Archive pour le Tag 'télécoms'

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Télécoms : nouvelle offensive de Free sur la 4G

Télécoms : nouvelle offensive de Free sur la 4G

 

 

Free ne fait pas de cadeau à la concurrence et lance un nouveau défi avec la 4G pour moins de 5 euros. La guerre entre opérateurs français n’est pas terminée mais elle pourrait quand même finir avec le KO d’un des operateurs actuels.  L’opérateur télécom propose son forfait mobile 4G à 3,99 euros par mois, au lieu des 20 euros habituels. Les utilisateurs disposeront des appels, SMS, MMS illimités ainsi que 20Go d’Internet mobile 3G ou 4G, le tout pour le prix de 3 cafés. Le forfait est valable un an. Cette offre est disponible dans un temps limité sur le site vente-privée.com.L’opérateur avait déjà mené une opération similaire au mois de juillet, et à plusieurs reprises les années passées pour ses offres fixes. Cette stratégie de la braderie momentanée agace néanmoins ses concurrents, qui ont beaucoup souffert de ses prix cassés. «Free fait de plus en plus de promo pour maintenir la croissance», avait commenté Jean-René Cazeneuve, directeur général adjoint de Bouygues Telecom, sur Twitter. De son côté, le fondateur de Free Xavier Niel affirme simplement œuvrer pour le pouvoir d’achat des Français.  Ces promotions sont toutefois réservées aux détenteurs d’un numéro de téléphone mobile. Autrement dit, Free cherche à récupérer les clients de ses concurrents. Ne comptez pas profiter de cette promotion pour ouvrir à vos enfants qui n’auraient pas encore de portable, un abonnement à bon compte pour Noël. Pour Free, c’est un moyen habile de conquérir des parts de marché.  Au-delà de ces prix cassés, Free doit aussi affronter les critiques sur la qualité de son réseau. L’association de consommateurs l’UFC-Que Choisir avait même jugé que l’opérateur se «distinguait» par la moindre qualité de navigation Web sur mobile. Bouygues Telecom a par ailleurs assigné Free en justice en novembre pour «pratiques commerciales trompeuses», en l’accusant de brider le réseau Internet de ses clients les plus gourmands en données mobile. Ce à quoi Free a répondu en attaquant la communication de son concurrent.

 

Télécoms : rachat de Bouygues par Numericable SFR ?

Télécoms : rachat de Bouygues par Numericable SFR ?

 

Nouvelles manouvres dans les télécoms mais qui se heurtent à des problèmes de concurrence et de régulation. Même si Martin Bouygues est  à nouveau vendeur, reste un autre obstacle de taille: le gendarme de la concurrence. Ce dernier n’était prêt à envisager une fusion entre SFR et Bouygues que si un des deux réseaux était vendu à Free.  « La consolidation ne peut pas se faire sans nous pour des raisons de concurrence. Le paysage à quatre opérateurs est donc là pour durer », résumait le fondateur de Free Xavier Niel le 4 novembre sur BFM Business.   Autrement dit, un rachat de Bouygues Telecom par Numericable SFR n’est possible que si Patrick Drahi trouve un accord avec Free. Or ce n’est pas gagné du tout. D’abord, les relations entre Patrick Drahi et Xavier Niel sont plus qu’exécrables: ils ne se parlent plus depuis plusieurs années. Surtout, chaque jour qui passe, Free continue de déployer son propre réseau, et a de moins en moins besoin de racheter un réseau clé en main.  Mais Patrick Drahi a quand même tenté sa chance, et envoyé ces derniers mois plusieurs émissaires auprès de Xavier Niel, qui les as tous éconduits Jeudi, Dexter Goei, le bras droit de Patrick Drahi, a assuré lors d’une conférence organisée par Morgan Stanley: « nous nous considérons comme les acheteurs naturels (de Bouygues Telecom). Nous avons une importante base de revenus donc il y aurait un important potentiel de synergies ». Le directeur général d’Altice a ajouté: « Si nous recevons un coup de téléphone de Bouygues, alors pourquoi pas ? Nous aurons cette discussion. Je serais surpris s’il n’y avait pas d’effort en 2015 pour que la consolidation en France se fasse ». Il a précisé qu’il n’aurait pas besoin de procéder à une augmentation de capital pour un rachat de Bouygues Telecom.    Interrogé, Free s’est refusé à tout commentaire. De son côté, Bouygues a renvoyé sur sa position du printemps: « Bouygues réaffirme que sa filiale Bouygues Telecom est en mesure de poursuivre sa stratégie stand alone« .

 

Télécoms: Free (Iliad) désormais seul candidat à l’achat T-Mobile US

Télécoms: Free (Iliad)  désormais seul candidat à l’achat T-Mobile US

Sprint, le troisième opérateur mobile américain, a renoncé à son offre sur T-Mobile US, son concurrent, estimant qu’il sera trop difficile d’obtenir l’aval des autorités de régulation, selon une source proche du dossier citée par le Wall Street Journal. La filiale du japonais Softbank, qui travaillait à un accord avec Deutsche Telekom, l’actionnaire majoritaire de T-Mobile, devrait s’exprimer ce mercredi 6 août sur le sujet.  Du coup, Iliad qui a formulé une première offre la semaine dernière resterait seul en lice. Même si la proposition du groupe français ne correspondrait pas à la valorisation donnée à sa filiale américaine par la maison mère Deutsche Telekom. « Deutsche Telekom considère l’offre de 33 dollars par action d’Iliad comme étant trop basse au vu des négociations en cours avec Softbank », écrivait, mardi 5 août, le Financial Times. Softbank proposait 40 dollars.  Selon Reuters, le groupe français discuterait avec des investisseurs afin d’améliorer son offre, ce qui lui permettrait d’augmenter la part du numéraire. Iliad discuterait ainsi avec des câblo-opérateurs et des opérateurs de satellites américains, à savoir Dish Networks, Cox

 

Télécoms : il faut concentrer…. Pour augmenter les prix !

Télécoms : il faut concentrer…. Pour augmenter les prix !

Si les clients de SFR ont dû suivre d’un oeil inquiet le feuilleton ayant abouti au rachat de l’opérateur par Numericable, leurs craintes seront peut-être dissipées. C’est en tout cas le but poursuivi par Franck Cadoret, le directeur général exécutif de la désormais ex-filiale de Vivendi, invité du « Grand Talk » de 01netTV ce mercredi 23 avril.  Selon lui, « les abonnés SFR vont bénéficier de services sur le fixe ». Tandis que les abonnés de Numericable, eux, profiteront d’offres sur le mobile. Autre avantage: la mutualisation des investissements, notamment en ce qui concerne les services dédiés à internet. Elle pourrait permettre de passer de 1,5 million de prises câble et cuivre (pour l’ADSL) à 7,5 millions de prises, lors des prochains mois. Ce qui placerait le nouvel acteur en position de force, devant l’opérateur historique Orange.  Mais la victoire de Numericable face à Bouygues Telecom aura tout de même des conséquences dans le secteur du mobile, selon Franck Cadoret. Car la présence de quatre opérateurs sur le marché, si elle a pour effet de faire baisser les prix, ne pourra pas durer éternellement. « Les offres à 2, 10 ou 20 euros, on en trouve nulle part ailleurs dans le monde alors que notre pays est pourtant difficile à couvrir en raison de la géographie. Les opérateurs se trouvent face à un mur d’investissements », estime-t-il ainsi.  Du coup, les tarifs devraient baisser encore un peu, « mais ils devraient augmenter à nouveau », selon le dirigeant via le déploiement de services supplémentaires.  En outre, une prochaine fusion entre deux opérateurs ne serait pas insensée: « je pense que ce rapprochement en appellera d’autres. Comme Orange ne peut se marier sinon il se retrouverait en abus de position dominante, je vous laisse deviner quels sont les acteurs restants qui pourraient s’unir ». Transmis à Xavier Niel, le patron de Free, et à Martin Bouygues.

 

Télécoms : la guerre des prix pendant encore un moment

Télécoms :   la guerre des prix  pendant encore un moment

La guerre des prix va continuer car il faut fidéliser et les retructucturations ne sont pas terminées. . Pour autant les investissements à venir étant énormes, les prix pourraient ensuite se stabiliser voire remonter.  Président de SFR depuis 18 mois, Jean-Yves Charlier s’explique ce 19 avril dans le Figaro sur la fusion en cours avec Numericable. Un projet de fusion qui a été déposé mercredi 16 avril devant l’Autorité de la concurrence, précise-t-il.    »Nous avons préparé avec la même attention et en toute neutralité un projet industriel avec chacun des deux candidats, Bouygues Telecom et Numericable. D’un point de vue industriel, les deux projets étaient pertinents pour SFR », explique Jean-Yves Charlier. Il ajoute: « grâce à Numericable, SFR se dote d’un outil industriel, en l’occurrence un réseau fixe de 10 millions de prises, qui pour la première fois le place devant Orange, dans le très haut débit ».  Il estime également que le rapprochement est « d’autant plus pertinent qu’il ne sera pas très difficile d’intégrer deux entreprises dont les métiers sont complémentaires et dont les tailles sont très différentes. La marque SFR sera maintenue pour tout le groupe ». Concernant l’emploi, l’actuel PDG de SFR  » rappelle que dès le départ Martin Bouygues, pour Bouygues, et Patrick Drahi, pour Altice-Numericable, avaient pris des engagements. C’était inédit! Nous sommes à présent en train de formaliser ces engagements dans le cadre d’un accord avec les représentants syndicaux. La transition se fera par étapes ».  A propos de l’endettement, il estime que  » le niveau était à peu près équivalent dans les deux projets. Numericable a prévu un financement sur le long terme, sans contraintes pendant sept ans, sans remboursement du principal pendant la même période. La marge de profitabilité de Numericable est supérieure à celle de SFR. L’endettement du nouvel ensemble me semble donc approprié et sans conséquences sur l’investissement ». Pour les consommateurs, Jean-Yves Charlier affirme que « la guerre des prix va continuer, pendant un certain temps. Mais ce n’est pas tenable sur le long terme. La France doit choisir entre des prix bas et résorber la fracture numérique. Nous avons atteint un point de bascule ». Enfin, concernant son avenir, Jean-Yves Charlier confie que « Martin Bouygues et Patrick Drahim’avaient tous deux proposé le poste de patron du nouvel ensemble. Je n’avais alors pas répondu, par souci de neutralité. Je me focalise sur le projet ». Une non réponse qui en dit long cependant sur son souhait pour l’avenir…

 

Télécoms : enquête UE sur le dumping chinois

Télécoms : enquête UE sur le dumping chinois

 

Le commissaire européen au Commerce extérieur a pour la première fois mis en cause nommément les équipementiers télécoms chinois Huawei et ZTE pour violation des règles de la concurrence, tard vendredi soir à New York.Karel De Gucht a confirmé que Bruxelles était prête à lancer une enquête formelle sur les violations présumées des règles antidumping et antisubventions afin de protéger un secteur « stratégique » pour l’économie de l’Union européenne. « Huawei et ZTE pratiquent le dumping de leurs produits sur le marché européen », a déclaré le commissaire européen au cours d’un entretien exclusif accordé à Reuters. Les noms des fabricants de téléphones mobiles Huawei et ZTE avaient été cités à Reuters par des sources communautaires après l’annonce d’un accord de principe sur l’ouverture d’une enquête, mercredi. Huawei nie toute violation des règles de la concurrence. « En Europe et partout ailleurs, Huawei respecte toujours les règles et nous gagnons des parts de marché et la confiance de nos clients grâce à notre technologie innovante et la qualité de nos services, plus qu’avec les prix et les subventions », a dit l’équipementier chinois dans un communiqué envoyé par courriel à Reuters. La Chine s’est dite prête à riposter à toute enquête de l’UE, initiée -fait exceptionnel- par la Commission européenne et non par les professionnels concernés. Les équipementiers européens Ericsson, Alcatel-Lucent et Nokia Siemens Networks, qui souffrent des importations à bas prix de leurs homologues chinois, ont en effet dit craindre des représailles de la part de Pékin. Le président de Huawei pour l’Europe de l’ouest a néanmoins mis en cause ses concurrents européens dans une interview accordée au China Daily. « Certaines sociétés européennes ont imputé leurs pertes aux sociétés chinoises, mais elles ont parfois résulté de leur propre paresse », a déclaré Tao Jingwen.

 

SFR brade son accès ADSL

SFR brade   son accès ADSL

 

SFR a lancé lundi une opération promotionnelle agressive. Son offre triple play, comprenant de l’internet haut débit, de la télévision HD et de la téléphonie fixe illimitée est proposé à partir de 14,90 euros par mois durant un an, au lieu de 31,90 euros. Le prix est de 19,90 euros, au lieu de 37,90 euros, avec de la téléphonie mobile illimitée. Les abonnés mobiles de SFR bénéficient d’une réduction supplémentaire de 5 euros, ce qui ramène l’accès triple play à 9,90 ou 14,90 euros mensuels, selon l’offre choisie. Ces tarifs s’appliquent aussi pour un abonnement en fibre optique. La promotion de SFR, qui a officialisé le remplacement de son PDG la semaine dernière, est limitée aux 5000 premiers abonnés et s’achèvera dès ce vendredi. Elle rappelle les opérations réalisées par Free en partenariat avec le site Ventes-privées.com, qui a proposé en 2010 un abonnement triple play à 10 euros par mois, puis à 1,99 euro l’année suivante. Elle place aussi le prix de l’abonnement neufbox au niveau de celui d’Alice, l’offre low cost de Free. Ce forfait, peu mis en avant chez Free, comprend de l’Internet, de la téléphonie fixe et de la télévision à partir de 11,98 euros par mois. L’offre de SFR s’inscrit cependant dans un contexte particulier, depuis l’arrivée de Free dans le secteur du mobile. En 2011, son concurrent a maintenu une marge très élevée de 39,3%, grâce à son activité dans l’ADSL, qui lui a permis de se développer dans le mobile. Attaquer Free dans le fixe pourrait donc être un moyen de réagir à ses nouvelles offres mobiles. Dans le même temps, SFR cherche aussi à soutenir ses recrutements dans le fixe. En 2011, son parc d’abonnés n’a progressé que de 3,2% (5 millions de clients), deux fois moins que la croissance de Free (4,8 millions d’abonnés).

 

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