Archive pour le Tag 'terroriste'

Radicalisation islamiste: un terroriste enfin déchu de la nationalité française

Radicalisation islamiste: un terroriste enfin déchu de la nationalité française


Il y a quelques années le débat sur la perspective de déchéance de la nationalité française avait créé beaucoup de remous parmi l’élite très tolérante vis-à-vis des délits et crimes dans les quartiers qu’elle n’habite pas. Une mesure radicale qui devrait pourtant s’imposer aux auteurs de violences et de crimes quand les auteurs ont la double nationalité .

Ce n’est sans doute pas un hasard si la justice vient d’arrêter le frère d’un des terroristes du Bataclan pour le placer en instance d’expulsion.

Condamné pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste»
Karim Mohamed-Aggad, né en juillet 1990 à Wissembourg, est le frère aîné de l’un des terroristes du Bataclan, Foued Mohamed-Aggad. Âgé de 23 ans, celui-ci s’était fait exploser le 13 novembre 2015 lors de l’attaque de la salle de concert, où, avec deux complices, il avait assassiné 90 personnes.

15 novembre dernier, il avait été déchu de la nationalité française par un décret signé par la première ministre Elisabeth Borne et publié dans le Journal officiel le 17 novembre. L’homme est désormais placé en instance d’expulsion.

Cette opération «s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la radicalisation et de l’éloignement des personnes posant un danger à la sécurité de notre pays demandée par le ministre» de l’Intérieur Gérald Darmanin, a commenté pour l’AFP la préfète du Bas-Rhin Josiane Chevalier.

Elle a précisé que l’homme avait été envoyé au Centre de rétention administrative (CRA) de Metz en vue de son expulsion, «le plus vite possible on l’espère». Le recours aux gendarmes du GIGN lors de l’interpellation a lieu dans «les cas extrêmement dangereux» afin qu’elle se fasse «en sécurité», a par ailleurs observé Josiane Chevalier.

Condamné pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste»
Karim Mohamed-Aggad, né en juillet 1990 à Wissembourg, est le frère aîné de l’un des terroristes du Bataclan, Foued Mohamed-Aggad. Âgé de 23 ans, celui-ci s’était fait exploser le 13 novembre 2015 lors de l’attaque de la salle de concert, où, avec deux complices, il avait assassiné 90 personnes.

Karim Mohamed-Aggad avait rejoint en décembre 2013 la Syrie en compagnie de son frère et d’un groupe d’amis radicalisés, la plupart issus du quartier de la Meinau à Strasbourg. À son retour, en 2016, il avait écopé de neuf ans de prison pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste», avant d’être libéré en 2022, précise France Info.

Son arrestation a eu lieu un mois et demi après l’attentat d’Arras au cours duquel l’assaillant, Mohammed Mogouchkov, originaire du Caucase russe et ayant grandi en France, a tué un professeur de français, Dominique Bernard, et blessé trois autres personnes. Le soir de l’attentat, Gérald Darmanin avait exprimé sur TF1 son souhait de pouvoir «expulser tous ceux qui, même arrivés à l’âge de deux ou trois ans, sont étrangers et méritent de retourner dans leur pays d’origine parce qu’ils ne respectent pas les règles de la République».

Auditionné lors du procès du «sergent recruteur du djihad»
Le trentenaire avait également été auditionné lors du procès du «sergent recruteur du djihad» Mourad Farès, en janvier 2020. Soupçonné d’avoir poussé plusieurs jeunes à rejoindre la Syrie, Mourad Farès comparaissait alors devant la cour d’assises spéciale de Paris pour «participation à une association de malfaiteurs terroriste», «direction ou organisation d’une association de malfaiteurs terroriste» et «financement d’entreprise terroriste».

En avril dernier, d’après le Journal officiel, les avoirs de Karim Mohamed-Aggad avaient été gelés par un arrêté publié par les ministères de l’Économie et de l’Intérieur.

Radicalisation : un terroriste déchu de la nationalité française

Radicalisation : un terroriste déchu de la nationalité française


Il y a quelques années le débat sur la perspective de déchéance de la nationalité française avait créé beaucoup de remous parmi l’élite très tolérante vis-à-vis des délits et crimes dans les quartiers qu’elle n’habite pas. Une mesure radicale qui devrait pourtant s’imposer aux auteurs de violences et de crimes quand les auteurs ont la double nationalité .

Ce n’est sans doute pas un hasard si la justice vient d’arrêter le frère d’un des terroristes du Bataclan pour le placer en instance d’expulsion.

Condamné pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste»
Karim Mohamed-Aggad, né en juillet 1990 à Wissembourg, est le frère aîné de l’un des terroristes du Bataclan, Foued Mohamed-Aggad. Âgé de 23 ans, celui-ci s’était fait exploser le 13 novembre 2015 lors de l’attaque de la salle de concert, où, avec deux complices, il avait assassiné 90 personnes.

15 novembre dernier, il avait été déchu de la nationalité française par un décret signé par la première ministre Elisabeth Borne et publié dans le Journal officiel le 17 novembre. L’homme est désormais placé en instance d’expulsion.

Cette opération «s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la radicalisation et de l’éloignement des personnes posant un danger à la sécurité de notre pays demandée par le ministre» de l’Intérieur Gérald Darmanin, a commenté pour l’AFP la préfète du Bas-Rhin Josiane Chevalier.

Elle a précisé que l’homme avait été envoyé au Centre de rétention administrative (CRA) de Metz en vue de son expulsion, «le plus vite possible on l’espère». Le recours aux gendarmes du GIGN lors de l’interpellation a lieu dans «les cas extrêmement dangereux» afin qu’elle se fasse «en sécurité», a par ailleurs observé Josiane Chevalier.

Condamné pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste»
Karim Mohamed-Aggad, né en juillet 1990 à Wissembourg, est le frère aîné de l’un des terroristes du Bataclan, Foued Mohamed-Aggad. Âgé de 23 ans, celui-ci s’était fait exploser le 13 novembre 2015 lors de l’attaque de la salle de concert, où, avec deux complices, il avait assassiné 90 personnes.

Karim Mohamed-Aggad avait rejoint en décembre 2013 la Syrie en compagnie de son frère et d’un groupe d’amis radicalisés, la plupart issus du quartier de la Meinau à Strasbourg. À son retour, en 2016, il avait écopé de neuf ans de prison pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste», avant d’être libéré en 2022, précise France Info.

Son arrestation a eu lieu un mois et demi après l’attentat d’Arras au cours duquel l’assaillant, Mohammed Mogouchkov, originaire du Caucase russe et ayant grandi en France, a tué un professeur de français, Dominique Bernard, et blessé trois autres personnes. Le soir de l’attentat, Gérald Darmanin avait exprimé sur TF1 son souhait de pouvoir «expulser tous ceux qui, même arrivés à l’âge de deux ou trois ans, sont étrangers et méritent de retourner dans leur pays d’origine parce qu’ils ne respectent pas les règles de la République».

Auditionné lors du procès du «sergent recruteur du djihad»
Le trentenaire avait également été auditionné lors du procès du «sergent recruteur du djihad» Mourad Farès, en janvier 2020. Soupçonné d’avoir poussé plusieurs jeunes à rejoindre la Syrie, Mourad Farès comparaissait alors devant la cour d’assises spéciale de Paris pour «participation à une association de malfaiteurs terroriste», «direction ou organisation d’une association de malfaiteurs terroriste» et «financement d’entreprise terroriste».

En avril dernier, d’après le Journal officiel, les avoirs de Karim Mohamed-Aggad avaient été gelés par un arrêté publié par les ministères de l’Économie et de l’Intérieur.

Le terroriste d’Arras était inscrit dans le fichier S

Le terroriste d’Arras était inscrit sur la liste des radicalisés depuis 2 ans

Mohammed Mogouchkov, né en Russie et originaire d’Ingouchie, est arrivé en France en 2008. Le jeune homme était surveillé activement par la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) depuis juillet 2023 et fiché S pour radicalisation depuis le 2 octobre. Mais selon les informations de BFMTV, l’assaillant était en réalité inscrit au fichier de signalements pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) depuis février 2021. Le jeune homme avait déjà fait l’objet de deux signalements de la part du lycée Gambetta d’Arras, son ancien établissement scolaire, selon une source locale de l’Education nationale.

En cause, un incident avec une enseignante, survenu quelques mois plus tôt. Selon nos informations, en novembre 2020, une professeure du lycée Gambetta avait été agressée verbalement et physiquement par un élève de sa classe, alors qu’elle abordait la mémoire de Samuel Paty, assassiné quelques semaines plus tôt. Dix jours plus tard, l’élève concerné avait été exclu de l’établissement scolaire. Selon une source proche du dossier, les services de l’Education nationale avaient alors alerté les autorités sur les liens entre cet élève et Mohammed Mogouchkov.

Ukraine-Wagner sur la liste terroriste

Ukraine-Wagner sur la liste terroriste

Il aura fallu beaucoup de temps pour que les autorités commence à considérer officiellement l’organisation de mercenaires de Wagner comme un groupe terroriste. C’est ce que va faire en France l’Assemblée nationale en inscrivant ce groupe criminel sur la liste des terroristes. Ce vote pourrait avoir des conséquences vis-à-vis de l’influence de Wagner en Ukraine mais aussi en Afrique où les mercenaires ont fait dans nombre de pays des actes de déstabilisation politique, des appropriations de richesses et effectué des crimes.

* Le texte a été co-signé par des députés des différents groupes de la majorité, mais aussi par des élus issus des rangs socialistes, écologistes et de LR, présage d’un vote favorable dans l’hémicycle.

«Message politique, symbolique»
«Il s’agit d’envoyer un message politique, symbolique, un signal de dénonciation de Wagner et de ses activités – qui ciblent délibérément des civils pour avoir un gain politique – comme du terrorisme», avait fait valoir Benjamin Haddad. Le texte cite notamment les services de renseignement allemands, selon lesquels Wagner a «pris part aux exécutions sommaires, aux mutilations et aux actes de tortures commis envers les civils de la localité ukrainienne de Boutcha».

La cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, a salué dans l’hémicycle la résolution des députés, après avoir énuméré les nombreuses exactions attribuées au groupe Wagner et cité les sanctions déjà prises par l’UE. «D’un point de vue strictement juridique», la qualification terroriste du groupe par l’UE n’aurait «pas d’effet supplémentaire direct», a-t-elle dit. Mais «nous ne devons pas sous-estimer l’importance symbolique d’une telle désignation, ni le caractère dissuasif qu’elle pourrait avoir vis-à-vis des Etats qui seraient tentés par un recours» à Wagner, a-t-elle estimé.

Une autre résolution relative au conflit en Ukraine pourrait prochainement être examinée en séance. Portée par le député Renaissance Pieyre-Alexandre Anglade, elle vise à dénoncer les déportations d’enfants ukrainiens par la Russie, dans une «stratégie délibérée de destruction de l’identité nationale et de la société ukrainiennes».

Wagner désigné comme organisation terroriste

Wagner désigné comme organisation terroriste

Le groupe Wagner qui sert de bras armé à la Russie pour semer en de nombreux endroits le désordre et la guerre, en Ukraine bien sûr mais par exemple encore au Mali et au Burkina Faso, sera donc considéré comme groupe paramilitaire terroriste par les États-Unis. De ce point de vue il serait temps que d’autres pays notamment la France se réveille aussi pour condamner l’organisation criminelle composée essentiellement de mafieux, de voyous et d’assassins.

Les Etats-Unis vont donc désigner le groupe paramilitaire russe Wagner comme une organisation criminelle transnationale, ce qui l’exposera, ainsi que ses soutiens, à des sanctions financières, a annoncé la Maison Blanche, vendredi 20 janvier. La conséquence de cette désignation, prévue par le décret 13581, est le gel des avoirs du groupe Wagner aux Etats-Unis et l’interdiction faite aux ressortissants américains de fournir des fonds, des biens ou des services à cette organisation.

« Notre message à toute entreprise qui envisage de fournir de l’aide à Wagner est le suivant : Wagner est une organisation criminelle qui commet de vastes atrocités et violations des droits de l’Homme et nous travaillerons sans relâche à identifier, exposer et cibler ceux qui assistent Wagner », a ajouté John Kirby, porte-parole du conseil de sécurité nationale, lors du point de presse quotidien de la Maison Blanche.

La Maison Blanche a accusé le mois dernier le groupe Wagner d’avoir reçu une livraison d’armes provenant de Corée du Nord pour ses opérations en Ukraine. Pyongyang a démenti des informations sans fondement et l’oligarque Evguéni Prigojine, patron de Wagner.
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John Kirby a déclaré que le président russe s’appuyait de plus en plus sur le groupe Wagner, ce qui provoque selon lui des tensions au sein du ministère russe de la Défense. « Wagner devient un centre de pouvoir rival de l’armée et d’autres ministères russes », a-t-il indiqué. Les Etats-Unis estiment que le groupe Wagner a quelque 50 000 hommes déployés en Ukraine, dont 10 000 mercenaires et 40 000 détenus.

Mali: encore 11 soldats tués et 10 blessés dans une attaque terroriste

Mali: encore 11 soldats tués et 10 blessés dans une attaque

 

La semaine dernière, plus de 50 personnes ont été tuées lors d’un raid de combattants islamistes visant trois villages du centre du Mali et

Onze soldats ont été tués et dix autres blessés dans une embuscade visant un convoi militaire dans le centre du Mali jeudi, a annoncé l’armée.

Alors que la France donne des leçons sur la manière de gérer le conflit en Afghanistan, elle en oublie que le même processus est en route dans la région du Sahel où la force Barkhane se montre incapable de contrôler la situation. Pire après la prise de pouvoir par les militaires maliens, la force Barkhane ne se replie sur des objectifs beaucoup moins ambitieux .

Pendant ce temps-là l’insécurité monte dans la région. Pour preuve encore 47 personnes dont trente civils, quatorze soldats et trois supplétifs de l’armée ont été tuées mercredi 18 août lors d’une attaque par des djihadistes présumés contre un convoi militaire, escortant des civils, dans le nord du Burkina Faso, a annoncé le gouvernement burkinabè.

La commune de Gorgadji est située dans la province du Séno, dans le nord du Burkina Faso, zone dite des trois frontières, à cheval sur le Mali et le Niger. La zone des trois frontières est la région la plus touchée par les violences. Les morts, civils comme militaires, s’y comptent par milliers.

Cette attaque est la troisième d’une série qui a fait à chaque fois plus d’une dizaine de morts en deux semaines contre des soldats engagés dans la lutte anti-djihadiste dans le nord et le nord-ouest du Burkina Faso.

Niger: attaque terroriste et victimes

Niger: attaque terroriste et victimes

Des attaques de terroristes ont eu lieu dans la région très dangereuse de Tillabéri, dans l’ouest du Niger, ont indiqué à l’AFP des autorités locales et des habitants, le jour de la proclamation des résultats de la présidentielle.

 

Tchomo-Bangou», un village du département de Ouallam, frontalier du Mali, a été victime des islamistes.

 

«Les assaillants sont venus encercler le village et ils ont tué jusqu’à cinquante personnes. Des blessés ont été évacués à l’hôpital de Ouallam», d’après un journaliste local.

L’attaque de Tchomo-Bangou intervient alors que les résultats du premier tour de l’élection présidentielle du 27 décembre sont tombés, donnant largement en tête (39,33%) le candidat du parti au pouvoir Mohamed Bazoum, ancien ministre de l’Intérieur qui a promis de renforcer la lutte contre les groupes jihadistes. Depuis plusieurs années, le Niger est en proie à des attaques jihadistes dans ses parties Ouest et Sud-Est, qui ont fait des centaines de morts, de même que le Mali et le Burkina Faso voisin.

Attaque terroriste Kaboul : 22 morts

Attaque terroriste Kaboul : 22 morts

 

L’horreur encore à Kaboul avec des attaques terroristes coordonnées contre des étudiants qui ont fait au moins 22 morts. À la suite d’un kamikaze qui s’est fait exploser, deux tireurs ont pris pour cibles des étudiants sans défense, semant la mort et la terreur sur le campus, où les témoins ont vu des corps ensanglantés couchés sur les tables de classe où ils ont été surpris.

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a «condamné fermement» «l’attaque horrible» commise à l’université, en réclamant que ses auteurs en répondent devant la justice. «Cette effroyable attaque, la deuxième en dix jours contre une école de Kaboul, est également une atteinte au droit humain à l’éducation», a-t-il souligné dans un communiqué.

La semaine dernière au moins 24 personnes, principalement des étudiants, avaient déjà péri dans un attentat à la bombe contre un centre d’éducation dans l’ouest de Kaboul, revendiqué par l’EI.

« Menace terroriste élevée » (Darmanin)

« Menace terroriste élevée » (Darmanin)

 

 

A la-veille du procès des attentats de janvier 2015 à Charlie Hebdo, à Montrouge et à l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes à Paris , le ministre de l’intérieur rappelle que la menace terroriste est élevée en France avec notamment plus de 8000 personnes radicalisées dangereuses . Le ministre de l’intérieur a sans doute raison mais cela lui donne aussi l’occasion d’affaiblir  le projecteur sur le champ global de préoccupation sécuritaire. En effet, ce qui semble préoccuper aujourd’hui les Français, c’est aussi l’insécurité générale avec la montée des crimes et délits, des incivilités quotidiennes sur fond de  remise en cause générale de l’autorité notamment de l’État.

De ce point de vue,  la politique de Darmanin  est très contestée car se bornant trop à des déclarations médiatiques sans lendemain. Il lui est reproché  de singer Sarkozy avec une efficacité encore moins grande.

Ceci étant, la France engagée sur nombre de théâtres internationaux constitue évidemment une cible privilégiée pour le terrorisme.

Lors d’un discours prononcé au siège de la DGSI (Direction général de la Sécurité intérieure), le ministre de l’Intérieur a souligné que trente-deux attentats avaient été déjoués en France depuis 2017.

Dans la matinée, Jean-François Ricard, qui dirige le Parquet national antiterroriste (Pnat), avait précisé sur franceinfo que les services de renseignement avaient mis en échec au moins une demi-douzaine de projets d’attentats depuis janvier.

“Je voudrais insister sur le fait que (la menace terroriste) demeure à un niveau extrêmement élevé sur le territoire national. Nous devons donc maintenir notre plus grande vigilance”, a insisté Gérald Darmanin.

Il a rappelé que depuis 2017, dix attaques sur le territoire national – dont trois cette année, le 3 janvier à Villejuif, le 4 avril à Romans-sur-Isère et le 27 avril à Colombes – avaient abouti à la mort d’une vingtaine de personnes.

“L’ouverture du procès (des attentats de janvier 2015) est l’occasion pour nous de rappeler que la lutte contre le terrorisme islamiste est une grande priorité du gouvernement. Elle exige une mobilisation totale”, a ajouté le ministre de l’Intérieur.

“La composante extérieure de la menace doit continuer à faire l’objet de toute notre attention. La perpétuation de cette menace est notamment due à la forte résilience de l’Etat islamique qui avait anticipé sa défaite (militaire) en adaptant sa structure”, a poursuivi Gérald Darmanin.

“Mais c’est la menace endogène, dans nos murs, qui est devenue la plus prégnante et la plus forte, celle qui mobilise le plus l’attention des services de renseignement.”

Cette menace représente un “défi croissant” pour les services de renseignement qui “assurent le suivi de 8.132 individus inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste”.

Gérald Darmanin a également précisé que 505 individus condamnés pour terrorisme islamiste étaient actuellement recensés dans les prisons françaises, “auxquels s’ajoutent malheureusement 700 détenus de droit commun susceptibles de radicalisation”.

De son côté, Jean-François Ricard a fait le point sur le sort des Français ayant combattu aux côtés des djihadistes et de leur entourage.

“Nous savons (…) qu’il y a environ 250 Français, hommes et femmes adultes, qui se trouvent en détention” dans la zone irako-syrienne, ainsi qu’environ 300 enfants, a-t-il dit, en ajoutant que 170 adultes, autant de femmes que d’hommes, étaient revenus en France dans le cadre des accords de coopération policière avec la Turquie.

“Chaque fois qu’une de ces personnes revient en France, elle est jugée”, a insisté le magistrat.

Concernant ceux qui ont déjà été jugés et emprisonnés, 45 seront libérés cette année et 63 l’an prochain, a précisé Gérald Darmanin. Le suivi de ces anciens détenus doit être une des priorités voire la priorité numéro un des services de l’Etat, a-t-il souligné.

Burkina Faso: attaque terroriste, 37 morts

Burkina Faso: attaque terroriste, 37 morts

Une attaque terroriste très meurtrière qui s’ajoute à d’autres et témoigne de la déliquescence du climat au Sahel et en particulier au Burkina Faso. De quoi s’interroger sérieusement sur le rôle que joue la force Barkhane de plus en plus contestée. L’attaque terroriste d’un convoi d’autocars de la compagnie minière canadienne Semafo dans l’est du Burkina Faso a fait 37 morts et plus de 60 blessés, a-t-on appris mercredi auprès des autorités locales. Les cinq bus transportaient du personnel, des entrepreneurs et des fournisseurs liés à la compagnie minière, et ils étaient escortés par des militaires.

L’attaque s’est produite à 40 kilomètres de la mine d’or de Boungou (propriété de Semafo), dont les activités n’ont pas été affectées, a indiqué la compagnie. Semafo avait fait part dans un premier temps d’un bilan de « plusieurs morts et blessés ». Les assaillants ont mené une « attaque complexe », a indiqué le gouvernement burkinabé dans un communiqué mercredi soir.

« Un véhicule militaire qui assurait l’escorte en tête de convoi a sauté sur un engin explosif. Deux cars qui transportaient des travailleurs ont ensuite essuyé des tirs nourris », a expliqué une source sécuritaire s’exprimant sous le couvert de l’anonymat. « Les forces de défense et de sécurité ont lancé une opération » de secours « et ont entrepris un ratissage de la zone », a précisé le gouvernement.

 

Semafo, producteur aurifère canadien basé à Montréal, a présenté ses condoléances « aux familles des victimes » et exprimé « son soutien résolu aux forces de sécurité du Burkina Faso », selon un communiqué. L’État burkinabé avait demandé cette année aux compagnies minières de prendre des dispositions spéciales pour le déplacement de ses employés, selon des sources proches des miniers.

Deux attaques meurtrières avaient déjà visé des convois de personnels de la mine de Boungou et leurs escortes en août et décembre 2018, faisant 11 morts au total. Mais le bilan de l’attaque de ce mercredi en fait la plus meurtrière perpétrée au Burkina Faso depuis le début de la spirale de violences djihadistes il y a près de cinq ans.

Le 15 janvier 2016, 30 personnes, majoritairement des Occidentaux, avaient été tuées et 71 blessées lors d’un raid djihadiste contre l’hôtel Splendid et le restaurant Cappuccino à Ouagadougou, la capitale. Le 19 août dernier, une attaque avait frappé une base militaire à Koutougou, faisant au moins 24 morts, soit l’attaque la plus meurtrière jamais subie par l’armée burkinabée depuis 2015.

Au total, les attaques attribuées aux groupes djihadistes, certains affiliés à al-Qaïda, d’autres au mouvement Etat islamique, ont fait près de 700 morts depuis début 2015 et environ 500 000 déplacés internes et réfugiés, selon l’ONU.

 

Manif pour le terroriste de la préfecture de Paris : l’initiateur en garde à vue.

Manif pour le terroriste de la préfecture de Paris : l’initiateur en garde à vue.

 

Il faut sans doute être à la fois complètement intoxiqué par le radicalisme et sans doute déséquilibré pour avoir appelé à une manifestation autour’ hui en soutien à l’auteur des crimes de la Préfecture de Paris. En plus avec en arrière pensée, des intentions politiques puisque l’initiateur de cette manifestation (qui ne mérite même pas qu’on indique son nom) se veut être le candidat des banlieues. La preuve, s’il le fallait, de l’ampleur d’un radicalisme dont la nature et la profondeur sont nettement sous estimées. Tout cela sur fond de salafisme, de communautarisme, de pauvreté et de trafic de drogue. Il aura quand même fallu 24 heures pour que le gouvernement et la justice régissent à cette monstrueuse initiative.

Castaner a en effet interdit hier un rassemblement pour l’auteur de l’attaque de la préfecture

Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a annoncé mercredi qu’un rassemblement de soutien à Mickaël H., l’auteur de l’attaque à la préfecture de police de Paris, prévu jeudi dans le Val-d’Oise, serait interdit.

 

Auteur de l’ attentat préfecture : employé modèle ou terroriste ?

Auteur de l’  attentat préfecture : employé modèle ou terroriste ?

Après la communication ratée de l’incendie de Rouen, c’est une vraie faillite de la communication sur l’affaire de l’attentat de la préfecture. Difficile de comprendre la communication du gouvernement qui est passé du profil d’un employé modèle à celui de terroriste pour  l’auteur des attentats de la préfecture de Paris. Pour parler clair le procureur du parquet national anti terroriste a dit à peu près le contraire du ministre de l’intérieur Christophe qui Castaner avait déclaré jeudi que le suspect n’avait jamais présenté de signe d’alerte.

Le procureur du parquet national antiterroriste, Jean-François Ricard indiqué que l’auteur s’était converti à l’islam depuis une dizaine d’années. L’analyse de son téléphone a en outre permis de “faire apparaître des contacts (avec) plusieurs individus susceptibles d’appartenir à la mouvance islamiste salafiste”, a indiqué Jean-François Ricard, ajoutant que “plusieurs témoignages ont fait apparaître qu’il aurait adhéré à une vision radicale de l’islam”.

L’ensemble de ces éléments, a conclu le procureur, explique que le Parquet national antiterroriste se soit saisi vendredi de l’enquête et que les faits aient été requalifiés en “assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste” et “association de malfaiteurs terroriste criminelle”.

La Pitié Salpêtrière : Attaque terroriste à intrusion violente ou l’art de rétropédalage sémantique

La Pitié Salpêtrière : Attaque terroriste à  intrusion violente ou l’art de rétropédalage sémantique

En 24 heures,  le ministre de l’intérieur Christophe Castaner, est passé de la version attaque d’un hôpital à celle d’une intrusion violente. Bref un sérieux rétro pédalage sémantique. On voit mal d’ailleurs pourquoi il faudrait considérer cette intrusion comme  violente dans la mesure où les manifestants n’ont pénétré dans l’hôpital que pour se mettre à l’abri des gaz lacrymogènes  et cela sans aucune violence comme en témoigne même le personnel hospitalier. . Jeudi, Castaner est interrogé à la volée dans les couloirs du Sénat par une équipe de BFMTV. Le ministre éclate: «J’ai entendu, sur votre chaîne, la version de la directrice de l’hôpital. J’ai aussi entendu, comme vous, celle du patron de l’Assistance publique de Paris (Martin Hirsch, NDLR).» Deux autorités qui avaient assuré que l’hôpital avait été ciblé. Devant le flot de réactions outrées, les communicants du gouvernement s’agitent. Très vite, la riposte se met en place. Avec une priorité: couper court aux accusations de mensonge, relayées par une partie de la classe politique, La France insoumise en tête. La folie reprend alors de part et d’autre. D’un côté on demande la démission du ministre de l’intérieur voir celle du président de la république. De l’autre on excuse totalement du moins de manière officielle les excès verbaux de Castaner qui n’en est pas à sa première expérience ; par exemple, quand il considérait que les gilets jaunes venaient manifester pour tuer. Le ministre de l’intérieur confond évidemment son portefeuille avec celui d’un ministère de la propagande. En permanence, il se considère comme le porte flingue de Macron et passe son temps à faire de la provocation et de la communication. Au lieu et place sans doute de se concentrer sur l’efficacité de la politique du maintien de l’ordre qui évolue d’une semaine sur l’autre et qui pour l’instant n’a pas encore totalement permis précisément de ramener le calme dans les défilés . D’une certaine façon, Castaner  s’est aussi fait piéger par les propos opportunistes de Martin Hirsch (nommé par les socialistes) qui peut-être pour conforter son poste a besoin de montrer sa grande tolérance avec le macronisme ; en réalité Martin Hirsch pas plus que Castaner ne connaissait la réalité des faits de l’incident finalement anecdotique de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière. Depuis son entrée au gouvernement, en mai 2017, l’ancien socialiste s’est en effet retrouvé au centre de nombreuses polémiques, qui portent à la fois sur certaines déclarations (ONG «complices» des passeurs ; Alexandre Benalla «chargé des valises», etc.), mais aussi sur certains agissements, comme sa virée nocturne dans une célèbre boîte de nuit parisienne. Pire, le rythme de ces faux pas semble s’être accéléré depuis son arrivée à Beauvau. «Il fait trop de com’. Résultat, il s’expose trop. Mercredi, il n’aurait pas dû parler du tout. Point à la ligne», tranche un cadre de La République en marche, visiblement agacé par son attitude. Comme lui, plusieurs macronistes commencent à émettre de sérieux doutes sur la capacité de Christophe Castaner à assumer la fonction de ministre de l’Intérieur. D’autant que le chef de l’État a déjà utilisé un fusible en limogeant le préfet de police, Michel Delpuech, il y a à peine un mois. «(Il) a corrigé son propos. Il a sans doute eu raison de le faire», a d’ailleurs soufflé vendredi Édouard Philippe, assurant toutefois qu’il lui maintenait «toute sa confiance».

 

Fresnes : deux smartphones chez un terroriste présumé

Fresnes : deux smartphones chez un terroriste présumé

 

La preuve sans doute que la crise des prisons est loin d’être résolue en particulier à Fresnes la plus vieille et la plus grande prison française. On a en effet découvert des smartphones dans la cellule d’un homme en détention provisoire dans le dossier d’une tentative d’attentat avortée l’automne dernier à Paris. ;  Le détenu a pu communiquer avec l’extérieur entre les 12 décembre et 6 février derniers, notamment en postant des messages sur Facebook. Rappelons que très récemment Macron a visité cette prion mais sans la presse ! Curieux d’annoncer une visite du président de la république à la prison de Fresnes mais  hors la présence de la presse. Peut-être pas aussi étonnant que cela car la plus vieille et la plus grande prison de France est dans un état lamentable avec un taux d’occupation de 200 %. Une prison (en service en 1898 et qui n’a guère changé depuis) qui ressemble à une vieille usine du XIXe siècle où les conditions d’hygiène et de sécurité sont particulièrement douteuses. En plus,  avec un mélange de toutes les catégories de détenus. Dans cette prison comme dans d’autres, les personnels pénitentiaires ont des raisons objectives pour protester contre leurs conditions de travail. Macron  aurait pu se rendre en toute discrétion dans l’établissement pénitentiaire mais il n’a pu s’empêcher d’annoncer sa visite à l’avance pour montrer tout l’intérêt qu’il porte à la problématique de détention et au personnel chargé de l’assurer. Mais en évitant que la presse et les caméras en particulier ne rendent compte de l’état de vétusté de l’établissement pénitentiaire et de l’impossibilité pour le personnel d’assurer les meilleures conditions de sécurité et encore moins leur rôle et pédagogique  pour la réinsertion des détenus. À Fresnes, où le Contrôleur général des lieux de privation de liberté a constaté «des violations graves des droits fondamentaux» et «des conditions de vie indignes», le président «souhaite mieux appréhender toutes les problématiques du milieu carcéral», a expliqué l’Élysée. Cette visite n’avait toutefois pas été inscrite à l’agenda officiel du chef de l’État qui a  souhaité visiter la prison sans la presse !

 

Assaillant du 18 éme arrondissement : un terroriste ou un touriste ?

Assaillant du 18 éme arrondissement : un terroriste ou un touriste ?

 

Il est curieux de constater les efforts que font aussi bien le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve que la ministre de la justice Christiane Taubira pour minimiser les événements. Ainsi Bernard Cazeneuve a-t-il déclaré dimanche que l’assaillant du commissariat du 10e arrondissement n’avait pas de complices. Une déclaration sans doute un peu hâtive puisqu’on ne connaît pas l’identité exacte de l’intéressé (peut-être tunisien) et encore moins son itinéraire. On se demande bien alors pourquoi l’enquête était confiée à la brigade anti terroriste. »Ce que nous avons aujourd’hui, c’est que l’identité sur laquelle l’enquête était partie n’était pas la bonne, qu’il est sans doute d’origine tunisienne, que son nom serait Tarek Belgacem et qu’il aurait séjourné dans plusieurs pays de l’Union européenne, le Luxembourg, la Suisse, l’Allemagne ». De quoi se demander si l’auteur de l’attentat. De quoi se demander si l’auteur de l’attentat était un terroriste ou un touriste. On peut observer une situation aussi surréaliste après l’attentat contre des militaires qui protégeaient une mosquée à Valence. Une situation qui permet aussi de s’interroger sur l’adaptation du système juridique à l’actuel environnement terroriste. En effet d’après le procureur de Valence qui instruit l’affaire « La piste terroriste est pour l’instant écartée par les enquêteurs ». Cela au motif que pour l’instant celui qui a tenté  de tuer des militaires avec sa voiture n’a pas été repéré comme appartenant à un réseau par les services de police. Dès lors  on se demande vraiment ce qu’il faut commettre comme acte criminel pour être qualifié de terroriste surtout lorsqu’on s’attaque au symbole même de l’action régalienne,  c’est-à-dire l’armée. Peut-être faudrait-il adresser au procureur de Valence la définition du mot terrorisme à savoir d’après le Larousse : « Ensemble d’actes de violence (attentats, prises d’otages, etc.) commis par  une organisation pour créer un climat  d’insécurité, pour exercer un chantage  sur un gouvernement, pour satisfaire une  haine à l’égard d’une communauté, d’un pays, d’un système ». On sait clairement que l’État islamique a invité ses sympathisants du monde entier à tuer par tous les moyens possibles ceux  qu’ils considèrent comme des mécréants. On a aussi découvert dans l’ordinateur de l’intéressé des éléments de propagande en faveur de l’État islamique. Comment admettre qu’on puisse considérer dans ces conditions que l’attentat commis ne relève pas de l’action terroriste. La preuve supplémentaire sans doute que nos états démocratiques sont bien mal outillés pour lutter contre cette situation de guerre y compris sur le territoire national Après le geste d’un automobiliste qui a foncé sur des militaires de garde devant la mosquée de Valence vendredi, a déclaré samedi le procureur de Valence, Alex Perrin.  .  L’homme, un Français d’origine tunisienne âgé de 29 ans, est hospitalisé après avoir été touché à un bras et aux jambes de trois balles tirées par les militaires, déployés dans le cadre de l’opération Sentinelle. Ceux-ci comptent trois blessés légers dans leurs rangs et un fidèle de la mosquée a également été touché par une balle perdue lors de la fusillade. Alors que la garde à vue de l’assaillant devait être prolongée dans la journée, les enquêteurs ne disposent à ce stade d’aucun élément laissant penser qu’il s’agissait d’un acte terroriste, ce qui explique que la section antiterroriste du parquet de Paris n’ait pas été saisie, a indiqué le procureur. « En l’état des vérifications (…), nous n’avons rien trouvé sur lui, dans son véhicule, à son domicile qui puisse nous rattacher à un réseau terroriste ou une action terroriste », a-t-il dit lors d’un point de presse. « Rien ne nous renvoie sur d’autres personnes, ou de sa famille ou des tiers, et notamment rien ne nous renvoie sur une appartenance à un réseau quel qu’il soit », a-t-il poursuivi, en soulignant que, « pour l’instant, on est vraiment dans ce qui nous semble être un comportement solitaire ». Alex Perrin, a précisé que l’homme, qui aurait crié « Allah est grand » en fonçant à trois reprises sur les militaires, n’était connu ni de la police ni des services de sécurité. « Lorsqu’il a été pris en charge par les services de secours, il a tenu des propos assez confus indiquant qu’il souhaitait tuer des militaires parce les militaires tuaient des gens (…) et, d’autre part, qu’il souhaitait se faire tuer par des militaires », a-t-il expliqué. Si son audition, qui devait commencer samedi après-midi, confirme ces éléments, il risque une mise en examen pour tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique, aucune préméditation n’étant encore établie. L’individu résidait à Bron, ville de la banlieue lyonnaise dont il fréquentait la mosquée, et était venu voir sa belle famille à Valence. Entendue par les policiers, son épouse « a été étonnée de ce passage à l’acte (…) sur lequel il n’avait pas manifesté de volonté, d’intention particulière », a encore dit le procureur, précisant en outre que ses premiers contacts avec les enquêteurs « n’ont pas montré quelqu’un qui présenterait un déséquilibre mental ». Bref comme pour le 18e arrondissement, un homme normal, un touriste aussi peut-être ?

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