Archive pour le Tag 'tension'

Crise ukrainienne : américains et russes baissent un peu le ton mais maintiennent la tension

 

Crise ukrainienne : américains et russes baissent un peu le ton mais maintiennent la tension

Suite à une rencontre à Genève entre les chefs de diplomatie américain et russes, le ton a baissé même si les tensions demeurent. En effet s’il y a la question militaire avec des risques d’affrontement à la frontière ukrainienne, il y a aussi des préoccupations économiques et politiques. Sur le plan politique, la Russie exige qu’il n’y ait pas d’extension de l’OTAN en Ukraine. Sur le plan économique, la Russie craint des représailles éventuelles notamment vis-à-vis de ses exportations de gaz. Enfin sur le plan sociétal, la Russie craint une extension du modèle démocratique ukrainien qui mettrait en cause la dictature russe.

Sergueï Lavrov, le représentant russe, a cependant déclaré après la rencontre de Genève que lui et son homologue américain étaient « d’accord qu’un dialogue raisonnable » était « nécessaire » pour que « l’émotion retombe », après un peu moins de deux heures de discussions.

Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres s’est dit « convaincu » qu’une invasion ou une incursion militaire de la Russie en Ukraine « n’arrivera pas ». « J’espère fermement avoir raison », a-t-il ajouté, faisant valoir qu’il fallait « éviter le pire ».

Le ministère russe des Affaires étrangères a toutefois précisé que si les Occidentaux continuaient d’ignorer ses « préoccupations légitimes » quant au renforcement de l’Otan en Ukraine et en Europe orientale, cela aurait « les conséquences les plus graves ». De son côté, le chef de la diplomatie américaine a demandé à la Russie de prouver qu’elle n’avait pas l’intention d’envahir l’Ukraine en retirant ses troupes de la frontière.

Electricité: tension sur les prix et la fourniture

électricité: tension sur les prix et la fourniture

 

 

Il y a plusieurs facteurs explicatifs à l’envolée des prix de l’électricité et aux tensions concernant la fourniture. Il y a d’abord la vague de froid qui concerne l’Hexagone. L’impact du prix d’autres énergie comme le gaz est à prendre en considération. De même les retards d’entretien des centrales nucléaires du fait de la crise sanitaire. Par ailleurs du fait de la température la demande s’emballe. Environ 40 % de la population se chauffent au gaz à l’électricité en France Sous l’effet de la vague de froid hivernal qui frappe l’Hexagone, le prix de l’électricité sur le marché de gros français a dépassé un nouveau record mardi. Le prix du mégawatt-heure pour livraison jeudi a excédé les 300 euros, écrasant le précédent record qui ne datait que d’octobre. Il a atteint un niveau inédit depuis plus de neuf ans, selon Bloomberg.

Le prix du mégawatt-heure pour livraison jeudi a excédé les 300 euros, écrasant le précédent record qui ne datait que d’octobre. Il a atteint un niveau inédit depuis plus de neuf ans, selon Bloomberg.

Par ailleurs il faut prendre en compte la hausse du prix carbone. La Tonne de CO2 a battu mercredi un record en cours de cotation, à 72 euros la tonne.

Covid France : 30.920 nouveaux cas en 24 heures et surtout tension hospitalière

Covid France : 30.920 nouveaux cas en 24 heures et surtout tension hospitalière

Avec 158 nouvelles admissions en soins critiques en 24 heures, le nombre des malades dans ces services qui traitent les cas les plus graves a atteint 1745, en hausse par rapport à la veille (1712). Ils étaient 1371 mercredi dernier. Les hôpitaux accueillaient mercredi 9233 patients – contre 9153 la veille – dont 773 admis au cours des dernières 24 heures.

30.920 nouveaux cas ont également été détectés lors des dernières 24 heures, contre 28.576 la veille et 28.784 mardi dernier. Sur le front des vaccinations, 45.582.015 personnes ont reçu au moins une injection (soit 67,6% de la population totale) et 38.154.272 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 56,6% de la population totale).

Nucléaire iranien: reprise des négociations sous haute tension et très hypothétiques

Nucléaire iranien: reprise des négociations sous haute tension et très hypothétiques

 

La reprise des négociations sur le nucléaire iranien paraît très hypothéquée en particulier par la posture de l’Iran qui vient d’affirmer que son objectif est de franchir le seuil de 60 % d’enrichissement du nucléaire, ce qui à terme lui permettrait de disposer de la bombe nucléaire.

 

De leur côté,  les pays occidentaux viennent de prendre des sanctions contre certains responsables iraniens notamment les gardiens de la révolution du peuple coupables d’atteinte grave à la démocratie.

 

Par ailleurs l’Iran vient de passer un accord avec la Chine qui lui fournirait une aide militaire en échange de l’achat de son pétrole.

 

Une usine récemment inaugurée très récemment pour l’enrichissement du nucléaire a été victime d’un attentat est partiellement détruite ; une action que les Iraniens imputent à Israël.

 

L’Iran pose un préalable pour la reprise des négociations : les États-Unis doivent lever les sanctions imposées par le président américain Donald Trump, qui a retiré les États-Unis de cet accord en 2018. Le JCPOA ( nom de l’accord sur le nucléaire iranien 1015). Avait permis un allègement des mesures punitives contre la République islamique en échange d’une réduction drastique de ses activités nucléaires, sous le contrôle de l’Onu, afin de garantir qu’elle ne cherche pas à se doter de la bombe atomique.

 

 

C’est un des sujets sur lesquels planchent les experts à Vienne, sous l’égide de l’Union européenne (UE), avec la participation indirecte d’une délégation américaine, logée dans un autre hôtel. «Nous sommes concentrés sur la voie diplomatique pour avancer», a déclaré la veille de la reprise des discussions la porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki. «Nous savons que ce sera un long processus, mais nous voyons (ces discussions) comme un signe positif»«Nous pensons que nous pouvons faire avancer les choses de manière constructive, même si ce sont des négociations indirectes», a encore dit Jen Psaki, interrogée lors d’un briefing sur le rôle des États-Unis dans le processus de Vienne.

La tension USA-Chine : pourquoi

La tension USA-Chine : pourquoi

On sait que le président américain a l’art de souffler le chaud et le froid concernant les tensions entre la Chine et les États-Unis. Il y a cependant des éléments objectifs à prendre en compte pour comprendre la position de Trump. La principale est le déséquilibre commercial et la concurrence jugée loyale. La seconde est la tentative de suprématie technologique voire idéologique de la Chine vis-à-vis du reste du monde. Par ailleurs, le président américain est en pleine campagne électorale, il doit donc rassurer ses électeurs et trouver aussi des boucs émissaires. Un phénomène identique qui affecte la Chine dont la croissance s’ est complètement écroulée pour tomber dans le rouge et dont le taux de chômage est plus près de 20 % que des 6 % annoncés. Le retour du nationalisme sert aussi à ressouder les Chinois autour du pouvoir.

Le président américain, Donald Trump, doit donner dans la journée une conférence de presse portant sur la Chine, après l’adoption par le parlement chinois de la nouvelle loi sur la sécurité à Hong Kong. Sans attendre ses annonces, Pékin a menacé Washington de mesures de rétorsion.

Ce regain de tension entre les deux premières économies mondiales fait craindre un nouveau coup de froid sur le commerce international au moment même où la planète est en pleine récession à cause de la pandémie de coronavirus.

“La réaction des Etats-Unis peut prendre de multiples formes et c’est ce qui rend les gens nerveux, d’autant que cela risque de conduire à un nouvel échange de représailles entre les deux pays”, explique Craig Erlam, analyse senior d’Oanda Europe.

À noter qu’aux États-Unis la situation économique à de sérieuses difficultés à redémarrer et que le chiffre de chômeurs ne cesse de progresser.  Aux Etats-Unis, les dépenses de consommation des ménages accusent une chute record de 13,6% en avril selon les chiffres du département du Commerce et leur moral montre une amélioration moins marquée qu’estimée initialement au vu des résultats définitifs de l’enquête mensuelle de l’université du Michigan.

Tension sur les taux : en cause l’Iran et le pétrole

Tension sur les taux : en cause l’Iran et le pétrole

 

 

Si les taux se sont surtout tendus pour les pays financièrement fragiles, il n’empêche que cette tension affecte presque toutes les zones. En cause évidemment les risques relatifs à la décision de Trump de se retirer de l’accord nucléaire iranien, risques qui vont sérieusement rafraichir le climat des affaires. Aussi parallèlement et de manière aussi systémique, on constate la  montée des cours. Le pétrole montre du fait du déséquilibre offre demande, il a atteint un record lundi depuis 2014. Il monte aussi parce qu’on craint une réduction en provenance de l’Iran aussi du Venezuela récemment frappé par des sanctions américaines. D’autres matières premières voient leurs cours grimper comme le pétrole. Du coup, le ‘ hypothèse d’uen reprise de l’inflation n’est plus à exclure d’où l’anticipation par les marchés sur les taux.  Dans ces circonstances, les investisseurs ont préfèrent  bouder les actifs risqués, parmi lesquels les taux d’emprunt des pays jugés les moins solides de la zone euro. « Il y a une aversion au risque dans le marché obligataire. C’est un marché axé sur la qualité et qui vend tout ce qui est à risque », a commenté pour l’AFP Eric Vanraes, un gérant obligataire de la banque suisse Eric Sturdza. Pour ce spécialiste, « ce qui est regardé aujourd’hui, ce sont les annonces de Donald Trump sur l’Iran, car il y aura deux conséquences très importantes sur le pétrole et sur le niveau du dollar ».

Italie : le déficit dérape, tension politique

Italie : le déficit dérape, tension politique

 Le déficit budgétaire italien s’est creusé au premier trimestre, représentant 7,3% du produit intérieur brut (PIB) contre un ratio de 6,6% sur les trois premiers mois de 2012, a dit jeudi l’agence des statistiques Istat. Cet accroissement du déficit sur la période a été le fait d’une hausse des dépenses, qui ont augmenté de 1,3% d’une année sur l’autre. Le déficit budgétaire du premier trimestre est toujours beaucoup plus élevé que ceux des trimestres suivants parce que l’essentiel des paiements d’impôts sont effectués plus tard dans l’année. Sur l’ensemble de 2012, le déficit budgétaire italien est ressorti à 3% du PIB, ratio qui constitue la limite imposée par l’Union européenne et Rome prévoit 2,9% pour 2013. S’il veut respecter cet objectif, le Premier ministre Enrico Letta n’a guère de marges de manoeuvre pour augmenter les dépenses, un état de fait qui crée des tensions au sein de sa large coalition gauche-droite.

 

Après l’euphorie su sommet européen , les taux de l’Italie et de l’Espagne se retendent

Après l’euphorie su sommet européen,  les taux de l’Italie et de l’Espagne se retendent

Finie l’euphorie du sommet européen, les marchés plongent et les taux se retendent. Normal, la BCE reste sur ses positions, pas d’intervention sur les obligations. Vers 18H00 (16H00 GMT), le rendement espagnol à 10 ans, qui évolue en sens inverse de la demande, grimpait à 6,737% contre 6,375% mercredi à la clôture.  La prime de risque payée par le pays vis-à-vis de l’Allemagne bondissait bien au-delà des 500 points de base, à 529 points de base (5,29 points de pourcentage).  Pour sa part, le rendement italien à 10 ans flirtait avec les 6%, à 5,958% contre 5,755% la veille. Un peu plus tôt, il avait dépassé les 6% pour la première fois depuis le 29 juin.   »Ce qui ne plaît pas trop aux investisseurs, c’est le jugement de la BCE sur l’environnement économique qui se détériore sensiblement », estime Patrick Jacq, stratégiste obligataire chez BNP Paribas.  La BCE a baissé de 0,25 point de pourcentage son taux directeur à 0,75%, ce qui était largement anticipé.  Mais, selon le stratégiste, elle est venue rappeler aux marchés les difficultés économiques des pays les plus fragiles de la zone euro, ce qui va compliquer sérieusement leur capacité à réduire leur déficit.  Dans le même temps, elle a balayé les espoirs de nouvelles mesures exceptionnelles.  Les taux d’emprunt de ces pays avaient pourtant bénéficié, depuis vendredi, des avancées actées lors du sommet de Bruxelles, notamment l’utilisation possible des fonds de secours européens pour apaiser les tensions sur le marché obligataire.   »La perception positive du sommet européen a déjà commencé à s’éroder depuis le début de la semaine. La baisse des taux qui avait suivi la réunion européenne est derrière nous », constate M. Jacq.  Pour preuve, Madrid a payé plus cher pour emprunter à dix ans, devant concéder un taux moyen de 6,430% contre 6,044% lors de la dernière émission similaire, le 7 juin.  La Finlande va ouvrir des négociations la semaine prochaine avec l’Espagne sur les garanties qui devront être apportées en échange d’une participation du pays nordique au plan de sauvetage des banques ibériques.  Madrid espère présenter un montant pour cette aide, lundi, lors de la réunion de l’Eurogroupe.  Les pays les plus solides de la zone euro ont profité de la tension sur l’Espagne et l’Italie. Le taux de l’Allemagne baissait fortement à 1,380% contre 1,452% et celui de la France à 2,493% contre 2,534%.  Hors zone euro, le rendement britannique diminuait à 1,660% contre 1,720%.  Aux Etats-Unis, le rendement de l’obligation du Trésor à 10 ans reculait à 1,590% contre 1,629%, tout comme celui à 30 ans à 2,711% contre 2,743% la veille. Le taux à trois mois restait stable à 0,07%.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol