Archive pour le Tag 'tat'

Irak : 150 femmes exécutées par l’Etat Islamique

Irak : 150 femmes exécutées par l’Etat Islamique

«Au moins 150 femmes, y compris des femmes enceintes, ont été exécutées à Fallujah (NDLR : ville située à quelques kilomètres de Bagdad, au centre du pays) par un militant appelé Abu Anas Al-Libi après qu’elles ont refusé des mariages avec des jihadistes», explique le ministère des Droits de l’Homme irakien.  Cette exécution, si elle est avérée, intervient au lendemain de la publication par Daech d’images de l’exécution de 13 hommes décrits comme des combattants sunnites. Au mois de novembre, les jihadistes avaient déjà revendiqué l’exécution de plus de 200 membres d’une tribu sunnite dans l’ouest de l’Irak.  Début novembre, une agence de presse irakienne s’était procurée un document montrant le prix des femmes par Daech des femmes. Un document effroyable qui expliquait que les femmes, utilisées comme esclave sexuelle, étaient vendues entre 35 et 138 euros.

Aéroport Toulouse : « l’État doit rester majoritaire » (Martin Malvy)

Aéroport Toulouse : « l’État doit rester majoritaire » (Martin Malvy)

 

Alors que le gouvernement vient d’annoncer la cession de 49,9% de l’aéroport de Toulouse-Blagnac à un consortium chinois, le président de la Région Midi-Pyrénées, Martin Malvy, a estimé que l’Etat devait rester majoritaire dans l’établissement. L’ancien ministre a souligné dans un communiqué avoir transmis cette position aux autorités « depuis plusieurs semaines »: « si l’Etat cédait 49,9 % des parts qu’il détient – et quel que soit le concessionnaire retenu « . Je souhaitais que la puissance publique demeure majoritaire dans le capital de  Selon lui, « c’est possible. Soit que l’Etat garde les parts qu’il possédera encore – 10,1% – soit que le candidat désigné cède une partie de celles qu’il va acquérir ».L’État a lancé un appel d’offres en juillet en vue de céder 49,9% du capital sur les 60% qu’il détient actuellement. Trois groupes avaient fait des offres deux fonds d’investissements chinois face aux français Vinci Airports et Aéroports de Paris, soutenus respectivement par la Caisse des Dépôts et le Crédit Agricole.

Les Etats-Unis lancent une alerte sur l’état de l’économie en Europe.

Les Etats-Unis lancent une alerte sur l’état de l’économie en Europe.

 

 Ils suggèrent que l’Europe articule politique monétaire, politique budgétaire et réformes structurelles. « Le monde ne peut pas se permettre une décennie perdue en Europe (…). Des actions déterminées des autorités nationales et des autres institutions européennes sont nécessaires pour réduire le risque que la région ne s’enfonce dans un déclin plus profond », a déclaré . secrétaire américain au Trésor Jacob Lew. A quelques jours d’un sommet des grandes puissances du G20 en Australie, M. Lew estime que le « statu quo en Europe » n’a pas permis d’atteindre les objectifs de croissance « forte » et « durable » définis par la communauté internationale début 2014. En février, les pays industrialisés et émergents du G20 s’étaient fixé l’objectif de doper la richesse mondiale de 2% dans les cinq prochaines années. Alors que l’Europe montre de nouveaux signes de ralentissement, le secrétaire au Trésor américain estime que la Banque centrale européenne (BCE) ne peut « à elle seule » garantir le retour à une croissance robuste. « Ainsi que le suggèrent les récentes données économiques, (l’action de la BCE, ndlr) à elle seule a montré qu’elle ne suffisait pas à assurer le retour à une croissance saine », a déclaré M. Lew dans un discours prononcé à Seattle (nord-ouest des Etats-Unis). Il souligne qu’en zone euro, la demande intérieure demeure inférieure de 4 points de pourcentage à son niveau d’avant la crise financière de 2008-2009. Le responsable américain prône en Europe « une approche globale » conjuguant le soutien de politiques monétaire mais aussi budgétaire et structurelle. « Dans des pays comme l’Italie, qui est structurellement moins compétitive, et la France, dont les rigidités du marché de l’emploi entre autres restreignent la croissance, les politiques doivent accélérer les réformes structurelles », a affirmé M. Lew. Plus généralement, il regrette le poids de « l’austérité » budgétaire en Europe. Parallèlement, les Etats-Unis ne peuvent pas « compenser » la faible croissance dans les principales puissances économiques, en Europe mais également au Japon, a-t-il mis en garde. « L’économie mondiale (…) ne peut attendre des Etats-Unis qu’ils progressent suffisamment pour compenser la faible croissance dans les principales économies mondiales », a encore dit M. Lew signalant que les Etats-Unis ont créé davantage d’emplois depuis la crise financière « que l’Europe et le Japon réunis ». Evoquant les politiques de change et sans nommer précisément de pays, M. Lew a appelé à ne pas utiliser les monnaies pour doper la demande extérieure et la croissance. « Les pays doivent tenir leurs engagements réalisés dans le cadre de groupes multilatéraux comme le FMI ou le G20 » quant à l’évolution de leur taux de change, a-t-il insisté. La Chine est souvent accusée par Washington de sous-évaluer artificiellement sa monnaie pour améliorer la compétitivité de ses exportations. Enfin, M. Lew a appelé le Congrès américain, qui bloque la réforme des quote-parts et de la gouvernance du Fonds monétaire international (FMI) depuis deux ans, à voter ce texte au plus tôt. « Il est urgent que le Congrès agisse dans les semaines qui viennent », a-t-il déclaré. (source AFP)

Budget de l’État : les « frondeurs » godillots pour l’abstention ?

Budget de l’État : les « frondeurs » godillots pour l’abstention ?

 

La logique voudrait qu’ils votent  contre le budget puisqu’ils affirment n’avoir été aucunement entendus  et qu’ils sont en désaccord total avec la politique économique du gouvernement.  En fait ce sera «  peut-être »  l’abstention ! Pas étonnant un désaccord ferait sauter le gouvernement et l’assemblée et nombre d’entre eux ne retrouveraient pas leurs fauteuils de députés.  Le soutien de Martine Aubry leur a donné une certaine légitimité. Plusieurs députés socialistes frondeurs, « confortés » dans leur démarche par Martine Aubry, pensent s’abstenir mardi 21 octobre lors du vote sur le projet de budget de l’Etat.  Leur position commune sur ce scrutin important doit être définie mardi matin lors de leur réunion hebdomadaire à l’Assemblée nationale, mais d’ores et déjà un de leurs animateurs, Christian Paul, estime que les frondeurs n’ont été « ni écoutés ni entendus », notamment sur le CICE, ce qui « ne prépare pas un vote positif ». « La logique voudrait que l’on s’abstienne », confirme son collègue Laurent Baumel. Ils assurent que leur décision ne sera pas influencée par le retour de Martine Aubry, qui critique ouvertement depuis dimanche une politique gouvernementale menée « au détriment de la croissance ». « Il faut distinguer ce qui relève du débat public national et ce qui relève des décisions parlementaires », appuie l’aubryste Christian Paul. Le soutien de l’ex-Première secrétaire du PS est néanmoins « précieux », déclarent en chœur ces parlementaires. Pour Laurent Baumel, un ancien strauss-kahnien, « cela donne du crédit à notre discours, qui n’est pas un discours de gauchistes irresponsables », pour Pouria Amirshahi de l’aile gauche du PS « cela légitime, cela conforte ».  Christian Paul le martèle: la maire de Lille n’est « ni derrière, ni devant les frondeurs », ce rassemblement hétéroclite né au printemps dernier après l’échec des municipales. « Ceux qui pensent que les frondeurs sont le faux nez de Martine Aubry jugent maintenant avoir raison », mais en réalité il y a au sein de ce mouvement « plusieurs sensibilités qui convergent » avec la même problématique: « Faire réussir la gauche tant qu’il est encore temps », d’après Laurent Baumel.  Et « plus nous serons nombreux et plus nous pourrons obtenir un contrat de majorité » avec le gouvernement pour infléchir sa politique économique et sociale, ajoute Christian Paul. L’heure ne semble cependant pas à un élargissement conséquent du cercle des frondeurs, qui sont actuellement 30 à 40. « Leur manière de faire ne me convient pas », explique ainsi le député Dominique Potier, qui a signé ce week-end la contribution de Martine Aubry pour les états généraux du PS, comme d’autres parlementaires non frondeurs.   »Je prendrai part aux débats au sein du groupe PS pour faire valoir des idées neuves et contribuer à la réussite du gouvernement » mais « je respecterai la décision majoritaire du groupe PS » pour les scrutins, précise Dominique Potier. Laurent Baumel l’affirme: « Je connais beaucoup de députés qui sont d’accord avec nous depuis longtemps mais pour eux franchir le pas dans les votes serait une transgression trop forte ».

 

Coalition internationale contre l’Etat islamique

Coalition internationale  contre l’Etat islamique

La communauté internationale se réveille enfin pour lutter contre la barbarie de l’Etat islamique ; il serait temps avant que ce mouvement ne gangrène tout le Proche et le Moyen Orient voire l’Afrique noire. Le président américain, qui s’exprimait à la Maison blanche avant une réunion de son conseil de sécurité nationale consacrée à la situation en Irak et en Syrie, a annoncé qu’il avait demandé à son secrétaire d’Etat, John Kerry, de se rendre au Proche-Orient. Ce dernier aura pour mission de constituer une coalition internationale qui devra lutter contre les djihadistes de l’Etat islamique. Il a ajouté qu’il avait confié au secrétaire à la Défense, Chuck Hagel, le soin de préparer un éventail d’options militaires.  Ma priorité est de m’assurer que les gains territoriaux de l’Etat islamique en Irak sont effacés« , a-t-il déclaré, ajoutant que la stratégie que les Etats-Unis mettront en place comportera « un volet militaire ». Barack Obama, qui a dit compter sur ses alliés au sein de la future coalition pour fournir un soutien aérien et des armes aux forces irakiennes, a souligné qu’un affaiblissement durable des djihadistes sunnites passait par l’implication des populations sunnites en Irak et en Syrie. Il a en revanche écarté toute idée de coopération avec le président syrien Bachar al Assad, estimant que ses forces n’ont en tout état de cause pas les moyens d’intervenir dans les zones contrôlées par l’Etat islamique.

 

50 milliards d’économies : 17 pour l’Etat, 23 pour la Sécu, 10 pour les collectivités

50 milliards d’économies : 17 pour l’Etat, 23 pour la Sécu, 10 pour les collectivités

 

Selon les Echos, le plan en train d’être finalisé par le gouvernement prévoit une participation à ce tour de vis général de l’Etat et des 550 opérateurs qui en dépendent à hauteur de 17 milliards d’euros.  Cela devrait passer par un maintien du gel du point d’indice des fonctionnaires en 2015 et 2016, et le gouvernement pourrait « raboter » en outre de 10.000 à 15.000 postes les 60.000 recrutements dans l’éducation qui étaient prévus sur le quinquennat.  La Sécurité sociale, quant à elle, devrait économiser 23 milliards, ce qui passerait par une réduction supplémentaire d’un milliard d’euros par an de la progression des dépenses de santé, déjà sujettes à un plan d’économies.  Le quotidien assure en outre que les « allocations familiales de base » ne seront pas touchées mais évoque de possibles économies sur certaines prestations secondaires.  Enfin, les collectivités devraient contribuer au plan d’économies à hauteur d’environ 10 milliards, via une baisse de trois milliards d’euros par an en 2015, 2016 et 2017 des dotations versées par l’Etat.

 




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