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Politique: 14 juillet :Macron va se taire….. enfin !

Politique: 14 juillet : Macron va se taire….. enfin !


Macron ne va pas se soumettre à la causerie rituelle du 14 juillet qui lui permettait de parler de tout et surtout de rien afin de maintenir surtout sa présence monarchique dans l’opinion.

Il ne souhaite évidemment pas être interrogé sur le bilan de la Première ministre à laquelle il avait donné 100 jours pour modifier le contexte politique. Il ne souhaite pas davantage répondre à la question d’un éventuel changement de gouvernement. Macron ne veut pas être interrogé sur les questions qui fâchent comme les retraites dont la réforme est déjà obsolète ou encore moins sur la crise des banlieues.

Il craint par-dessus surtout la moindre étincelle sociale en particulier dans les banlieues à propos desquelles il a été particulièrement discret. Et pour cause ,il faut se rappeler qu’en mai 2018 il avait envoyé balader Borloo et son grand plan concernant les quartiers. D’une façon générale, Macron constate enfin qu’à chaque fois qu’il parle, son audience diminue encore dans une opinion publique complètement lassée; fatiguée par des propos faussement disruptifs d’un chef d’État en réalité paralysé et ne disposant plus d’une réelle autorité dans le pays et pas davantage à l’échelle internationale.

Et ne parlons pas de la politique de défense qui aboutit aujourd’hui au constat d’une micro armée et d’une France qui ne peut se situer qu’en 29 ème positions pour soutenir l’Ukraine.

Bref, un président enfin silencieux, peut-être le profil qu’il faut à la France en ce moment quand le vacarme des mots creux se brise sur les réalités.

Pour preuve, chaque fois que Macon parle depuis plusieurs interventions, il ne cesse de perdre encore davantage d’audience dans l’opinion publique.

14 juillet : Macron va se taire….. enfin !

14 juillet : macron va se taire….. enfin !


Macron ne va pas se soumettre à la causerie rituelle du 14 juillet qui lui permettait de parler de tout et surtout de rien afin de maintenir surtout sa présence monarchique dans l’opinion.

Il ne souhaite évidemment pas être interrogé sur le bilan de la Première ministre à laquelle il avait donné 100 jours pour modifier le contexte politique. Il ne souhaite pas davantage répondre à la question d’un éventuel changement de gouvernement. Macron ne veut pas être interrogé sur les questions qui fâchent comme les retraites dont la réforme est déjà obsolète ou encore moins sur la crise des banlieues.

Il craint par-dessus surtout la moindre étincelle sociale en particulier dans les banlieues à propos desquelles il a été particulièrement discret. Et pour cause ,il faut se rappeler qu’en mai 2018 il avait envoyé balader Borloo et son grand plan concernant les quartiers. D’une façon générale, Macron constate enfin qu’à chaque fois qu’il parle, son audience diminue encore dans une opinion publique complètement lassée; fatiguée par des propos faussement disruptifs d’un chef d’État en réalité paralysé et ne disposant plus d’une réelle autorité dans le pays et pas davantage à l’échelle internationale.

Et ne parlons pas de la politique de défense qui aboutit aujourd’hui au constat d’une micro armée et d’une France qui ne peut se situer qu’en 29 ème positions pour soutenir l’Ukraine.

Bref, un président enfin silencieux, peut-être le profil qu’il faut à la France en ce moment quand le vacarme des mots creux se brise sur les réalités.

Pour preuve, chaque fois que Macon parle depuis plusieurs interventions, il ne cesse de perdre encore davantage d’audience dans l’opinion publique.

Santé- Vaccin covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

Santé- Vaccin covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

 

Nombre de pseudo experts notamment des sociologues n’hésitent pas à donner leur avis à propos du covid. Le CNRS somme ces bavards impénitents de se taire sur des sujets dont ils ignorent tout . Dans le corps médical lui-même, nombre de soignants s’expriment aussi sans compétence particulière poussés il est vrai notamment par les chaînes d’information continue en mal de bla-bla

Un chercheur en sociologie est-il fondé à analyser les effets indésirables des vaccins contre le Covid-19 ? Pour le CNRS, la réponse est non. Dans un communiqué, mardi 24 août, l’organisme « déplore les prises de position publiques de certains scientifiques, souvent plus soucieux d’une éphémère gloire médiatique que de vérité scientifique, sur des sujets éloignés de leurs champs de compétences professionnelles ».

Sans le nommer, le CNRS incrimine l’un de ses directeurs de recherche en sociologie, Laurent Mucchielli, qui a publié, depuis mars 2020, pas moins de soixante-trois analyses consacrées à la crise sanitaire sur son blog hébergé par Mediapart, dont l’une a été dépubliée le 4 août par la rédaction en chef au motif qu’elle diffusait de « fausses informations ».

Le sociologue, spécialiste de la délinquance et des politiques de sécurité, y affirmait au côté d’autres signataires, dont deux pharmaciens et un médecin, que la vaccination de masse contre le Covid-19 conduisait à « une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne ». Aux Etats-Unis, elle « a contribué à tuer cinq fois plus de personnes que la vaccination antigrippe en trente ans », avançait-il, en s’appuyant sur les enquêtes de pharmacovigilance des différents vaccins.

 « Ces communications ne respectent aucune des règles en vigueur dans le cadre de publications scientifiques, notamment le jugement par les pairs, seuls à même de contrôler la rigueur de la démarche », tranche le CNRS, qui précise que son comité d’éthique a « récemment » approuvé une recommandation prévoyant que « le chercheur qui intervient dans l’espace public doit préciser à quel titre il prend la parole », en qualité de spécialiste, en tant que représentant de son organisme de recherche ou au titre de « citoyen engagé, voire de militant ».

A la faveur d’une tribune publiée dans les colonnes du Monde, jeudi 19 août, huit sociologues, dont Gérald Bronner et Dominique Schnapper, avaient sommé le CNRS de réagir, évoquant la manipulation qui consiste à confondre les décès durant une période consécutive à une vaccination avec ceux causés par la vaccination.

 « L’imputabilité est un travail d’enquête fait par des médecins et des pharmaciens spécialisés en pharmacovigilance. Un sociologue ne pourrait y prendre part », rappelle Fabienne Blum, présidente de Citizen4Science, association créée fin 2020 pour soutenir les scientifiques « harcelés » depuis le début de la crise sanitaire.

Un avis que ne partage pas Laurent Mucchielli. « La science repose sur le débat contradictoire, la libre discussion des données et des raisonnements, se défend-il dans une réponse écrite au MondeLe CNRS ne s’en serait jamais inquiété s’il n’avait pas été harcelé par mes détracteurs. ».

Un sociologue qui confond sans doute bavardage et recherche ! Comme trop souvent dans sa discipline.

Vaccin covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

Vaccin covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

 

Nombre de pseudo experts notamment des sociologues n’hésitent pas à donner leur avis à propos du covid. Le CNRS somme ces bavards impénitents de se taire sur des sujets dont ils ignorent tout . Dans le corps médical lui-même, nombre de soignants s’expriment aussi sans compétence particulière poussés il est vrai notamment par les chaînes d’information continue en mal de bla-bla

Un chercheur en sociologie est-il fondé à analyser les effets indésirables des vaccins contre le Covid-19 ? Pour le CNRS, la réponse est non. Dans un communiqué, mardi 24 août, l’organisme « déplore les prises de position publiques de certains scientifiques, souvent plus soucieux d’une éphémère gloire médiatique que de vérité scientifique, sur des sujets éloignés de leurs champs de compétences professionnelles ».

Sans le nommer, le CNRS incrimine l’un de ses directeurs de recherche en sociologie, Laurent Mucchielli, qui a publié, depuis mars 2020, pas moins de soixante-trois analyses consacrées à la crise sanitaire sur son blog hébergé par Mediapart, dont l’une a été dépubliée le 4 août par la rédaction en chef au motif qu’elle diffusait de « fausses informations ».

Le sociologue, spécialiste de la délinquance et des politiques de sécurité, y affirmait au côté d’autres signataires, dont deux pharmaciens et un médecin, que la vaccination de masse contre le Covid-19 conduisait à « une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne ». Aux Etats-Unis, elle « a contribué à tuer cinq fois plus de personnes que la vaccination antigrippe en trente ans », avançait-il, en s’appuyant sur les enquêtes de pharmacovigilance des différents vaccins.

 « Ces communications ne respectent aucune des règles en vigueur dans le cadre de publications scientifiques, notamment le jugement par les pairs, seuls à même de contrôler la rigueur de la démarche », tranche le CNRS, qui précise que son comité d’éthique a « récemment » approuvé une recommandation prévoyant que « le chercheur qui intervient dans l’espace public doit préciser à quel titre il prend la parole », en qualité de spécialiste, en tant que représentant de son organisme de recherche ou au titre de « citoyen engagé, voire de militant ».

A la faveur d’une tribune publiée dans les colonnes du Monde, jeudi 19 août, huit sociologues, dont Gérald Bronner et Dominique Schnapper, avaient sommé le CNRS de réagir, évoquant la manipulation qui consiste à confondre les décès durant une période consécutive à une vaccination avec ceux causés par la vaccination.

 « L’imputabilité est un travail d’enquête fait par des médecins et des pharmaciens spécialisés en pharmacovigilance. Un sociologue ne pourrait y prendre part », rappelle Fabienne Blum, présidente de Citizen4Science, association créée fin 2020 pour soutenir les scientifiques « harcelés » depuis le début de la crise sanitaire.

Un avis que ne partage pas Laurent Mucchielli. « La science repose sur le débat contradictoire, la libre discussion des données et des raisonnements, se défend-il dans une réponse écrite au MondeLe CNRS ne s’en serait jamais inquiété s’il n’avait pas été harcelé par mes détracteurs. ».

Un sociologue qui confond sans doute bavardage et recherche ! Comme trop souvent dans sa discipline.

Covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

Covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

 

Nombre de pseudo experts notamment des sociologues n’hésitent pas à donner leur avis à propos du covid. Le CNRS somme ces bavards impénitents de se taire sur des sujets dont ils ignorent tout .

Un chercheur en sociologie est-il fondé à analyser les effets indésirables des vaccins contre le Covid-19 ? Pour le CNRS, la réponse est non. Dans un communiqué, mardi 24 août, l’organisme « déplore les prises de position publiques de certains scientifiques, souvent plus soucieux d’une éphémère gloire médiatique que de vérité scientifique, sur des sujets éloignés de leurs champs de compétences professionnelles ».

Sans le nommer, le CNRS incrimine l’un de ses directeurs de recherche en sociologie, Laurent Mucchielli, qui a publié, depuis mars 2020, pas moins de soixante-trois analyses consacrées à la crise sanitaire sur son blog hébergé par Mediapart, dont l’une a été dépubliée le 4 août par la rédaction en chef au motif qu’elle diffusait de « fausses informations ».

Le sociologue, spécialiste de la délinquance et des politiques de sécurité, y affirmait au côté d’autres signataires, dont deux pharmaciens et un médecin, que la vaccination de masse contre le Covid-19 conduisait à « une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne ». Aux Etats-Unis, elle « a contribué à tuer cinq fois plus de personnes que la vaccination antigrippe en trente ans », avançait-il, en s’appuyant sur les enquêtes de pharmacovigilance des différents vaccins.

 « Ces communications ne respectent aucune des règles en vigueur dans le cadre de publications scientifiques, notamment le jugement par les pairs, seuls à même de contrôler la rigueur de la démarche », tranche le CNRS, qui précise que son comité d’éthique a « récemment » approuvé une recommandation prévoyant que « le chercheur qui intervient dans l’espace public doit préciser à quel titre il prend la parole », en qualité de spécialiste, en tant que représentant de son organisme de recherche ou au titre de « citoyen engagé, voire de militant ».

A la faveur d’une tribune publiée dans les colonnes du Monde, jeudi 19 août, huit sociologues, dont Gérald Bronner et Dominique Schnapper, avaient sommé le CNRS de réagir, évoquant la manipulation qui consiste à confondre les décès durant une période consécutive à une vaccination avec ceux causés par la vaccination.

 « L’imputabilité est un travail d’enquête fait par des médecins et des pharmaciens spécialisés en pharmacovigilance. Un sociologue ne pourrait y prendre part », rappelle Fabienne Blum, présidente de Citizen4Science, association créée fin 2020 pour soutenir les scientifiques « harcelés » depuis le début de la crise sanitaire.

Un avis que ne partage pas Laurent Mucchielli. « La science repose sur le débat contradictoire, la libre discussion des données et des raisonnements, se défend-il dans une réponse écrite au MondeLe CNRS ne s’en serait jamais inquiété s’il n’avait pas été harcelé par mes détracteurs. ».

Un sociologue qui confond sans doute bavardage et recherche ! Comme trop souvent dans sa discipline.

Islamo gauchisme : Rachel Khan, directrice de centre culturel à Paris, priée de se taire

Islamo gauchisme : Rachel Khan, directrice de centre culturel à Paris, priée de se taire

 

Que reproche le conseil d’administration de ce centre culturel à sa directrice : tout simplement d’avoir critiqué un insupportable discours victimaire  des pseudos antiracistes

Mis en ligne il y a 24 heures sur les réseaux sociaux, le communiqué d’Agnès Troublé, dite Agnès B. , Présidente de l’association culturelle parisienne La Place n’en finit pas de faire scandale. Dans ce texte, on lit que «les propos actuellement tenus par Mlle Rachel Khan dans les médias dans le cadre de la promotion de son livre n’engagent qu’elle, et ne reflète en aucun cas les opinions des membres du conseil d’administration de La Place-Centre Culturel Hip-Hop de la Ville de Paris.»

De quels propos est-il question ? Que reproche cette association, subventionnée par la Mairie de Paris, fait-elle à la comédienne, juriste et auteur, qui vient d’écrire un livre, Racée (éd. L’Observatoire)? De trouver le mot «racé» préférable de très loin à «racisé». De considérer comme «un insupportable le discours victimaire des pseudos-antiracistes» ? De ne pas comprendre les crispations autour de la notion «d’assimilation»? .Une preuve supplémentaire de l’intolérance de l’islamo- gauchisme par un conseil d’administration sans doute pas très représentatif de la population.

Les médecins médiatiques doivent-ils se taire ?

Les médecins médiatiques doivent-ils se taire ?

 

 

 

Sans doute pour limiter les risques, le président de la république au début de la crise sanitaire s’était abrité derrière un comité scientifique. Il a suivi au départ assez scrupuleusement les mesures proposées. Il s’en est éloigné dès lors qu’il a constaté que ce comité d’experts était tombé dans la tentation politique de se substituer aux autorités. Le phénomène a très largement dépassé le comité scientifique et des dizaines et des dizaines d’experts ont envahi les médias. Chaque jour, matin midi et soir ils donnent leur avis non seulement sur la pandémie mais sur le reste de l’actualité. En particulier sur les chaînes d’info continue qui ont du mal à renouveler leurs participants et qui font parler les présents de tout même lorsque les intéressés n’ont aucune compétence bref une espèce de restauration de la discussion de bistrot version télé réalité.

Le problème c’est que le champ sanitaire et en particulier celui qui concerne le virus est plein d’incertitudes et que la démarche scientifique consiste surtout à s’interroger et non à formuler des avis précipités sans forcément d’arguments pertinents notamment d’études épidémiologiques approfondies.

Du coup, ces médecins devenus soudain connus du grand public sont tombés dans le piège médiatique où la petite phrase prend souvent le pas sur le problème de fond. Ainsi en a-t-il été sur la question des masques, puis des tests et maintenant du vaccin et du recours au confinement . Dans les médias, on oublie vite ce qui a été dit précédemment. Le souvenir des jours ou des semaines passées s’effacent devant l’éclat d’une déclaration qui fait le buzz.

 

Car l’objectif est bien de faire le buzz, c’est-à-dire de se singulariser dans ce monde médical très corpo. Il s’agit pas de démontrer mais d’affirmer, d’être original, de se distinguer en espérant peut-être une plus grande reconnaissance par les institutions et dans le déroulement de carrière. Bref les médecins ont vite compris la dialectique politique et ils l’ont appropriée affirmant plus qu’ils ne démontrent, contestant plus qu’il s ne proposent, accusant plus qu’il s n’évaluent. Beaucoup en ont d’ailleurs profité pour sortir des bouquins aux titres plus ou moins tapageur. Bref exactement la copie du monde politique. Il ne s’agit pas de renoncer évidemment à l’éclairage scientifique mais il serait peut-être préférable que ces experts disparaissent des écrans et des médias en général pour se consacrer à la diffusion de leurs travaux de recherche.  On objectera que la médecine a fait d’énormes progrès, ce qui est indiscutable mais les progrès n’ont pas forcément été effectués par les plus bavards.

Société- Covid-19: l’Académie de médecine recommande de se taire !

Société- Covid-19: l’Académie de médecine recommande de se taire !

 

Une recommandation de l’académie de médecine qui va sûrement faire plaisir à Macron puisqu’elle recommande aux Français de se taire notamment dans le métro pour éviter les risques de transmission du virus. Récemment Macron avait montré sa colère suite aux critiques de nombre de français sur l’efficacité de la politique sanitaire en particulier par rapport au manque de vaccins.

Macron avait traité les 66 millions de Français de procureurs. Un genre de petites phrases condescendantes et même insultantes dont il a le secret.

 

Cette fois cette recommandation de l’Académie de médecine devrait lui faire plaisir surtout si elle était étendue au-delà de l’utilisation du métro  ( notons quand même qu’il faut signaler aux académiciens que ce métro n’existe pas dans toutes les villes et qu’on utilise tout bêtement des bus ou des tramways concernant les transports collectifs).

Cette recommandation de se taire étendue à l’ensemble des activités des Français serait évidemment une aubaine. Elle permettrait d’éteindre les critiques que subit de plus en plus le pouvoir du fait de ses nombreuses contradictions. La dernière en date étant celle des vaccins. En effet en France,  on a commencé à mettre en place une centaine de centres de vaccination, puis 200 maintenant près de 800. Le seul problème c’est qu’il n’y a pas de vaccin et que la plupart de ces centres ont dû fermer et sont incapables de préciser à quelle date auront lieu les prochaines prises de rendez-vous pour la vaccination.

 

L’Académie de médecine aurait bien fait de recommander aux pouvoirs publics en tout cas certain de ses responsables de se taire également. En particulier au bavard ministre de la santé qui annonce des chiffres invraisemblables de futurs vaccinés. Par exemple quand il déclare que la quasi-totalité de la population sera vaccinée d’ici août. Alors que pour l’instant le rythme de vaccination est de 1 million tout au plus par mois. À ce rythme il faudra 70 mois !  Si ce très bavard ministre de la santé pouvait se taire on éviterait aussi la contamination de mensonges éhontés

Covid-19: l’Académie de médecine recommande de se taire !

Covid-19: l’Académie de médecine recommande de se taire !

 

Une recommandation de l’académie de médecine qui va sûrement faire plaisir à Macron puisqu’elle recommande aux Français de se taire notamment dans le métro pour éviter les risques de transmission du virus. Récemment Macron avait montré sa colère suite aux critiques de nombre de français sur l’efficacité de la politique sanitaire en particulier par rapport au manque de vaccins.

Macron avait traité les 66 millions de Français de procureurs. Un genre de petites phrases condescendantes et même insultantes dont il a le secret.

 

Cette fois cette recommandation de l’Académie de médecine devrait lui faire plaisir surtout si elle était étendue au-delà de l’utilisation du métro  ( notons quand même qu’il faut signaler aux académiciens que ce métro n’existe pas dans toutes les villes et qu’on utilise tout bêtement des bus ou des tramways concernant les transports collectifs).

Cette recommandation de se taire étendue à l’ensemble des activités des Français serait évidemment une aubaine. Elle permettrait d’éteindre les critiques que subit de plus en plus le pouvoir du fait de ses nombreuses contradictions. La dernière en date étant celle des vaccins. En effet en France,  on a commencé à mettre en place une centaine de centres de vaccination, puis 200 maintenant près de 800. Le seul problème c’est qu’il n’y a pas de vaccin et que la plupart de ces centres ont dû fermer et sont incapables de préciser à quelle date auront lieu les prochaines prises de rendez-vous pour la vaccination.

 

L’Académie de médecine aurait bien fait de recommander aux pouvoirs publics en tout cas certain de ses responsables de se taire également. En particulier au bavard ministre de la santé qui annonce des chiffres invraisemblables de futurs vaccinés. Par exemple quand il déclare que la quasi-totalité de la population sera vaccinée d’ici août. Alors que pour l’instant le rythme de vaccination est de 1 million tout au plus par mois. À ce rythme il faudra 70 mois !  Si ce très bavard ministre de la santé pouvait se taire on éviterait aussi la contamination de mensonges éhontés

Football : quand Jean-Michel Aulas, président de Lyon, va-t-il enfin se taire !

Football : quand Jean-Michel Aulas, président de Lyon, va-t-il enfin se taire !

 

 

L’inénarrable président de Lyon, Jean-Michel Aulas, encore une fois est l’auteur d’une  sortie médiatique pour le moins surprenante en proposant tout simplement l’annulation des résultats actuels de la ligue 1.

Pas étonnant ,actuellement, son équipe est susceptible de ne pas être qualifiée pour la grande coupe d’Europe. Une fois de plus Jean-Michel Aulas n’a pu s’empêcher de se livrer à des déclarations abracadabrants. Rares sont d’ailleurs les week-ends où il n’a pas critiqué l’arbitre, l’équipe adverse, l’entraîneur ou encore les supporters des équipes opposées. Parfois même il n’attend pas la fin du match, au cours  de la semaine il fait monter la pression avec des propos provocateurs et irresponsables.

Ce président qui a sans doute réussi sur le plan professionnel n’a sans doute pas compris ce qu’était le rôle d’un président de club. Preuve, ce club de Lyon qu’il préside n’a pas les résultats à la hauteur de sa valeur. Le club de Lyon produit régulièrement des joueurs d’exception;  globalement l’équipe  est composée sans doute des joueurs les plus performants du championnat. Pourtant, depuis des années et des années, elle ne parvient pas à obtenir les résultats que l’équipe mérite. Le président de Lyon a largement contribué à nourrir cette contradiction y compris en permanence en critiquant ses entraîneurs.

Il serait temps il se taise enfin pour rétablir la sérénité au sein même de son club et au-delà dans le championnat. L’influent président lyonnais Jean-Michel Aulas s’est donc montré curieusement  favorable à son annulation pure et simple, une solution radicale avantageuse pour lui mais loin de faire l’unanimité. Si l’épidémie de coronavirus continue de perturber le Championnat de France dans les semaines à venir, «le plus logique serait alors de dire: « on annule tout et on repart sur la situation du début de saison »», a lancé le patron de l’OL vendredi dans les colonnes du journal Le Monde. Décréter une «saison blanche», sans attribution de titre ni relégation, permettrait d’éviter «à ceux qui sont concernés par le bas du tableau de se retourner contre la LFP et la FFF», a appuyé le dirigeant.

L’argument juridique soulevé par Aulas, par ailleurs président du collège des clubs de Ligue 1 de la Ligue et membre du comité exécutif de la Fédération, a été balayé par la LFP. «La seule façon d’éviter les recours c’est que les compétitions aillent à leur terme», a confié son directeur général exécutif Didier Quillot, samedi au site internet du journal L’Equipe, en mentionnant les engagements pris devant les diffuseurs.

«Le football, c’est la solidarité entre les quarante clubs (de L1 et L2, ndlr) et l’ensemble des acteurs du foot. Ces paroles n’engagent que lui», avait taclé plus tôt la présidente de la LFP Nathalie Boy de la Tour, interrogée par BeIN Sports.

« Affaire Ghosn : la France ne doit plus se taire »

« Affaire Ghosn : la France ne doit plus se taire »

 

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Même si le patron de Renault est présumé responsable de certaines combines financières et fiscales, il ne saurait être traité en dépit de tout respect des règles de droit. Ce que dénonce deux avocats, Olivier Maudret et François Honnorat. La vérité c’est que cette affaire ne relève pas du droit commun mais constituent des enjeux économiques et politiques. Le Japon voulant récupérer son autorité sur Nissan alors que le capital est maîtrisé par Renault. Preuve de la dimension politique de cette affaire l’entreprise Nissan refuse de réunir l’assemblée générale qui, seule, peut désigner les membres du conseil d’administration de Nissan !

« Alors que des voix commencent à s’élever dans le monde pour dénoncer le caractère archaïque du système judiciaire japonais, la France ne peut se taire durablement sur la situation de Carlos Ghosn et se limiter, comme elle le fait, à rappeler que la présomption d’innocence s’oppose, pour l’heure, à une révision de la gouvernance de Renault. [...] Carlos Ghosn est détenu sans avoir été jugé depuis bientôt deux mois depuis son arrestation, le 19 novembre 2018, sous le régime de la garde à vue puis de la détention provisoire, puis à nouveau de la garde à vue au travers de quatre ‘arrestations’ successives.

[...] Chacun voit et comprend que, dans un tel contexte, la situation faite à Carlos Ghosn par les autorités japonaises ne débouchera pas sur un procès juste et équitable. Il va de soi que Carlos Ghosn ne doit pas faire l’objet de ‘faveurs’ mais la France se doit de rappeler qu’aucune personne, quelle qu’elle soit, ne devrait faire l’objet d’un traitement semblable. La comparution publique de Carlos Ghosn le 8 janvier 2019 n’a pas eu lieu dans des conditions respectueuses de la dignité. Les personnes présentes à cette audience ont témoigné du fait qu’il y avait été conduit entravé et tenu en ‘laisse’ par ses gardiens. Cette image traduit la fictivité de sa présomption d’innocence. »

Fillon a demandé à Bourgi de se taire sur les costumes !

Fillon a demandé à Bourgi  de se taire sur les costumes !

 

La révélation, le 12 mars par Le Journal du Dimanche, des cadeaux vestimentaires consentis à François Fillon (deux costumes à 13 000euros), par Robert Bourgi, figure controversée de la « Françafrique », a contribué à abîmer un peu plus l’image du candidat, qui sera mis en examen le 14 mars pour détournements de fonds publics. L’identité du mécène a été révélée par Le Monde le 17 mars, poussant Robert Bourgi à confirmer. Face à la controverse, François Fillon a annoncé le 23 mars sur France 2 avoir rendu les costumes à son ami, concédant « une erreur de jugement ». « Je l’ai eu personnellement à plusieurs reprises. Et à plusieurs reprises, il a fait appel à ma solidarité de gaulliste. Gaulliste ou pas, je sais ce que j’ai fait et je n’ai pas à m’en cacher », raconte Robert Bourgi dans Mediapart. « Pendant six jours, du samedi ayant précédé les révélations du Journal du dimanche au vendredi suivant, François Fillon et sa très grande papesse de la communication, Anne Méaux, ont souhaité que je ne dise rien concernant l’identité de la personne qui a offert les costumes : moi », explique-t-il. Il explique qu’il avait choisi de marquer la victoire « inespérée » de l’ancien Premier ministre à la primaire, le 27 novembre dernier, par ce cadeau chez un tailleur de luxe parisien, sans que l’intéressé le sache. L’avocat affirme que François Fillon et Anne Méaux l’ont appelé la veille de la parution du JDD « pour que je ne dise pas que c’était moi ». « Je leur ai demandé pourquoi. Ils m’ont dit : ‘Tu sais, c’est la Françafrique, on va penser que…’ » « J’ai été contraint pendant une semaine de mentir. Finalement, lorsque Le Monde a sorti mon nom, j’ai confirmé. »

Ségolène sur Castro : encore une occasion de se taire

 Ségolène sur Castro : encore une occasion de se taire

Comme souvent Ségolène Royal ne peut s’empêcher de se singulariser avec parfois des déclarations assez surprenantes voire irresponsables. C’est le cas lorsqu’elle déclaré que Fidel Castro était un monument de l’histoire et surtout lorsqu’elle a contesté les violations des droits de l’homme a Cuba. Une bavure en tout cas qui l’empêchera sans doute de remplacer Manuel Valls  comme première ministre alors qu’elle figurait parmi les candidats potentiels.   »Il y a toujours du positif et du négatif dans les histoires, mais certains ne vont pas se rhabiller à bon compte au nom des droits de l’Homme alors qu’on sait qu’ici, quand on demande des listes de prisonniers politiques, on n’en a pas », a-t-elle déclaré à des journalistes. « Fournissez-moi des listes de prisonniers politiques et à ce moment-là on pourra faire quelque chose, ce n’est pas le cas. Moi je considère qu’il y a beaucoup de désinformation parce que ça ne correspond pas au modèle que les Etats-Unis d’Amérique à l’époque ont voulu imposer à Cuba », a-t-elle ajouté. Dès dimanche, les attaques ont fusé,  L’ancien Premier ministre (Les Républicains) Jean-Pierre Raffarin a suggéré lundi sur RTL que le remaniement consécutif à la démission attendue de Manuel Valls soit l’occasion d’évincer la numéro trois du gouvernement. Ségolène Royal « représente la France, elle dit des choses qui sont contraires à la position de la France (…) donc, de mon point de vue, la République et l’exécutif doivent la sanctionner », a-t-il estimé. Même à gauche les critiques n’ont pas manqué. « Ma gauche à moi, ça n’est pas cette gauche qui encense Fidel Castro », a dit Juliette Méadel, secrétaire d’Etat à l’Aide aux victimes, sur BFM TV. « Je n’ai pas envie de me livrer à une galéjade mais avait-elle bu un peu trop de rhum en arrivant à La Havane? », a ironisé l’ancien ministre socialiste Jack Lang.  Un diplomate a souligné que « la position de la France [avait] été rappelée par François Hollande et Jean-Marc Ayrault dans les déclarations qui ont été diffusées juste après l’annonce du décès de Fidel Castro ». Le président français avait dénoncé dans un communiqué « les atteintes aux droits de l’homme » à Cuba.




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