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La révolution digitale va-t-elle vraiment tout changer ?

La révolution digitale va-t-elle vraiment tout changer ?

Dans le numérique, une innovation de rupture s’impose tous les 10 ans. La prochaine sera celle de la décentralisation massive de tout, avec avec pour conséquence de voir les « barbares » remplacer les empereurs qui dominent actuellement l’industrie numérique. Par Xavier Dalloz, consultant spécialisé dans les nouvelles technologies. ( dans la Tribune)

Un article intéressant mais cependant un peu confus et excessif sur la révolution digitale en cours.Notons juste un exemple l’amplification de la circulation de l’information n’a pas entraîné jusque-là la baisse de la mobilité physique; au contraire elle la favorise. NDLR

Les grands moteurs structurants de la mutation numérique sont l’accroissement continu des puissances disponibles de traitement de l’information, de la suppression des contraintes de temps et de distance, des nouvelles possibilités de collaboration et la chute des coûts de communication, d’interaction et plus généralement de transaction.

Ces grands moteurs s’expliquent par 4 lois :

Loi de Moore, selon laquelle le nombre de transistors sur une puce doublera tous les deux ans.
Loi de Kryder, selon laquelle le stockage en mémoire augmenterait de façon exponentielle dans un avenir proche.
La loi de Robert, selon laquelle le coût de la transmission de données sur le réseau diminuerait chaque année.
La loi de Metcalfe, selon laquelle, l’utilité d’un réseau est proportionnelle au carré du nombre de ses utilisateurs (N²)
Ces grandes mutations numériques se produisent tous les 10 ans. 1944, avec le premier ordinateur, 1954 avec le mainframe, 1964 avec le mini ordinateur, 1974 avec le micro ordinateur, 1984 avec le Mac, 1994 avec le Web, 2004 avec les réseaux sociaux. Depuis 2014, nous sommes rentrés dans l’ère de l’Internet of Me. Le prochain mouvement tectonique commencera en 2024, avec la décentralisation massive de tout.

Ces mouvements tectoniques sont orchestrés par la nouvelle façon d’accéder à l’information et de communiquer. Un proverbe chinois connu positionne très bien la révolution que nous vivons actuellement.

Il dit la chose suivante :

« Dis-le moi et je l’oublie

Montre-le moi, et je le retiens

Implique-moi, et je comprends »

Dis-le moi et je l’oublie

Ce sont les médias traditionnels. Cette démarche est adaptée au marketing de masse. C’est la presse et la radio. Ils diffusent des textes ou des séquences sonores. Ces modes de communications sont linéaires et induisent un mode de fonctionnement très fortement structuré et réducteur. Le point important est la non interactivité, les auditeurs réagissent peu et difficilement, et pas entre eux L’exemple type de ce mode de communication est la radio.

Montre-le moi et je le retiens

C’est l’audiovisuel avec la télévision mais aussi le cinéma. Le pouvoir de l’image est considérablement plus grand que celui du texte et du son parce que plus émotif, il provoque des réactions rapides et peu réfléchies. Pas d’interactivité et plus de superficialité qu’avec l’écrit. Dans une société de plus en plus entièrement tournée vers l’efficacité au moindre coût, l’audiovisuel est devenu le moyen de communication de base, car il est plus riche et plus performant. La télévision est l’exemple type de ce mode de communication.

Implique-moi et je comprends

C’est l’apport fondamental d’Internet par rapport à la radio et à la télévision. La richesse du média audiovisuel reste limitée, car il rend passif l’utilisateur. Au contraire, les nouvelles technologies de l’information permettent d’impliquer plus fortement l’individu, le rendre plus actif et plus responsable, donc plus autonome et plus efficace.

C’est ici que réside toute l’originalité de ce nouveau média dont il est possible d’imaginer aisément l’impact sur notre société. Le dialogue devient réel et la création de valeur va dépendre de la loyauté. Ce n’est que l’effet David, il y a aussi l’effet Goliath, prise de monopole, manipulation plus efficace et uniformisation (Coca, McDo…).

Les mouvements tectoniques depuis 1985 à 2020

Les effets de la tectonique des médias se sont d’abord faits sentir sur les contenus qui en devenant numériques sont à l’origine d’une transformation des équipements nécessaires à leur restitution mis à la disposition du grand public. Ces équipements associés aux contenus ont nécessité de nouvelles infrastructures qui ont permis des échanges entre les individus beaucoup plus efficaces. Ces nouvelles infrastructures ont ensuite nécessiter de nouveaux services qui à leur tour ont nécessité des contenus.

Les 4 plaques tectoniques ont déjà fait profondément transformer de nombreux secteurs d’activité :

Les contenus ont commencé à se numériser en 1985 avec les CD-COM et l’interface du Mac
Les équipements ont commencé à s transformer en 1990 avec la télévision interactive et à haute définition
Les infrastructures ont commencé à se transformer avec le web en 1995
Les services ont commencé à se transformer avec les moteurs de recherche en 2000
Depuis 2000, nous sommes de nouveau revenus à un nouvelle série de mouvements tectoniques qui se sont se succédés de la façon suivante :

Le début de la nouvelle ère des contenus a été régi par les réseaux sociaux (2005-2010)

Les fonctions participatives, la liberté d’expression caractéristiques des réseaux sociaux ont libéré la voix des consommateurs non seulement vis-à-vis de la marque mais surtout entre eux.

Les enjeux de ce nouveau paradigme débordent largement le cadre d’Internet puisque les marques vont devoir passer :

d’une logique transactionnelle à une logique conversationnelle : difficile maintenant d’assurer une vente sans avoir débuté une écoute attentive des besoins du consommateur et une réponse personnalisée à ceux-ci
d’une logique de distance et d’anonymat à une logique de proximité : de la hot-line standardisée à la conversation humanisée
d’un marketing de diffusion (écran TV, annonce presse, bannière Web, etc.) à un marketing d’engagement : la mise à disposition pour un client d’une équipe et d’une organisation spécifique
et probablement de valeurs consuméristes à des valeurs morales et de responsabilité sociale : les promotions sur les prix feront-elles face à des engagements moraux et sociétaux des entreprises ?
Le début de la nouvelle ère du smartphone et de l’ATAWAD (2010-2015)

La nouvelle électronique grand public a permis au client impatient d’accéder aux services dont il a besoin non seulement tout de suite mais n’importe quand et n’importe où et où qu’il soit. Les objets nomades nous ont fait découvrir avec l’ATAWAD que nous pouvons agir au même moment et du même endroit sur notre sphère professionnelle et notre sphère privée, intervenir du bureau et de la maison ou notre lieu de loisir, de commerce.

Le début de la nouvelle ère de l’IoT avec l’atmosphère IP (2015-2020)

Avec l’Atmosphère IP et l’ATAWAD, l’extension des infrastructures de réseaux numériques de toute nature et notamment sans fil a permis au consommateur de prétendre pouvoir affirmer : « ma maison, mon bureau, mes lieux de loisir ou de consommation ne sont plus dans leurs murs, ils sont là où je suis… et mes relations sont toujours à portée de ma voix ou de mon courrier ». Les mobiles ont joué un rôle de en plus important.

Cette ère a été marquée par l’émergence de l’IoT avec les caractéristiques suivantes :

l’IoT encourage la communication entre divers appareils. Les appareils physiques peuvent rester connectés et offrent une transparence totale avec moins d’inefficacité et une meilleure qualité.
les objets physiques se connectent, numériquement avec une infrastructure sans fil, il y a donc une grande quantité d’automatisation et de contrôle.
Plus d’informations, cela aide à prendre de meilleures décisions.
Les prochains mouvements tectoniques devraient être les suivants :

L’Internet of Augmented Me (2020-2025)
La décentralisation massive de tout avec le Web3 (2025-2030)
L’Internet of Me

L’Internet of Augmented Me ou en abrégé I.am définit un cadre de vie où le consommateur citoyen est maître de ses choix et influence directement la production de biens et de services par le biais d’interactions électroniques, partout où il est.

Cet univers répond aux besoins primaires des individus et à leurs désirs d’épanouissement. Il s’appuie sur des combinaisons de technologies avancées, mêlant numérique, physique quantique et biologie.

Avec l’Internet of Me, nous sommes maintenant dans la troisième vague où les acteurs ne se laisseront plus obnubiler par les taux d’audience et se concentreront sur les transactions effectivement effectuées.

Ces transactions effectives impliquent une implication suffisante des prospects pour qu’ils passent à l’acte. Le commerce sera notamment d’autant plus efficace qu’il écoutera, donnera la possibilité à la demande de s’exprimer en confiance, de façon individuelle, n’importe où et n’importe quand.

Ce commerce de l’ubiquité exploite pleinement l’économie de réseau, la possibilité d’agréger des offres dans une logique de consommation en se libérant des astreintes de la logique de production, en misant à fond sur le pouvoir d’implication de l’unimédia.

L’implication est essentielle car dans une situation où toute l’offre du monde est à portée de clic, ce qui est rare est le temps de chacun, ce qui est précieux, c’est de réussir à retenir l’attention de quelqu’un pour qu’il veuille bien accorder un peu de son temps à examiner une offre.

La décentralisation massive de tout

25 innovations digitales seront au cœur de la nouvelle vague des innovations digitales :

6G
5G
L’AR/VR
L’autonomie de tout
La Blockchain
La connectivité globale
La DAO
La datafication
Les drones
Les edge computing
L’énergie harvesting
Les nouvelles sources d’énergie (hydrogène, solaire, etc.)
L’intelligence artificielle
L’identification décentralisée
L’impression 3D
Les interfaces naturelles
L’Internet des comportements
L’Internet du corps
L’loT
Le métaverse
La nouvelle mobilité
L’informatiques quantique
La robotique as a service
La cyber sécurité et la résilience
La tokenisation
Le twin
Au cours des 10 prochaines années, l’impact de cette vague du numérique va complètement transformer les modèles économiques, le commerce immersive, l’industrie, l’agriculture, les super cities, la logistique, les bâtiments intelligents, la supply chain, etc.

Les barbares vont en profiter pour remplacer les empereurs actuels

Le catalyseur de cette nouvelle vague du numérique sera le Web3.

Web3 est l’internet décentralisé qui vient remplacer le web actuel. L’architecture web3 est conçue pour être un réseau décentralisé de nœuds peer-to-peer. La pile web3 se compose de protocoles, de normes et d’interfaces qui constituent l’épine dorsale de ce nouveau type d’Internet.

Web3 est une initiative visant à façonner l’avenir d’Internet. C’est la prochaine étape logique pour donner aux utilisateurs un contrôle total sur leur contenu, leur propriété numérique et leurs personnages numériques dans le domaine numérique

Crise : La bulle de l’ endettement mondial à 240% du PIB va-t-elle éclater ?

Crise : La bulle de l’ endettement mondial à 240% du PIB va-t-elle éclater  ?

 

 

La question est de savoir si la progression de la dette mondiale comporte ou non des risques d’éclatement. À défaut si en attendant, l’économie mondiale n’est pas condamnée pour longtemps à la croissance molle.  Selon plusieurs experts , la situation actuelle est bien pire que celle de 2000 ou 2007, et avec des taux d’intérêt très bas, les banques centrales ont déjà épuisé leurs munitions. De plus, l’endettement total, en particulier celui des gouvernements, est bien plus élevé qu’il ne l’a jamais été. Lorsque la confiance dans la Réserve fédérale, la Banque centrale européenne et les institutions similaires ailleurs commencera à disparaître, il y aura un exode massif hors des marchés d’actions et d’obligations. . Pour atténuer au maximum les effets de la crise financière de 2008, les Banques centrales des plus grandes puissances du monde (la Réserve fédérale américaine, la Banque centrale européenne, la Banque d’Angleterre et la Banque du Japon), ont fait chuter leur taux directeurs, pour relancer la machine du crédit et soutenir la croissance mondiale. Si bien qu’aujourd’hui, les taux sont très faibles. Le moteur de cette hausse, quasi continue depuis 1950, est le secteur privé dont la dette a triplé depuis cette date. Il représentait en 2017 près des deux tiers de l’endettement mondial, le reste étant de la dette publique. Cette dernière, qui affichait une baisse constante jusqu’au milieu des années 1970, repart de plus belle depuis, tirée vers le haut par les économies avancées et, plus récemment, par les pays émergents et ceux en développement, constate le FMI. «Que la dette privée augmente fortement ne constitue pas un danger en soi car cette dette apporte un soutien à l’économie et elle est adossée à des collatéraux, ce qui la rend gérable ».Tout dépendra cependant du niveau de croissance qui permet de se désendetter ou au contraire d’accroitre l’endettement.    Or avec le ralentissement de 2020, voire au-delà, les risques d’éclatement de la bulle financière  augmentent.

L’ensemble de la dette mondiale devrait dépasser les 230.000 milliards d’euros cette année. Ce sont les estimations de l’Institute of International Finance (IFF), publiées ce vendredi 15 novembre et reprises par Reuters. Sur les six premiers mois de l’année, la dette mondiale a ainsi augmenté de 6,8 milliards d’euros. Une tendance à la hausse qui n’a montré aucun signe de ralentissement ces derniers mois. Désormais, chacun des 7,7 milliards d’êtres humains vivant sur la planète est endetté à hauteur de 29.400 euros.

 

Cette hausse impressionnante est principalement due aux États-Unis et à la Chine, responsables à eux seuls d’environ 60% de l’augmentation de la dette. Washington devrait ainsi voir sa dette dépasser les 70.000 milliards de dollars (environ 63.000 milliards d’euros) cette année, selon l’IFF. Une autre étude, réalisée par Bank of America Merrill Lynch, estime de son côté que depuis 2008, et la faillite de Lehman Brothers, l’ensemble des États ont emprunté 27.000 milliards d’euros.

Une situation qui vaut également pour les autres acteurs de l’économie mondiale. Depuis la chute de la banque d’affaires, les entreprises ont ainsi emprunté plus de 22.000 milliards d’euros, les ménages plus de 8 milliards et les banques 1,8 milliard. Des montants records qui représentent un véritable risque pour l’économie. Selon l’IFF, la dette mondiale croît ainsi plus vite que l’économie globale. La Libre.be rappelle également que dans les pays industrialisés ce sont les gouvernements qui sont les principaux responsables de l’augmentation de la dette alors qu’il s’agit plutôt des entreprises dans le tiers-monde.

 

L’étude s’appuie entre autres sur les données de la Banque des règlements internationaux et du Fonds monétaire international (FMI). Elle précise que la dette mondiale, hors secteur financier, à 172.000 milliards d’euros, représente désormais plus de 240% du PIB mondial. Par ailleurs, l’IFF souligne que certains pays sont particulièrement vulnérables face à l’inflation constante de la dette. C’est notamment le cas pour la Turquie, le Mexique ou le Chili, qui ont accumulé beaucoup de dettes en devises.

La candidature de Cédric Villani annonce-t-elle la défaite de LREM aux municipales

La candidature de Cédric Villani annonce-t-elle  la défaite de LREM aux municipales

La candidature de Cédric Villani à la mairie de Paris constitue indiscutablement un échec de l’appareil de la république en marche. Pourtant un comité de désignation  plus ou moins bidon avait désigné Benjamin Griveaux, un proche de Macron. On objectera que la situation de Paris est un peu spécifique du fait de la sociologie. Cependant, t il se pourrait bien que la république en marche  enregistre une défaite lors de ces  élections municipales. Le cas de Paris est aussi un peu particulier dans la mesure où Villani se réclame pratiquement autant de la gauche que de la droite de Macron. Chez Villani c’est un  en même temps de conviction contrairement à Macron et à son entourage. Le problème de la république en marche, c’est qu’elle  n’est pas parvenue à dégager des leaders charismatiques. Même au gouvernement, aucun ministre mis à part celui de l’éducation nationale ne parvient à faire son trou. Il en va de même chez les députés. A fortiori chez les candidats aux municipales dont beaucoup sont inconnus. Il y a chez la république en marche un manque général d’expérience politique et de compétence auxquels s’ajoutent maintenant le rejet de la politique de Macron sur le plans socio économiques par 65 à 70 % de la population. Macron porte la responsabilité de cette situation car il n’a pas voulu s’entourer de responsables à la hauteur craignant trop d’être un jour mis en concurrence. Pour l’essentiel, Macron est entouré de seconds couteaux comme Castaner, Griveaux, Ferrant et bien d’autres. Enfin la république en marche demeure un parti virtuel complètement sous la tutelle de Macron, sans véritablement de vie politique. Prudent et très habile politiquement

Cédric Villani- qui n’est pas un perdreau de l’année- a fait savoir qu’il avait contacté lundi Emmanuel Macron et Édouard Philippe. Sa candidature «alternative» à Paris «ne sera pas l’expression d’une défiance à leur égard». Même prévenance à l’égard du patron du mouvement, Stanislas Guerini, et de Benjamin Griveaux. Villani «ne s’exprimera pas contre La République en marche».

 

L’agriculture va-t-elle payer le prix du brexit ?

L’agriculture va-t-elle payer le prix du brexit ?

 

C’est la question qui se pose en ce moment dans le milieu bruxellois puisque du fait du  brexit les recettes seront amputées de la contribution britannique. Du coup, l’union européenne envisage de rogner notamment sur les crédits accordés à la politique agricole commune. Une politique agricole qui serait en quelque sorte renationalisée puisque les Etats devraient compenser les contributions supprimées de l’union économique. Au total les agriculteurs notamment français craignent surtout une réduction des subventions. Le Brexit crée un trou net d’environ 10 milliards sur les quelque 150 milliards du budget européen ; et alors que les besoins augmentent, notamment avec la défense et la sécurité, aucun Etat membre n’a l’intention de consacrer une part plus importante de son budget à l’UE. Le document propose donc principalement de raboter les dépenses actuelles. Au-delà de cette logique contestable, un élément fait bondir côté français : le rapport suggère de demander aux Etats Membres de co-financer la Politique Agricole Commune, premier poste de dépense du budget européen. Selon les experts, l’idée de ce co-financement de la PAC risque de « renationaliser » la PAC, et donc de créer de forts écarts de compétitivité entre pays riches et pauvres. Première des politiques européennes en termes de montants consacrées, avec 60 milliards répartis chaque année dans 28 pays, la PAC est un des piliers de la construction européenne, mais aussi un des éléments les plus décriés notamment du fait que la PAC profit  aux grands céréaliers et beaucoup moins en particulier aux petits exploitants et autres éleveurs. Dans le document actuellement en cours d’étude à Bruxelles, la Commission européenne n’a consacré qu’un paragraphe à cette question des ressources propres. Si la question fait quasiment consensus au Parlement européen, et convainc aussi beaucoup au sein de l’exécutif, les Etats membres rechignent à accepter l’idée d’une taxe européenne nouvelle qu’ils ne toucheraient pas.  Jean Arthuis, eurodéputé centriste et membre de la commission des budgets, juge que le document de « réflexion » sur le futur des finances de l’UE est hors de propos. « Nous sommes à un point de rupture, il faudrait lancer un grand débat sur ce que l’on veut pour l’Europe de demain, et ajuster le budget en conséquence. Et ne pas faire l’inverse en bricolant un budget », s’agace l’eurodéputé ALDE.

 




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