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Chine: tassement de la croissance du commerce extérieur

Chine: tassement de la croissance du commerce extérieur

 

 

Signe d’une certaine reprise internationale, la Chine enregistre encore une forte croissance du commerce extérieur cependant un peu inférieur aux prévisions. Les exportations chinoises ont augmenté en juillet de 7,2% et les importations de 11,0%, deux hausses inférieures aux attentes des analystes, montrent les statistiques officielles publiées mardi. L’excédent commercial chinois libellé en dollars s’élève pour le mois écoulé à 46,74 milliards (39,55 milliards d’euros), précise l’Administration générale des douanes. Les analystes tablaient sur une hausse de 10,9% des exportations, contre 11,3% en juin, et sur une augmentation de 16,6% des importations, contre 17,2% en juin. Ils pariaient en moyenne sur un excédent à 46,08 milliards, après 42,77 milliards en juin. La performance commerciale de la Chine, première puissance exportatrice mondiale, a rebondi cette année après plusieurs années de déclin grâce à une forte demande à la fois intérieure et extérieure.

Produits agricoles : tassement des prix et de la croissance

Produits agricoles : tassement des prix et de la croissance

 

Un rapport publié lundi par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) « laisse entrevoir une nette décélération de la croissance de la demande totale de la plupart [d'entre eux] (y compris les utilisations non alimentaires), écrivent les experts dans leur édition annuelle conjointe sur les perspectives agricoles mondiales.  Selon l’OCDE et la FAO, le véritable changement à venir sera lié à l’évolution de la demande des pays émergents. Le développement de l’urbanisation et l’augmentation du revenu des ménages favorisent une diversification des menus et une plus grande consommation de viande. Des facteurs qui devraient soutenir les cours des viandes, des produits laitiers et des oléagineux destinés à l’alimentation du bétail. A l’inverse, les prix moins élevés du pétrole induisent une pression à la baisse. Que se soit en réduisant les coûts de l’énergie et des fertilisants, mais aussi en limitant la production de biocarburant de première génération, devenue peu compétitive en Europe et aux Etats-Unis . L’OCDE et la FAO ont pris comme hypothèse un baril de brent à 88,1 dollars en 2024. Ils tablent également sur un dollar fort. Ils mettent aussi en évidence une autre tendance qui pourrait être facteur de risque : la concentration de plus en plus grande des exportations sur quelques pays, alors que parallèlement les importations se diversifient sur le globe. Une perspective qui fragilise les réseaux d’approvisionnement en cas de désastre naturel ou d’adoption de mesures de barrières commerciales. En 2024, les Etats-Unis seraient le premier exportateur de céréales pour l’alimentation animale, de porc et de coton. Le Brésil exporterait 50 % du sucre mondial , et serait le premier exportateur mondial de bœuf et de poulet . Le lait et les produits laitiers resteraient l’un des points forts de l’Europe, qui revendique 40 % du marché du fromage. Côté de l’offre annotée surtout des stocks de céréales à hauteur de 230 millions de tonnes au cours de la dernière décennie. Aujourd’hui, ces stocks mondiaux sont « abondants » après plusieurs années de production hors norme, qui ont d’ailleurs fait plonger les prix du blé et du maïs au plancher en 2016. Les produits laitiers frais sont l’un des rares produits que le monde va avaler avec plus d’appétit qu’au cours des dix dernières années. « [Leur] consommation connaît une progression exceptionnelle », constatent les experts des deux organisations. Tout particulièrement en Inde, qui représente plus de la moitié de la consommation supplémentaire. Globalement En matières de prix agricoles, les marchés semblent d’ailleurs se diriger vers une décennie plus sage, à en croire les auteurs qui prévoient que les prix réels de la pluparts des produits « s’infléchiront légèrement à la baisse au cours des dix prochaines années ».

 

Croissance : Royaume-Uni : tassement

Croissance : Royaume uni : tassement

 

Sur le premier trimestre de cette année, la croissance a augmenté de 0,2%, contre 0,7% au quatrième trimestre 2016, selon les chiffres de l’Office for National Statistics. Avec ce chiffre, le Royaume-Uni se place ainsi en queue de peloton des pays du G7 sur cette période, et derrière la France. «Cela est en partie dû à l’augmentation des prix», explique les statisticiens. Les services aux entreprises et la finance constituent les deux seuls secteurs où la croissance «continue d’augmenter fortement». Cette tendance devrait encore se confirmer cette année. L’OCDE prévoit une croissance de 1,6% en 2017, puis de 1% seulement en 2018. Depuis le 23 juin 2016, date du référendum sur la sortie de l’Union européenne, la livre sterling a perdu 14% de sa valeur face à l’euro. En six mois, elle avait perdu 20% face au dollar. En conséquence, le prix des importations augmente, ce qui se répercute irrémédiablement sur les prix des biens de consommation.par ailleurs, L’inflation ne cesse de croître. En mai dernier, l’indice des prix à la consommation s’est accru de 2,9%, après une augmentation de 2,7% en avril, relève l’ONS. L’augmentation des prix, résultant de la dépréciation de la livre sterling, explique en grande partie la baisse du pouvoir d’achat des Anglais et donc une baisse de la consommation. Selon une étude de l’Université de East Anglia, les fusions-acquisitions aurait diminué de 15% depuis le référendum sur la sortie de l’UE, soit 60 fusions par mois. «C’est une très mauvaise nouvelle», affirme Peter Ormosi, qui a conduit cette étude. «La très grande majorité des fusions-acquisitions, à moins qu’elles aient un effet négatif sur la compétition, peuvent potentiellement contribuer au bien-être social, par exemple en réduisant le coût des transactions, ou en améliorant le rendement des entreprises qui fusionnent».ceci étant sur le terrain de l’emploi, la situation est toujours très satisfaisante. . A la fin du mois d’avril, le taux de chômage s’est établi à 4,6% de la population active. Sur la période de février à avril, le pays comptait ainsi 1,53 million de chômeurs. Cela représente 145.000 personnes de moins que l’année précédente.

 

Etats-Unis, tassement de l’emploi

Etats-Unis, tassement de l’emploi

 

 

 

-Signe des doutes sur l’ampleur de la croissance,  l’économie américaine a créé seulement 138.000 emplois non agricoles le mois dernier, a annoncé vendredi le département du Travail. Les chiffres de mars et d’avril ont été révisés en baisse pour afficher 66.000 créations d’emplois de moins qu’annoncé au départ. Le nombre de créations d’emplois d’avril a été ramené de 211.000 à 174.000 et celui de mars de 79.000 à 50.000.Des interrogations demeurent sur ampleur de la croissance surtout après les chiffres assez décevants  du premier trimestre.  La croissance en rythme annualisé était de 1,2 % au premier trimestre pour. Au quatrième trimestre, la croissance avait été de 2,1%. « La deuxième estimation donne une image plus exacte du degré de ralentissement au début de l’année mais la principale inquiétude sur la croissance de la consommation privée demeure », a déclaré Michael Papen, économiste en chef chez Barclays. Le gouvernement a révisé à la hausse son estimation initiale de la croissance de la consommation des ménages, mais a revu en forte baisse la constitution de stocks des entreprises. La faiblesse constatée au premier trimestre ne fait pas les affaires de Donald Trump qui a promis de doper l’économie américaine. Lors de la campagne présidentielle, le magnat de l’immobilier avait dit vouloir porter la croissance annuelle à 4%. L’administration républicaine table aujourd’hui sur une croissance de 3%, qu’elle juge plus réaliste. Pour développer l’économie, Trump a proposé un programme basé notamment sur des baisses d’impôts et des investissements dans les infrastructures. Mais les analystes craignent que cette politique, si elle se concrétise, provoque une surchauffe de l’économie compte tenu de la faiblesse de la productivité et du manque de main d’oeuvre dans certains secteurs. Si la croissance semble avoir retrouvé un peu de son élan au début du deuxième trimestre, la faiblesse des investissements des entreprises, la modeste hausse des ventes au détail et le déficit commercial au mois d’avril suggèrent qu’elle pourrait ne pas être robuste. Le département du Commerce a annoncé vendredi que les commandes de biens durables hors défense et aéronautique, considérées comme un bon baromètre des projets d’investissement des entreprises, sont restées inchangées en avril, pour le deuxième mois d’affilée. La croissance des dépenses des ménages, qui représentent plus des deux tiers du PIB, s’est faite à un rythme annualisé de 0,6%, au lieu de 0,3% en première estimation, mais reste à son niveau le plus faible depuis le quatrième trimestre 2009, après le rythme soutenu, de 3,5%, constaté au quatrième trimestre.

 

Croissance Chine et Japon: tassement dans l’industrie

Croissance Chine et Japon: tassement dans l’industrie

 

Tassement de l’industrie au Japon et de la production manufacturière en Chine. La production industrielle au Japon a reculé de 1,9% en mars sur un mois, un peu moins qu’annoncé en première approche (-2,1%), a indiqué mercredi le ministère de l’Industrie. Elle a subi un contre-coup après une hausse de 3,2% en février, mais les économistes espéraient qu’elle ne baisserait pas autant. En cause cette fois notamment, une moindre production d’équipements industriels et de composants électroniques, selon le gouvernement. Le tout n’a pas été rattrapé par une hausse constatée dans l’industrie du papier, des équipements de télécommunications ou en encore des fibres. La production industrielle est sujette à d’importantes fluctuations d’un mois sur l’autre, en raison d’une stratégie d’ajustement de la cadence des chaînes de fabrication en fonction de la demande réelle. Toujours en mars, les livraisons ont diminué de 0,8% (et non de 1,1%) et les stocks ont augmenté de 1,5% (au lieu de 1,6%).  La Chine, elle,  enregistre un assez net tassement de la production manufacturière d’après les chiffres officiels. Un tassement également confirmé par les directeurs d’achats. Des chiffres évidemment au caractère officiel apprendre avec prudence qui témoigne en tout cas que l’économie mondiale n’est pas sortie de la croissance molle témoin la croissance de seulement 0,7 % en tendance annuelle enregistrée au premier trimestre aux Etats-Unis. En chine,  l’activité manufacturière a ralenti en avril, la croissance du secteur s’établissant à un plus bas de sept mois, selon l’indice Caixin-Markit des directeurs d’achat (PMI) du secteur publié mardi. Lau premier trimestre aux États-Unis  L’activité des directeurs d’achats du secteur manufacturier a ralenti plus fortement que prévu en avril, montrent les données officielles publiées dimanche. L’indice PMI des directeurs d’achats du secteur calculé par les autorités chinoises, s’est inscrit à 51,2 en avril, après 51,8 en mars, où il avait atteint un pic de près de cinq ans. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient un indice à 51,6. L’indice reste pour le neuvième mois consécutif au-dessus de la barre des 50 qui sépare la croissance de la contraction en rythme mensuel. La hausse modérée des prix à la production, enregistrée en mars, ainsi que les mesures prises par les autorités pour réduire les risques liés au marché immobilier et au crédit ont pu contribuer à ce ralentissement.

Croissance Chine: tassement industrielle en avril

Croissance Chine: tassement industriel en avril

 

La croissance de la  production industrielle s’est tassée en avril   Elle a progressé le mois dernier de 6,5% sur un an, en-deçà du bond de 7,6% enregistré en mars, et en deçà des attentes  des  analystes, qui tablaient sur une hausse de 7%. C’est résultat de la réorientation de l’économie chinoise aussi de la croissance mondiale un peu faiblarde. . La Chine, moteur important de l’économie mondiale, a enregistré l’an passé une performance de 6,9%, au plus bas depuis un quart de siècle. Pékin, qui visait en 2015 une croissance « d’environ 7% », tente de rééquilibrer l’économie chinoise vers la consommation intérieure, l’innovation et les services, en diminuant la dépendance à l’égard des exportations et des investissements, mais la transition s’avère difficile, et le ralentissement de la croissance inquiète les investisseurs. La croissance de la Chine se tassera encore en 2017 avec un objectif autour de 6,5 %.   « Tous les indicateurs traduisent le même message: l’économie dans son ensemble a ralenti de façon significative en avril », observait lundi Larry Hu, analyste de Macquarie Securities, cité par l’agence Bloomberg. Mais étant donné que la croissance du PIB se maintient peu ou prou dans la ligne de l’objectif visé par Pékin, « le gouvernement continuera au deuxième trimestre de donner la priorité à la réduction des risques financiers », insiste M. Hu. De fait, les autorités ont nettement durci le ton contre la « finance de l’ombre », ensemble des instruments de crédits non régulés (prêts entre banques, particuliers et gouvernements locaux), qui prolifèrent hors du secteur bancaire et alimentent une dette nationale déjà colossale. Les ventes de détail en Chine, baromètre de la consommation des ménages et de la santé du secteur des services, résistent mieux avec une hausse de 10,7% sur un an le mois dernier, selon le BNS, en léger ralentissement par rapport à mars (+10,9%) mais en ligne avec les attentes du marché.

Sondage IFOP: tassement de Le Pen et Macron ? À prendre avec des pincettes

Sondage IFOP: tassement de Le Pen et Macron ? À prendre avec des pincettes

D’après l’IFOP, il  y aurait il y aurait un léger tassement de Le Pen et Macon dans les intentions de vote pour 2017. Le Pen et Macron passerait de 25 %- à 22-23% A une semaine et demie du scrutin, la présidente du Front national est créditée de 23,5% et le candidat d’En marche ! de 22,5%, selon cette enquête réalisée pour Paris Match, CNEWS et Sud Radio. François Fillon et Jean-Luc Mélenchon restent stables, à respectivement 19% et 18,5% des intentions de vote. Les sondages de ses derniers jours et encore davantage sont sans doute à prendre avec des pincettes car ils sont marqués par deux biais essentiels. D’une part par la sensibilité politique de ceux qui commandent ces sondages d’autre part et surtout par le fait que 40 % des électeurs sont encore indécis. Ajoutons enfin que la marge d’erreur par ailleurs impossible à calculer de manière très scientifique se situe au moins à 3 % voire 5 %. Il est clair que certains vont tenter d’influencer l’électorat en « redressant » de manière excessive certaines enquêtes au profit de leurs candidats préférés.

 

Cette étude a été menée en ligne, du 9 au 12 avril 2017, auprès d’un échantillon de 2.800 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 3.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondages : tassement de Macron et Le Pen

Sondages : tassement de  Macron et Le Pen

Une compilation de  70 sondages par le JDD depuis le début de l’année en fonction de leur date de réalisation. En  gommant  les variations entre instituts tout en faisant ressortir les tendances en cours.

 

.Dans les derniers sondages qui ont suivi le débat à onze de mardi, les deux favoris se situent entre 23 et 24% des intentions de vote en fonction des instituts. Le candidat d’En marche n’était plus descendu à ce niveau depuis février. La frontiste, elle, ne l’avait simplement jamais connu. A 15 jours du premier tour, leur campagne respective connaît donc un essoufflement. La faute aussi à la relative émergence des « petits candidats » qui sont désormais plus visibles. La faute surtout à la progression en parallèle des deux challengers : troisième, François Fillon est en légère hausse, entre 18% et 20% en fonction des enquêtes.   Jean-Luc Mélenchon  profite d’un nouvel accélérateur avec le débat : après ses 2,5 points gagnés la semaine précédente, il prend trois points de plus cette fois-ci pour se situer aujourd’hui à 18% d’intentions de vote. Un sondage BVA publié vendredi soir donne même pour la première fois les deux hommes à égalité, à 19%. Derrière, Benoît Hamon a endigué sa chute mais est aujourd’hui très bas, à 9% de moyenne. Nicolas Dupont-Aignan reste crédité de 3 à 5% et Philippe Poutou a connu cette semaine ses premiers sondages à 1,5% et 2% d’intentions de vote. Les enquêtes d’opinion ne constituent pas une prédiction du vote. Les dynamiques actuelles peuvent se prolonger ou d’autres tendances peuvent émerger d’ici au 23 avril… Selon les instituts, entre 30 et 38% des sondés peuvent encore changer d’avis. Enfin, le niveau de participation le jour du scrutin reste toujours difficile à mesurer. Il était de 79,5% en 2012. Aujourd’hui, il est estimé à 64% par Elabe, 65% par l’Ifop et au moins 71% par BVA.

* S’agissant des baromètres d’Opinionway et de l’Ifop, dont l’échantillon respectif est renouvelé chaque jour par tiers, nous ne retenons pas chacune de leur « vague » mais ceux réalisés sur une période de temps différente : ainsi, le sondage Opinionway des 27-29 mars suit celui réalisé les 24-26 mars, etc.

 

Chine : Tassement de croissance de l’activité manufacturière chinoise ralentit

Chine : Tassement de  croissance de l’activité manufacturière chinoise ralentit

 

Preuve du tassement des échanges internationaux et du manque de dynamisme mondial,  la croissance des activités manufacturière se tasse. L’activité manufacturière a progressé en mars pour un neuvième mois consécutif en Chine mais de manière moins dynamique avec le ralentissement des nouvelles commandes à l’exportation, montre l’enquête Caixin/Markit publiée samedi. L’indice PMI manufacturier mesuré par cette étude privée a reculé à 51,2 en mars, après 51,7 le mois précédent. Les économistes l’attendaient à 51,6. La croissance des commandes à l’exportation a fortement ralenti, tombant à un creux de trois mois à 51,9 après 53,8 en février. Ces chiffres contrastent avec l’étude officielle auprès des directeurs d’achats publiée vendredi, selon laquelle l’activité manufacturière chinoise a connu le mois dernier sa plus forte croissance en près de cinq ans mais un phénomène surtout lié au stockage.  La Chine, moteur important de l’économie mondiale, a enregistré l’an passé une performance de 6,9%, au plus bas depuis un quart de siècle. Pékin, qui visait en 2015 une croissance « d’environ 7% », tente de rééquilibrer l’économie chinoise vers la consommation intérieure, l’innovation et les services, en diminuant la dépendance à l’égard des exportations et des investissements, mais la transition s’avère difficile, et le ralentissement de la croissance inquiète les investisseurs. La croissance de la Chine se tassera encore en 2017 avec un objectif autour de 6,5 %.  La Chine a abaissé son objectif de croissance cette année par rapport à 2016, signe de la priorité donnée à l’encadrement des risques sur le soutien à l’activité. Le tassement pointé en début d’année se confirme donc. Un indice gouvernemental publié mardi 1er mars confirme l’essoufflement persistant de la deuxième économie mondiale. L’indice officiel des directeurs d’achat (PMI), calculé par le Bureau national des statistiques (BNS), s’est établi pour février à 49,0 (contre 49,4 en janvier). Il s’agit du plus bas niveau enregistré par le PMI depuis novembre 2011, où il était également de 49,0.  La Chine, moteur important de l’économie mondiale, a enregistré l’an passé une performance de 6,9%, au plus bas depuis un quart de siècle. Pékin, qui visait en 2015 une croissance « d’environ 7% », tente de rééquilibrer l’économie chinoise vers la consommation intérieure, l’innovation et les services, en diminuant la dépendance à l’égard des exportations et des investissements, mais la transition s’avère difficile, et le ralentissement de la croissance inquiète les investisseurs.   Sur l’ensemble de l’année 2016, le produit intérieur brut (PIB) de la deuxième économie mondiale a augmenté de 6,7%, au milieu à peu près de l’objectif du gouvernement qui était compris entre 6,5% et 7%. La croissance de 2016 est la plus faible depuis 26 ans. La Chine va continuer à appliquer une politique budgétaire proactive et une politique monétaire prudente pour mettre en œuvre des réformes axées sur l’offre et  pour garantir la sécurité du secteur financier. « En général, la position de politique de la Chine s’est tournée vers le ‘contrôle des risques’ et le ‘dégonflement des bulles’. Cela veut dire que la politique monétaire va graduellement se resserrer », estime Zhou Hao, économiste spécialiste des marchés émergents pour Commerzbank AG à Singapour

Croissance Chine : tassement en 2017

 

 

 

La croissance de la Chine se tassera encore en 2017 avec un objectif autour de 6,5 %.  La Chine a abaissé son objectif de croissance cette année par rapport à 2016, signe de la priorité donnée à l’encadrement des risques sur le soutien à l’activité. Le tassement pointé en début d’année se confirme donc. Le cabinet Caixin-Markit, qui calcule de façon indépendante son propre indice a établi son indice  PMI à 48,0 pour février, le plus bas depuis cinq mois, selon un communiqué publié mardi. « La lecture des indices de toutes les catégories importantes comme la production, les nouvelles commandes et l’emploi montre que la situation a empiré «  a déclaré dans un communiqué He Fan, économiste du groupe Caixin. Il a appelé les décideurs politiques à adopter des « mesures de relance modérées » et à apporter un soutien renforcé à l’économie afin « d’éviter qu’elle ne dévisse ». Un indice gouvernemental publié mardi 1er mars confirme l’essoufflement persistant de la deuxième économie mondiale. L’indice officiel des directeurs d’achat (PMI), calculé par le Bureau national des statistiques (BNS), s’est établi pour février à 49,0 (contre 49,4 en janvier). Il s’agit du plus bas niveau enregistré par le PMI depuis novembre 2011, où il était également de 49,0.  La Chine, moteur important de l’économie mondiale, a enregistré l’an passé une performance de 6,9%, au plus bas depuis un quart de siècle. Pékin, qui visait en 2015 une croissance « d’environ 7% », tente de rééquilibrer l’économie chinoise vers la consommation intérieure, l’innovation et les services, en diminuant la dépendance à l’égard des exportations et des investissements, mais la transition s’avère difficile, et le ralentissement de la croissance inquiète les investisseurs.  Le record des nouveaux prêts bancaires et une augmentation de la dépense publique, ont alimenté les craintes des responsables chinois quant à un surendettement et une surchauffe du marché immobilier. La Chine vise une croissance de sa masse monétaire M2 autour de 12% cette année, un objectif inférieur à celui de 2016, autour de 13%. L’objectif de déficit budgétaire est maintenu à 3% du produit intérieur brut (PIB) pour 2017, inchangé par rapport à l’an dernier. Sur l’ensemble de l’année 2016, le produit intérieur brut (PIB) de la deuxième économie mondiale a augmenté de 6,7%, au milieu à peu près de l’objectif du gouvernement qui était compris entre 6,5% et 7%. La croissance de 2016 est la plus faible depuis 26 ans. La Chine va continuer à appliquer une politique budgétaire proactive et une politique monétaire prudente, a déclaré dimanche le Premier ministre, ajoutant que le gouvernement mettrait en oeuvre des réformes axées sur l’offre et prendrait des mesures pour garantir la sécurité du secteur financier. « En général, la position de politique de la Chine s’est tournée vers le ‘contrôle des risques’ et le ‘dégonflement des bulles’. Cela veut dire que la politique monétaire va graduellement se resserrer », estime Zhou Hao, économiste spécialiste des marchés émergents pour Commerzbank AG à Singapour.

Croissance Chine : net tassement de l’automobile

Croissance Chine : net tassement de l’automobile

 

Non seulement la demande internationale se tasse mais la demande intérieure ne semble pas prendre le relais ;  témoin la toute petite hausse des ventes de l’automobile de janvier. La progression du marché automobile chinois a fortement ralenti en janvier, avec une hausse de 0,2% par rapport au même mois de 2016, à 2,52 millions de véhicules neufs vendus, soit sa plus faible croissance depuis près d’un an, selon des chiffres publiés lundi par l’Association chinoise des constructeurs automobiles.  La hausse du premier marché automobile mondial avait été de 9,5% en décembre et de 16,6% en novembre. Plusieurs constructeurs ont attribué ce ralentissement aux vacances du Nouvel An lunaire et à l’atténuation de mesures incitatives mises en place par le gouvernement. La taxe sur les ventes de petites cylindrées (jusqu’à 1,6 litre), ramenée fin 2015 de 10 à 5%, a en effet été relevée à 7,5% cette année et devrait revenir à 10% en 2018.Le mois dernier, l’Association chinoise des constructeurs automobiles a dit que la croissance du marché automobile devrait revenir à 5% sur l’ensemble de 2017, après un bond de 13,7% en 2016, soit sa plus forte hausse en trois ans du fait de cette baisse des taxes sur les ventes de petites cylindrées.

Etats-Unis : industrie et emploi tassement ?

Etats-Unis : industrie et emploi tassement ?

 

Un léger tassement de l’industrie en novembre aussi celui de l’emploi en décembre qui pourrait suggérer un essoufflement de la croissance en tout cas un moindre dynamisme. Les livraisons de produits d’usine au global ont reflué de 0,1% en novembre, après une augmentation de 0,9% le mois précédent. Les stocks de produits d’usine sont restés inchangés, avec un ratio stocks/livraisons à 1,34 en novembre. Les commandes en carnet des usines ont reculé de 0,1% en novembre après avoir augmenté de 0,8% en octobre. Le département du Commerce a fait état vendredi d’un repli de 2,4% de ces commandes après un gain révisé en hausse à 2,8% en octobre. La baisse de novembre survient après quatre mois consécutifs de hausse et constitue le repli le plus marqué depuis décembre 2015.Du coté de l’emploi, les créations ont nettement ralenti en décembre, mais le marché de l’emploi américain reste toutefois dynamique. La première économie du monde a ainsi créé le mois dernier 156 000 emplois, selon les chiffres publiés, vendredi 6 janvier, par le Département du travail. C’est une déception par rapport aux anticipations des économistes qui s’attendaient à 175 000 créations. Le taux de chômage, lui, est reparti légèrement à la hausse à 4,7 %, soit 0,1 point de plus qu’en novembre. Sur le plan quantitatif, 2016 s’est achevée sur la création de 2,2 millions d’emplois. Il s’agit tout de même de la moins bonne performance depuis 2011. L’économie américaine a ainsi créé en moyenne chaque mois 180 000 emplois, soit un niveau nettement inférieur à celui de 2015 (225 000) et de 2014 (248 000), qui avait constitué le meilleur millésime depuis la fin des années 1990, alors que Bill Clinton était président. Pour mémoire, en décembre 2008, à la veille de l’investiture de M. Obama, le nombre de chômeurs avait explosé de 632 000, soit 7,2 % de la population active avant d’atteindre les 10 % en octobre 2009. En dépit du tassement de la croissance en fin d’année, l’économie américaine reste solide comparée aux autres zones. L’amélioration de l’emploi a justifié la première hausse des taux depuis longtemps, d’autres pourraient suivre en 2017. . Un changement de tendance qui sera nécessairement contagieux et qui risque d’affecter négativement la croissance d’une Europe qui connaît déjà une activité relativement molle. Mais les États-Unis ont toujours choisi de privilégier leur propre intérêt en utilisant le dérapage budgétaire et la baisse des taux comme levier pour relancer la croissance. Aujourd’hui la croissance est là aux États-Unis, la différence de progression du PIB est supérieure à 1 % entre l’activité américaine et l’activité européenne. Un niveau d’activité aux États-Unis qui permet par ailleurs de créer maintenant de manière significative de nouveaux emplois. La situation est toute autre en Europe qui est engluée dans la croissance molle et le chômage même si on constate une petite amélioration en 2016. Amélioration qui pourrait être de courte durée avec des perspectives moins favorables en 2017 la conséquence du relèvement des taux aux États-Unis se traduira par un relèvement du cout  de l’argent. Première conséquence les pays européens déjà corsetés par les objectifs budgétaires vont voir augmenter le coût de leur endettement et donc réduire encore leur train de vie au moment précis où au contraire il conviendrait de relancer les investissements. Pour les entreprises comme pour les ménages le coût de l’argent sera également plus élevé et affectera leur capacité d’investissement et de consommation avec un impact négatif sur l’activité générale.  Cette hausse, la première en un an, reste minime, un quart de point de pourcentage (0,25%), après presque sept ans de politique à taux zéro pour soutenir la reprise.

Croissance Etats-Unis tassement ?

Croissance Etats-Unis tassement ?

 

Après la baisse de la production industrielle,  la baisse dans le logement (après il est vrai une forte hausse en octobre). Peut-être quand même les signe d’un léger tassement de la croissance qui pourrait être affecté par la montée de la monnaie américaine.  Jusque là les Etats-Unis ont connu une croissance satisfaisante  au regard d’autres économies moins favorisées en particulier en Europe. Mais la baisse de la production industrielle en novembre pourrait susciter des inquiétudes. Sans faut-il y voir notamment les premiers effets  effet de l’appréciation du dollar par rapport à la plupart des autres zones géographiques. La croissance économique des États-Unis a accéléré plus que prévu au troisième trimestre, s’établissant à 2,9 %, selon une première estimation publiée par le département du commerce vendredi 28 octobre. Initialement, les analystes tablaient sur 2,5 % pour cette première évaluation du produit intérieur brut (PIB) de l’été.  Au deuxième trimestre de l’année, l’activité de la première économie mondiale n’avait progressé que de 1,4 %. Au premier trimestre, de seulement 0,8 %. Cette croissance de 2,9 % représente le rythme d’expansion le plus fort depuis le troisième trimestre 2014 où le PIB avait progressé de 5 %. Pourtant, les consommateurs ont été plus prudents, puisque les dépenses de consommation, moteur traditionnel de la croissance américaine, ont continué de progresser légèrement (+ 2,1 %) mais à un rythme beaucoup moins fort qu’au trimestre précédent (+ 4,3 %). C’est en fait du côté des entreprises que les investissements ont repris, là où ils étaient en berne depuis trois trimestres (+ 3,1 % au troisième trimestre au lieu de – 7,9 % au deuxième). A baisse de la production industrielle en novembre pourrait porter un coup d’arrêt à cette bonne santé d’économie américaine. La production industrielle a en effet baissé de 0,4% aux Etats-Unis en novembre, a annoncé mercredi la Réserve fédérale, un recul plus marqué qu’anticipé qui s’explique par une forte diminution de l’activité des services aux collectivités et par un accès de faiblesse du secteur manufacturier. La baisse du mois dernier est la plus marquée depuis mars, lorsqu’elle avait atteint 0,9%. La production manufacturière a reculé de 0,1% en novembre, deux fois moins qu’attendu, mais celle des services aux collectivités a chuté de 4,4%, les températures supérieures aux normales pesant sur la demande de chauffage. La production minière, longtemps pénalisée par la faiblesse des cours du pétrole, a augmenté de 1,1%. Le taux d’utilisation des capacités industrielles a reculé à 75,0% contre 75,4% en octobre, alors que le consensus Reuters le donnait à 75,1%. A cela s’ajoute la baisse de construction de logements. Les mises en chantier de logements aux Etats-Unis ont accusé en novembre une baisse de 18,7% à 1,09 million en rythme annualisé, un repli plus marqué qu’attendu, après avoir atteint le mois précédent leur plus haut niveau depuis neuf ans, montrent les chiffres publiés vendredi par le département du Commerce. Les mises en chantier d’octobre ont été révisées à la hausse, à 1,34 million en rythme annualisé, le chiffre le plus élevé enregistré depuis juillet 2007.plus inquiétant,  le nombre de permis de construire a quant à lui diminué de 4,7% en novembre, à 1,201 million.

 

 

Croissance -Europe : tassement en 2017

Croissance -Europe : tassement en 2017

 

Une croissance réduite de moitié en Grande Bretagne à cause du Brexit mais qui aura aussi un impact négatif sur le reste de l’Union européenne.  «En 2016, la croissance dans la zone euro sera de 1,7%, de 1,5% en 2017,», a annoncé le commissaire européen aux Affaires économiques, Pierre Moscovici, lors d’une conférence de presse, en présentant ses prévisions économiques d’automne. Le 3 mai dernier, la Commission européenne avait dans ses prévisions de printemps tablé sur une croissance de 1,6% pour 2016 et de 1,8% pour 2017.  Côté inflation, la Commission européenne a tablé sur une accélération de l’inflation dans la zone euro en 2017 à 1,4%, comme en 2018, contre 0,3% en 2016. Pour le taux chômage dans les 19 pays de la monnaie unique, l’exécutif européen table sur une baisse continue: 10,1% en 2016, 9,7% en 2017 et 9,2% en 2018. Concernant le Royaume Uni, la Commission a réduit ses prévisions de croissance pour 2017 en raison de l’impact de l’incertitude entourant le Brexit. «La croissance devrait presque se réduire de moitié en 2017 à 1% (contre 1,9% en 2016), reflétant l’impact de l’accroissement de l’incertitude à la suite du référendum (sur la sortie du Royaume-Uni de l’UE) et son impact sur la confiance des entreprises et les conditions économiques générales», souligne la Commission. (Avec le Figaro)

La croissance Allemagne : tassement

La croissance Allemagne : tassement

 

Il y aura un tassement de la croissance allemande au cours du second semestre et surtout au cours de l’année 2017. Un tassement qui traduit par ailleurs la mollesse de l’activité internationale ;  d’une certaine manière l’Allemagne s’installe aussi dans la croissance molle avec notamment 1,4 % en plus pour le pipe en 2017. Un affaiblissement découlant en particulier d’exportation moins dynamique. La croissance de l’économie allemande devrait ralentir légèrement au second semestre, prévient le ministère de l’Economie dans son rapport mensuel. « L’élan de l’économie allemande est solide. Mais la croissance devrait ralentir un peu sur la deuxième partie de l’année après une forte expansion au premier semestre », lit-on dans le rapport publié mercredi. Le ministère cite en particulier des risques pesant sur le commerce extérieur, associés notamment aux doutes pesant sur les négociations à venir entre la Grande-Bretagne et l’Union européenne après le vote des Britanniques en faveur d’un Brexit. Le gouvernement allemand a relevé la semaine dernière sa prévision de croissance du Produit intérieur brut (PIB) de 2016, à 1,8% contre 1,7% précédemment. Il prévoit en revanche un ralentissement l’an prochain, avec une croissance revue à 1,4% contre 1,5% précédemment.

(Avec Reuters)

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