Archive pour le Tag 'tarde'

Croissance France : la remontée tarde

Croissance France  : la remontée tarde

 

L’activité économique a continué de se redresser en juillet en France mais à un rythme moins rapide qu’en juin, pour s’établir 7% en dessous de ses niveaux habituels, observe la Banque de France (BdF) dans son enquête mensuelle de conjoncture pour juillet.

A titre de comparaison, la perte d’activité par rapport à la normale sur fond d’épidémie de COVID-19 s’établissait à 9% en juin et à environ 32% au début du confinement en mars.

Les témoignages recueillis auprès de 8.500 entreprises suggèrent que le mois d’août devrait être marqué par une stabilisation ou une très légère amélioration de l’activité, mais ces perspectives sont “à prendre avec prudence en ce milieu d’été”, souligne la BdF.

Cette prudence s’impose d’autant plus que la France fait actuellement face à une résurgence des cas de contamination par le nouveau coronavirus.

Pour le mois de juillet, la reprise progressive et ralentie de l’activité s’est manifestée à la fois dans l’industrie, les services et le bâtiment, dans un contexte de levée progressive des mesures de restrictions liées à la crise sanitaire.

Le niveau d’activité apparaît très hétérogène selon les secteurs. Si dans le bâtiment, l’activité se rapproche désormais de son niveau d’avant-crise, la situation est différente dans l’industrie et les services, où la reprise n’a pas encore permis de compenser le déficit d’activité accumulé pendant le confinement entre la mi-mars et la mi-mai, note la BdF.

Par exemple, l’agroalimentaire et la pharmacie évoluent désormais à des niveaux d’activité proches de ceux d’avant-crise alors que l’activité reste très dégradée dans la métallurgie et l’automobile.

Et dans les services, l’activité reste très inférieure à la normale dans l’hébergement-restauration, la location (matériel, automobiles) ou encore la publicité et les études de marché.

Pour la Banque de France, ces différents constats confirment “le scénario d’une reprise ‘en aile d’oiseau’ (…) avec une première phase de rebond marqué de l’activité à la faveur du déconfinement, suivie d’une deuxième phase de reprise plus lente”.

danger de  l’enlisement de l’armée française  au Sahel

 

La question que pose Serge Michailof, chercheur à l’Iris et enseignant à Sciences Po, ancien  directeur des opérations à l’Agence française de développement (AFD). Ce spécialiste de l’Afrique, et plus précisément du Sahel, s’ explique  dans une interview à France info

Saga Hollande –Gayet (suite) : une situation qui tarde à s’éclaircir

Saga Hollande –Gayet  (suite) : une situation qui tarde à s’éclaircir

 

Hollande voulait rapidement clarifier l’affaire, en clair virer Trierweiler mais celle-ci s’accroche. Elle a ainsi démenti (et remercié) son avocat qui s’était avancé sur une sortie possible et prochaine dans la dignité. En fait le conflit demeure rien n’est réglé. Trierweiler ne veut pas lâcher le morceau et Hollande est pris au piège ; Sil la répudie comme une courtisane, il en fait une victime et la cote présidentielle déjà très  basse risque den souffrir encore ; Trierweiler va s’accrocher c’est sûr et même sans doute lui faire payer chèrement cette incartade. D’une manière ou d’une autre. Certes Trierweiler n’était guère populaire mais son nouveau statut de victime rehausse son image ; Hollande dans cette affaire apparait clairement comme le coupable et  l’irresponsable.  Une situation vaudevillesque qui ne pas l’enjeu central du pays mais qui démontre le peu de sérieux de Hollande et affecte quand même l’image du pays.  Le leitmotiv dans les couloirs de l’Elysée ? Y penser toujours, n’en parler jamais. A la simple évocation de « l’affaire Gayet », les visages se ferment, entre agacement et malaise. Par téléphone, par SMS ou de vive voix, la réponse de l’entourage du président est la même : « pas de commentaire ». « Si je savais quoique ce soit, je ne vous le dirais pas. J’en parle avec lui, mais ça ne regarde que nous », confirme un conseiller intime du chef de l’Etat. Fini les couacs, la communication, cette fois, est bien rôdée. « C’est une gestion de crise comme une autre, rien de plus », tente toutefois de minimiser un conseiller.  Voilà pour la version publique. En cercle restreint, les langues se délient. Au Palais, personne n’a manqué la petite phrase attribuée à Manuel Valls par le Canard enchaîné : le président s’est comporté « comme un adolescent attardé ». Désormais, à l’Elysée, ce que les détracteurs de la Première dame n’osaient dire quand elle était aux cotés du président est aujourd’hui formulé. « Si elle revient, j’arrête tout », ironise ainsi un ami du président, persuadé que Valérie Trierweiler a nui au chef de l’Etat. « Elle le plombe politiquement, elle n’est pas populaire auprès des Français », ajoute un autre intime de François Hollande. Plus largement, c’est toute la galaxie Hollande qui serre les rangs autour de son champion. Et en profite pour se venger de cette compagne qui les a tant malmenés pendant la campagne.

 




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