. Sa mise en application ne serait pas forcément généralisable. « Au moment du vote de cette réforme, j’étais dubitatif », fait valoir le premier ministre, soulignant qu’elle « va dans le sens d’une forme de dématérialisation de ce que représente le coût de la santé ». « Mais je suis attaché à la simplicité du dispositif », ajoute-t-il en assurant: « nous allons l’évaluer ». L’ancienne ministre PS de la Santé, Marisol Touraine, avait mis en place le tiers payant chez le médecin, avec une généralisation programmée pour le 1er décembre, au grand dam des syndicats de médecins libéraux. Pendant la campagne présidentielle, le candidat Emmanuel Macron avait annoncé son intention de rendre ce dispositif d’avance de frais « généralisable », c’est-à-dire facultatif, et non  »généralisé ». La loi de 2016 ne prévoit pas de sanctions pour les médecins refusant d’appliquer la mesure que le Conseil constitutionnel a limitée à la seule part remboursée par la Sécurité sociale.

Banques : un tiers des bénéfices dans les paradis fiscaux

Banques : un tiers des bénéfices dans les paradis fiscaux

Le tiers des bénéfices des banques françaises est réalisé dans des paradis fiscaux y compris situés dans des pays où ces banques n’ont aucun salarié. Des activités surtout centrées sur la spéculation et l’évasion fiscale. En s’appuyant sur les chiffres rendus publics par les établissements bancaires en 2014, année pour laquelle ils étaient obligés de dévoiler les bénéfices de toutes leurs filiales internationales, le consortium d’ONG ((CCFD-Terres solidaires, Oxfam et le Secours Catholique)) s’est rendu compte que les pays dans lesquels la fiscalité était la plus avantageuse pesaient toujours autant dans les profits réalisés à l’étranger, près d’un tiers de leurs profits internationaux (15,3 milliards d’euros). BNP Paribas et la Société Générale sont les grandes banques françaises qui ont réalisés les bénéfices les plus importants dans les juridictions offshores, respectivement 2,4 et 1,3 milliards d’euros. C’est toutefois le Crédit Mutuel-CIC qui réalise la part la plus importante de ses bénéfices internationaux dans les paradis fiscaux (44%). Rien d’étonnant puisque parmi les cinq banques étudiées par le groupe d’ONG, c’est elle qui est la moins présente à l’international. Avec plus d’1,7 milliard d’euros de bénéfices enregistrés, le Luxembourg est la destination privilégiée des banques françaises parmi les 34 paradis fiscaux dans lesquels elles sont implantées. De manière générale, on est loin du stéréotype du paradis fiscal sous les palmiers. La Belgique (1,66 milliard), Hong-Kong (436 millions), Singapour (346 millions) et l’Irlande (272 millions) complètent le top 5 des pays dans lesquels les banques françaises ont réalisé le plus de profits. Dans ces paradis fiscaux, l’activité des cinq grandes banques françaises est en moyenne 60% plus lucrative que dans les autres pays. Un taux de profitabilité qui fait que les activités des banques y génèrent 1,6 fois plus de bénéfices que dans le reste du monde. Pour un même chiffre de 1.000 euros, les banques françaises y dégagent 362 euros de bénéfices contre 227 dans les autres pays et… 205 en France. De bons résultats qui ne s’expliquent pas par des effectifs plus fournis: il y a 2,6 fois moins d’employés dans une filiale située dans un paradis fiscal que dans une filiale située dans un autre pays. Un écart encore plus important chez certains établissements. BPCE a presque 8 fois moins d’employés par filiale dans les paradis fiscaux que dans les autres pays. Certaines filiales fonctionnent même sans le moindre salarié. C’est le cas dans cinq pays (Bermudes, Chypre, îles Caïmans, île de Man, Malte) et plus particulièrement aux Îles Caïmans où aucune des cinq banques françaises n’y déclare d’employés.

(Le Figaro éco)

Lagarde veut un quart à un tiers des investitures législatives de 2017

Lagarde veut un quart à un tiers des investitures législatives de 2017

 

Le président de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde  refuse pour l’instant de participer aux primaires de la droite. Officiellement il reproche aux républicains d’être dans l’incapacité d’élaborer avec lui un programme politique commun. En réalité c’est le nombre d’investitures aux législatives qui est en jeu. L’UDI réclame en fait entre un quart et un tiers des circonscriptions. Un chiffre jugé beaucoup trop excessif par les républicains. Jean-Christophe Lagarde a donc appelé vendredi les militants du parti centriste à se prononcer en faveur du boycott de la primaire de la droite et du centre pour l’élection présidentielle de 2017. Les adhérents de l’UDI sont invités à trancher par vote électronique, entre le 15 et le 19 mars, l’éventuelle participation de la formation à la primaire des 20 et 27 novembre prochains organisée par Les Républicains. Un congrès prévu le 20 mars entérinera leur décision. Jean-Christophe Lagarde a déjà menacé d’un boycott si le président des Républicains, Nicolas Sarkozy, ne satisfait pas à ses demandes d’une plate-forme programmatique commune et d’ »un quart à un tiers » des circonscriptions pour les législatives de juin 2017. Vendredi, il a exhorté les militants à le suivre sur cette voie et a menacé d’une candidature centriste en 2017 au risque de disqualifier la droite et le centre pour le second tour. « Nous avons proposé que des discussions aient lieu pour qu’il y ait un contrat d’alternance et à ce moment-là, la primaire était envisageable. Cette discussion n’a pas été possible », a-t-il expliqué sur Radio Classique et Paris Première. « Il y aura donc un vote la semaine prochaine des militants de l’UDI et je les invite à refuser de participer à la primaire », a-t-il ajouté. « Nous allons préparer notre projet présidentiel et législatif, investir nos candidats aux élections législatives et si, après leur primaire, ils souhaitent discuter nous discuterons, sinon nous assumerons nos différences politiques », a-t-il prévenu, évoquant l’hypothèse d’ »un candidat que les électeurs de l’UDI choisiront le moment venu ».

FMI : un nouveau directeur du tiers monde ?

FMI : un nouveau directeur du tiers monde ?

 

Christine Lagarde  est  candidate à sa succession toutefois on pourrait bien assister à un changement des usages qui veut que FMI soit dirigé par un Européen. Il est en effet envisagé de nommer un directeur qui ne soit ni américain ni européen. Un changement qui pourrait peut-être permettre une modification dans l’approche des crises économiques et financières. Le prochain directeur général du Fonds monétaire international (FMI) devrait venir d’un pays non européen lorsque la directrice générale actuelle Christine Lagarde quittera son poste, a déclaré samedi le directeur général adjoint du Fonds.  David Lipton a déclaré à BBC World Service que la tradition selon laquelle un Européen prend la tête du FMI, tandis qu’un Américain dirige la Banque mondiale, est contestée et que la prochaine nomination se ferait « strictement au mérite ».  Qualifiée dans la même émission d’ »incroyable anachronisme » par l’ancien chef économiste du FMI Kenneth Rogoff, la contestation de la tradition qui veut que des Européens dirigent le Fonds est montée d’un cran pendant la crise de la zone euro. David Lipton a affirmé qu’au départ de Christine Lagarde, son successeur viendrait probablement d’un pays non européen.   »Avec des candidats venant du monde entier, je crois que c’est beaucoup plus probable au prochain tour que cela ne l’a jamais été », a-t-il dit.   »Il y a de plus en plus de personnes parfaitement qualifiées venant d’ailleurs que d’Europe et des Etats-Unis et je crois que le fait qu’il y ait eu une telle focalisation sur la crise aux Etats-Unis au début de la crise financière mondiale et sur l’Europe va déboucher sur le sentiment qu’il doit y avoir un éventail de choix plus large pour la fonction de directeur. » Christine Lagarde a pris la tête du FMI en 2011 après la démission de Dominique Strauss-Kahn suite à l’affaire du Sofitel de New York dans laquelle il a bénéficié d’un non-lieu au pénal.  Son mandat de cinq ans arrive à son terme à la fin de l’an prochain mais elle fait savoir en juin qu’elle pourrait envisager un deuxième mandat si elle a le soutien des membres du FMI. Bien qu’il n’y ait aucune obligation à ce que le patron du FMI vienne d’Europe, la tradition a voulu que ce soit le cas depuis la création du FMI après la Deuxième Guerre mondiale, alors que la Banque mondiale est dirigée par un Américain.

 

Tiers payant voté par les députés pour 2018 : double entourloupe

Tiers payant voté par les députés pour 2018 : double entourloupe

 

c’est faiat les députés ont voté la réforme de Marisol Touraine concernant le tiers payant. Une belle entourloupe car la mesure de sera appliquée totalement qu’en 2018, en fait on refile le bébé au successeur de Hollande.  Le gouvernement prend des mesures de « gauche » pour application par un gouvernement de droite. En outre aucune sanction n’est prévue en cas de non application ! Il faut dire que ce ne sera pas simple pour les généralistes sans secrétariat de réclamer le remboursement aux 40 à 50 caisses primaires et aux 500 caisses complémentaires. En fait une  mesure surtout destinée à conforter l’étatisation de la médecine avec une  bureaucratisation accrue des agences régionales de santé.  Les députés ont donc voté en commission dans la nuit l’amendement gouvernemental au projet de loi Santé introduisant la dispense d’avance de frais lors d’une consultation pour tous les assurés d’ici le 30 novembre 2017 en dépit des vives protestations de l’opposition. « Cet article va paralyser le système de soins. 90% du corps médical est opposé à cette mesure. C’est juste un marqueur politique, l’entêtement du gouvernement est irresponsable », a dénoncé l’UMP Bernard Accoyer. « J’ai le sentiment que le tiers-payant est l’assurance-vie de votre présence au gouvernement », a lancé l’UDI Arnaud Richard à la ministre de la Santé Marisol Touraine.  »Quand on défend des mesures de justice et de progrès, on est très vite taxé d’idéologie », a répondu la ministre. « La généralisation du tiers payant permettra de lutter contre des comportements de renoncement aux soins », a renchéri la socialiste Fanélie Carrey-Conte.

 

Tiers payant généralisé en 2017, vers l’étatisation ?

Tiers payant généralisé en 2017, vers l’étatisation ?

Encore une  mesure du gouvernement pavée de bonnes intentions. En apparence une  mesure très sociale mais qui en fait vise aussi à renforcer l’étatisation de la médecine libérale. Du coup les généralistes ( voire certains spécialistes) déjà peu nombreux compte tenu des spécificités du métier risquent  d’être encore moins nombreux. L’objectif est aussi de rationaliser l’accès à al médecine libérale et d’orienter vers des maisons  de santé. Dans les faits on risque de faciliter les dérives en matière de penses de santé et de détériorer un peu plus les comptes de la sécu ( et des complémentaires). Sil est normal que les patients en difficulté financière puissent  ne pas régler eux-mêmes la consultation, il est  pus discutable de la rendre gratuite pour les autres.  Le tiers payant, qui dispense les patients d’avance de frais médicaux, sera bien généralisé d’ici fin 2017 et assorti d’une garantie de paiement pour les médecins, vent debout contre ce dispositif phare du projet de loi santé, a annoncé lundi Marisol Touraine.  Cette mesure, dont la généralisation est une promesse de campagne de François Hollande, est pour l’heure appliquée aux bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) et de l’aide médicale d’Etat (AME). « Le tiers payant sera étendu à l’ensemble des Français parce que c’est juste, parce que cela favorise l’accès aux soins » a déclaré la ministre des Affaires sociales et de la Santé lors d’une conférence de presse. « Il sera étendu progressivement d’ici 2017 et en apportant des garanties précises aux professionnels », a-t-elle ajouté, assurant qu’il n’y aurait aucun impact ni charge supplémentaire pour les médecins.  Les professionnels de la santé s’opposent vivement à la généralisation du tiers payant, redoutant des impayés et des lourdeurs administratives, et ont appelé à une manifestation le 15 mars, une semaine avant le premier tour des élections départementales.

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