Archive pour le Tag 'tassement'

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Croissance Chine: tassement en mai

Croissance Chine: tassement en mai

 La demande intérieure chinoise  a enregistré le mois dernier une baisse de régime alarmante.

Certes, les ventes au détail, baromètre des dépenses des ménages, ont augmenté en mai de 8,5% sur un an, a indiqué jeudi le Bureau national des statistiques (BNS). Mais c’est très au-deçà des performances d’avril (+9,4%) et mars (+10,1%), et surtout à rebours des attentes des experts, qui anticipaient une légère accélération. Dans le même temps, la production industrielle progressait de 6,8% sur un an, moins bien qu’en avril (+7%) et en-deçà de la prévision des analystes sondés par l’agence Bloomberg (+7%). L’activité avait récemment profité d’une demande internationale robuste, et surtout de la fin des restrictions antipollution imposées durant l’hiver: mais « ce sursaut tend désormais à s’estomper, et le resserrement du crédit s’intensifie », pesant sur l’industrie, observe Chang Liu, analyste du cabinet Capital Economics.

L’administration du président Xi Jinping s’efforce en effet d’endiguer l’envolée de l’endettement chinois et des risques financiers à coups de tours de vis réglementaires contre le secteur bancaire et la « finance de l’ombre » (arsenal d’instruments de crédit non régulés). Au risque d’asphyxier des entreprises peinant à se financer ailleurs: le volume total du crédit dans le pays s’est essoufflé drastiquement, en dépit des efforts de la banque centrale pour maintenir la liquidité du système et encourager les prêts bancaires aux entreprises. Selon Commerzbank, il y a « une contagion évidente, à l’économie réelle, du mouvement de désendettement du secteur financier ».

Croissance : nouveau tassement au deuxième trimestre

Croissance : nouveau tassement au deuxième trimestre

 Mauvaise nouvelle pour Macron avec ce tassement prévu de la croissance à seulement +0.3% au second trimestre après déjà un petit 0.2% au premier trimestre. Il n’est pas même certain qu’on atteigne 0.3% au second trimestre du fait des incertitudes de l’environnement international, des effets dune météo détestable et d’un climat social délétère ( SNCF, hôpitaux, agriculteurs, Air France etc.). Jusque là Macron avait bénéficié d’un bon alignement des planètes et d’une certaine manière avait engrangé des résultats dus à Hollande et à la conjoncture internationale. En multipliant les voyages à l’étranger, Macron avait tenté de se mettre au niveau dans grands leaders ce qui contribuait à améliorer un peu l’image du pays. Les tendances pourraient s’inverser car l’activisme international de Macron n’a abouti à rien ; en outre il a touché le ridicule avec Trump.  La perspectives de droits de douane américains  nouveaux sur l’acier, l’aluminium mais aussi sur automobiles risque d’assombrir une conjoncture déjà pleine de turbulences. Pour preuve la détérioration du moral des patrons qui commencent  à douter de la dynamique Macron sur l’économie.

Créations d’emplois : net tassement

Créations d’emplois : net tassement

Un tassement logique qui suit celui de la croissance qui affiche seulement 0.3% au premier trimestre et 0.2% au second. . Selon l l’Insee, la croissance de l’emploi salarié en France a en effet ralenti à 0,2% sur les trois premiers mois de l’année après une hausse révisée à 0,4% sur le dernier trimestre de l’année 2017.  L’économie française a crée 48.800 empois dans le secteur privé et le secteur public au cours de trois premiers mois de l’année contre 107.300 sur les trois derniers mois de l’année 2017. Le niveau d’emploi est quasi stable dans la fonction publique (+1.100 emplois) et augmente de 47.000 dans le privé (0,2% contre 0,6%). Sur un an, les créations d’emploi restent dynamiques. Elles s’élèvent à 288.200 (+1,2%) avec une hausse de 301.200 dans le privé et une diminution de 13.000 dans la fonction publique. Ces derniers chiffres relatifs au public coïncident avec la fin des contrats aidés décidée par le gouvernement d’Édouard Philippe à l’été 2017. Dans la sphère publique, le nombre de créations d’emplois a nettement ralenti depuis la fin du deuxième trimestre 2017. Après avoir atteint un point haut en juin 2017 (5,807 millions de postes), les effectifs ne cessent de fondre pour atteindre 5,793 millions de personnes en poste. Du côté du privé, le niveau d’emploi atteint des sommets (19.378 millions). Un record depuis au moins 2010. Le solde des emplois dans le secteur privé est positif depuis au moins douze trimestres. Ce qui confirme la bonne santé de l’économie française. Au total, 25,17 millions d’emplois sont recensés par l’Insee. Sur le premier trimestre 2018, les services marchands sont restés le premier moteur de l’emploi avec une hausse de 0,3% après 0,8% au dernier trimestre 2017. L’intérim (+4.500, +0,5%), la construction (+3.600, +0,3%) et l’agriculture (+3.000, +1,0%) ont aussi créé des postes. Si l’intérim a atteint un nouveau record d’effectifs, avec 818.000 postes, le secteur de l’emploi temporaire est en nette décélération, après avoir créé en moyenne 30.000 postes par trimestre au cours des six trimestres précédents. La construction, de son côté, est bien orientée pour le cinquième trimestre d’affilée. Auparavant, les chantiers avaient connu huit années, entre fin 2008 et fin 2016, pendant lesquelles ils avaient perdu plus de 200.000 postes. Les services non marchands (+3.900, 0,0%) et l’industrie (-800, 0,0%) ont vu, quant à eux, leurs effectifs stagner au premier trimestre. En un an, les tendances sont les mêmes que sur le trimestre pour l’emploi tertiaire marchand (+162.300, +1,4%), l’intérim (+90.200, +12,4%), la construction (+25.600, +1,9%), l’agriculture (+3.300, +1,1%), dans le vert. Les services non marchands sont stables sur l’année (+1.200, +0,0%) comme sur le trimestre. En revanche, l’industrie, qui a stagné sur le trimestre, est en légère hausse sur un an (+5.600, +0,2%). Cette moindre dynamique de l’emploi s’inscrit dans un contexte de croissance ralenti. Selon les derniers chiffres de l’Insee publiés le 30 mai, le produit intérieur brut en volume a ralenti au cours du premier trimestre à 0,2% et à 0.3% au second contre 0,7% au dernier trimestre 2017. Ce coup de frein s’explique par un ralentissement de l’investissement des entreprises et de la consommation des ménages qui ont eu des répercussions sur l’activité.

Croissance zone euro : tassement en mai

Croissance zone euro : tassement en mai

 

Le tassement de la croissance se confirme en mai et les perspectives des mois à venir sont sujettes à interrogation  en raison de l’environnement géopolitique mondiale  et de la situation en Italie. La croissance économique de la zone euro se replie à un plus bas de 18 mois en mai. Confirmant son estimation flash, l’Indice PMI Final IHS Markit Composite de l’activité globale dans l’Eurozone s’inscrit à 54,1 en mai, signalant une expansion du secteur privé pour le 59ème mois consécutif. L’indice retrouve néanmoins un niveau plus observé depuis novembre 2016, la croissance ayant ralenti tant dans le secteur manufacturier (plus bas de 18 mois) que dans celui des services (plus bas de 16 mois). L’Indice PMI Final IHS Markit de l’activité de services ressort justement à 53,8 en mai contre 54,7 en avril et 53,9 en première estimation. Chris Williamson, Chief Business Economist à IHS Markit, commente: « La zone euro enregistre sa plus faible croissance économique depuis un an et demi en mai, le taux d’expansion s’étant replié de façon continue depuis le pic atteint en janvier. La région devrait ainsi enregistrer sur l’ensemble du 2ème trimestre ses plus faibles performances économiques depuis 2016. Les données de l’enquête sont pour l’heure conformes à une hausse trimestrielle du PIB de 0,4 à 0,5%, mais l’évolution du taux de croissance dans les mois à venir demeure très incertaine ».

Croissance Zone euro: tassement

Croissance Zone euro: tassement

 

Un tassement qui correspond à la  baisse de moral des acteurs économiques. + 0,4% sur la période janvier-mars par rapport aux trois mois précédents, a annoncé Eurostat mercredi. Les chiffres de prochains trimestres devraient être meilleurs à condition que les incertitudes sur les mesures protectionnistes ne viennent pas casser le moral des acteurs économiques ; sans parler de l’Iran.  Cependant  la croissance se tassera légèrement sur un rythme annule de 2% en deçà des hausses trimestrielles de 0,7% observées au cours des trois trimestres précédents. Il serait donc peu probable que la croissance atteigne les 2,5% observés en 2017.La croissance de la zone euro reste en deçà de celle des Etats-Unis mais au-delà de celle de la Grande-Bretagne, qui est la plus faible depuis 2012. Au vu du niveau élevé de la confiance du consommateur, la croissance de la consommation devrait  redresser au deuxième trimestre et permettra de porter la croissance trimestrielle du PIB autour de 0,5% à 0,6%”, ajoutent-ils. La confiance s’était en partie dégradée en raison des inquiétudes liées à la menace d’une guerre commerciale avec les Etats-Unis si ces derniers venaient finalement à imposer des droits de douane sur les importations d’acier et d’aluminium en provenance de l’Union européenne. La décision à ce sujet sera connue le 1er juin.  Eurostat a par ailleurs indiqué que le taux de chômage dans la zone euro était stable en mars à 8,5%.

Etats-Unis : tassement de la croissance et inflation

Etats-Unis : tassement de la croissance et inflation

Léger tassement de la croissance et crainte de l’inflation  caractérisent  les inquiétudes américaines. On craint en retour une hausse des taux. Le département du Commerce a annoncé vendredi que la croissance de l’économie américaine s’était élevée à 2,3%, un ralentissement  par rapport au quatrième trimestre 2017 (+2,9%) sous l’effet d’un fléchissement des dépenses de consommation, de l’investissement des entreprises et du logement. Sur la période, l’indice de consommation des ménages (PCE dit “core”) au premier trimestre est ressorti à 2,5% sur un an contre 1,9% sur les trois derniers mois de 2017 et les salaires ont augmenté de 0,9%, leur rythme le plus élevé depuis 11 ans. “Pour moi, la hausse des salaires est l’élément inflationniste qui a le plus d’impact sur les marchés actions”, commente Chuck Carlson, directeur général d’Horizon Investment Services. Ces risques inflationnistes, qui font craindre une accélération de la hausse des taux par la Fed, interviennent alors que les entreprises ont déjà prévenu que la hausse de leurs coûts pourrait éroder leurs marges. Le comité de politique monétaire de la banque centrale se réunit mardi et mercredi. Sur le front obligataire, le rendement du 10 ans américain, qui a atteint dépassé les 3% cette semaine, a reflué pour la deuxième journée consécutive et évolue autour de 2,9605%. Sur le front pétrolier, les cours évoluent peu, sur fond de craintes de renforcement des sanctions américaines contre l’Iran. Le baril de Brent se traite au-dessus des 74 dollars et le brut léger américain des 67 dollars.

Sondage confiance des patrons : tassement

Sondage confiance des patrons : tassement

 

Selon le cabinet Markit, l’indice qui synthétise l’activité dans les services ralentit pour le deuxième mois consécutif pour atteindre son plus bas niveau depuis août 2017. La même tendance est également visible dans l’industrie manufacturière. Ce fléchissement du secteur privé intervient alors le gouvernement traverse une séquence difficile. La grogne sociale s’envenime dans le monde du travail avec la multiplication des grèves dans des secteurs économiques majeurs, comme le transport aérien ou le rail. L’indicateur composite final de l’ensemble de l’activité (PMI) s’est établi à 56,3 points, a détaillé IHS Markit. Ce chiffre est légèrement supérieur à une première estimation publiée le 22 mars, qui évoquait un PMI à 56,2 points. Ce léger ralentissement s’explique principalement par une modération de la demande  Malgré ces signes de ralentissement, les entrepreneurs interrogés restent confiants sur les perspectives d’activité. Cet optimise repose avant tout sur des prévisions de forte croissance économique et de hausse des investissements. À ce sujet, la dernière note de conjoncture de l’Insee vient assombrir ces prévisions. En effet, les économistes de l’institut de statistiques envisagent un ralentissement de la croissance au cours du premier semestre marqué par une baisse du pouvoir d’achat des Français.

Croissance Etats –unis : tassement de la croissance du secteur manufacturier

Croissance Etats –unis : tassement de la croissance du secteur manufacturier

 

Selon les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) l’indice manufacturier  s’est établi à 59,3 en mars, contre 60,8 confirmé en février et un consensus le donnant à 60,0. La barre des 50 sépare croissance et contraction de l’activité. Le sous indice des nouvelles commandes est tombé à son plus bas niveau depuis août à 61,9 contre 64,2 le mois précédent. Celui de l’emploi à reculé à 57,3 contre 59,7 en février. La composante des prix acquittés a progressé à 78,1 contre 74,2 le mois précédent et 72,6 attendu par les économistes. Le dollar s’est légèrement raffermi contre le yen et l’euro après la publication de ces chiffres.

Moral patrons : tassement

Moral patrons : tassement

Le moral des patrons se situe toujours au dessous de sa moyenne de longue durée mais se tasse encore un peu en février. . D’après l’INSEE, le climat des affaires continue de reculer après avoir atteint des sommets en décembre dernier. L’indicateur qui le synthétise, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise des principaux secteurs d’activité, perd deux points après un léger recul en janvier. À 109, il reste néanmoins bien au dessus de sa moyenne de long terme (100). La baisse de février a touché tous les secteurs, à l’exception du commerce de détail, dont l’indicateur est resté stable à 114. Pour Alex Gill, économiste chez IHS Markit, « la croissance ralentit en février dans le secteur privé français, les taux d’expansion de l’activité globale et des nouvelles affaires se repliant en effet chacun à un plus bas de quatre mois. » Les chefs d’entreprises dans l’industrie se montrent moins optimistes qu’en janvier dernier. Les soldes d’opinion des industriels sur leur production passée et sur leurs perspectives personnelles de production se replient en février. Ils sont également moins confiants sur les projections générales d’activité de production du secteur. L’indicateur de l’industrie manufacturière a perdu deux points à 112, son niveau de janvier ayant été révisé en hausse d’un point à 114, son niveau le plus haut depuis fin 2000. Les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 113. Du côté des services, les chefs d’entreprise interrogés ce mois-ci signalent que le climat des affaires est moins favorable que le mois précédent. L’indicateur qui le synthétise perd trois points après un premier recul de deux points le mois dernier. À 106, il reste cependant bien au-dessus de sa moyenne de long terme (100). Si la confiance des patrons dans le secteur des transports routiers de marchandises poursuit sa hausse, elle ralentit nettement (-3 points) dans le secteur de l’information-communication, ou dans le domaine des services administratifs et de soutien. Sur la majeure partie du mois de février, le climat de l’emploi est stable. L’indicateur s’élève à 109 pour le troisième mois consécutif, « bien au dessus de sa moyenne de 100 et au plus haut depuis août 2011. » Ce phénomène est également souligné par le cabinet Markit qui explique que « contrairement aux tendances observées pour l’activité et les nouvelles affaires, la croissance de l’emploi s’accélère en janvier ».

Moral patrons : tassement

Moral patrons : tassement

Le moral des patrons se situe toujours au dessous de sa moyenne de longue durée mais se tasse encore un peu en février. . D’après l’INSEE, le climat des affaires continue de reculer après avoir atteint des sommets en décembre dernier. L’indicateur qui le synthétise, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise des principaux secteurs d’activité, perd deux points après un léger recul en janvier. À 109, il reste néanmoins bien au dessus de sa moyenne de long terme (100). La baisse de février a touché tous les secteurs, à l’exception du commerce de détail, dont l’indicateur est resté stable à 114. Pour Alex Gill, économiste chez IHS Markit, « la croissance ralentit en février dans le secteur privé français, les taux d’expansion de l’activité globale et des nouvelles affaires se repliant en effet chacun à un plus bas de quatre mois. » Les chefs d’entreprises dans l’industrie se montrent moins optimistes qu’en janvier dernier. Les soldes d’opinion des industriels sur leur production passée et sur leurs perspectives personnelles de production se replient en février. Ils sont également moins confiants sur les projections générales d’activité de production du secteur. L’indicateur de l’industrie manufacturière a perdu deux points à 112, son niveau de janvier ayant été révisé en hausse d’un point à 114, son niveau le plus haut depuis fin 2000. Les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 113. Du côté des services, les chefs d’entreprise interrogés ce mois-ci signalent que le climat des affaires est moins favorable que le mois précédent. L’indicateur qui le synthétise perd trois points après un premier recul de deux points le mois dernier. À 106, il reste cependant bien au-dessus de sa moyenne de long terme (100). Si la confiance des patrons dans le secteur des transports routiers de marchandises poursuit sa hausse, elle ralentit nettement (-3 points) dans le secteur de l’information-communication, ou dans le domaine des services administratifs et de soutien. Sur la majeure partie du mois de février, le climat de l’emploi est stable. L’indicateur s’élève à 109 pour le troisième mois consécutif, « bien au dessus de sa moyenne de 100 et au plus haut depuis août 2011. » Ce phénomène est également souligné par le cabinet Markit qui explique que « contrairement aux tendances observées pour l’activité et les nouvelles affaires, la croissance de l’emploi s’accélère en janvier ».

Législative à Belfort: PS en voie de disparition et tassement LREM

Législative à Belfort:  PS en voie de disparition et tassement LREM

 

Sur l’ancienne terre de Chevènement le parti socialiste est en voie de disparition lors de l’élection législative partielle de Belfort. À noter aussi le tassement de la république en marche. En cause sans doute, la gestion calamiteuse d’Alstom bradé d’une part aux Américains d’autre part aux Allemands . L’extrême droite n’a pas non plus réussi à mobiliser Ian Boucard s’est positionné en tête du scrutin avec 38,80 % des voix, contre 26,50 % pour le conseiller départemental Christophe Grudler, lors du premier tour de la législative partielle de la 1re circonscription du Territoire de Belfort. Ian Boucard semble ainsi favori pour le second tour de l’élection, dimanche 4 février. Le duel très scruté entre le frontiste Jean-Raphaël Sandri (7,4 %) et l’eurodéputée les Patriotes Sophie Montel (2 %) a été largement remporté par le FN, qui n’a cependant pas réussi à mobiliser son électorat.  La prétendante de La France Insoumise, Anaïs Beltran (11,50 %), se positionne à la troisième place. Avec 2,6 %, le PS (9,10 % en juin 2017) disparaît pratiquement du paysage politique local.  Les électeurs se sont peu déplacés dimanche pour se rendre aux urnes et désigner l’un des dix candidats en lice. La participation s’élève à 29,50 %. Le 18 juin 2017, Ian Boucard, 29 ans, l’avait emporté de 279 voix face au candidat MoDem-LREM Christophe Grudler, 52 ans.

 

L’inflation : tassement en Chine

L’inflation : tassement en Chine

 

Confirmant le tassement de la croissance observée en 2017, l’inflation faiblit. Selon des données publiées mercredi par le Bureau national des statistiques, les prix à la consommation ont augmenté de 1,8% sur un an le mois dernier, contre +1,7% en novembre et un consensus des économistes interrogés par Reuters de 1,9%. Sur l‘ensemble de 2017, l‘inflation a été de 1,6%.  Les prix à la production ont augmenté de 4,9% en décembre contre une hausse de 5,8% en novembre et un consensus de 4,8%. Sur 2017, ces prix ont enregistré une progression de 6,3%.

Chine : léger tassement de la croissance du secteur manufacturier

Chine : léger tassement de la croissance du secteur manufacturier

La croissance du secteur manufacturier chinois a légèrement ralenti ce mois-ci, conformément aux attentes, en raison notamment des mesures prises dans le cadre de la lutte contre la pollution atmosphérique et du tassement du marché de l‘immobilier. L‘indice PMI des directeurs d‘achat du secteur manufacturier s‘est établi à 51,6 en décembre après 51,8 en novembre, revenant à son niveau d‘octobre. Ce chiffre est conforme aux prévisions des économistes interrogés par Reuters, qui s‘attendaient à un tel tassement après l‘accélération surprise d‘octobre. La croissance a en revanche continué à se raffermir dans le secteur tertiaire en décembre. L‘indice PMI des services s‘est établi à 55,0, contre 54,8 en novembre.

Croissance Japon: tassement de l’excédent commercial

Croissance Japon: tassement de l’excédent commercial

 

 

La croissance du Japon est toujours soutenue par les exportations mais l’excédent est moins bon que prévu. Le Japon a signé un excédent commercial de 285,4 milliards de yens (2,17 milliards d’euros) en octobre, contre 481,15 milliards de yens un an plus tôt, en raison du bond des importations (+18,9%), tirées par la hausse des prix du pétrole. L’excédent commercial est inférieur aux prévisions des économistes du consensus Bloomberg, qui s’attendaient à un surplus de 330 milliards de yens en octobre. Cependant la croissance des exportations a été également robuste (+14% sur un an), et a plus que compensé en valeur le bond des importations, grâce à l’industrie automobile, aux semi-conducteurs et aux machines industrielles. La croissance du Produit intérieur brut (PIB) du Japon a ralenti à 0,3% au troisième trimestre, signant néanmoins un septième trimestre d’expansion d’affilée avec le soutien des exportations. Le Japon, troisième économie mondiale longtemps freinée par la déflation, connaît ainsi sa plus longue période de croissance ininterrompue depuis plus de 16 ans. La  progression du PIB de juillet à septembre par rapport au trimestre précédent est toutefois légèrement en deçà des attentes des économistes du consensus Bloomberg, qui escomptaient une hausse de 0,4%. Elle avait aussi été plus robuste au deuxième trimestre (+0,6%). En rythme annualisé, l’activité économique au troisième a progressé de 1,4%. « Globalement, l’économie japonaise se dirige vers une reprise graduelle », a commenté auprès de l’AFP Yoshiki Shinke, économiste en chef au Dai-ichi Life Research Institute. La croissance de juillet à septembre a été essentiellement portée par les exportations de biens et services, qui ont augmenté de 1,5%, alors qu’elles avaient diminué entre avril et juin. Les investissements non-résidentiels des entreprises ont eux aussi augmenté (+0,2%), quoique à un rythme plus faible qu’au deuxième trimestre.  La politique économique mise en place par le gouvernement de Shinzo Abe depuis fin 2012, les « abenomics », consiste à réveiller la croissance et l’inflation en relançant les dépenses de l’Etat et en assouplissant drastiquement la politique monétaire, pour stimuler le crédit et l’investissement des entreprises et des ménages. Cependant, la troisième composante des « abenomics », des réformes structurelles pour améliorer notamment les salaires, a jusqu’à présent peu progressé. Les prix à la consommation augmentent au Japon depuis le début de l’année, mais leur hausse reste encore loin de l’objectif de 2% fixé par le gouvernement et la Banque du Japon. Par ailleurs, l’inflation provient surtout de la hausse des prix de l’énergie et n’est donc toujours pas portée par une réelle dynamique de hausse de la demande par rapport à l’offre. La Banque du Japon a relevé fin octobre sa prévision de croissance pour l’exercice 2017/18 en cours (clos fin mars prochain), à 1,9% sur un an contre 1,8% précédemment, tout en abaissant – une nouvelle fois – sa prévision d’inflation pour l’exercice, à 0,8% contre 1,1% précédemment. De son côté, le Fonds monétaire international (FMI) table sur une croissance du PIB nippon de 1,5% sur l’année calendaire 2017.

 

Immobilier : le tassement des crédits se confirme

Immobilier :le  tassement des crédits  se confirme

Sur les trois mois à fin septembre, le montant global des crédits accordés accuse un recul de 0,2% par rapport à un an plus tôt et leur nombre diminue plus encore (-6,3%). Par comparaison, la production affichait encore des hausses trimestrielles de 29,9% à fin mars et de 4,1% à fin juin. La tendance reste très favorable sur douze mois, grâce aux chiffres élevés de début de 2017, avec des montants en hausse de 15,3% et un nombre de crédits accordés en progression de 9,1%. “Nous avons un effritement, qui commence à être visible sur tous les marchés, du nombre de prêts”, a souligné lors d‘une présentation Michel Mouillard, professeur d’économie à l’Université Paris-Ouest et responsable des travaux de l‘Observatoire. “Nous ne sommes pas en période d‘effondrement, nous ne sommes pas en ouverture de récession, nous sommes en période d‘atterrissage de la production et des marchés, nous sommes encore en ‘soft’ landing”, a-t-il ajouté. Selon lui, la raison n‘est pas à trouver dans les conditions de financement toujours favorables – le taux moyen des crédits (1,56% en septembre) est pratiquement stable depuis avril, juste au-dessus des plus bas (1,31%) de novembre – mais dans la hausse rapide des coûts des transactions financées par emprunt. Elle atteint 5,9% sur les neuf premiers mois de 2017 par rapport à la même période de 2016, après avoir déjà augmenté de 4,3% l‘an passé, pendant que les revenus des ménages qui réalisent ces opérations n‘ont progressé que de 1,7% (après +0,6% en 2016).En conséquence, le coût relatif des opérations immobilières est monté à 5,0 années de revenus, soit le niveau le plus élevé constaté depuis le lancement de l‘Observatoire au début des années 2000, contre 4,86 l‘an passé à la même époque, et 4,48 en 2007, le sommet d‘avant-crise. Cette situation est particulièrement pénalisante pour les catégories les plus jeunes et les plus modestes, les principaux bénéficiaires des aides à l‘accession à la propriété dans le neuf, qui ont alimenté le rebond du marché jusqu‘en 2016.La part des moins de 35 ans pour les emprunteurs dans le neuf est passée en un an de 50,1% à 49,2% et celle des accédants modestes (moins de 3 smic) de 37,8% à 37,1%. Par comparaison, elles se situaient à respectivement 54,7% et 43,9% en 2009.“Il y a une dégradation pour les clientèles les plus modestes”, souligne Michel Mouillard, “ceux qui ont porté l‘expansion des marchés ces dernières années, notamment dans le neuf, sont en train de sortir progressivement». il s‘inquiète de la disparition du dispositif “APL accession” et de la division par deux du montant des PTZ – une concession du président Emmanuel Macron, qui voulait à l‘origine le supprimer complètement – dans les zones rurales, qui toucheront les prétendants à l‘accession les moins riches.“Le risque, c‘est que ces catégories disparaissent”, dit Michel Mouillard en soulignant que, si le prix de l‘immobilier est moins cher dans les campagnes, le coût relatif (prix de la transaction rapporté aux revenus) des opérations réalisées “est exactement le même” que dans les grandes agglomérations, hors Paris.

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