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Bouygues Telecom : 1.500 à 2.000 postes menacés

Bouygues Telecom : 1.500 à 2.000 postes menacés

 

Entre 1.500 et 2.000 postes pourraient être supprimés chez Bouygues Telecom, selon les craintes des organisations syndicales du groupe, révèle ce lundi le Figaro Economique. Actuellement, Bouygues Telecom emploie 9.000 salariés et les suppressions de postes représenteraient 23% des effectifs. Cette vague massive de licenciements serait présentée comme la conséquence direct de l’échec récent du rachat de SFR, explique Le Figaro Eco. Par ailleurs, Bouygues Telecom a été la principale victime de l’arrivée de Free sur le marché du mobile en janvier 2012. En deux ans, la filiale télécoms du groupe a perdu 200.000 clients et a vu son revenu par abonné chuter, alors que 18% de ses clients ont opté pour sa marque low-cost B & You. Pour se relancer, Bouygues Telecom a misé sur son réseau 4G. D’un point de vue technologique, le pari a été en partie gagné, puisqu’il dispose du premier réseau 4G de France, même si Orange a largement comblé son retard. D’un point de vue commercial, les résultats ne sont pas forcément à la hauteur des ambitions, souligne le journal. « Nous avons le plus grand réseau 4G, mais le chiffre d’affaires le plus faible des trois opérateurs historiques. Cherchez l’erreur ! », s’emporte Aziz Azam, représentant CFDT chez Bouygues Telecom, cité par Le Figaro Economique. Selon le journal, le groupe travaille à réduire les coûts de fonctionnement. Cela devrait aussi passer par une simplification de sa grille d’offres. Tandis que Free mobilise le devant de la scène avec deux prix dans le mobile et un dans le fixe, ses concurrents ont multiplié les offres.  Bouygues Telecom propose six forfaits, qui se déclinent chacun en offre avec ou sans engagement, auxquels s’ajoutent les quatre tarifs de B & You dans le mobile, les offres pour la box et remises aux clients les plus fidèles.

Mobiles : vente de Bouygues Telecom à Free ?

Mobiles : vente de  Bouygues Telecom à Free ?

Bouygues est aujourd’hui prêt à céder son réseau mobile pour 1,8 million d’euros, selon le Journal du dimanche, qui parle de « trois jours et trois nuits de négociations secrètes ». Des négociations qui recompose totalement le paysage de la téléphonie mobile française, et auxquelles le gouvernement n’est pas, a priori, hostile : « Si on revient à trois (opérateurs), on est plus fort que si on subsiste à quatre », dit ainsi Arnaud Montebourg au Parisien. De quoi s’agit-il précisément ? On le sait, Bouygues est candidat au rachat de son concurrent SFR, tout comme Numericable d’ailleurs. Bouygues ne pourra être choisi qu’après l’avis de l’Autorité de la concurrence… D’où cette vente-coup de théâtre. Bouygues est prêt à céder l’intégralité de son réseau mobile, « pour un montant pouvant aller jusqu’à 1,8 milliards d’euros », annonce Olivier Roussat, le PDG de Bouygues Telecom. L’accord porte sur « 15.000 antennes et un portefeuille de fréquences, dont une partie pour la 4G ». A condition… que Bouygues acquière SFR. Tout le monde sortirait gagnant d’un tel montage, semble dire le PDG de Bouygues Telecom : «Nous apportons une réponse immédiate aux impératifs de la concurrence. En cas de fusion avec SFR, nous aurions un réseau de trop. Là, il y a un acheteur qui va recréer une dynamique concurrentielle. Cette solution clé en mains devrait faciliter le mariage avec SFR et rassurer Vivendi ». Et Free deviendrait un opérateur mobile à part entière. Voilà qui chamboulerait totalement le paysage, en tout cas. Aujourd’hui, Orange a 27 millions de clients, SFR 21 millions, Bouygues 11 millions et Free 7,4 millions. Mais Free, qui n’a pas beaucoup de relais 3G, s’appuie beaucoup sur son contrat d’itinérance signé avec Orange.

Free Mobile et Bouygues Telecom condamnés pour « excès verbaux de concurrence »

Free Mobile et Bouygues Telecom condamnés pour « excès verbaux de concurrence »

Curieuse cette décsion de justice 25 millions pour Free et 5 millions pour Bouygues ; un peu déséquilibrée en vérité et surtout excessive. Sur le plan économique la polémique lancée par Ferre a contraint tous les opérateurs à revoir complètement leurs tarifs et leurs contrats. Le bénéficiaire c’est le consommateur. En France la concurrence est encore un peu taboue surtout quand elle concerne lu des plus grand groupe français comme Bouygues. Free Mobile et Bouygues Telecom ont chacun été condamnés vendredi pour avoir dénigré l’autre, dernier épisode de la guerre entre opérateurs qui sévit depuis l’arrivée sur le marché du quatrième opérateur mobile et de ses tarifs défiant toute concurrence.  La principale condamnation du tribunal de commerce a été infligée à Free, qui devra verser 25 millions d’euros de dommages et intérêts à Bouygues Telecom pour « actes de dénigrement constitutifs de concurrence déloyale » et propos particulièrement « violents et injurieux ».  Le groupe Iliad, maison-mère de Free, a indiqué à l’AFP qu’il allait faire appel de cette condamnation.  Il avait lui-même déposé plainte pour le même motif contre Bouygues Telecom et a obtenu que ce dernier soit condamné à lui verser 5 millions d’euros.  Bouygues Telecom, qui demandait un total de 98 millions de dommages et intérêts, avait saisi la justice en décembre pour « dénigrement et concurrence déloyale », une assignation « répondant à une campagne de dénigrement lancée par Free lors de son lancement commercial », avait alors précisé un porte-parole de la filiale du groupe de Martin Bouygues.  En janvier 2012, lors de la conférence de lancement des deux forfaits mobiles avec des tarifs défiant toute concurrence, Xavier Niel, PDG d’Iliad, maison mère de Free, avait fait diffuser un petit film parodique, moquant nommément les dirigeants des opérateurs concurrents et leurs affirmations tenues au fil des années concernant leur stratégies et leurs tarifs.  M. Niel avait également utilisé des termes tels que « pigeons » ou « vaches à lait » pour qualifier les clients des trois opérateurs existants.   »Pigeon » et « vache à lait » pas interdits par le tribunal  Dans son jugement, le tribunal a enjoint Iliad « de ne plus utiliser les termes et le champ lexical violent et injurieux utilisé – +arnaque+, +racket+ et +l’escroquerie+ – sous astreinte de 100.000 euros pour chaque allégation constatée », selon le jugement que s’est procuré l’AFP.  Les avocats de Bouygues Telecom avaient également demandé que Free ne puisse plus utiliser les termes « pigeon » et « vache à lait ».  Parmi les motifs de condamnation, le tribunal évoque également le fait que « M. Niel a reconnu lui-même à plusieurs reprises +aller trop loin+ dans ses propos tout en s’étonnant de ne pas avoir encore été poursuivi ».  Free avait de son côté notamment dénoncé des « déclarations dénigrantes tenues publiquement à son préjudice » par Bouygues Telecom, concernant « la thématique du +coucou+, car ce volatile s’installe dans le nid des autres, à l’instar de Free qui n’aurait pas son propre réseau », selon le jugement.  Free réclamait la somme totale de 77,8 millions d’euros au titre de la perte de clientèle et de l’atteinte à son image.   »Vous avez le choix des armes, vous pouvez donner une leçon à votre opérateur en le quittant ou en lui demandant de baisser ses tarifs », avait notamment lancé Xavier Niel aux Français, lors de sa présentation du 10 janvier, retransmise en direct sur internet.   »On vous presse comme des citrons, c’est nous les pigeons et on en a ras-le-bol de se faire arnaquer avec les prix les plus élevés d’Europe », avait-il ajouté.  Free est le quatrième opérateur à avoir décroché une licence de téléphonie mobile 3G en France. Il a bousculé le marché des télécoms avec des offres tarifaires nettement en-dessous de celles pratiquées par ses trois concurrents Orange, SFR et Bouygues Telecom, les poussant à baisser leurs prix.

 

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