Tariq Ramadan, le charlatan, chante le tube du «grand remplacement»
Le charlatan et mondain Tariq ramadan se reconvertit dans le showbiz et le slam en chantant les vertus du grand emplacement et tenter ainsi de faire oublier les affaires juridiques dans lesquelles il est impliqué. Enfin le vrai visage de celui qui a tellement séduit aussi dans les salons parisiens notamment pour sa modération !
«Cela fait des siècles que vous volez et mentez. Vous seriez venus, dites-vous, pour nous civiliser. Vous avez méprisé nos langues, nos cultures, nos religions, humilié nos mémoires, souillé nos traditions». Avant de reprendre en refrain: «Attendez ! Mais qu’est-ce que vous croyez ? Que l’on va rester là assis à vous regarder ? Piller nos terres, nos richesses, nos minerais ? Vous laisser tranquillement écrire l’histoire et la coloniser?»
Suivent les menaces à peine voilées: «Soit vous partagez, soit on se servira!». «Des peuples traversent la misère, restent fiers et dignes, et, même, ils se multiplient. Votre ordre et vos frontières n’auront raison ni de notre jeunesse, encore moins de la vie, pontifie-t-il. Demain, dans vos rues, nous marcherons, libres et sereins. Demain, entendez, la fraternité et la diversité seront seules garantes de votre sécurité».
: «Vous avez peur ? Vous allez perdre vos privilèges et votre identité ? La mixité serait donc votre perte et bientôt vous serez sauvagement remplacés ? Dormez en paix, amis de l’égalité, nous ne sommes venus ni pour remplacer, ni pour voler. Au-delà des couleurs, des religions, nous sommes une bonne nouvelle, un vent de liberté».
Une petite musique qu’il avait déjà entonnée dans son livre Devoir de vérité*: «La France est encore prisonnière de ses aspirations impériales et de ses penchants dominateurs: elle n’a réglé ni la question du colonialisme, ni celle de la xénophobie et du racisme», assénait Ramadan dans un chapitre intitulé «Prisonnier politique?». Énumérant des personnalités blanches accusées de viol, il s’interrogeait encore: «Comment se fait-il que je sois le seul en prison, un »Arabe », bien sûr, un »musulman », dont la plus grande faute est sans doute de gêner la classe politique et les intellectuels français?».
L’écrivain Mohamed Sifaoui, directeur de publication de la plateforme islamoscope.tv, n’y voit aussi que «du marketing»: «Ramadan a une détestation profonde pour la société française et occidentale, propre d’ailleurs aux Frères musulmans, analyse-t-il. Ce ressentiment s’est accentué avec son passage en prison. Malgré ces paroles qui cherchent à séduire les islamo-gauchistes, il sera très difficile pour lui de rebondir: il est désormais vomi par tous ceux qui étaient ses adeptes hier».