Archive pour le Tag 'téléthon'

Alcatel : le bonus du patron divisé par deux…vite un téléthon

Alcatel : le bonus du patron divisé par deux…vite un téléthon

 

Le conseil d’administration d’Alcatel a lâché mais à moitié ! Face à la pression, Alcatel-Lucent a décidé d’agir et s’est réuni jeudi en conseil d’administration pour revoir les conditions de départ de l’ancien dirigeant. Conclusion : le «package» de départ de Michel Combes est divisé par près de deux. L’ancien patron de l’équipementier partira finalement avec l’équivalent de 7,9 millions d’euros. Il ne sera sans doute pas nécessaire d’organiser un téléthon car l’ancien patron d’Alcatel a retrouvé un job à la direction de Numéricable…où sa rémunération (stock-option) est déjà aussi contestée.  Sur le plan étique et social le bonus de près de 14 millions accordés au patron d’Alcatel  était  évidemment contestable. Mais il était  aussi de plus en plus critiqué au plan juridique d’autant que l’intéressé a retrouvé immédiatement un poste de dirigeant chez Numéricable. On lui reproche surtout d’avoir tordu les textes qui prévoyaient ce parachute doré. Le haut comité de gouvernement d’entreprise aurait en effet  émis un avis défavorable sur la régularité des conditions financières du départ de l’ex-patron d’Alcatel-Lucent. Après le déclenchement d’une enquête de l’autorité des marchés financiers, le Haut comité de gouvernement d’entreprise (HCGE), dont l’avis a été transmis au conseil d’administration d’Alcatel-Lucent, aurait pointé plusieurs et significatives irrégularités à ce sujet, selon Europe1. Parmi les points pouvant poser problème, figure en tête la clause de concurrence de 4,5 millions d’euros, qui doit être payée en 3 fois, à l’ex-directeur général de l’industriel franco-américain des télécommunications.  Les interrogations soulevées portent notamment sur le calendrier de la décision d’octroyer un tel montant alors que, dès le printemps 2015, l’arrivée prochaine de Michel Combes chez SFR-Numéricable était un secret de polichinelle.». Michel Combes avait quitté l’entreprise, le 31 août 2015, avec des conditions prévoyant le versement de près de 14 millions d’euros d’ici 2018, payables en actions et en stock-options.

 

 

Les grandes fortunes de France ont « perdu » 12,4 milliards en 15 jours….vite un téléthon !

Les grandes fortunes de France ont « perdu » 12,4 milliards en 15 jours….vite un téléthon !

 Un drame évidemment cette nouvelle qui touche les plus grands fortunes qui ont perdu près de  13 milliards en une  quinzaine de jours. Un drame pourtant dont les médias parlent peu avec d’innocentes victimes. Des victimes en quelque sorte de la volatilité des marchés (dont ils sont par ailleurs largement responsables pour avoir poussé les cours bien au-delà du raisonnable). Du coup on se demande si on ne devrait pas organiser un téléthon ! Surtout pour l’héritière de l’Oréal Madame Bettencourt qui voit sa fortune passer de 33 mulards à 30 milliards. Les fins de mois ne seront pas évidentes et les rations de caviar risquent de se réduire. On voit bien que la crise touche toutes les catégories de français, à quand un RSA pour milliardaire en difficulté ? Depuis le 16 août dernier, les huit plus grandes fortunes françaises ont en effet  vu leur patrimoine fondre de 9%. Sur la seule journée d’hier, ils ont « perdu » 3,5 milliards. Du coup, Bernard Arnault, le plus touché, n’est plus le Français le plus riche. Selon des calculs réalisés à partir des données du site Bloomberg qui recense les plus grandes fortunes de la planète, les Français figurant dans ce top 200 ont perdu pas moins de 3,5 milliards de dollars (3,1 milliards d’euros) sur la seule journée d’hier. Au total depuis le 16 août, ce sont 13,9 milliards de dollars qui se sont évaporés, soit 12,4 milliards d’euros. Une somme colossale. Elle équivaut quasiment au déficit de la Sécurité sociale (assurance maladie et retraite) ou, plus trivialement, au prix de 125.000 Mercedes classe S neuves. Et si tous ont vu fondre leur patrimoine depuis le 16 août dernier, certains ont bien plus souffert que d’autres. A commencer par Bernard Arnault dont le patrimoine professionnel s’est contracté de 3 milliards d’euros (-9,6%) sur la période. La valeur des actions détenues par le patron de LVMH est passée en 15 jours de 32,2 à 29,2 milliards d’euros.  Sa grande rivale dans ce type de classement, Liliane Bettencourt, a plutôt mieux résisté à la tempête boursière. L’héritière de L’Oréal a certes, elle aussi, pâti du recul du cours de l’entreprise familiale depuis le 16 août. Elle a perdu, elle, quelque 2,6 milliards de d’euros (-8%) sur la période. Au 1er septembre, Bloomberg évalue sa fortune professionnelle à 33,3 milliards de dollars soit 29,5 milliards d’euros… ce qui lui permet tout de même de redevenir la première fortune de France, devant Bernard Arnault. Derrière ces deux mastodontes, François Pinault clôt le podium des plus grosses pertes. Le fondateur de l’empire Kering a vu lui sa fortune décroître de 1,5 milliard d’euros. Arnault, Bettencourt, Pinault… Les marchés ont semble-t-il, une fois n’est pas coutume, sanctionné les groupes de luxe qu’ils jugent sans doute particulièrement exposé au ralentissement de la croissance chinoise. D’ailleurs, après ces trois grandes figures du luxe français, on retrouve les frères Wertheimer, propriétaires de Chanel qui ont, chacun, « perdu » 1,25 milliard d’euros (-12,5%)…A contrario, les stars de la tech française ont un peu mieux résisté. Si Patrick Drahi a perdu 1,15 milliard d’euros depuis 15 jours (sa fortune est évaluée au 1er septembre à 14,1 milliards d’euros), c’est essentiellement dû à la journée d’hier où le cours de l’action Numericable-SFR a dégringolé de 4,3% hier. Xaviel Niel (Free) n’a lui perdu « que » 621 millions d’euros (-8,6%) sur la période avec une fortune estimée par Bloomberg à 7,9 milliards de dollars (plus de 7 milliards d’euros). Celui qui s’en sort le mieux, au final c’est Serge Dassault. Son patrimoine n’a fondu que de 6% en 15 jours. Une baisse inférieure à celle du CAC 40 sur la période.

 

Un téléthon pour Tapie ?

Un téléthon  pour Tapie ?

 

 

400 millions ce n’est pas assez Bernard Tapie qui veut désormais un milliard pour réparer l’injustice dont il a été victime.  On ne peut évidemment demeure indifférent à cette détresse. On sait que la justice ne brille pas par sa rapidité et cela fait plus de 20 que l’affaire Tapie traine. Elle risque encore de se poursuivre jusqu’en 2017 où là Tapie espère que cette justice retrouvera avec Sarko son indépendance perdue. Mais que de souffrance en attendant  « j’en ai vraiment marre » a-t-il crié . Il faut faire quelque chose ;  comme pour la Grèce mobiliser la solidarité car la compassion ne permet pas de faire bouillir la marmite de Nanar. D’où l’idée de certains internautes d’organiser un téléthon pour Tapie. Jusque là le téléthon a surtout été organisé au profit des plus défavorisés jamais au profit des riches. Pourquoi une telle discrimination ? Un tel mépris même ? Les riches aussi ont droit au minimum de considération, d’humanité m^me. Vite un téléthon pour Nanar pour le sauver de sa détresse matérielle et morale et surtout pour éviter qu’il ne remonte sur les planches pour chanter (ou faire chanter) °.  C’est son avocat qui l’affirme ce jeudi, Bernard Tapie va donc réclamer un montant supérieur à un milliard d’euros à l’Etat dans le cadre du procès de son litige avec le Crédit lyonnais sur la revente d’Adidas. L’homme d’affaires s’estime floué et selon Le Monde, il va demander des dommages et intérêts sur plus de vingt ans en plus de la somme d’un milliard d’euros. C’est la Cour d’appel de Paris, qui a déjà considéré l’arbitrage comme frauduleux, qui dira le 29 septembre prochain si oui ou non l’homme d’affaires a vraiment été lésé par le Crédit lyonnais.En février dernier, la Cour d’appel de Paris a annulé la sentence arbitrale qui avait accordé 404 millions d’euros à Bernard Tapie dans cette même affaire. Après cette décision, Bernard Tapie a déclaré qu’il espérait obtenir plus d’argent lors d’un nouveau procès.

Un téléthon vite pour Tapie

Un téléthon vite pour Tapie

 

400 millions ce n’est pas assez Bernard Tapie qui veut désormais un milliard pour réparer l’injustice dont il a été victime.  On ne peut évidemment demeure indifférent à cette détresse. On sait que la justice ne brille pas par sa rapidité et cela fait plus de 20 que l’affaire Tapie traine. Elle risque encore de se poursuivre jusqu’en 2017 où là Tapie espère que cette justice retrouvera avec Sarko son indépendance perdue. Mais que de souffrance en attendant  « j’en ai vraiment marre » a-t-il crié . Il faut faire quelque chose ;  comme pour la Grèce mobiliser la solidarité car la compassion ne permet pas de faire bouillir la marmite de Nanar. D’où l’idée de certains internautes d’organiser un téléthon pour Tapie. Jusque là le téléthon a surtout été organisé au profit des plus défavorisés jamais au profit des riches. Pourquoi une telle discrimination ? Un tel mépris même ? Les riches aussi ont droit au minimum de considération, d’humanité m^me. Vite un téléthon pour Nanar pour le sauver de sa détresse matérielle et morale et surtout pour éviter qu’il ne remonte sur les planches pour chanter (ou faire chanter) °.  C’est son avocat qui l’affirme ce jeudi, Bernard Tapie va donc réclamer un montant supérieur à un milliard d’euros à l’Etat dans le cadre du procès de son litige avec le Crédit lyonnais sur la revente d’Adidas. L’homme d’affaires s’estime floué et selon Le Monde, il va demander des dommages et intérêts sur plus de vingt ans en plus de la somme d’un milliard d’euros. C’est la Cour d’appel de Paris, qui a déjà considéré l’arbitrage comme frauduleux, qui dira le 29 septembre prochain si oui ou non l’homme d’affaires a vraiment été lésé par le Crédit lyonnais.En février dernier, la Cour d’appel de Paris a annulé la sentence arbitrale qui avait accordé 404 millions d’euros à Bernard Tapie dans cette même affaire. Après cette décision, Bernard Tapie a déclaré qu’il espérait obtenir plus d’argent lors d’un nouveau procès.

Financement participatif : téléthon pour la Grèce

Financement participatif : téléthon pour la Grèce

 

Sympa l’ initiative d’un  jeune britannique qui veut sauver la Grèce. Malheureusement même si l’argent était réuni, ça ne changerait rien en Grèce car l’argent irait aux créanciers. En outre les européens ont déjà donné via le circuit prêts des banques à la Grèce, rachat par la BCE, baisse de l’euro. Plus tard par la hausse des taux, l’inflation et la perte de pouvoir d’achat. En outre la question de l’endettement n’est pas seulement grec. La France non plus ne pourra pas rembourser sa dette mais tant qu’elle peut emprunter pour rembourser !. Sauver la Grèce de la banqueroute, voilà le rêve de Thom Feeney, jeune Londonien de 29 ans travaillant dans une boutique de chaussures à Covent Garden.  La Grèce ne remboursera pas les 1,6 milliards qu’elle doit au FMI. Thom Feeney veut donc encourager tous les européens à donner pour sauver la Grèce de la banqueroute, l’équivalent selon lui du « prix d’une salade feta olives », afin d’éviter au berceau de l’Europe d’être frappé par le défaut de paiement. Thom Feeney a donc lancé dimanche une campagne de crowfunding. Il cherche à recueillir autant d’argent que possible pour la Grèce et jusqu’à présent, il a recueilli plus de 73.000 euros sur Indiegogo. Une goutte dans l’océan, et pourtant, diverses récompenses sont proposées aux généreux donateurs : une salade feta et olives donc, une petite bouteille d’Ouzo ou une carte postale du Premier ministre grec Alexis Tsipras, tout est bon pour pousser l’internaute à donner d’ici à sept jours.

Patrimoine des ministres : rien que de pauvres, vite un téléthon

Patrimoine des ministres : rien que de pauvres, vite un téléthon

C’est évidemment un enfumage cette déclaration du patrimoine des ministres. Ils déclarent à peu près ce qu’ils veulent et le contrôle relève du pipeau. Il faudra vite organiser un PSthon pour aider ces malheureux ou mieux voter une loi de soutien financier à nos « chers »élus ; la  plus appliquée-et la plus ridicule-  est sans nul doute, Najat Vallaud-Belkacem. La ministre des droits des femmes, de la ville, de la jeunesse et des sports, qui ne déclare aucune valeur immobilière ou cotée en bourse, a détaillé l’ensemble de ses biens mobiliers d’une « valeur d’assurance » évaluée à 22 000 euros : « lits (1 adulte, 2 enfants), tables (3), canapé (1), fauteuils (2), chaises (10), réfrigérateur, machine à laver, bijoux. » Le ministre des finances, Michel Sapin, déclare quant à lui « divers meubles meublants » et « une collection de pièces de monnaie (pour une valeur de l’ordre de 30 000 euros ». Coté véhicules, comme Marylise Lebranchu, ministre de la fonction publique, il détient un « bateau de pêche promenade » (3 500 euros), et, comme la grande majorité des ministres, il roule en voiture française (Renault Clio d’une valeur de 5 040 euros)… Christiane Taubira, ministre de la justice, a elle aussi privilégié des marques françaises lors de l’achat de ses quatre vélos : « Decathlon, Peugeot, Gitane, Gitane », achetés respectivement 200 euros, 400 euros, 300 euros et 400 euros en 1996, 2005, 2009 et 2013. A l’exception de Najat Vallaud-Belkacem, Harlem Désir (affaires européennes) et Axelle Lemaire (numérique), tous les ministres sont propriétaires d’au moins une maison ou un appartement. Près de vingt d’entre eux ont au moins deux biens immobiliers, dont Jean-Marie Le Guen (relations avec le Parlement), Christian Eckert (budget), Marisol Touraine (affaires sociales et santé) ou Michel Sapin, qui a notamment hérité de plusieurs « maisons d’habitation » et de « propriétés agricoles, terres, bois, bâtiments d’exploitation » dans l’Indre, a aussi un appartement d’une valeur de 600 000 euros à Paris.  Christiane Taubira a acheté ou hérité de cinq terrains en Guyane dont les valeurs sont comprises entre 12 285 euros et 75 000 euros. D’autres ministres, comme Aurélie Filippetti (culture), André Vallini (réforme territoriale) et Annick Girardin (développement et francophonie), sont devenus propriétaire grâce aux prêts accordés par l’Assemblée nationale. Laurent Fabius est certainement le ministre le mieux doté du gouvernement. Avec notamment un appartement parisien acheté en 2008 (estimé à 2,7 millions d’euros), des participations dans plusieurs sociétés, une assurance vie (529 439 euros), des meubles et objets d’art (340 000 euros). André Vallini déclare quant à lui neuf assurances-vie pour près de 2 millions. En plus de ses nombreux biens immobiliers (dont un valant 1,2 millions d’euros), Jean-Marie Le Guen déclare deux assurances-vie, dix comptes et livrets, des « tableaux, 2 commodes, divers » (70 000 euros), mais précise qu’il n’a « aucune montre ou bijoux [d'une valeur] supérieur[e] à 10 000 euros pièce ». Arnaud Montebourg (économie) déclare sept comptes en banque et livrets dont l’un affiche 317 388 euros, deux appartements parisiens dont la « valeur actuelle » de l’un est « inconnue à ce jour », un parking dont la « valeur actuelle » est, elle aussi, « inconnue » et une maison avec jardin en Saône-et-Loire (235 000 euros), ainsi qu’un « fauteuil Charles Eames » acheté 28 000 francs en 1988 (dont la valeur actuelle n’est pas précisée non plus). A l’opposé, Benoît Hamon (éducation) qui a acquis en 2006 un appartement de 62,91 m2 dans le Finistère (d’une valeur estimée à 118 700 euros), dispose d’un peu plus de 120 000 euros sur ses comptes, livrets et cotisations versées au fond de retraite des députés européens.   Harlem Désir, qui ne déclare aucune profession et n’a inscrit aucun revenu issu de sa fonction de premier secrétaire du Parti socialiste, ne déclare que les 40 000 euros de ses comptes et des tableaux et lithographies de Henri Guédon (« Il s’agit de cadeaux de l’artiste de son vivant. Je suppose que la valeur se situe aux alentours de 5 000 euros », ajoute-t-il). Il précise cependant que lorsqu’il était à la direction du PS, il disposait « d’un secrétariat, d’un cabinet de conseillers, d’une voiture avec chauffeur ». Une dizaine de ministres et secrétaires d’Etat n’ont pas déclaré d’activité professionnelle dans les cinq années précédant leur nomination. Considèrent-ils que les mandats politiques qu’ils ont exercés ne sont pas des activités professionnelles ? D’où un très grand nombre de cases vides, barrées ou dans lesquelles sont écrits de simples « Néant. » La secrétaire d’Etat chargée de l’enseignement supérieur et de la recherche, Geneviève Fioraso, déclare, quant à elle, qu’à la date de sa nomination elle occupait ce même poste, pour lequel elle touchait 7 210,44 euros nets par mois. Elle énumère aussi ses postes de députée (5 108 euros par mois), d’adjointe au maire (989 euros par mois), de conseillère municipale (272 euros par mois), de vice-présidente de métropole (1 402 euros par mois), de conseillère de métropole (204 euros par mois) occupés successivement dans les cinq années précédant sa déclaration, en plus de ses « participations aux organes dirigeants » de quatre organismes publics ou privés (pôle de compétitivité, aménagement, retraitement de déchets, pôle d’innovation…). Arnaud Montebourg, lui, est ou a été dans les cinq dernières années président ou membre d’une dizaine de conseils d’administrations et de commissions (Autoroutes Paris-Rhin-Rhône, Société d’économie mixte patrimoniale de Saône-et-Loire, Agence régionale de santé…). Ces déclarations mettent aussi en lumière leur faible expérience dans le secteur privé. Moins de dix d’entre eux déclarent avoir eu une activité professionnelle (en dehors de leurs mandats électifs) dans les cinq dernières années. C’est notamment le cas du secrétaire d’Etat chargé des sports, Thierry Braillard, qui déclare avoir adressé le 18 avril une « demande d’omission du tableau de l’ordre des avocats » pour une date d’effet au 30 avril. Sa rémunération en tant qu’avocat au barreau de Lyon était de 2 000 euros par mois « depuis janvier » alors qu’elle était de 3 000 euros avant cela, et de 6 000 euros avant juin 2012. Avec George Pau-Langevin (Outre-mer) et André Vallini, le métier d’avocat est l’un des plus représentés. Benoît Hamon, qui déclare la profession de « Ministre délégué », était conseiller régional d’Ile-de-France (2 100 euros par mois) lorsqu’il a été nommé ministre. Il a dirigé une société d’études d’opinion (2 000 euros par mois) et exercé en tant que « professeur associé » à l’université Paris-VIII (1 500 euros par mois) dans les cinq années précédentes. Axelle Lemaire a été, de 2007 à 2012, collaboratrice parlementaire à la chambre des communes en Grande-Bretagne (1 800 euros par mois). La déclaration d’intérêts de Fleur Pellerin est elle aussi bien fournie. On y apprend notamment qu’en tant que « membre de l’équipe de campagne de François Hollande » (chargée du pôle « Société et économie numériques ») de mars 2012 à mai 2012, elle touchait 4 934 euros nets mensuels. La secrétaire d’Etat chargée du commerce extérieur qui déclare le métier de « Conseillère référendaire à la Cour des comptes » (7 002 euros nets mensuels), a également travaillé dans un cabinet de conseil en communication de 2007 à 2008 et touchait à ce titre 7 000 euros nets mensuels. La secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion, Ségolène Neuville, était quant à elle « praticien hospitalier » « dans un service de maladies infectieuses et tropicales » jusqu’en juin 2012 (« environs 5 000 euros »). Elle déclare être maintenant « en détachement ».

 




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