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Thème du pouvoir d’achat : en hausse et nettement thème prioritaire

· Thème du pouvoir d’achat : en hausse et nettement  thème prioritaire

 

D’après un étude que révèle les Echos, parmi les enjeux prioritaires, la question du pouvoir d’achat a connu cette semaine une forte hausse (+ 4 points, 57 %). Il s’agit désormais du seul enjeu cité par une majorité de Français. La protection sociale (49 %, -1 point) reste en deuxième position.( Des chiffres cohérents avec d’autres sondages mêmes s’ils diffèrent en valeur absolue).

Le pouvoir d’achat est avant tout cité par des personnes appartenant aux catégories socioprofessionnelles populaires (64 % contre 53 % dans les catégories plus aisées). A noter que la protection sociale est la principale préoccupation des retraités dans cette campagne (57 %).

Les thèmes de la sécurité et l’immigration, qui ont connu une forte hausse la semaine dernière , se stabilisent cette semaine. La sécurité est citée par 45 % des Français (+1 point) et l’immigration par 38 % (-1 point).

Présidentielle: Le pouvoir d’achat thème central ( enquête Odoxa)

 Présidentielle: Le pouvoir d’achat thème central ( enquête Odoxa)

D’après une enquête au Odoxa, Le thème du pouvoir d’achat sera nettement prioritaire lors des élections présidentielles notamment.
  »on est à un niveau de réoccupations deux fois plus élevé qu’au Royaume-Uni et trois fois plus élevé qu’en Allemagne ». Les Français sont donc champions d’Europe du pessimisme selon l’institut de sondage. Huit personnes sur dix pensent que leur pouvoir d’achat s’est dégradé ces 12 derniers mois avec la crise sanitaire et quatre sur dix se disent actuellement en difficulté financière. Les raisons principales : la hausse des prix de l’énergie, de l’essence et de certains biens de consommation.

Le pouvoir d’achat est la principale préoccupation des Français, et de loin ! C’est l’enseignement principal du premier baromètre Odoxa – FG2A pour Europe 1, publié lundi matin. 45% des Français le placent tout en haut de leurs priorités, à tel point que le pouvoir d’achat apparaît déjà comme un enjeu clé de la présidentielle 2022.

Une thématique qui devance largement toutes les autres. Il y a cinq ans, le chômage était au cœur des préoccupations des Français. Il arrive aujourd’hui en sixième position, et c’est donc le pouvoir d’achat qui écrase tout avec 45% des Français qui le placent tout en haut de leurs priorités. Au total, cela représente onze points de plus qu’avant l’élection présidentielle de 2017.

 

 

 

En Europe, c’est même une spécificité, voire une obsession française.  »Par rapport aux autres grands pays européens, on a 15 points de plus en France de personnes qui considèrent que le pouvoir d’achat est un sujet de préoccupation très important », souligne Gaël Sliman, le président d’Odoxa.

Huit Français sur dix considèrent que leur pouvoir d’achat s’est dégradé

Et d’ajouter qu’en comparaison, « on est à un niveau deux fois plus élevé qu’au Royaume-Uni et trois fois plus élevé qu’en Allemagne ». Les Français sont donc champions d’Europe du pessimisme selon l’institut de sondage. Huit personnes sur dix pensent que leur pouvoir d’achat s’est dégradé ces 12 derniers mois avec la crise sanitaire et quatre sur dix se disent actuellement en difficulté financière. Les raisons principales : la hausse des prix de l’énergie, de l’essence et de certains biens de consommation.

SONDAGE -SÉCURITÉ :le thème qui monte pour la présidentielle

SONDAGE -SÉCURITÉ :le thème qui monte pour la présidentielle 

 

Les Français placent la sécurité en tête des thèmes qui détermineront le choix de leur bulletin de vote. C’est ce qui ressort de notre nouveau sondage « L’opinion en direct », publié ce mercredi et réalisé par l’Institut Elabe.

Recul perçu de l’autorité de l’État, laxisme supposé de la justice, multiplication de faits divers violents, policiers tués dans le cadre de l’exercice de leur fonction… Autant d’éléments qui contribuent à faire émerger, comme ce fut le cas lors d’autres scrutins présidentiels (surtout 2002), la sécurité comme principal sujet de débat et de mobilisation politique. Notamment à droite du spectre électoral.

Les électeurs de François Fillon de 2017 sont les plus nombreux (55%) à placer la sécurité parmi leurs trois principales priorités. Ils sont 28% à la mettre en tête de ces priorités. Parmi les électeurs de Marine Le Pen à la précédente présidentielle, 46% placent la sécurité dans ce trio de thèmes perçus comme étant les plus cruciaux.

Ces deux électorats citent également l’immigration, première préoccupation pour les électeurs de Marine Le Pen (40% chez Fillon et 50% chez la patronne du RN) et la menace terroriste (33% et 34%, respectivement).

35% des électeurs de Marine Le Pen citent également la santé. Les électeurs d’Emmanuel Macron citent la sécurité en premier (43%), ils mentionnent ensuite la santé (35%) et le pouvoir d’achat (29%). Les électeurs de Benoît Hamon sont d’abord préoccupés par l’environnement (48%), puis par l’emploi (36%) et le pouvoir d’achat (35%). Le trio de tête reste le même, mais la hiérarchie s’inverse pour les électeurs de Jean-Luc Mélenchon: le pouvoir d’achat (43%), l’environnement (38%), l’emploi (32%).

Dans le cadre de notre enquête, les Français ont été interrogés sur leur perception du travail gouvernemental en matière sécuritaire. Les deux tiers des personnes sondées n’ont pas confiance en l’exécutif sur ce sujet. 33% des Français font tout à fait (5%) ou plutôt (28%) confiance à Emmanuel Macron et aux membres du gouvernement de Jean Castex.

À l’inverse, 66% d’entre eux ne leur font pas vraiment (39%) ou pas du tout (27%) confiance. Ce sont logiquement les électeurs de 2017 d’Emmanuel Macron qui sont les plus nombreux à lui faire confiance (71%). Ce sentiment est également majoritaire auprès de ses électeurs de second tour (53%).

Sondage réalisé par Elabe pour BFMTV, sur un échantillon de 1009 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité a été assurée selon la méthode des quotas, et les participants ont été interrogés par Internet du 11 et 12 mai 2021.

Congrès Versailles : mauvais lieu, mauvais moment et mauvais thème

Congrès Versailles : mauvais lieu, mauvais moment et mauvais thème

 

Les institutions prévoient que le président puisse parler devant le Parlement réuni en congrès (Sénat plus assemblée nationale) à fin de rendre compte de sa politique. Un rituel déjà désuet puisqu’il n’est pas prévu qu’un débat ait lieu suite à cette intervention en présence du chef de l’État. La cohérence voudrait qu’on écoute d’abord le point de vue des parlementaires, leurs critiques éventuelles avant que le chef d’État ne s’exprime. C’est le processus adopté dans toutes les organisations un peu démocratique mais pas pour ce congrès qui entretient le rituel désuet d’une certaine monarchie. La plus grande critique qui peut être adressée au président c’est de réunir ce congrès à Versailles symbole suprême de la monarchie et du fossé qui sépare les citoyens de la cour des dirigeants. Il y avait bien d’autres lieux à Paris pour organiser cette petite sauterie au cout par ailleurs exorbitant d’environ 400 000 €. Deuxième point,  On ne peut pas dire que le début des vacances estivales soit le meilleur période  pour diffuser la parole présidentielle. Beaucoup de Français dans le moment présent pensent  à profiter du beau temps, ils seront sans doute plus intéressés par la du monde de foot que par une allocution présidentielle portant notamment sur des aspects institutionnels bien peu mobilisateurs. Macron parlera nécessairement de la modification de la constitution qui ne peut être modifiée sans l’aval du congrès (ou par référendum). Les Français ne sont pas en désaccord avec la réduction du nombre de parlementaires mais pour les autres modifications, c’est un peu du chinois et ce n’est sans doute pas la priorité du moment. Du coup Macron devra rééquilibrer son discours en justifiant sa politique économique et en annonçant sans doute un rééquilibrage social. On peut penser qu’il parlera de pauvreté, sujet qui a fait l’objet d’un rapport dont la diffusion a été reportée. Mais un discours sur la pauvreté sera insuffisant pour témoigner de la volonté du gouvernement d’un véritable  rééquilibrage social. Or ce sont  les sujets majeurs de la période qui plombent  macro et son gouvernement dans les sondages. D’une certaine manière, si macro voulait être entendue, c’est à peu près le seul thème qu’il devrait développer tellement maintenant son image de président des riches lui colle à la peau non sans raison. Le discours intervient en effet alors que la popularité d’Emmanuel Macron chute dans les sondages. La cote du président de la République a perdu six points en juillet par rapport au mois de juin, selon le dernier baromètre de confiance d’Elabe pour les Echos et Radio Classique. Près des trois quarts des Français lui reprochent également d’être un “Président des riches”, selon un sondage Odoxa pour Franceinfo et Le Figaro réalisé les 4 et 5 juillet, une critique régulièrement reprise par l’opposition et renouvelée avec sa décision de reporter la présentation de son plan pour la pauvreté, prévue pour début juillet, à la rentrée. Des voix s’élèvent désormais au sein de son propre parti pour réclamer une politique plus sociale. “J’en appelle à un rééquilibrage de la politique menée depuis un an, en faveur d’une politique sociale plus affirmée et attendue”, a écrit le député LaREM Frédéric Barbier dans une tribune du Monde publiée samedi. “La parole et les intentions ne suffisent plus. Elles doivent laisser place à des actes concrets”, dit-il. “Il manque pour l’instant une véritable colonne vertébrale à un projet social mobilisateur, fédérateur, transformateur pour notre pays”.

Sarkozy veut récupérer le thème de l’immigration

Sarkozy veut récupérer le thème de l’immigration

Grande opération de récupération du thème de l’immigration par Sarkozy qui pense que cette problématique sera au cœur de la campagne de 2017. Il lance une grande consultation interne et en même temps veut ficeler ses concurrents à la primaire. Ainsi a-t-il décidé de soumettre mercredi au vote des militants onze questions sur ses propositions de refonte des politiques d’immigration française et européenne, le rétablissement temporaire des contrôles aux frontières nationales de l’espace Schengen, qui devra être renégocié, l’instauration de « plafonds limitatifs » pour maîtriser l’immigration en France ou la restriction des aides sociales. La tactique, dont l’objet est d’imposer à ses rivaux un « socle programmatique commun » au nom de l’unité, vise aussi à consolider la réserve des voix sarkozystes pour la consultation de 2016. « C’est la stratégie de l’étouffement », résume, mi-amusé mi-inquiet un élu LR convié mercredi au séminaire. Ni Bruno Le Maire, qui a eu un entretien mercredi matin avec Nicolas Sarkozy, ni François Fillon ou Alain Juppé n’étaient présents. Les trois hommes, qui goûtent peu d’être mis devant le fait accompli, revendiquent de faire avancer « leurs idées ». Les propositions de Nicolas Sarkozy, déjà exposées la semaine dernière dans une interview au Figaro, seront débattues lors du premier bureau politique du parti mardi prochain, une fois connus les résultats du vote électronique. La consultation débute mercredi à 18h00 et s’achèvera vendredi à la même heure. « Etes-vous d’accord pour la suspension immédiate de Schengen… », « Faut-il diminuer l’attractivité sociale de l’Europe… », « Faut-il supprimer, pour les étrangers en situation illégale, l’Aide médicale d’Etat… », « Faut-il adapter le droit du sol… » sont au nombre des questions. « Chaque fois que nous allons travailler sur les questions programmatiques, je veillerai à ce que les questions les plus sensibles soient tranchées par vous », a déclaré Nicolas Sarkozy aux adhérents présents, tout acquis à leur champion. « Plus vous serez nombreux, plus cela donnera de la force », a-t-il conclu, dans un appel plein de sous-entendus pour la primaire.




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