Archive pour le Tag 'tard'

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Canal-Les Guignols : plus tard, crypté et plus soft

Canal-Les Guignols : plus tard, crypté et plus soft

 

Il fallait s’y attendre, Bolloré n’aime pas bien l’humour. Devant la réaction du public il a été contraint de renoncer à la suppression des Guignols. Du coup,  il les maintient mais cryptés, plus tard et plus soft. On sait que Sarkozy n’apprécie pas du tout les Guignols, (pourtant  il est souvent pire que sa marionnette surtout quand il fait du stand-up), on sait aussi que Bolloré est un ami très proche, on sait enfin que Bolloré, chef d’entreprise autoritaire a une curieuse conception de humour : « pas de dérision, sauf de soi-même ! ». Une évolution qui pourrait bien porter un coup au nombre d’abonnés de Canal.   Canal+ a annoncé mercredi le passage des « Guignols de l’Info » à 20h50, pour démarrer la soirée en crypté, marquant la reprise en main de la chaîne payante par Vincent Bolloré, le président de sa maison mère, Vivendi. L’émission satirique, qui voit son horaire de diffusion retardé de près d’une heure, conserve toutefois un rythme quotidien et sera rediffusée le dimanche en clair, précise Canal+ sur son compte Twitter, confirmant une information du Figaro. La nouvelle grille porte la marque de Maxime Saada, qui a succédé à la tête de Canal+ à Rodophe Belmer, débarqué début juillet par Vincent Bolloré, président et principal actionnaire de Vivendi avec 15% du capital. Des rumeurs avaient laissé entendre que Vincent Bolloré souhaitait supprimer cette émission-phare, ou du moins la rendre hebdomadaire, provoquant une mobilisation de nombreux télespectateurs, y compris des personnalités politiques comme le Premier ministre Manuel Valls et le maire de Bordeaux Alain Juppé. Le talk show « Le Grand Journal » sera désormais présenté par Maitena Biraben, autour d’une équipe resserrée, en remplacement d’Antoine de Caunes, qui se voit proposer un « late show » heddomadaire, sur le modèle des chaînes américaines, à partir d’octobre, précise Canal+, avec le comédien Fred Testot (de l’ancienne pastille « Omar et Fred ») et le site satirique Le Gorafi. « Le Petit Journal », l’émission de Yann Barthès, pourrait être légèrement rallongée, tandis que son duo d’humoristes Eric et Quentin auront droit à une émission hebdomadaire en clair.

 

Demandeurs d’asile : on verra plus tard

Demandeurs d’asile : on verra plus tard

 

Tandis que que de centaines, voire des milliers demandeurs d’asile meurent sur les côtes européennes, on a décidé …de ne  rien décider. En fait personne n’en veut et veut refiler le bébé au voisin. Du coup c’est une sorte de banalisation de l’immigration clandestine. Les Vingt-Huit ne sont pas parvenus à s’entendre lundi sur la répartition de 40.000 demandeurs d’asile – chiffre pourtant surréaliste-entre les différents pays de l’Union européenne au cours des deux prochaines années et ont remis une décision finale à la fin de l’année. A la suite de la mort de 700 migrants en mer Méditerranée entre la Libye et l’Italie au mois d’avril, les dirigeants européens se sont promis en juin de trouver avant la fin juillet un arrangement concernant la relocalisation des migrants. A Bruxelles, les 28 ministres chargés du dossier se sont mis d’accord pour respecter les conclusions du sommet de juin, sans toutefois décider du nombre de migrants que chaque pays devra accueillir.  Jusqu’à présent, les Etats de l’Union européenne n’ont trouvé une solution que pour environ 32.000 demandeurs d’asile arrivés sur les côtes italiennes et grecques. « Nous y sommes presque », a déclaré le commissaire européen aux Migrations, Dimitris Avramopoulos, lors d’une conférence de presse organisée à l’issue de la réunion des ministres. « Je suis un peu déçu, mais c’est un pas important en avant », a-t-il ajouté. Les premiers demandeurs d’asile pourraient être relocalisés avant qu’un accord complet ne soit trouvé, « à partir d’octobre », selon le ministre luxembourgeois, Jean Asselborn. L’Autriche a refusé de s’engager sur un quelconque chiffre. « L’Autriche est devenu le premier pays d’arrivée et doit faire face à dix fois plus de demande d’asile que l’Italie et la Grèce réunies, ce n’est pas normal », a dit Johanna Mikl-Leitner, ministre autrichienne de l’Intérieur. La Hongrie a été exemptée, tandis que la Grande-Bretagne et le Danemark n’ont aucune obligation de participer au plan. L’Irlande a elle aussi reçu une dispense, mais s’est tout de même portée volontaire pour accueillir 600 demandeurs d’asile venus d’Italie et de Grèce.

 

Grèce: nouveau dernier délai dimanche…ou plus tard

Grèce:  nouveau dernier délai dimanche…ou plus tard

 

Bruxelles n’en finit pas de lancer des ultimatums, cette fois c’est dimanche, le dernier carat ! A moins que ce ne soit repoussé aux calendes…grecques ! En vérité le feuilleton risque de durer car il n’est pas question d’envisager un réel plan global. Tout au plus une  aide partielle et provisoire pour gagner du temps (ou plutôt en perdre). Personne n’y comprend plus rien. La Grèce n’aurait pas fait de propositions sérieuses. En fait l’Allemagne et d’autres voudraient virer la Grèce en prenant n’importe quel prétexte. Une Grèce certes pas sans défaut mais qui constitue actuellement la cible idéale pour exacerber tous les nationalismes. Du pain béni pour les politiques démagos «  on ne va quand même pas encore payer pour ces fainéants » ! Cela démontre à l’évidence qu’il n’ya aucune gouvernance au plan européen ; Et dimanche il est possible qu’on recule encore la date de l’ultimatum. A moins qu’Obama siffle la fin de la récréation pour demander à l’Europe de ne plus jouer à l’apprenti sorcier. Car en attendant les bourses plongent  et surtout la remontée des taux d’intérêt vont menacer la fragile croissance mondiale. Réunis mardi en sommet à Bruxelles, les pays membres de la zone euro se sont donnés jusqu’au week-end pour s’accorder sur un plan d’aide susceptible de maintenir au sein de la monnaie unique une Grèce au bord de l’effondrement économique. Isolée diplomatiquement après la victoire du « non » dimanche lors du referendum organisé sur les propositions des créanciers, la Grèce a obtenu un sursis de moins de 48 heures pour présenter un plan de réformes et déposer une demande officielle d’aide au Mécanisme européen de stabilité (MES).   »La dure réalité est qu’il ne nous reste plus que cinq jours pour parvenir à un accord définitif », a prévenu Donald Tusk, le président du Conseil européen, au cours d’une conférence de presse à l’issue du sommet. Alors que de nombreux analystes estimaient que la réunion de mardi constituait la dernière chance pour sortir de l’impasse, cette échéance a de fait été repoussée à une rencontre des ministres des Finances de la zone euro samedi.  La chancelière allemande Angela Merkel a souhaité obtenir dans la semaine suffisamment de propositions de la part d’Athènes pour demander au Bundestag d’approuver l’ouverture de discussions en vue d’un nouveau plan d’aide à long terme. Les 28 chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne se réuniront dimanche à condition que le Premier ministre grec Alexis Tsipras soumette d’ici jeudi un plan détaillé, a-t-elle déclaré.  Si ce plan est jugé adéquat et que le gouvernement grec commence à le mettre en œuvre, un prêt à court terme pourra être accordé à la Grèce, a poursuivi la chancelière tout en affirmant « ne pas être exagérément optimiste » quant à une solution. Si elle n’a pas exclu un rééchelonnement de la dette grecque sur le long terme, elle s’est en revanche montrée intransigeante dans son refus d’une décote réclamée par Alexis Tsipras, affirmant que cette option était impossible parce qu’illégale.  (Comme la dette allemande de la seconde guerre mondiale de plusieurs  centaines de milliards à l’égard de la Grèce ?)

Transition énergétique :on verra plus tard

Transition énergétique :o n verra plus tard

La peinture verte de la transition énergétique n’aura pas résisté au temps pluvieux. On revient simplement  à la politique actuelle. D’ailleurs par exemple la fermeture de Fessenheim n’est même plus prévue ni ^par le sénat, ni par Hollande ( qui renvoie en faiat la patate chaude à son successeur en 2018) . C’était pas la peine que Hollande entourée de deux jolies actrices aux Philippines se fende d’un beau discours écolo. Ce qui choque surtout c’est le décalage entre les propos et les orientations réelles. Malheureusement cela ne vaut pas que pour les questions environnementales. C’est donc une loi de transition énergétique vidée de sa substance qui doit être voté ce mardi au Sénat. Après dix jours de débat houleux dans une haute assemblée très conservatrice, les principales promesses du texte emblématique du quinquennat de François Hollande ont disparu. En particulier sur la question de la part du nucléaire. Fini l’objectif de réduction de la part du nucléaire de 75 à 50% en 2025, l’échéance a disparu du texte. Les sénateurs ont même relevé le plafond fixé par l’Assemblée. Il imposait de fermer des réacteurs dès que l’EPR de Flamanville entrerait en service. Pour les sénateurs conservateurs, pas question non plus de consommer 20% d’énergie en moins en 2030. Cela ne va pas avec le retour de la croissance qu’ils espèrent. Ils ont aussi reculé la distance entre les éoliennes et les maisons à un kilomètre au lieu de 500 mètres, ce qui fait hurler les promoteurs des projets éoliens. Selon eux, il serait désormais impossible de construire un parc sur 85% du territoire. Même si certaines mesures vont plutôt dans le sens de la transition énergétique : des délais de raccordement plus court entre les parcs solaires et le réseau électrique ou 40% d’électricité renouvelable en 2030, au global le compte n’y est pas. Les écologistes espèrent donc un échec de la commission mixte paritaire plutôt qu’un mauvais compromis. Mieux vaut pour eux que le texte revienne à l’Assemblée et que les députés aient le dernier mot.

EDF : pas de hausse des tarifs au 1er août ….mais quelques mois plus tard

EDF : pas de hausse des tarifs au 1er août ….mais quelques mois plus tard

Ce ne sera pas en Aout mais peut être en septembre –octobre ou en janvier. Mais Il n’y aura finalement pas de hausse des tarifs de l’électricité cet été, alors que 5% d’augmentation étaient prévus. L’annonce a été faite ce matin par la ministre de l’Energie Ségolène Royal.  Un gel des tarifs de l’électricité : c’est ce qu’annonce la ministre du secteur, Ségolène Royal. « Il y avait une augmentation des tarifs de l’électricité qui était prévue au 1er août, 5%. Ces factures n’augmenteront pas ». Pourquoi ? Parce que le mode de calcul va changer, tout simplement.   »Je vais procéder à ce calcul avec la Commission de régulation de l’énergie, une autorité indépendante, qui va, à partir de la réforme que j’ai mise en place, calculer cette hausse, ou peut-être une baisse », explique la ministre. Décision à venir, d’ici la fin de l’année. En clair : y aura-t-il une hausse ultérieurement, au 1er janvier 2015 ? On le saura au 1er octobre prochain. En attendant, ce jeudi matin, à la Bourse de Paris, l’action EDF a chuté de 4,54% à 25,44 euros. Le titre de l’exploitant était même lanterne rouge du CAC 40.  L’an dernier, le gouvernement avait annoncé une hausse des tarifs de 5% à l’été 2013, puis 2014, pour mieux refléter les coûts d’EDF.

 

Trop tard pour quitter l’euro (Joseph Stiglitz)

Trop  tard pour quitter l’euro (Joseph Stiglitz)

Devant des étudiants italiens de l’université Guido Carli à Rome,, l’économiste Joseph Stiglitz ( prix Nobel d’économie) a condamné l’adoption de la monnaie unique européenne, tout en estimant qu’il était trop tard pour revenir en arrière, rapport le Huffington Post italien le 7 mai. L’Américain, connu pour ses critiques acerbes du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, a estimé que l’euro ne fonctionnait pas. « Pourquoi n’a-t-il pas marché? Comment corriger le tir »: voilà les questions qui se posent aujourd’hui, selon lui.  Les Etats-membres doivent désormais mettre en place des réformes pour « harmoniser le tissu européen ». La zone euro devrait notamment instaurer « une politique fiscale commune, une mise en commun de la dette, une union bancaire et une politique de croissance ». Il met aussi en garde. Si l’Europe n’adoptait pas ces réformes communautaires, elle risquerait des « scénarios douloureux pour les pays membres ». L’Allemagne pourrait d’ailleurs être la première à quitter l’Union monétaire, a-t-il envisagé. Comme il en a coutume, il a répété que l’austérité « n’est pas la bonne recette pour enrayer la crise » et a fustigé les experts de la troïka, qu’il a accusé de présenter des prévisions erronées et de « blâmer les victimes plutôt que de reconnaître leurs erreurs ».

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