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Non, la vague Covid n’est pas terminée

Non,  la vague Covid n’est pas terminée

 

 

Les pouvoirs publics affirment que la pandémie est sur le point de ce terminer avec la septième vague. Des affirmations pourtant contredites par les chiffres puisqu’hier encore on a constaté plus de 50 000 contaminations. La grande question est de savoir si le virus va encore évoluer et créer une nouvelle vague dès automnes. En  dépit de chiffres importants la plupart des grands médias pour l’impasse sur la situation Covid.  Les hospitalisations sont encore à un niveau élevé, selon le bilan hebdomadaire de Santé Publique France. «La diminution de la circulation du SARS-CoV-2 s’est confirmée sur le territoire national» dans la semaine du 18 au 24 juillet, mais les indicateurs restent «toutefois à des niveaux élevés dans toutes les régions et classes d’âge», observe l’agence sanitaire. 45.515 nouveaux cas ont ainsi été détectés lors des dernières 24 heures.

 

À l’hôpital, «une baisse des nouvelles hospitalisations s’est amorcée» (-4%), mais les nouvelles entrées de patients Covid-19 (8876) et les nouvelles admissions en soins critiques (823) restent encore à «des niveaux élevés», selon son bilan épidémiologique. Vendredi, 20.214 patients étaient encore hospitalisés contre 20.486 la veille. Parmi eux, 1195 étaient admis au sein des services de soins critiques. Et il y a des différences «marquées» entre territoires, certaines régions de métropole, notamment Auvergne-Rhône-Alpes, Nouvelle-Aquitaine et Corse, connaissant toujours une hausse des admissions en soins critiques. Les décès ont, eux, continué à augmenter, avec 641 à l’hôpital ou en établissement médico-social (+1% sur une semaine). 82 morts étaient à déplorer dans les hôpitaux français ce vendredi.

 

L’actuelle vague est portée par des sous-variants d’Omicron, notamment le BA.5, désormais largement majoritaire. À ce jour, trois cas d’un nouveau membre de la famille Omicron surveillé de près, BA.2.75, ont été détectés en France. La couverture vaccinale «reste insuffisante», notamment chez les plus âgés, a réaffirmé Santé publique France, appelant à accentuer l’effort. Seuls 31,2% des 60-79 ans, 41,8% des 80 ans et plus et 46,9% des résidents en Ehpad éligibles avaient reçu leur deuxièmedose.

 

Covid «La troisième vague n’est pas terminée » (Gabriel Attal)

Covid «La troisième vague n’est pas terminée » (Gabriel Attal)

Les déclarations du porte-parole du gouvernement révèlent la profondeur et l’ampleur d’une crise sanitaire dont personne ne peut définir à la fois la durée et l’ampleur. En clair, le pessimisme affiché par Gabriel Attal prépare sans doute une prolongation des mesures restrictives qui devaient être limitées à quatre semaines. Une première prolongation sans doute en mai juin et qui pourrait y compris affecter une partie de l’été pour certaines activités.

 

Selon Gabriel Attal, «la situation épidémique reste très contrastée. Si certains signaux sont encourageants et montrent que les mesures de freinage fonctionnent, il est encore trop tôt pour constater une pleine efficacité de ces mesures au niveau national».

L’Île-de-France, les Hauts-de-France et la Provence-Alpes-Côte d’Azur «sont toujours les régions qui connaissent l’incidence la plus élevée», et «la situation semble toujours se dégrader» en Auvergne-Rhône-Alpes, dans le Grand Est, et en Bourgogne Franche-Comté, a détaillé le porte-parole. «L’évolution est même plus préoccupante encore dans certains départements» comme le Massif central et la Drôme, tandis que la Meuse, la Moselle et la Meurthe-et-Moselle «connaissent toujours une situation fragile», selon M. Attal.

 

En Bourgogne-Franche-Comté, «l’évolution paraît plus dégradée» dans les départements de l’est de la région, la Haute-Saône, le Doubs, le Territoire de Belfort et le Jura, mais «meilleure» dans la Nièvre. La tendance est en revanche «relativement plus favorable» en Provence-Alpes-Côte d’Azur et dans les Alpes-Maritimes, où le taux d’incidence est passé de 488 fin mars à 286 ces derniers jours, a-t-il souligné, en notant aussi une évolution «très favorable» dans l’Aube, avec une baisse de près de 40% de l’incidence.

 

Une évolution «un peu plus favorable» qu’à l’échelle nationale s’observe également dans l’Eure et en Seine-Maritime. En Outre-mer, Garbiel Attal a relevé «une amélioration de la situation dans l’Océan indien, mais une dégradation aux Antilles et en Guyane», frontalière du Brésil, où circulent de nombreux variants.

La France comptait presque 6000 malades du Covid-19 dans les services de réanimation ce mardi et près de 32.000 personnes hospitalisées, avec 39.113 nouveaux cas enregistrés en 24 heures.

Mondialisation « La Fin heureuse est terminée » ? (Geoffroy Roux de Bézieux)

Mondialisation « La Fin  heureuse est terminée » ? (Geoffroy Roux de Bézieux)

Le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux constate que la croissance ne génére pas une baisse significative du chômage, il en incombe la responsabilité au contexte international mais aussi aux postes non pourvus. Un dernier aspect  assez réducteur même si le phénomène existe. Cela dit cela concerne environ 300 000 postes non pourvus quand le nombre de chômeurs atteints 5.5 millions de personnes. (Interview JDD)

Quel regard portez-vous sur ce taux de chômage qui a cessé de baisser et les difficultés de recrutement qui s’accroissent? 
Cette situation est complètement paradoxale même si elle n’est pas nouvelle. Cet écart s’amplifie et nous avons une responsabilité collective. La France crée des emplois. Entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2017, près de 777.000 emplois ont été générés en partie grâce au crédit impôt compétitivité emploi et à l’action des entreprises. En 2017, le taux de croissance a atteint 2,3 %, ce que notre pays n’avait pas connu depuis la crise. Mais cette croissance ne se traduit pas par une baisse importante du chômage.

 

Allez-vous vous engager à créer un million d’emplois comme votre prédécesseur?
Il y en a déjà eu 770.000 ! Mais il faut être lucide, Le sujet est très complexe, multicausal et il n’y a malheureusement pas de formule magique. Je m’engage néanmoins à ce que le Medef de propositions que je porte réfléchisse à ce scandale français que sont les difficultés de recrutement dans une période de chômage de masse et fasse des suggestions pour trouver des solutions.

La situation internationale vous inquiète-t-elle?
La mondialisation heureuse est terminée. Il y a une très forte agressivité commerciale de certains pays et, face à cela, nous devons avoir une Europe combative au service des producteurs et pas seulement des consommateurs, et qui tombe l’habit de la naïveté. Le rétablissement des sanctions américaines face à l’Iran est un scandale absolu ! Ça n’est pas à Donald Trump de dire si les entreprises françaises peuvent commercer avec ce pays ou pas. Nous touchons là la limite de la démocratie et réalisons que la souveraineté économique de l’Europe n’existe pas. Il serait pourtant crucial pour notre avenir commun que celle-ci existe.

Mélenchon : période d’essai terminée pour Hollande

Mélenchon : période d’essai terminée pour Hollande

De la place de la Bastille à celle de la Nation, grand classique des défilés de la gauche en France, une « marche citoyenne » réunissait dans l’après-midi 180.000 manifestants, selon Jean-Luc Mélenchon qui avait affirmé vendredi que ce serait « un triomphe » si le cortège regroupait 100.000 personnes. La préfecture de police l’a évalué à « 30.000″.  Une divergence de chiffrage qui a mis le feu aux poudres entre M. Mélenchon et Manuel Valls (Intérieur), le premier décrivant le second comme « aux abois » et le second accusant le premier d’être « un théoricien du complot ».  Depuis l’élection de François Hollande il y a un an, le 6 mai 2012, il s’agissait de la première grande manifestation à l’appel d’une partie de la gauche, une initiative dénoncée en termes vifs par des ministres et dirigeants du PS, pour qui Jean-Luc Mélenchon instille au sein de la gauche le poison de la division.  Aux troupes du PCF et du Parti de gauche s’était jointe une foule de personnalités, dont Eva Joly (EELV), candidate des écologistes en 2012 qui avait remis ses lunettes vertes de la campagne présidentielle, et le médecin urgentiste Patrick Pelloux.  Le fondateur du site Médiapart, Edwy Plenel, dont la participation avait été annoncée par les organisateurs dans une liste d’une centaine de personnalités, a précisé à l’AFP avoir suivi la manifestation « en tant que journaliste » et non pas comme participant.  Le NPA d’Olivier Besancenot était là, mais avec ses propres mots d’ordre.  Les drapeaux rouges flottaient place de la Bastille où l’on pouvait compter quelques balais en référence à l’expression « coup de balai » de Jean-Luc Mélenchon. Sur les pancartes, des slogans tels que « séparation du Medef et de l’Etat » ou « Hollande passe la 6e ».  Des drapeaux verts de EELV étaient également présents. « On voudrait que le changement s’incarne avec plus de rapidité et plus d’efficacité », a dit à la presse Sergio Coronado, seul député EELV présent, qui n’a « pas l’impression d’être déphasé avec la base » des militants écologistes.   »On n’a jamais intérêt quand on a été élu par un électorat de lui tourner si rapidement, si facilement le dos », a-t-il ajouté, précisant: « ce n’est pas une manifestation contre François Hollande, c’est une manifestation pour que le gouvernement change de cap ».  Sur un podium à Bastille, M. Mélenchon a affirmé, à propos du quinquennat Hollande, que « la période d’essai (était) terminée » et que « le compte n’y (était) pas » alors que les manifestants scandaient « résistance ! ».  Oeillets rouges à la boutonnière, foulard rouge autour du cou, il a accusé le président de ne pas respecter ses engagements de campagne. « Nous n’avons pas changé d’avis, nous ne voulons pas de la finance au pouvoir, nous n’acceptons pas les politiques d’austérité », a-t-il dit .  Derrière lui, des représentants des « entreprises en lutte » (Fralib, ArcelorMittal, Sodimedical, Carrefour, Prestalis, Air France, Sanofi…), qui ont ensuite pris place dans le cortège, derrière le carré de tête où étaient réunis les représentants du FG tels Clémentine Autain (la Phase), Marie-George Buffet (PCF) ou Christian Picquet (gauche unitaire).  Numéro 1 du PCF, Pierre Laurent, brins de muguet à la boutonnière, a déploré « une année gâchée pour le changement ». « Un an plus tard, c’est le gâchis et la colère », a-t-il insisté, refusant de se « rallier à l’idéologie de la défaite face aux forces de l’argent ». Cette « marche citoyenne », a-t-il dit, est « un appel à la remobilisation, un appel à reprendre le combat là où le gouvernement a trop vite renoncé ».  Quant à Mme Joly, dont le parti ne s’est pas associé à ce rassemblement, elle a invoqué « les dizaines de milliers de militants de la gauche et de l’écologie qui veulent que ça change maintenant, qui veulent que ça change vraiment ». Elle a demandé à François Hollande de « retrouver l’esprit du Bourget, lorsqu’il disait vouloir combattre le pouvoir de l’argent ».   »La manifestation n’est pas une mobilisation antigouvernementale, elle doit être un point d’appui pour mener une autre politique », a-t-elle dit.   »Nous avons chacun nos histoires, nos traditions politiques (…) Mais nous ne nous laisserons pas diviser ». Elle répliquait ainsi aux ministres et dirigeants du PS, qui accusent les organisateurs de la manifestation de « diviser la gauche » et s’en prennent à M. Mélenchon, qui avait donné pour mission à cette initiative de donner « un coup de balai » après le scandale Cahuzac.   »La politique, c’est toujours un rapport de force », a dit Martine Billard coprésidente du PG. « Nous voulons dire dans la rue qu’il y a une gauche dans ce pays et pas une gauche de résignation ».   »On sait qu’il y a des gens dans les couches populaires, chez les salariés (…) qui sont révoltés contre ce gouvernement et l’objectif (…) c’est de leur donner une perspective politique commune, (…) c’est une grande manifestation de la gauche anti-gouvernementale », a déclaré M. Besancenot.  Depuis Soustons (Landes), Harlem Désir (PS) a dénoncé la stratégie de « fracas » de M. Mélenchon. On « n’a pas besoin d’une gauche qui se déchire, on a besoin d’une gauche qui se rassemble dans l’action ».

 

Mali : la guerre bientôt terminée pour la France ?

Mali : la guerre bientôt terminée pour la France ?

La France veut éviter l’enlisement, c’est ce qu’a affirmé Fabius. En fait, la France constate qu’elle est seule sur le terrain et que le soutien des grandes puissances démurent assez symbolique. Du coup Hollande prépare l’opinion au retrait des forces françaises, laissant le soin aux forces africaines pourtant bien démunies de faire le reste du travail ; le plus difficile : déloger les islamistes des montagnes, du désert  ou des localités dans lesquelles ils se fondent avec la population. Ces derniers jours, les Français et les Maliens ont multiplié les victoires sur le terrain. Après avoir repris Gao ce week-end, les armées française et malienne se sont emparées de Tombouctou dans la journée de lundi. Deux reconquêtes confirmées par François Hollande lors d’une conférence de presse. « Nous sommes en train de gagner cette bataille », a ainsi expliqué François Hollande précisant que « quand je dis nous, c’est l’armée malienne, ce sont les Africains soutenus par les Français ». Le président de la République est également revenu sur les conditions de l’engagement français au Mali. Il a ainsi précisé qu’il reviendrait aux troupes africaines de poursuivre l’offensive vers le nord du pays.  « Les Africains peuvent prendre le relais et ce sont eux qui iront dans la partie du nord » (François Hollande) Par ailleurs, le chef de l’État a répété que la France n’avait « pas vocation à rester au Mali » expliquant qu’à terme, l’armée française ne serait là « que pour encadrer et former l’armée malienne ». « De la même manière que nous sommes montés en charge rapidement, nous reviendrons vers les bases de départ », a ajouté François Hollande. Enfin le président de la République a affirmé que les populations civiles avaient été « protégées d’exactions ». Plusieurs organisations de défense des droits de l’Homme affirment que l’armée malienne s’est livrée à des opérations de représailles. 

 

 

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Fonctionnaires : grève jeudi; lune de miel terminée avec Hollande

Fonctionnaires : grève jeudi; lune de miel terminée avec Hollande 

Après la chute dans les sondages, Hollande va devoir affronter ses premières grèves. La lune de miel est décidemment bien finie et les difficultés commencent pour le gouvernement qui en outre doit gérer la vague de suppression d’emplis dans le privé. Ce sera donc Première fronde syndicale d’envergure à l’encontre de François Hollande. Les 5,2 millions de fonctionnaires du pays sont en effet appelés par la CGT, FSU et Solidaires à cesser le travail, jeudi prochain, afin de faire part au gouvernement de leur impatience. Ils entendent signifier qu’ils attendent des gestes concrets en matière salariale, la dernière augmentation générale remontant à 2010, mais défendent aussi des revendications sur l’emploi ou la journée de carence (non indemnisée) en cas d’arrêt maladie. Quelque 120 rassemblements et manifestations sont prévus sur le territoire, dont une manifestation à 14 heures à Paris depuis Port-Royal.

 

 

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