Bientôt un syndicat pour les salariés de l’État islamique ?
Privé de sa ressource principale à savoir le pétrole, l’État islamique aurait été contraint de réduire de moitié le salaire de ses combattants salariés. De là à penser qu’un syndicat va s’implanter dans le califat, il y a un pas qu’on ne peut pas franchir. Pourtant il y aurait moyen de lutter encore plus efficacement contre l’État islamique en implantant notamment un syndicat gauchiste par exemple comme Sud pour défendre les avantages acquis des travailleurs terroristes. Des syndicats gauchistes qui ont fait la preuve en France de leur efficacité en torpillant la compétitivité de l’économie (responsabilité partagée avec la technocratie). En effet, en raison des difficultés économiques probablement provoquées par les frappes qu’il subit, l’État islamique aurait décidé de réduire de moitié les salaires de ses combattants. « Personne ne sera exempté de cette décision, quelle que soit sa position, mais la distribution alimentaire se poursuivra deux fois par mois comme d’habitude », précise toutefois le communiqué de l’EI. Selon l’OSDH, un combattant étranger percevrait quelque 400 dollars dans les rangs de l’EI tandis qu’un combattant syrien serait rémunéré la moitié moins, soit 200 dollars.