Archive pour le Tag 'tassement'

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Croissance Europe : bon niveau mais tassement du rythme

Croissance Europe : bon niveau mais tassement du rythme

 

Encore un bon niveau de l’industrie manufacturière en janvier mais le rythme tend cependant à ralentir. Un phénomène ressenti un peu partout y compris en Chine et aux États-Unis

L’activité manufacturière américaine a enregistré une croissance moins forte le mois dernier, à en croire l’Institute for Supply Management (ISM) dont l’indice s’est établi à 58,7 contre 60,5 pour décembre 2020, alors même que le consensus l’attendait en baisse plus modeste

 Les résultats de l’activité manufacturière en Chine confirment la tendance dégagée chez les directeurs d’achats; à savoir; le net tassement de la croissance. En cause évidemment la troisième vague en cours du virus qui affecte la consommation et les investissements dans la plupart des zones économiques L’indice PMI manufacturier calculé par Caixin/Markit a reculé en janvier à 51,5 contre 53,0 le mois précédent, soit son plus faible niveau depuis juin dernier. Le consensus ressortait à 52,7.

D’après les données de Caixin/Markit, le sous-indice de production en Europe a reculé le mois dernier à 52,5, un plus bas depuis avril dernier, tandis que le sous-indice des nouvelles commandes a chuté à 52,5, soit leur rythme le plus faible depuis juin dernier.

C’est tassement montrent la corrélation entre l’activité et la reprise de la pandémie. L’indice PMI manufacturier en Europe et tombé à 54,8 en janvier dans sa version définitive après 55,2 en décembre. L’indice de janvier est toutefois légèrement supérieur à une première estimation qui l’avait donné à 54,7. « La production manufacturière de la zone euro à continué de croître de manière soutenue début 2021 mais le rythme de la croissance a touché son plus bas niveau depuis le début de la reprise, de nouvelles mesures de confinement et des perturbations dans l’approvisionnement ayant posé de nouveaux défis aux industriels de la région », commente Chris Williamson, économiste d’IHS Markit.

Croissance Chine: -tassement aussi de l’activité manufacturière en janvier

Croissance Chine: -tassement aussi de l’activité manufacturière en janvier

Les résultats de l’activité manufacturière en Chine confirment la tendance dégagée chez les directeurs d’achats; à savoir; le net tassement de la croissance. En cause évidemment la troisième vague en cours du virus qui affecte la consommation et les investissements dans la plupart des zones économiques L’indice PMI manufacturier calculé par Caixin/Markit a reculé en janvier à 51,5 contre 53,0 le mois précédent, soit son plus faible niveau depuis juin dernier. Le consensus ressortait à 52,7.

D’après les données de Caixin/Markit, le sous-indice de production a reculé le mois dernier à 52,5, un plus bas depuis avril dernier, tandis que le sous-indice des nouvelles commandes a chuté à 52,5, soit leur rythme le plus faible depuis juin dernier.

Les nouvelles commandes à l’exportation se sont contractées en janvier après cinq mois consécutifs de progression, alors que le regain de la pandémie de coronavirus a pesé sur la demande étrangère. Ce n’est tassement de la croissance des exportations devrait ce retrouver dans l’affaiblissement de l’activité économique de la plupart des pays très touchés par le virus.

Croissance Démographie : pour la première fois très net tassement depuis 1945

Croissance Démographie : pour la première fois très net tassement depuis 1945

 

 

Le très net tassement de la croissance démographique peut s’expliquer conjoncturellement  par la pandémie liée au Coron virus. En effet,  les décès ont été particulièrement nombreux notamment en 2020 et n’ont pas été suffisamment compensés par les naissances pour créer une dynamique très positive.

 

Le problème c’est que les couples font de moins en moins d’enfants et la baisse a été clairement enregistrée depuis longtemps et encore davantage depuis 2016. En cause, le fait que les enfants naissent dans le couple beaucoup plus tard : lorsque la femme est proche de 30 ans alors que dans les années 50 c’était lorsqu’elle avait autour de 20 ans. Les périodes de fertilité diminuent donc.

 

 Il y a aussi les conditions matérielles et morales. L’environnement social au sens large paraît relativement anxiogène aux jeunes couples qui hésitent à assurer leur descendance. Un autre phénomène peu abordé et celui de la conséquence de la sur urbanisation dans les grandes métropoles. Dans ces villes hyper concentrées,  le prix du logement est devenu tout à fait inabordable aux Français moyen qui ne peuvent évidemment envisager une famille très nombreuse. À noter que dans le même temps nombre de départements se vident de leur population. Un vrai problème d’aménagement du territoire et au-delà une vraie question sociétale.

 

Au 1er janvier 2021, la France compte 67,4 millions d’habitants. Au cours de l’année 2020, la population a augmenté de 0,3 %. Cette progression est due pour moitié au solde naturel ( + 82 000 personnes en 2020), soit la différence entre les nombres de naissances et de décès. Fait majeur de ce bilan, le solde naturel a fortement baissé en raison de la forte hausse des décès liés au Covid-19 combiné à la baisse des naissances. «Il n’a cessé de baisser depuis 2016 et atteint de nouveau un point très bas en 2020», relève l’Insee. Le solde migratoire, lui, se situe à + 87 000 personnes.

Tassement du dollar.. toujours très surévalué.

Tassement du dollar.. toujours très surévalué.

La  surévaluation du dollar a largement été démontrée depuis longtemps et confirmée aussi par l’ indice Big Mac, du nom du hamburger emblématique de la chaîne McDonald’s, a été créé en 1986 par l’hebdomadaire britannique The Economist. Son objectif est de comparer la valeur des devises à travers le monde par rapport au dollar, en prenant comme «panier de référence» un produit invariable et a priori identique aux quatre coins de la planète : le Big Mac. Si la tendance en ce début d’année 2021 est à la surévaluation du dollar par rapport aux autres devises,

 

 

Presque toutes les monnaies sont sous-évaluées par rapport au dollar. Il s’avère en effet qu’en Russie un Big Mac coûte 110 roubles (1,65 dollar), contre 5,58 dollars aux États-Unis. Cet écart de prix considérable suggère que le rouble est sous-évalué de 70% par rapport à la devise américaine. En Grande-Bretagne le burger est 27% moins cher qu’aux USA et il est 35% moins cher en Argentine. L’indice permet également de constater que l’euro est sous-évalué de 17% par rapport au dollar. Seuls le franc suisse, la couronne norvégienne et la couronne suédoise sont jugés surévalués.

Le calcul de cet indice ne sert pas seulement à amuser les étudiants en économie et leurs professeurs. Il constitue un précieux indicateur pour les traders qui interviennent sur le marché des changes.

La surévaluation du dollar provient aussi du faît que cette monnaie est utilisée à des fins nationales mais aussi internationales pour la plupart du commerce. Le dollar sert aussi souvent de valeur refuge en cas de crise

 

 

«Lorsque l’épidémie de covid-19 est arrivée aux États-Unis, les investisseurs se sont jetés sur le dollar après que la Fed a inondé les marchés de liquidités, explique-t-elle. D’après notre indice, le peso mexicain était alors passé d’une dévaluation de 53% par rapport au dollar à 61%. Avant que ce mouvement ne s’inverse.»

 

Coronavirus France : tassement, 20.000 nouveaux cas

 Coronavirus France : tassement, 20.000 nouveaux cas

19.814 nouveaux cas de contamination par le coronavirus en 24 heures et 281 décès supplémentaires dans les hôpitaux en raison du COVID-19, montrent les chiffres publiés vendredi par Santé Publique France (SPF).

Le bilan de l’épidémie dans le pays atteint désormais 67.431 morts, soit 590 de plus que la veille en incluant les données des Ehpad dont les statistiques ne sont actualisées que deux fois par semaine.

Le nombre de patients hospitalisés pour COVID-19 a baissé de 111 à 24.377 mais les services de réanimation traitent 33 personnes de plus pour des formes graves de la maladie, pour un total de 2.606, selon le bilan fourni par SPF.

Emploi États-Unis : tassement

Emploi États-Unis : tassement

Conséquence sans doute d’une crise sanitaire qui ne fait que s’aggraver et des problèmes liés à la transition politique laborieuse, le secteur privé aux Etats-Unis a créé 307.000 emplois en novembre, un chiffre inférieur aux attentes, montrent mercredi les résultats de l’enquête mensuelle du cabinet privé ADP.

Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne 410.000 créations de postes, leurs estimations s’échelonnant entre 195.000 et 550.000.

Le chiffre des créations d’emplois privés d’octobre a toutefois été révisé à la hausse, à 404.000 contre 365.000 annoncé initialement.

L’enquête ADP est publiée deux jours avant le rapport mensuel du département du Travail, qui devrait, selon le consensus, confirmer lui aussi la tendance au ralentissement de la reprise de l’emploi.

Epargne : un tassement en octobre qui ne remet pas en cause la tendance

Epargne : un tassement en octobre qui ne remet pas en cause la tendance

En dépit du tassement en octobre,  entre janvier et octobre inclus, les ménages ont déposé 31,73 milliards d’euros sur ces deux produits, dont 24,82 milliards d’euros sur le seul livret A. Cette collecte cumulée est historique, atteignant près du double de celle enregistrée sur la même période en 2019 (16,77 milliards d’euros seulement). Et ce, alors que le taux de rendement du livret A n’a jamais été aussi bas, depuis le 1er février, s’élevant désormais à 0,5%.

Dans le détail, la collecte du livret A a enregistré une décrue de 940 millions d’euros, en octobre, quand celle du LDDS a reculé de 80 millions d’euros. La décollecte dépasse donc légèrement le milliard d’euros pour les deux produits cumulés. Cette décollecte n’est pas en soi une surprise, la fin d’année étant souvent une période où les Français piochent dans leur épargne.

Pour l’avenir demeurent des incertitudes tant qu’une plus grande maîtrise de la crise sanitaire ne sera pas assurée et surtout tant  que l’horizon ne sera pas éclairci par rapport à la croissance et à l’emploi. De ce point de vue,  la succession de plans de licenciement dans les grandes entreprises mais d’une façon générale dans toute l’économie inquiète évidemment et n’encourage pas les ménages à la consommation. Sur le plan du chômage on aura enregistré une augmentation 700 000 à 1 million de personnes en plus fin 2020.

Coronavirus France : tassement, 13.500 cas en 24 heures

Coronavirus France : tassement, 13.500 cas en 24 heures

13.563 nouvelles contaminations dues au coronavirus en 24 heures, soit un peu plus de 2.700 de moins que la veille (16.282).

Le nombre de patients hospitalisés s’élève selon lui à 29.310 et, parmi eux, 4.018 se trouvent en réanimation, ce qui fait respectivement 662 et 130 de moins en 24 heures.

Trois-cent trente-neuf décès supplémentaires ont par ailleurs été recensés, ce qui porte le bilan français à 50.957 morts depuis le début de l’épidémie.

Livret d’épargne : un tassement en octobre qui ne remet pas en cause la tendance

Livret d’épargne : un tassement en octobre qui ne remet pas en cause la tendance

En dépit du tassement en octobre,  entre janvier et octobre inclus, les ménages ont déposé 31,73 milliards d’euros sur ces deux produits, dont 24,82 milliards d’euros sur le seul livret A. Cette collecte cumulée est historique, atteignant près du double de celle enregistrée sur la même période en 2019 (16,77 milliards d’euros seulement). Et ce, alors que le taux de rendement du livret A n’a jamais été aussi bas, depuis le 1er février, s’élevant désormais à 0,5%.

Dans le détail, la collecte du livret A a enregistré une décrue de 940 millions d’euros, en octobre, quand celle du LDDS a reculé de 80 millions d’euros. La décollecte dépasse donc légèrement le milliard d’euros pour les deux produits cumulés. Cette décollecte n’est pas en soi une surprise, la fin d’année étant souvent une période où les Français piochent dans leur épargne.

Pour l’avenir demeurent des incertitudes tant qu’une plus grande maîtrise de la crise sanitaire ne sera pas assurée et surtout tant  que l’horizon ne sera pas éclairci par rapport à la croissance et à l’emploi. De ce point de vue,  la succession de plans de licenciement dans les grandes entreprises mais d’une façon générale dans toute l’économie inquiète évidemment et n’encourage pas les ménages à la consommation. Sur le plan du chômage on aura enregistré une augmentation 700 000 à 1 million de personnes en plus fin 2020.

Croissance : tassement en Europe et en France (BCE)

Croissance : tassement en Europe et en France (BCE)

“Les indicateurs suggèrent que (l’économie, ndlr) est en train de perdre de son élan”, a  dit dans un entretien réalisé par l’Institute for International Finance (IIF) le vice-président de la BCE, Luis de Guindos

“Notre réaction sera cohérente avec l’évolution de la situation”, a-t-il ajouté. “Nous aurons de nouvelles prévisions en décembre et nous évaluerons de quelle manière les mesures sont adaptées aux nouvelles prévisions mais nous n’avons pas de date concrète (…) et nous faisons cela en continu”, a-t-il expliqué.

Les indicateurs Markit avait déjà constaté que contrairement aux attentes du mois d’août, la reprise n’était pas au rendez-vous au niveau attendu en septembre et que le dernier trimestre risquait d’être mauvais. Après cette publication des indicateurs  Markit concernant les perspectives économiques de toute l’Europe y compris la France, l’INSEE a repris  à son compte la tendance baissière signalée en septembre et qui pourrait se poursuivre jusqu’à la fin de l’année. En clair, la croissance du quatrième trimestre pourrait être de zéro voire négative Contrairement à ce qui était affirmé au mois d’août il n’y a pas de véritable reprise et l’ensemble de l’année devrait accuser pour la France une baisse du PIB de 9 à 10 %. Le problème c’est que l’INSEE attribue quasi exclusivement cette inversion de tendance à la crise sanitaire

Comme depuis le début de la crise sanitaire, c’est l’évolution de l’épidémie qui devrait en grande partie conditionner celle de l’activité économique des tout prochains mois”, indique l’Institut national de la statistique dans sa note de conjoncture du mois d’octobre publiée mardi.

Or la crise sanitaire indiscutable n’est pas le seul facteur explicatif. Il y a d’une manière générale, en France surtout, un manque de confiance générale qui se traduit par un attentisme des consommateurs mais aussi en matière d’investissements dans les entreprises. Pour preuve,  comment expliquer que la baisse de la croissance de la France en 2020 sera à peu près le double de celle de l’Allemagne alors que dans le même temps jamais l’épargne n’aura connue un tel niveau. Environ 100 milliards auront été mis de côté par des épargnants qui diffèrent ou annulent leurs prévisions de dépenses notamment en matière d’équipement.

De leur côté les entreprises françaises ne distinguent pas clairement les objectifs du plan de relance dont on aura d’ailleurs beaucoup de mal à solliciter la totalité de l’enveloppe. En outre les effets immédiats de ce plan de relance seront très marginaux et il faudra attendre mi 2021 pour commencer à mesurer son influence..

Les enquêtes de conjoncture signalent une activité en retrait et certains autres indicateurs, comme les montants agrégés de transactions par carte bancaire, suggèrent un ralentissement de la consommation des ménages le mois dernier, signale l’INSEE.

“Dans un scénario où, au quatrième trimestre, les services les plus affectés (hôtellerie-restauration, services de transport, activités récréatives et de loisirs) reviendraient, après une embellie durant l’été, à leur niveau d’activité de juin dernier et où l’investissement resterait, par attentisme, à un niveau proche de celui du troisième trimestre, la croissance serait nulle en fin d’année”, estime l’Insee.

L’institut prévient toutefois qu’un “durcissement durable” des restrictions sanitaires pourrait provoquer une nouvelle contraction du PIB au quatrième trimestre.“Inversement, si la situation sanitaire se stabilisait, l’évolution du PIB pourrait être positive en fin d’année”, ajoute l’Insee.

L’institut prévoit un rebond de 16% du PIB au troisième trimestre après une chute de 13,8% au deuxième et un repli de 5,9% au premier.

Pour l’ensemble de l’année, sa prévision est inchangée avec une contraction attendue du PIB de l’ordre de 9%.

Croissance– Moral des patrons : tassement en Europe

Croissance– Moral des patrons : tassement en Europe

Globalement le moral des patrons en Europe ne s’est pas amélioré. Le moral des directeurs d’achat dans le secteur français des services a chuté en septembre à son plus bas depuis le mois de mai, selon l’indice PMI publié mercredi par l’institut IHS Markit. Cet indice a ainsi reculé à 47,5 en septembre après 51,5 en août. Le fait qu’il soit passé sous la barre des 50 signifie que le secteur est passé du territoire de la croissance à celui de la contraction en septembre, selon l’avis des professionnels.

Le secteur manufacturier français se porte mieux : son indice a progressé à 50,9 contre 49,8 le mois précédent, dépassant les attentes et repassant en territoire de croissance. « L’augmentation du nombre de cas de contamination a été accompagnée par de nouvelles mesures de restriction mais a aussi entraîné des hésitations au sein des entreprises, qui craignent de nouvelles fermetures temporaires », a commenté auprès de Reuters Eliot Kerr, économiste d’IHS Markit.

En zone euro aussi, l’activité a calé en septembre. L’indice PMI composite, qui reflète à la fois l’activité manufacturière et celle des services, est tombé à 50,1, après 51,7 le mois dernier, alors que les économistes l’attendaient à 51,9. Mais la France a subi la plus faible performance.

Moral des patrons : tassement en Europe

Moral des patrons : tassement en Europe

Globalement le moral des patrons en Europe ne s’est pas amélioré. Le moral des directeurs d’achat dans le secteur français des services a chuté en septembre à son plus bas depuis le mois de mai, selon l’indice PMI publié mercredi par l’institut IHS Markit. Cet indice a ainsi reculé à 47,5 en septembre après 51,5 en août. Le fait qu’il soit passé sous la barre des 50 signifie que le secteur est passé du territoire de la croissance à celui de la contraction en septembre, selon l’avis des professionnels.

Le secteur manufacturier français se porte mieux : son indice a progressé à 50,9 contre 49,8 le mois précédent, dépassant les attentes et repassant en territoire de croissance. « L’augmentation du nombre de cas de contamination a été accompagnée par de nouvelles mesures de restriction mais a aussi entraîné des hésitations au sein des entreprises, qui craignent de nouvelles fermetures temporaires », a commenté auprès de Reuters Eliot Kerr, économiste d’IHS Markit.

En zone euro aussi, l’activité a calé en septembre. L’indice PMI composite, qui reflète à la fois l’activité manufacturière et celle des services, est tombé à 50,1, après 51,7 le mois dernier, alors que les économistes l’attendaient à 51,9. Mais la France a subi la plus faible performance.

Coronavirus France : 23 nouveaux morts, nouveau tassement

Coronavirus France : 23 nouveaux morts, nouveau tassement 

23 nouveaux décès dus au coronavirus au cours des dernières 24 heures, ce qui porte le bilan de l’épidémie à 29.319 morts depuis le 1er mars, a annoncé mercredi la direction générale de la santé (DGS), qui ajoute qu’aucun indicateur ne témoigne d’une “reprise épidémique”.

Le nombre de personnes hospitalisées pour une infection au COVID-19 continue de diminuer, à 11.678 patients, contre 11.961 mardi, soit 283 de moins en 24 heures et au plus bas depuis le 25 mars.

Le nombre de cas graves en réanimation, en recul constant depuis le pic atteint le 8 avril, poursuit également sa baisse à 933 cas contre 955 mardi (-22) et retombe au niveau observé le 18 mars.

Pour ce qui est des contaminations, l’agence Santé publique France fait état mercredi soir de 545 cas confirmés supplémentaires pour un total de 155.136 depuis le début de l’épidémie. La prudence reste cependant de mise dans la mesure globalement au plan mondial la pandémie a plutôt tendance à augmenter même si elle se déplace géographiquement. Le risque étend évidemment d’une reprise de vigueur du virus dès l’automne

Un mois après le début du déconfinement progressif, la direction générale de la santé note que “l’ensemble des indicateurs épidémiologiques de suivi au niveau national (…) sont à des niveaux satisfaisants sur l’ensemble du territoire métropolitain et ne témoignent pas d’une reprise épidémique”.

Pour autant, la DGS réitère ses appels à la vigilance et à la prudence “à travers l’application individuelle et collective des mesures barrières, la protection solidaire des personnes les plus vulnérables, pour nous et pour nos proches” afin, ajoute-t-elle, de “maîtriser durablement le risque de rebond épidémique”.

Les chiffres communiqués mercredi soir ne prennent pas en compte les données des établissements médico-sociaux, dont les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, qui seront actualisées mardi prochain.

Coronavirus France : 23 nouveaux morts, nouveau tassement

Coronavirus France : 23 nouveaux morts, nouveau tassement « 

23 nouveaux décès dus au coronavirus au cours des dernières 24 heures, ce qui porte le bilan de l’épidémie à 29.319 morts depuis le 1er mars, a annoncé mercredi la direction générale de la santé (DGS), qui ajoute qu’aucun indicateur ne témoigne d’une “reprise épidémique”.

Le nombre de personnes hospitalisées pour une infection au COVID-19 continue de diminuer, à 11.678 patients, contre 11.961 mardi, soit 283 de moins en 24 heures et au plus bas depuis le 25 mars.

Le nombre de cas graves en réanimation, en recul constant depuis le pic atteint le 8 avril, poursuit également sa baisse à 933 cas contre 955 mardi (-22) et retombe au niveau observé le 18 mars.

Pour ce qui est des contaminations, l’agence Santé publique France fait état mercredi soir de 545 cas confirmés supplémentaires pour un total de 155.136 depuis le début de l’épidémie. La prudence reste cependant de mise dans la mesure globalement au plan mondial la pandémie a plutôt tendance à augmenter même si elle se déplace géographiquement. Le risque étend évidemment d’une reprise de vigueur du virus dès l’automne

Un mois après le début du déconfinement progressif, la direction générale de la santé note que “l’ensemble des indicateurs épidémiologiques de suivi au niveau national (…) sont à des niveaux satisfaisants sur l’ensemble du territoire métropolitain et ne témoignent pas d’une reprise épidémique”.

Pour autant, la DGS réitère ses appels à la vigilance et à la prudence “à travers l’application individuelle et collective des mesures barrières, la protection solidaire des personnes les plus vulnérables, pour nous et pour nos proches” afin, ajoute-t-elle, de “maîtriser durablement le risque de rebond épidémique”.

Les chiffres communiqués mercredi soir ne prennent pas en compte les données des établissements médico-sociaux, dont les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, qui seront actualisées mardi prochain.

 

France Coronavirus 87 nouveaux décès, tassement

France Coronavirus 87 nouveaux décès, tassement

87 nouveaux décès dus au coronavirus au cours des dernières 24 heures, ce qui porte le bilan de l’épidémie à 29.296 morts depuis le 1er mars, montrent les chiffres diffusés mardi par la direction générale de la santé.

Ce bilan se répartit entre 18.912 décès dans les hôpitaux (+53) et 10.384 (+34) dans les Ehpad et autres établissements sociaux et médicosociaux dont les données n’avaient pas réactualisées depuis le 2 juin.

Le nombre de personnes hospitalisées pour une infection au COVID-19 continue de diminuer, à 11.961 patients, contre 12.315 lundi, soit 354 de moins en 24 heures.

Le nombre de cas graves en réanimation, en recul constant depuis deux mois, poursuit également sa baisse et passe sous le millier, à 955 cas contre 1.024 lundi (-69). Il faut remonter au 18 mars pour retrouver un bilan quotidien faisant état de patients moins nombreux en réanimation (931).

Pour ce qui est des contaminations, l’agence Santé publique France fait état mardi soir de 403 cas confirmés supplémentaires pour un total de 154.591 depuis le début de l’épidémie.

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